Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Le Sénégal se positionne comme un leader dans l’utilisation des technologies de pointe pour éradiquer le paludisme. Grâce à des avancées majeures dans le domaine de la génomique et des outils numériques, le pays révolutionne ses stratégies de santé publique.
Dans un communiqué parvenu à Seneweb, le ministère de la Santé et de l'Action sociale informe avoir pris la décision de ne pas renouveler 156 contrats sur plus de 5 000 contrôlés.
La consommation de yamba (cannabis), bien que strictement interdite par la loi, s’est banalisée. Régulièrement arrêtés, les consommateurs pris en flagrant délit invoquent souvent une excuse : le cannabis serait leur « remède vert ». Face à cet argument récurrent, Seneweb pose la question : le yamba a-t-il réellement des vertus thérapeutiques ?
Le Syndicat autonome national des travailleurs éveillés et engagés de la santé (SANTÉES) hausse le ton pour dénoncer les retards de salaires et les inégalités dans l’attribution des indemnités aux travailleurs de la santé et de l’action sociale.
Le Ramadan, l’un des cinq piliers de la religion islamique, est un mois saint durant lequel le jeûne doit être observé du lever au coucher du soleil.
Suite à la récente mobilisation des médecins, les techniciens supérieurs de santé entrent à leur tour en action. Le Syndicat Autonome des Techniciens Supérieurs de la Santé (SATSUS) a annoncé, dans un communiqué rendu public, une grève générale pour les mercredi 26 et jeudi 27 février 2025, afin d’exiger la régularisation de leur situation administrative. Cette décision intervient après un long processus de négociations avec le ministère de la Fonction publique, dont les résultats se font toujours attendre, selon le document.
Le mercredi 19 Février 2025, une cérémonie officielle a eu lieu au Centre Hospitalier National d’Enfants Albert ROYER pour procéder à l’inauguration de la « LAVERIE DES MAMANS »...
Conséquence du démantèlement de l’USAID par Donald Trump : le programme «Division Sida» des hôpitaux sénégalais est suspendu.
Le ministère de la Santé et de l'Action sociale (MSAS) a récemment informé le personnel concerné ainsi que l'opinion publique d'un retard dans le paiement des salaires des agents contractuels.
La mortalité maternelle demeure un enjeu majeur de santé publique à travers le monde. Au Sénégal, malgré une baisse notable, les défis persistent.
En général, les médecins et nutritionnistes recommandent de consommer cinq fruits par jour.
« L’infertilité ne doit plus être vue comme une affaire exclusivement féminine. Une meilleure information et une prise en charge précoce sont essentielles pour optimiser les chances de conception », insiste la docteure Ndèye Awa Diagne, gynécologue-obstétricienne et cheffe de la division de la planification familiale à la Direction de la Santé de la mère et de l’Enfant. Elle recommande aux couples de consulter des spécialistes sans tarder après un an de vie conjugale sans grossesse, afin d’améliorer leurs perspectives de succès. Changer les mentalités et adopter une approche inclusive deviennent des impératifs.
Après avoir bouclé 48 heures de grève, mercredi dernier (19 février 2025), le Syndicat autonome des médecins du Sénégal (Sames) et le Syndicat autonome des techniciens supérieurs de la santé (SATSUS) mettent en branle leur deuxième plan d’action.
Le Bureau exécutif national (BEN) du Syndicat autonome des médecins du Sénégal (SAMES) a décidé de maintenir son plan d’action et a décrété une grève générale de 48 heures, les mercredi 26 et jeudi 27 février 2025.
Dans le cadre de la Semaine de la santé de la mère et de l'enfant, le département de Mbour a reçu un don de matériel d'une valeur d'environ 40 millions de francs CFA de SANSAS-Solthis. Il est destiné à 15 structures de santé de Mbour, Thiadiaye, Poponguine et Joal-Fadiouth.
« L’infertilité ne doit plus être vue comme une affaire exclusivement féminine.
Le Syndicat autonome des médecins du Sénégal (Sames) a bouclé 48 heures de grève, ce mercredi 19 février.
La mortalité maternelle demeure un enjeu majeur de santé publique à travers le monde. Au Sénégal, malgré une baisse notable, les défis persistent.
Suite au mot d'ordre de grève décrété par le bureau exécutif national du SAMES, basé sur au moins 7 points primordiaux :
Le projet ISMEA a profondément impacté le système de santé sénégalais en renforçant les ressources humaines, les infrastructures et l'accès aux soins. Mais pour que ces avancées portent durablement leurs fruits, une stratégie post-projet est essentielle. « Nous avons fait un travail remarquable, maintenant il faut que cela dure », a renseigné le docteur Oumar Sarr, coordonnateur dudit programme. « Le projet ISMEA a permis des avancées majeures dans le renforcement du système de santé, en particulier pour les mères, les enfants et les adolescents », selon lui. Après cinq années de mise en œuvre, ce projet, financé à hauteur de 130 millions de dollars par la Banque mondiale et le Global Facility Funds (GFF), affiche des résultats significatifs dans les régions de Kaffrine, Tambacounda, Kédougou, Sédhiou, Kolda et Ziguinchor.