Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
La Ligue démocratique (LD) Debout a critiqué, dans une déclaration parvenue à Seneweb, ce jour, le Plan de redressement économique et social présenté par le Premier ministre. Elle pointe un focus excessif sur la pression fiscale et une approche technocratique peu inclusive.
Au deuxième trimestre 2025, le Sénégal a déjà mobilisé 2 226,3 milliards FCFA de recettes budgétaires, atteignant près de la moitié de son objectif annuel.
Plan Sonko : poids de la fiscalité, une stratégie risquée
Face à une inflation persistante et à la flambée des prix des produits de première nécessité, l’Alliance pour la République (APR) tire la sonnette d’alarme
La dévaluation du franc CFA dans le contexte actuel, Pr Malick Sané n’y croit pas. Selon l’économiste, Professeur Titulaire des Universités (FASEG/UCAD) et Directeur du Laboratoire de politiques commerciales, la situation d’aujourd’hui est différente de celle des années 1990 qui a abouti à la dévaluation de cette monnaie.
La déclaration de politique générale du Premier ministre Ousmane Sonko continue de faire réagir.
Réduire le déficit budgétaire de 11,6 % du PIB en 2024 à 7,08 % du PIB en 2025, un taux de croissance de 8,8 %, un taux d’inflation de 1,9 % du PIB…
Le Premier ministre Ousmane Sonko a dévoilé, vendredi, lors de sa Déclaration de politique générale, une nouvelle politique fiscale.
L’horizon budgétaire (une année) est trop court-termiste pour permettre de déceler des tendances de ruptures substantielles.
À la date du 29 novembre, l’État du Sénégal ne reconnaît que 112 entreprises en conformité avec les dispositions du Code de la presse. Parmi elles, les journaux ne sont qu’au nombre de quatorze (14). Pourtant, quotidiennement, c’est une vingtaine de « Une » qui sont lues et partagées sur les réseaux sociaux. À interroger ces chiffres, l’on se demande comment s’en sortent financièrement ces entreprises de presse écrite ? Entre le modèle économique jugé obsolète et la multiplication des sites d’informations en ligne, quel avenir pour la presse écrite sénégalaise ?
Au Sénégal, la campagne législative bat son plein, rythmée par des tensions.
Financer l’économie en bonne partie avec les ressources internes est possible, mais attention à une asphyxie de l’économie.
Devant le "Jury du dimanche" sur Eradio, le ministre de l’Économie et de la Coopération a souligné que la pression fiscale est autour de 18-19 % du PIB. Cette pression fiscale, dit-il, demeurera à 18-19-20 % du PIB. Et avec les réformes, l'assiette, les taux seront réduits et les entreprises formalisées.
Le gouvernement italien de Giorgia Meloni faisait appel aux banques pour boucler mardi un projet de budget pour 2025 extrêmement serré, à la recherche d'un délicat équilibre entre promesses électorales et nécessité de juguler les déficits.
La journaliste Marième Selly Kane passe de l’autre côté de la baie vitrée.
Les consommateurs ne sont pas au bout de leur peine.
Selon la Cellule d'appui à la veille stratégique de l'APR, dans le grand livre de la République au Sénégal, le mardi 13 août 2024 figurera dans les pages les plus sombres.
"Le monstre se réfugie derrière l’impôt". C'est le titre de la dernière contribution de Thierno Bocoum qui, après son post polémique de ce lundi, est revenu à la charge.
Au cours d'une assemblée générale tenue ce jour devant l'ensemble du personnel du Groupe Walfadjri, le président-directeur général du groupe, Me Cheikh Niass, a souligné la situation de crise que traversent les entreprises de presse.
Suspension de la parution des quotidiens "Stades" et "Sunu Lamb"