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Afrique

Diendéré organiserait la résistance face au désarmement (officiel)

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Diendéré organiserait la résistance face au désarmement (officiel)
Le Général Gilbert Diendéré serait à l’origine de la résistance notée dans le processus de désarmement initié par les forces loyalistes, indique un communiqué officiel publié ce lundi sur le site du gouvernement burkinabé.

Le Gal Diendéré serait appuyé par le général Bassolet, candidat indépendant à la présidentielle, non-retenu par le Conseil constitutionnel.

Le communiqué stipule que « malgré les gages de bonne foi, le processus de désarmement commencé samedi 26 septembre et qui se poursuivait normalement a été brutalement remis en cause hier 27 septembre par le général Diendéré, qui a fait savoir à ses éléments que le RSP ne saurait être dissout par la Transition et qu'il valait mieux résister ».


« Cette résistance, selon le même communiqué, s'organise actuellement autour d'une poignée d'éléments putschistes, instrumentalisés par le général Diendéré, appuyé désormais par le général Djibril Bassolé ». 


Le communiqué publié sur le site du service d'information du gouvernement (SIG) explique que « plus grave encore, le Gouvernement a connaissance de la mobilisation de forces étrangères et de groupes djihadistes qu'ils ont appelé à leur secours dans la réalisation de leur funeste dessein ».


Le même communiqué signé du gouvernement de la transition, explique pourtant que « après toutes les garanties de sécurité données à ces derniers et à leurs familles, plusieurs éléments de l'ancien RSP se sont rendus et ont rejoint le camp de la raison ».


« Face à de tels actes, qui démontrent encore une fois de plus qu'une poignée d'individus est prête à sacrifier l'avenir de notre pays sur l'autel de ses intérêts égoïstes, le Gouvernement de la Transition en appelle à la mobilisation et à la vigilance ».


C'est le 16 septembre que les éléments du RSP avaient perpétré un coup de d'Etat manqué et qu'un processus de désarmement avait commencé le samedi 26 septembre au camp « Naba koom », refuge de la garde prétorienne.


37 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (18:58 PM)
    IL A RAISON ....KAFANDO N EST QU UN TRAITRE AVEC SA BOUCHE ON DIRAIT

    UN CUL DE COQ





     :roadrunner: 
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  2. Auteur

    Peeeeeeeeeeeeee

    En Septembre, 2015 (19:00 PM)
    peeeeeeeeeeeeeeeeeeee
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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (19:05 PM)
    ....maky avait prédit dé....
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    Auteur

    Matar

    En Septembre, 2015 (19:08 PM)
    il ont choisi la voie de la confrontation a celle du dialogue le pays va en decoudre parcequil yaura encore des morts pour rien . Les iuatorites actuels devaient passer l"eponge sur ces cas et ouvrir la voie du dialogue cest mieux que de mettre le pays dans le chaos encore
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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (19:09 PM)
    Marre de cette face de rat!!!
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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (19:12 PM)
    hee laissez les manger leur TO
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    Auteur

    L'integral

    En Septembre, 2015 (19:15 PM)
    Ce gouvernement de transition est compose d'incapables qui ne peuvent meme pas diriger une garderie d'enfants. C'est pas au gouvernement de transition de decider quells institutions pour le burkina. Ils n'ont qu'a se limiter a organizer des elections et le nouveau president et la nouvelle assemblee elus par le people auront toute la legitimite pour apporter les changements institutionels necessaire. la transition doit respecter le jeu democratique et laisser tous les candidats potentiels et desireux de se presenter a le faire. Et de toute les facons c'est le peuple qui va choisir mais de grace ne limiter pas les choix du people.
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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (19:16 PM)
    maky sall avait raison
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    Auteur

    Un Amoureux Du Burkina

    En Septembre, 2015 (19:20 PM)
    Que la transition cesse d'être extrémiste et négocie avec Diéndéré pour sauver le Burkina. Vous ne pourrez jamais faire revenir les morts...en Afrique du Sud aussi il y' a eu beaucoup de mort, bien plus qu' au Burkina et pourtant Mandéla a négocié et pardonné....AMNISTIE...Amnistie...
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    Auteur

    Liquidez Le!!

    En Septembre, 2015 (19:27 PM)
    Il faut EN PROFITER POUR LE LIQUIDER PHYSIQUEMENT :emoshoot:  :fbhang:  :fbhang: En attendant de METTRE LA MAIN sur l'AUTRE ASSASSIN BLAISE COMPAORE :emoshoot:  :fbhang:  :fbhang:  :fbhang:  :fbhang:  :fbhang: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (19:38 PM)
    Je l'avais bien dit ,que ces gens ne connaissent rien en matieres de negociations et que c'etait au futur president legualement et ligitimement élu de le faire :emoshoot:  :fbhang:  :emoshoot: 
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    Auteur

    Anonymerous

    En Septembre, 2015 (19:51 PM)
    Alors, on attend la dame de l'Opposition qui insultait notre President.

    Alors, reglez desormais vos problemes entre Burkinabés si vous en êtes capables.

    Bande de cons.
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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (19:53 PM)
    Cette transition burkinabe jusqu'au-boutiste nage dans l'euphorie des exigences irrealistes des populations. Comment peut-on demander le desarmement, la dissolution du RSP accompagnés de poursuites judiciaires et de confiscations de biens alors que c'est le corps d'armée le mieux équipé, le mieux entrainé??? Sans compter le fait de vouloir interdire les candidatures des compaoristes alors qu'ils ne font d'aucune condamnation judiciaire dans ce sens? Cela n'est pas démocratique du tout.



    Il faut negocier quand meme. cette intransigeante transition risque de mener le Burkina au chaos.
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    Auteur

    Fippu

    En Septembre, 2015 (20:00 PM)
    Less waxul djangal la thia boire? ?





    Le Burkina est entré de plain-pied dans le cercle des pays grands producteurs d’or. Depuis une décennie, la prospection, l’exploitation industrielle et artisanale du métal jaune se développent à grande vitesse. Ce minerai est devenu le premier produit d’exportation du pays devant le coton. Le code minier de 2003, très incitatif, avait permis d’attirer plusieurs entreprises de l’industrie aurifère. En 2014, le pays dénombrait huit compagnies en phase d’exploitation et quatre en exploration. Une arrivée massive qui dénote de l’intérêt  que ces sociétés portent pour le Burkina.  Mais, le peu de ressources tirées par le pays de l’exploitation de la ressource et le manque de transparence dans la gestion du secteur ont poussé certains acteurs à  plaider pour l’adoption d’un nouveau code minier.  Finalement adopté, le 25 juin dernier par l’Assemblée nationale,  ce texte prévoit une gestion plus optimale des ressources minières. «Notre objectif avec ce nouveau code est de faire davantage bénéficier aux populations l’exploitation des ressources minières», a assuré Boubacar Bâ, ministre des Mines du Burkina Faso qui a reçu, le 13 août dernier, une délégation d’acteurs sénégalais évoluant dans la transparence dans les industries extractives. 

    Plusieurs innovations sont introduites dans le nouveau code minier burkinabé. L’intérêt des populations impactées par l’activité minière est pris en compte par le texte. Il institue «un fonds local de développement minier dans chaque site d’activité des compagnies »,  a expliqué le ministre Boubacar Bâ.  Ce fonds versé directement à la collectivité locale est alimenté par 1% du chiffre d’affaires mensuel de la société exploitante. Preuve de l’importante de ce fonds, M. Bâ  cite la commune de Dali  qui a reçu cette année 100 millions F CFA. 

    Devant la raréfaction des ressources humaines qualifiées dans le secteur,  le code a mis en place un deuxième fonds destiné à l’appui à la recherche et la formation. «Pour tirer un maximum de profits à l’exploitation de cette ressource, il est nécessaire de former suffisamment de personnes aux métiers relatifs à cette activité» a estimé le ministre, Babacar Bâ. En effet, fait constater Dakar Djibri Secrétaire permanent de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE),  « les fonctionnaires les mieux formés sont souvent débauchés par les compagnies minières qui payent des salaires plus conséquents que l’Etat». D’ailleurs, rappelle Boubacar Bâ, le manque de ressources humaines est à l’origine de la fermeture de la première entreprise minière publique, Burkina Min’s Compagny. 

      

    A côté de ces deux fonds, un troisième est prévu par le texte pour la réhabilitation de l’environnement détruit par l’activité minière.  Un changement de perspective qui se donne à voir dès l’article 3 qui stipule que « les mines doivent contribuer au développement durable». 

     Dans cette optique, le code a remis en cause nombre d’avantages fiscaux accordés aux sociétés minières. C’est le cas selon Pierre Dabiré, coordonnateur de la coalition Min'Alert du taux d’imposition qui était de 10,7% pour les sociétés minières. «Il est ramené au régime ordinaire de 27%», dit-il. 



    De même,  face aux fréquents conflits entre sociétés minières et populations, il est prévu la  création d’une brigade de sécurité. 

      

    L’orpaillage 

      

    L’activité d’orpaillage qui était jusque-là simplement tolérée par l’Etat est prise en compte dans le texte qui a apporté un certain nombre d’innovations afin de mieux l’encadrer. Il s’agit par exemple de la création d’une agence nationale d’encadrement de l’orpaillage. Pour lutter efficacement contre  l’orpaillage sauvage, des permis d’exploitation semi-mécanisée sont délivrés. Les bénéficiaires  sont  soumis à un cahier de charges leur astreignant à des obligations. Au regard de la fraude sur l’or constaté sur le terrain, l’Etat prévoit aussi la création  de comptoirs d’achats. «La production annuelle d’or déclarée par les orpailleurs tourne autour de 2,5 tonnes. Or, des sources fiables comme la Banque mondiale évaluent la production  à 20  tonnes», fait constater le ministre Boubacar Bâ. 

      

    Société civile 

      

    La relecture du code minier  s’est faite avec beaucoup de peine. Même si l’Etat a montré une certaine volonté de transparence à travers l’adhésion du pays en 2008 à l’ITIE,  les innovations apportées par le nouveau code sont en grande partie l’œuvre de la société civile burkinabé. La coalition Min'Alert a joué un rôle important dans l’information des populations et des élus locaux  sur la nécessité d’apporter des changements. «C’est grâce à notre travail que les maires des localités impactées par l’activité minière sont informés de leur droit à percevoir des taxes superficiaires », se réjouit Jonas Hien, chargé des programmes de l’ONG Orcade. La coalition de la société civile  Min'Alert disposant d’un point focal dans chaque site a  beaucoup travaillé avec les services décentralisés de l’Etat, les élus locaux et surtout la gendarmerie. Toutefois, la relecture du code s’est heurtée à une farouche résistance des compagnies minières. Celles-ci voyaient dans  cette révision une menace pour la pérennité de leurs activités. Une résistance qui empêchait aux autorités d’alors d’adopter ce nouveau texte. Mais, l’insurrection populaire du 30 octobre 2014 a donné un coup d’accélérateur au processus. «Après la dissolution de l’Assemblée nationale, les députés nouvellement installés ont été plus réceptifs au discours de la société. 90% de nos recommandations ont été intégrées dans le code », explique Pierre Dabiré.  Cette victoire au forceps de la société civile servira peut-être d’exemple aux acteurs sénégalais s’activant pour la transparence et la redevabilité dans les industries extractives... :sunugaal:  :sunugaal: 
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    Auteur

    Djolof

    En Septembre, 2015 (20:04 PM)
    Less waxul djangal la thia biir. ...





    Le Burkina est entré de plain-pied dans le cercle des pays grands producteurs d’or. Depuis une décennie, la prospection, l’exploitation industrielle et artisanale du métal jaune se développent à grande vitesse. Ce minerai est devenu le premier produit d’exportation du pays devant le coton. Le code minier de 2003, très incitatif, avait permis d’attirer plusieurs entreprises de l’industrie aurifère. En 2014, le pays dénombrait huit compagnies en phase d’exploitation et quatre en exploration. Une arrivée massive qui dénote de l’intérêt  que ces sociétés portent pour le Burkina.  Mais, le peu de ressources tirées par le pays de l’exploitation de la ressource et le manque de transparence dans la gestion du secteur ont poussé certains acteurs à  plaider pour l’adoption d’un nouveau code minier.  Finalement adopté, le 25 juin dernier par l’Assemblée nationale,  ce texte prévoit une gestion plus optimale des ressources minières. «Notre objectif avec ce nouveau code est de faire davantage bénéficier aux populations l’exploitation des ressources minières», a assuré Boubacar Bâ, ministre des Mines du Burkina Faso qui a reçu, le 13 août dernier, une délégation d’acteurs sénégalais évoluant dans la transparence dans les industries extractives. 

    Plusieurs innovations sont introduites dans le nouveau code minier burkinabé. L’intérêt des populations impactées par l’activité minière est pris en compte par le texte. Il institue «un fonds local de développement minier dans chaque site d’activité des compagnies »,  a expliqué le ministre Boubacar Bâ.  Ce fonds versé directement à la collectivité locale est alimenté par 1% du chiffre d’affaires mensuel de la société exploitante. Preuve de l’importante de ce fonds, M. Bâ  cite la commune de Dali  qui a reçu cette année 100 millions F CFA. 

    Devant la raréfaction des ressources humaines qualifiées dans le secteur,  le code a mis en place un deuxième fonds destiné à l’appui à la recherche et la formation. «Pour tirer un maximum de profits à l’exploitation de cette ressource, il est nécessaire de former suffisamment de personnes aux métiers relatifs à cette activité» a estimé le ministre, Babacar Bâ. En effet, fait constater Dakar Djibri Secrétaire permanent de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE),  « les fonctionnaires les mieux formés sont souvent débauchés par les compagnies minières qui payent des salaires plus conséquents que l’Etat». D’ailleurs, rappelle Boubacar Bâ, le manque de ressources humaines est à l’origine de la fermeture de la première entreprise minière publique, Burkina Min’s Compagny. 

      

    A côté de ces deux fonds, un troisième est prévu par le texte pour la réhabilitation de l’environnement détruit par l’activité minière.  Un changement de perspective qui se donne à voir dès l’article 3 qui stipule que « les mines doivent contribuer au développement durable». 

     Dans cette optique, le code a remis en cause nombre d’avantages fiscaux accordés aux sociétés minières. C’est le cas selon Pierre Dabiré, coordonnateur de la coalition Min'Alert du taux d’imposition qui était de 10,7% pour les sociétés minières. «Il est ramené au régime ordinaire de 27%», dit-il. 



    De même,  face aux fréquents conflits entre sociétés minières et populations, il est prévu la  création d’une brigade de sécurité. 

      

    L’orpaillage 

      

    L’activité d’orpaillage qui était jusque-là simplement tolérée par l’Etat est prise en compte dans le texte qui a apporté un certain nombre d’innovations afin de mieux l’encadrer. Il s’agit par exemple de la création d’une agence nationale d’encadrement de l’orpaillage. Pour lutter efficacement contre  l’orpaillage sauvage, des permis d’exploitation semi-mécanisée sont délivrés. Les bénéficiaires  sont  soumis à un cahier de charges leur astreignant à des obligations. Au regard de la fraude sur l’or constaté sur le terrain, l’Etat prévoit aussi la création  de comptoirs d’achats. «La production annuelle d’or déclarée par les orpailleurs tourne autour de 2,5 tonnes. Or, des sources fiables comme la Banque mondiale évaluent la production  à 20  tonnes», fait constater le ministre Boubacar Bâ. 

      

    Société civile 

      

    La relecture du code minier  s’est faite avec beaucoup de peine. Même si l’Etat a montré une certaine volonté de transparence à travers l’adhésion du pays en 2008 à l’ITIE,  les innovations apportées par le nouveau code sont en grande partie l’œuvre de la société civile burkinabé. La coalition Min'Alert a joué un rôle important dans l’information des populations et des élus locaux  sur la nécessité d’apporter des changements. «C’est grâce à notre travail que les maires des localités impactées par l’activité minière sont informés de leur droit à percevoir des taxes superficiaires », se réjouit Jonas Hien, chargé des programmes de l’ONG Orcade. La coalition de la société civile  Min'Alert disposant d’un point focal dans chaque site a  beaucoup travaillé avec les services décentralisés de l’Etat, les élus locaux et surtout la gendarmerie. Toutefois, la relecture du code s’est heurtée à une farouche résistance des compagnies minières. Celles-ci voyaient dans  cette révision une menace pour la pérennité de leurs activités. Une résistance qui empêchait aux autorités d’alors d’adopter ce nouveau texte. Mais, l’insurrection populaire du 30 octobre 2014 a donné un coup d’accélérateur au processus. «Après la dissolution de l’Assemblée nationale, les députés nouvellement installés ont été plus réceptifs au discours de la société. 90% de nos recommandations ont été intégrées dans le code », explique Pierre Dabiré.  Cette victoire au forceps de la société civile servira peut-être d’exemple aux acteurs sénégalais s’activant pour la transparence et la redevabilité dans les industries extractives :sunugaal: 
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    Auteur

    Siri Diogo

    En Septembre, 2015 (20:04 PM)
    Le Général Dienduere a des couilles

    Il ne sera pas facile à neutrliser

    Le feuilleton n est pas termine
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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (20:09 PM)
    C un grand general les burkinabe doivent faire attention .



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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (20:16 PM)
    Laisser les Burkinabé régler leur problkème ce n'est pas vous qui les avez aidé ou conseillé à se débarrasser du sanguinaire Blaise Compaoré . Diendere n'est qu'un valet de Blaise. À près le roi ce n'est pas le valet qui peut tenir tête au peuple il n'a plus d'issue de sortie et sait qu'il est échec et mat il cherche à gagner du temps mais il tombera de son piédestal comme une mangue mur et on le ramassera sans tirer une seule balle.

    Patience mes frères sénégalais la justice divine a déjà scellé son sort
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    Auteur

    Palma

    En Septembre, 2015 (20:27 PM)
    Dur pour le burkina
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    Auteur

    Anonyme Attention Attention Et

    En Septembre, 2015 (20:49 PM)
    CHERS BURKINABE EVITEZ LA GUERRE CIVILE.IL FAUT ACCEPTER DE NEGOCIER CAR MEME SI ELLE ECLATE SA SOLUTION NE POURRA ETRE TROUVEE QUE PAR DES NEGOCIATIONS ALORS QUE BEAUCOUP DE PERSONNES SERAIENT DEJA MORTES .NE PENSEZ PAS QUE CE SERA FACILE DE NEUTRALISER AUSSI RAPIDEMENT LE GENERAL QUI BENEFICIE EN CE MOMENT DU SOUTIEN D UN AUTRE GENERAL.DE GRACE EPARGNEZ VOTRE PEUPLE D UN MASSACRE INUTILE.
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    Auteur

    Kafando

    En Septembre, 2015 (21:00 PM)
    Il se met dans la peau d'un chef d'état et c'est ou règne la confusion car à mon avis il gère une transition
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    Auteur

    Roger

    En Septembre, 2015 (21:11 PM)
    LE GENERAL A RAISON. S'IL CEDE ON VA L'ARRETER APRES AVOIR DESARMER SES COMPAGNONS
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    Auteur

    Mgueye

    En Septembre, 2015 (21:19 PM)
    il faut le mettre au Arrêt !

    c'est un bandit !

    tous cela c'est Blaise et les Français de colons !



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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (21:24 PM)
    pourquoi les acteurs de la transition ont gele les avoirs de l opposition?les accords balises par le president Maky etaient la meilleure voie pour eviter le chaos, qui vivra verra
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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (21:44 PM)
    Oiseaux de mauvaise augure arrêter de fantasmer sur le Burkina. Il n'y aura pas de chao au Burkina à cause de Diendere. Ce assassin par procuration saitt quel est le sort inévitable qui l'attend. Après avOir participé à l'assassinat de Thomas Sankara en 1987 il a fait fusiller en septembre 1989 le capitaine Henri Zongo ministre de la promotion economiquet le Comandant Lingani chef d'état major de l'armée pour un prétendu tentative de coup d'état contre Blaise qui était en visite en extrême orient. Dans sa logique il doit être fusillé. Les procédures judiciaires sont enclenchées pour le ferrer il est comme un condamné à mort dans le couloir de la mort
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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (22:02 PM)
    IL FAUT LIMOGER L'ACTUEL CEMGA ON DIRAIT QU'IL N'Y A PAS D'ARMEE REGULIERE AU BURKINA ALORS QU'ILS SONT ENVIRON 13 000 HOMMES
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    Auteur

    Anonyme-man

    En Septembre, 2015 (22:11 PM)
    Y'auras pas de Chao  :nono:  :nono: 

    s'il refuse le désarmement qu'on le dégrade du rang de général ainsi que tous ces souteneurs  :thumbsup:  :thumbsup:  :thumbsup:  Il sera désarmé tot ou tard   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/cool.gif" alt=":cool:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/cool.gif" alt=":cool:">  
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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (22:23 PM)
    Cest parce que vous les avez poussez à leur dernière retranchement. Si c'était moi je vais organiser une résitance. On n'a même pas encore fini de parler et le procureur met la main sur leurs comptes en banque c'est à partir de cette déclaration qu'il fallait attendre à la résistance du Général et de ses hommes  :jumpy2: 
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    Auteur

    Atypico

    En Septembre, 2015 (22:28 PM)
    Cette "résistance" était prévisible ; le RSP est depuis longtemps impliqué dans des centaines d'assassinats , une fois ses soldats désarmés c'est "leur immunité" promise par Macky qui va disparaître. Ce qui est étonnant et inquiétant c'est que l'armée loyaliste n'est pas été préparée à faire face militairement à cette résistance !



    Il se peut que certains Sénégalais qui sont habitués à tout négocier, à tout arranger en échange de quelques avantages matériels et qui ont vu leurs plus hautes autorités payer les rebelles du Sud pour avoir quelques temps de tranquillité illusoire en Casamance, où rien n'est réglé, croient que l'Afrique va avancer en laissant leurs institutions baisser leur pantalon devant les putschistes d'ici et d'ailleurs même lorsque leurs nouvelles victimes ne sont même pas mis en terre, en répondant favorablement à toutes leurs revendication; Ils se trompent , plus on est ferme et prêt au combat militaire avec l'appui de la population,contre les bandits et les assassins moins ces derniers vont tenter leur mauvais coups !
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    Auteur

    Sopargni

    En Septembre, 2015 (23:03 PM)
    COMPAORE ak diendiere gno RAYE THOMAS SANKARA.mo takh sen tat yi di teugg sabar.

    DIENDERE DA NGUEN KOY RAYE DIAPPE COMPAORE THOWLI DIEKH :emoshoot:  :fbhang: 

    Leppe sopargnikou

    Leppe sopargnikou

    Leppe sopargnikou

     :frustre:  :frustre:  :frustre:  :emoshoot:  :fbhang: 
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    Auteur

    Djib

    En Septembre, 2015 (00:54 AM)
    Macky a raison,si nous laissons les burkinabés,ils font ,nous créer un autre Liberia,au lieu de compter des bulletins de vote,ils vont compter des morts....

    Où va l'Afrique !!!!

    Chers Burkinabés,ayez la grandeur d’âme et sauvez le processus de paix.
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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (01:14 AM)
    Le President Mauritanien devrait faire attention a son Conseiller special Ould Merzoug ancien

    Haut Commissaire de l'OMVS. Il a laisse beaucuop de dettes au Senegal.

    La prochaine fois je reviendrais sur les details precis.

    A bon entendeur , salut !
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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (03:36 AM)
    Fous la Paix à Merzoug

    Y a plus véreux que lui dans ton Pays , le Senegal
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    Auteur

    Bakasn

    En Septembre, 2015 (06:15 AM)
    Tuez les !

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    Auteur

    Dialigue 1

    En Septembre, 2015 (06:50 AM)
    BRAVO MACKY .

    SUR CE COUP L AFRIQUE COMPRENDRA QUE VOUS AVIEZ VU JUSTE . LA PAIX DES BRAVES N EST PAS COMPARABLE À CETTE GUERRE FRATRICIDE QUI POINTE AU BURKINA .



    Bravo et merci

     :brawoo:  :brawoo:  :brawoo: 
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    Auteur

    Taxawsiggil

    En Septembre, 2015 (11:00 AM)
    Aucune Guerre fraticide ne va se dérouler. Et même si guerre, il y a , ce ne sera point fraticide.

    Ces salops ne peuvent être considérés comme des frères.

    Ces gens ont tués Sankara, tués plein de personnes depuis 1987 et vous vous parler de paix des braves !

    Ce ne sont pas des braves mais des traitres !

    Pendaison, ils méritent.

    La patrie ou la mort, nous vaincrons.

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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (14:34 PM)
    La sagesse recommande au président Sall et à notre diplomatie de se tenir désormais à distance de ce dossier. Même si la CDEAO doit s'impliquer de nouveau, que d'autres médiateurs soient désignés dans le rang de ces autres chefs d'état qui ont quasiment fragilisé sa médiation
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