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Afrique

Sept chefs d’Etat participent au sommet sur la crise au Burkina Faso

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Sept chefs d’Etat participent au sommet sur la crise au Burkina Faso
Le président en exercice de la CEDEAO, Macky Sall, et six de ses pairs de l’organisation régionale participent, mardi, à Abuja, au sommet consacré à l’examen du "projet d’accord de sortie de crise" prévu pour le Burkina Faso.
 
La réunion a démarré peu après 12h GMT (13h à Abuja), a constaté l’envoyé spécial de l’APS.


Sept autres pays de la CEDEAO sont représentés à un niveau inférieur : Cap-Vert, Gambie, Liberia, Sierra Leone, Guinée, Guinée-Bissau et Mali. 


Muhammadu Buhari a présidé la cérémonie d’ouverture du sommet, qui se tient au moment où l’armée du Burkina Faso a enjoint aux militaires putschistes de la garde présidentielle de déposer les armes.


Des soldats loyalistes sont entrés lundi soir dans la capitale, Ouagadougou, sans rencontrer de résistance, tandis que leurs chefs entamaient des discussions sur la reddition du Régiment de sécurité présidentielle (RSP), auteur du coup d’Etat de mercredi dernier.
A Abuja, Macky Sall et ses pairs vont discuter des 12 propositions du "projet d’accord" élaboré la semaine dernière à Ouagadougou, lors de consultations avec les militaires, les hommes politiques et la société civile burkinabè, à la suite du coup d’Etat survenu jeudi dernier.

 
Ce "schéma" de sortie de crise préconise le retour au pouvoir du président de la transition entamée en novembre 2014, Michel Kafando, la participation aux prochaines élections de tous les partisans de Blaise Compaoré exclus, et le retrait des militaires du gouvernement burkinabè.

 
Il propose la tenue, au plus tard le 22 novembre, des élections présidentielle et législatives prévues initialement le 11 octobre.

 
Le texte préconise aussi "la libération immédiate de toutes les violences" au Burkina Faso et l’"adoption d’une loi d’amnistie", au plus tard le 30 septembre, en faveur des auteurs du putsch.


3 Commentaires

  1. Auteur

    Mass

    En Septembre, 2015 (14:12 PM)
    Prison de Garoua:Camer.be

    CAMEROUN :: DÉTENTION ARBITRAIRE : PLAIDOYER POUR LE RESPECT DU GROUPE DE TRAVAIL ONUSIEN :: CAMEROON

    L’Association Atangana contre l’oppression et l’arbitraire (Aacoa) s’indigne à la suite des insultes proférées dans la presse sénégalaise contre le Groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations- Unies.

    Le ton est monté de plusieurs crans. L’Association Atangana contre l’oppression et l’arbitraire (Aacoa) est passée à l’offensive. Tout de go, l’Aacoa dégaine. Un extrait du communiqué parvenu à la rédaction centrale du Messager est évocateur. «Proférer des insultes au remplaçant de Malick Sow au Groupe de travail comme l’ont fait la délégation des 20 membres du Sénégal à la session du 2 septembre, est une abomination. La bienséance, le minimum, veulent qu’on ne commente pas une décision de justice. Les délibérations du Groupe de travail sont confidentielles. Les rumeurs dans la presse sénégalaise sont la preuve que ceux qui étaient là, ont voulu volontairement diffuser des informations orientées, qui ne devraient pas être divulguées sur le déroulement de la session. Avec tout ce qu’on lit aujourd’hui dans la presse sénégalaise, on se rend aisément compte que la délégation sénégalaise attaque un homme – Roland Adjovi – pour essayer d’atteindre l’institution. C’est l’Afrique qui attaque un représentant africain. C’est un réflexe tribaliste que d’aller chercher dans les origines d’un membre du Groupe de travail pour taxer une décision d’impartiale. Comment l’Afrique peut-elle se développer avec de tels arguments ? Quand la forme est attaquée, c’est que le fond ne tient pas. Les fonds publics africains ne doivent pas servir à promouvoir le tribalisme» condamne l’Aacoa.



    Pour Michel-Thierry Atangana, le renforcement des capacités de la Cour pénale internationale, qui est «seule garante de l’indépendance des juridictions quand les nationales sont défaillantes, est un impératif. On l’a vu dans l’affaire Michel-Thierry Atangana. Le ministre de la Justice donner des ordres, exploser la collégialité des juges le jour du délibéré». Dans l’avis n° 38/2013 concernant Michel-Thierry Atangana, les trois catégories de la détention arbitraire sont visées. « On a vu le président camerounais commenter et analyser une décision de justice devant son homologue français. Est-ce le rôle d’un président de la République que de commenter une décision de justice ?» s’interroge-t-il.



    Pour conclure, une Afrique moderne, se doit de renforcer les capacités de la justice. La Cour pénale internationale sur les cas de crimes collectifs, la section spécialisée des Nations- Unies qu’est le Groupe de travail, mérite une attention, un respect de tous les Etats signataires du Pacte international sur les droits civils et politiques, la Charte des Nations-Unies dont les termes sont contenus dans le bloc constitutionnel de tous les Etats africains. « Evoquer la souveraineté chaque fois qu’une décision de justice ne nous est pas favorable est profondément choquant. On ne peut pas être membre des Nations Unies seulement quand cela nous arrange. On ne peut pas revendiquer où juger Hissène Habré quand cela nous arrange, et détenir arbitrairement un citoyen au Sénégal comme ce fut le cas pour Michel-Thierry Atangana pendant 17 ans au Cameroun. Il faut promouvoir le Groupe de travail qui défend les cas particuliers» soutient l’ex-pensionnaire de la prison secondaire de Yaoundé logée au secrétariat d’Etat à la gendarmerie
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  2. Auteur

    Mansawali Walimansa Presidium

    En Septembre, 2015 (14:30 PM)
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    LA MISSION POLITIQUE ET DIPLOMATIQUE ASSIGNée A TOUT CE BEAU MONDE DE LACEDEAO C'EST BIEN SÛR DE FAIRE DE TELLE SORTE QUE LA BELLE ET NOBLE REPUBLIQUE DU BURKINA SASO NE VERSE PAS DANS UN BAIN DE SANG INUTILE AU REGARD DES ENBJEUX DE LA TRANSITION DEMOCRATIQUE DEJA EN ROUTE VERS LA PAIX AVEC LE PLAN PRESENTé PAR LE PRESIDENT MACKY SALL



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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2015 (15:18 PM)
    On ne dit jamais " Republique de Burkina Faso " mais juste Burkina Faso

    Cessez egalement d écrire " Empire du Japon "

    On dit " le Japon "

    Ouf !
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