Au cours d’un atelier de partage sur le devenir des centres de gestion de l’économie rurale de la vallée, le Secrétaire général Assane Kâne, chargé de coordonner les activités de ces structures, a révélé que le taux de recouvrement des services facturés aux organisations paysannes membres de ces Cger, est de 70, 86 %.
En présence du directeur de l’Agence régionale de la Cncas, Cheikh Ndiaye, de l’ingénieur délégué de la Saed de Dagana, Alassane Bâ, du président du conseil d’administration de ces des centres de gestion de l’économie rurale (Cger) de la vallée, Amadou Thiaw, du coordonnateur du projet 3Prd/Saed, Sora Fall, Assane Kâne a précisé que le montant des impayés est estimé globalement à 72.324.780 de FCfa. Il a insisté sur la nécessité de tout mettre en œuvre pour une amélioration du recouvrement par la sécurisation des cotisations.
Assane Kane a rappelé que les Cger constituent un réseau associatif de comptabilité et de conseil de gestion au Sénégal, qui intervient actuellement dans la vallée du fleuve. Il a été mis en place en 2004 grâce à l’appui technique et financier de l’Etat à travers la Saed, de l’Agence française de développement (Afd) et des Organisations professionnelles agricole (Opa). Les activités de ces centres de gestion tournent essentiellement autour du suivi des organisations paysannes en comptabilité et en conseil de gestion, de la formation des producteurs membres, de travaux d’analyses économiques, de l’appui (conseil dans la gestion de l’exploitation familiale).
Les Cger aident et assistent régulièrement les unions hydrauliques dans l’élaboration et le suivi des budgets de campagne, des plans de trésorerie, de la réalisation des bilans de fin de campagne et de la production des états financiers en fin d’année. Ces centres de gestion, a-t-il indiqué, encadrent, dans le département de Dagana, 604 organisations paysannes et 391 dans le département de Podor. Ils aident aussi les organisations paysannes à élaborer des expressions de besoins de financements pour les différentes campagnes de production agricole, à suivre l’utilisation du crédit (situation globale et individuelle, fiche individuelle de créance), à suivre les opérations de remboursement du crédit, à établir des bilans de fin de campagne.
Le représentant de la Cncas, Cheikh Ndiaye, a réaffirmé la volonté de sa structure de poursuivre cette étroite collaboration entre les cger de la vallée, la saed, l’Afd et les organisations paysannes. Il a rappelé que la Cncas est membre de ces Cger et ne ménagera aucun effort pour aider ces structures à être autonomes financièrement, en vue de mieux encadrer les producteurs de la vallée dans la gestion financière de leurs activités agricoles.
M. Ndiaye, après avoir mis en exergue l’importance de ces Cger qui mettent régulièrement à la disposition de la Cncas des informations financières correctes, relatives au suivi des campagnes agricoles, de l’utilisation du crédit, au suivi du remboursement du crédit, a réitéré l’engagement indéfectible de la direction générale de la Cncas à organiser incessamment une grande séance de travail avec les responsables de ces Cger et autres partenaires.
Selon lui, celle-ci permettra de réfléchir ensemble sur les voies et moyens à mettre en œuvre pour apporter les solutions les plus adéquates à l’ensemble des problèmes auxquels sont confrontés les Cger.
Mbagnick Kharachi DIAGNE
En présence du directeur de l’Agence régionale de la Cncas, Cheikh Ndiaye, de l’ingénieur délégué de la Saed de Dagana, Alassane Bâ, du président du conseil d’administration de ces des centres de gestion de l’économie rurale (Cger) de la vallée, Amadou Thiaw, du coordonnateur du projet 3Prd/Saed, Sora Fall, Assane Kâne a précisé que le montant des impayés est estimé globalement à 72.324.780 de FCfa. Il a insisté sur la nécessité de tout mettre en œuvre pour une amélioration du recouvrement par la sécurisation des cotisations.
Assane Kane a rappelé que les Cger constituent un réseau associatif de comptabilité et de conseil de gestion au Sénégal, qui intervient actuellement dans la vallée du fleuve. Il a été mis en place en 2004 grâce à l’appui technique et financier de l’Etat à travers la Saed, de l’Agence française de développement (Afd) et des Organisations professionnelles agricole (Opa). Les activités de ces centres de gestion tournent essentiellement autour du suivi des organisations paysannes en comptabilité et en conseil de gestion, de la formation des producteurs membres, de travaux d’analyses économiques, de l’appui (conseil dans la gestion de l’exploitation familiale).
Les Cger aident et assistent régulièrement les unions hydrauliques dans l’élaboration et le suivi des budgets de campagne, des plans de trésorerie, de la réalisation des bilans de fin de campagne et de la production des états financiers en fin d’année. Ces centres de gestion, a-t-il indiqué, encadrent, dans le département de Dagana, 604 organisations paysannes et 391 dans le département de Podor. Ils aident aussi les organisations paysannes à élaborer des expressions de besoins de financements pour les différentes campagnes de production agricole, à suivre l’utilisation du crédit (situation globale et individuelle, fiche individuelle de créance), à suivre les opérations de remboursement du crédit, à établir des bilans de fin de campagne.
Le représentant de la Cncas, Cheikh Ndiaye, a réaffirmé la volonté de sa structure de poursuivre cette étroite collaboration entre les cger de la vallée, la saed, l’Afd et les organisations paysannes. Il a rappelé que la Cncas est membre de ces Cger et ne ménagera aucun effort pour aider ces structures à être autonomes financièrement, en vue de mieux encadrer les producteurs de la vallée dans la gestion financière de leurs activités agricoles.
M. Ndiaye, après avoir mis en exergue l’importance de ces Cger qui mettent régulièrement à la disposition de la Cncas des informations financières correctes, relatives au suivi des campagnes agricoles, de l’utilisation du crédit, au suivi du remboursement du crédit, a réitéré l’engagement indéfectible de la direction générale de la Cncas à organiser incessamment une grande séance de travail avec les responsables de ces Cger et autres partenaires.
Selon lui, celle-ci permettra de réfléchir ensemble sur les voies et moyens à mettre en œuvre pour apporter les solutions les plus adéquates à l’ensemble des problèmes auxquels sont confrontés les Cger.
Mbagnick Kharachi DIAGNE
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Anonyme
En Janvier, 2016 (05:23 AM)Participer à la Discussion