« Toutes les dépenses et renoncement des recettes fiscales sont étudiés. Et les exonérations fiscales sont presque égales au déficit budgétaire », précise-t-il.
« Dans un rapport que j’ai reçu ce matin, ajoute-t-il, le renoncement fiscal s’élève à 11 milliards dont 4 milliards pour les industries chimiques. La fiscalité est aussi un instrument de politique économique. Tous les ministres de l’Economie et des Finances de Pétavin à Amadou Bâ ont recours à cette politique d’exonération fiscale. C’est une procédure encadrée par la loi ».
« Dans un rapport que j’ai reçu ce matin, ajoute-t-il, le renoncement fiscal s’élève à 11 milliards dont 4 milliards pour les industries chimiques. La fiscalité est aussi un instrument de politique économique. Tous les ministres de l’Economie et des Finances de Pétavin à Amadou Bâ ont recours à cette politique d’exonération fiscale. C’est une procédure encadrée par la loi ».
9 Commentaires
Anonyme
En Janvier, 2016 (09:44 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (09:51 AM)Anonyme1
En Janvier, 2016 (09:53 AM)Ndeysannant
En Janvier, 2016 (10:39 AM)Cobar
En Janvier, 2016 (11:34 AM)Sémou
En Janvier, 2016 (11:45 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (12:01 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (13:17 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (18:56 PM)Les services de Mr le Ministre devraient publier les chiffres de 2014 et 2015, les affecter clairement et les justifier et en faire l’analyse avantage/coût par souci de transparence car les sommes en jeu sont colossales et les retombées (attirer les IDE et les investissements privés productifs, créer de la croissance et de l’emploi, etc.) ne sont pas toujours au rendez vous pour la collectivité nationale d'autant que cet argent pourrait, s’il était récupéré, aider à financer le développement.
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