En dehors des entités déclarantes de l’administration ou du secteur financier, d’autres structures comme par exemple les casinos, les établissements de jeu, les agences immobilières ou les organismes à but non lucratif sont sur la ligne de mire de la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF). C’est la révélation faite par Waly Ndour, président de cette structure de lutte contre le blanchiment de capitaux au Sénégal.
Pour l’heur, « la CENTIF a eu des discussions fructueuses avec les responsables de plusieurs services de différents ministères qui pourraient remplir ces missions » parce que pour lui, « si ces entreprises se comportent de la sorte, c’est parce qu’il y a d’une part l’inexistence de supervision de ces entités, et d’autre part, l’absence de contrôle du respect de leurs obligations en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux »
Pour réussir sa mission, « un projet de décret portant désignation des organes de contrôle et de supervision des assujettis du secteur non financier en général sera prochainement soumis aux autorités », a-t-il appris, avant d’annoncer l’implication de l’Union européenne dans la lutte contre le blanchiment de capitaux.
« D'ores et déjà, l’Union européenne, à travers le deuxième Devis programme et la Banque mondiale, grâce au Projet bonne gouvernance économique gérée par la Cellule d’exécution administrative et financière (Cedaf) du ministère de la Justice ont bien voulu accepter de prendre en charge les dépenses liées à l’élaboration, par des experts nationaux et étrangers de manuels de procédures et de lignes directes destinées à ces différents groupes d’assujettis et aux autorités de contrôle ainsi que les charges afférentes à leurs formations en 2017 », lit-on dans le message qui accompagne ce rapport.
Tapa TOUNKARA
Pour l’heur, « la CENTIF a eu des discussions fructueuses avec les responsables de plusieurs services de différents ministères qui pourraient remplir ces missions » parce que pour lui, « si ces entreprises se comportent de la sorte, c’est parce qu’il y a d’une part l’inexistence de supervision de ces entités, et d’autre part, l’absence de contrôle du respect de leurs obligations en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux »
Pour réussir sa mission, « un projet de décret portant désignation des organes de contrôle et de supervision des assujettis du secteur non financier en général sera prochainement soumis aux autorités », a-t-il appris, avant d’annoncer l’implication de l’Union européenne dans la lutte contre le blanchiment de capitaux.
« D'ores et déjà, l’Union européenne, à travers le deuxième Devis programme et la Banque mondiale, grâce au Projet bonne gouvernance économique gérée par la Cellule d’exécution administrative et financière (Cedaf) du ministère de la Justice ont bien voulu accepter de prendre en charge les dépenses liées à l’élaboration, par des experts nationaux et étrangers de manuels de procédures et de lignes directes destinées à ces différents groupes d’assujettis et aux autorités de contrôle ainsi que les charges afférentes à leurs formations en 2017 », lit-on dans le message qui accompagne ce rapport.
Tapa TOUNKARA
3 Commentaires
Anonyme
En Décembre, 2015 (21:29 PM)Evidence
En Décembre, 2015 (09:52 AM)Les Casino de Vegas, de Cuba étaient,par exemple, les machines à laver de la mafia ....
C'est pourquoi le ministère de l'Intérieur est partie prenante du deal
Desemapare
En Décembre, 2015 (10:15 AM)Participer à la Discussion