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Economie

Résumé de l'actualité économique internationale du vendredi 8 août 2014

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Résumé de l'actualité économique internationale du vendredi 8 août 2014

-NEW YORK- Les cours du pétrole coté à New York ont terminé en hausse vendredi, portés par la montée des tensions en Irak, gros producteur d'or noir, où les Etats-Unis se sont directement impliqués en bombardant des positions d'insurgés. Le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en septembre s'est adjugé 31 cents sur le New York Mercantile Exchange (Nymex) pour s'établir à 97,65 dollars. Le marché a fortement réagi après l'annonce tard jeudi du feu vert de Barack Obama à des frappes aériennes en Irak, deuxième producteur de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole. Le sort dramatique des minorités dans le nord du pays a poussé le président américain à autoriser ces frappes aériennes pour éviter un génocide et contrer l'avancée des jihadistes de l'Etat islamique (EI) qui ne sont désormais qu'à une quarantaine de kilomètres d'Erbil, la capitale de la région autonome du Kurdistan, allié de Washington. Les États-Unis se sont ainsi directement impliqués dans ce pays pour la première fois depuis le retrait de leurs troupes en 2011, en bombardant vendredi des positions des insurgés menaçant le Kurdistan irakien et des milliers de chrétiens et Yazidis en fuite. Jusqu'à encore récemment, l'Opep plaçait beaucoup d'espoir dans l'Irak, qui devait prendre en charge les deux tiers des hausses à venir de la production du cartel, mais le pays glisse vers le chaos, ont relevé les experts de Commerzbank.


-DAKAR-Les ressources mobilisées cumulées de l’Etat sénégalais à fin juin 2014 sont évaluées à 837,5 milliards FCFA (environ 1,675 milliard de dollars), indique vendredi une note de la Direction de la prévision et des études économiques (DPEE). Par rapport au mois de mai 2014 où elles s'élevaient à 655,5 milliards FCFA, ces ressources ont enregistré une hausse de 27,76%. Elles sont constituées essentiellement des recettes budgétaires pour 764,1 milliards et des dons estimés provisoirement à 72,9 milliards. ‘'La hausse des ressources est tirée essentiellement par les recettes budgétaires (hors Fonds de soutien au secteur de l'énergie (FSE) et les dons qui ont enregistré des hausses respectives de 50,8 milliards FCFA et 20,6 milliards FCFA en glissement annuel'', explique la DPEE.  Elle ajoute que l'accroissement des recettes budgétaires (hors FSE) (plus 7,1%) résulte de la performance des recouvrements au titre de la TVA intérieure hors pétrole (103,1 milliards), de l'impôt sur les sociétés (121,4 milliards), de l'impôt sur le revenu (113,1 milliards), de l'Impôt sur le revenu des valeurs mobilière (18,8 milliards) et des droits d'enregistrements (19,9 milliards), en hausse respectivement de 9,3%, 5,6%, 4,8%, 37,2% et 13,1%. En revanche, cette performance a été atténuée par la diminution du recouvrement des recettes douanières qui ressortent à 235,4 milliards FCFA, (moins 4,4%). Quant aux dons, ils sont évalués à 72,9 milliards FCFA à fin juin 2014 et se répartissent en dons budgétaires (pour 15,8 milliards dont 14 milliards reçus du Canada et 1,8 milliard du Luxembourg) et en dons en capital pour un montant estimé à 57,1 milliards FCFA.


-LONDRES- La Bourse de Londres continuera à être sensible au contexte géopolitique tendu la semaine prochaine et se penchera également sur le rapport trimestriel sur l'inflation, très attendu, de la Banque d'Angleterre. Durant la semaine écoulée, l'indice FTSE-100 des principales valeurs a perdu 1,67% pour terminer vendredi à 6567,36 points. Le marché a connu un accès de faiblesse en fin de semaine en raison des risques géopolitiques, avec le renforcement des tensions autour de la Russie et de l'Irak. "Avec les banquiers centraux qui s'envolent pour leurs vacances d'été, il y aura comme un vide ces prochaines semaines. Par conséquent, ce sont les évolutions géopolitiques qui devraient donner le ton", estiment les analystes d'ING. Au Royaume-Uni, le marché surveillera particulièrement les publications macro-économiques, tandis que le gros de la saison des résultats d'entreprises est déjà passé. Le rapport trimestriel de la Banque d'Angleterre (BoE) sur l'inflation (mercredi) aura une importance toute particulière, puisque les observateurs s'attendent désormais à un début de resserrement monétaire à la fin de l'année ou au début de 2015.


-PARIS- Les taux d'emprunt de l'Allemagne et de la France ont évolué dans de faibles marges vendredi, après avoir atteint de nouveaux plus bas en début de séance, dans un contexte géopolitique toujours très lourd. A 18H00, le taux à 10 ans de l'Allemagne, qui évolue en sens inverse de la demande, s'est établi à 1,053%, contre 1,062% jeudi à la clôture sur le marché secondaire, où s'échange la dette déjà émise. Il est descendu jusqu'à 1,023% en séance, marquant un nouveau plus bas historique. De même, le taux de la France a terminé à 1,458% (contre 1,488%), touchant dans la journée le record de 1,441%. Les rendements des deux pays ont ainsi battu leurs précédents plus bas historiques qu'ils avaient établis la veille. "La géopolitique, avec l'Ukraine et l'Irak, est ce qui détermine le comportement des marchés", souligne René Defossez, stratégiste obligataire chez Natixis.


-ABIDJAN-La Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) a clôturé sa séance du vendredi 8 août 2014 en hausse par rapport à la séance précédente. L’indice BRVM 10 est passé de 255,20 à 255,89 points, soit une progression de 0,27%. L’indice BRVM Composite, pour sa part, a gagné 0,31% à 241,84 points contre 241,09 précédemment. La valeur des transactions s’est établie à 1,03 milliard de FCFA contre 379,73 millions de FCFA le mercredi dernier. La capitalisation boursière du marché des actions se chiffre à 5 871,99 milliards de FCFA. Celle du marché obligataire s’élève à 1 267,70 milliards de FCFA. Le titre le plus actif en volume est Ecobank Transnational Incorporated TG avec 2 876 749 actions échangées. Le titre le plus actif en valeur est PALM CI avec 335,59 millions de FCFA de transactions.


-ROME- Les compagnies aériennes Etihad Airways et Alitalia ont signé vendredi après de longs mois de négociations un accord d'alliance prévoyant l'entrée d'Etihad au capital d'Alitalia, permettant à l'une d'échapper à une très probable faillite et à l'autre d'asseoir sa position en Europe. L'accord, qui a été précédé de longues et tumultueuses tractations et sur lequel le doute a plané jusqu'au dernier moment, a été signé à Rome par les patrons des deux groupes, James Hogan pour Etihad et Gabriele Del Torchio pour Alitalia. "Nous avons réussi, au bout d'un an de travail, tant de fatigue et tant de nuits", a déclaré M. del Torchio au moment de la signature. "C'est un moment très important. Mon objectif était de mettre Alitalia en sécurité", a-t-il souligné lors d'une conférence de presse, expliquant que ses premiers contacts avec Abou Dhabi remontaient à il y a tout juste un an. M. Hogan de son côté a confirmé que Etihad "croyait en Alitalia, une grande marque avec un énorme potentiel". "Avec une bonne capitalisation et un bon plan stratégique, nous sommes confiants que la compagnie peut être remise sur pied et repositionnée une nouvelle fois comme compagnie globale de premier choix". Dans le détail, l'accord prévoit un investissement total de 1,758 milliard d'euros en plusieurs tranches, ont précisé les deux groupes dans un communiqué.


-LONDRES- Le café a repris le chemin de la baisse cette semaine, après avoir nettement grimpé la semaine précédente, tandis que le cacao atteignait des sommets en trois ans et que le sucre accentuait son recul. Les cours du café sont repartis en nette baisse cette semaine, la tonne de robusta tombant même vendredi à Londres à 1934 dollars, son niveau le plus faible en neuf semaines. Certains investisseurs ont en effet choisi d'engranger quelques bénéfices après la hausse enregistrée la semaine précédente qui avait vu l'arabica monter à son plus haut niveau depuis trois mois, à 207,40 cents la livre, et le robusta à un plus haut depuis mi-mai, à 2.139 dollars la tonne. Les cours avaient été portés ces dernières semaines par des inquiétudes sur la production du Brésil (le premier producteur de café au monde) affectée par une sécheresse en début d'année. Cependant, les cours pourraient rapidement reprendre le chemin de la hausse. "Le potentiel pour de grosses pertes de production au Brésil cette saison est bien réel, et les courtiers commencent en plus à s'inquiéter pour la production de la saison suivante car des pluies inhabituelles pour la saison ont touché les régions caféières du sud du pays", a prévenu Jack Scoville, analyste chez Price Futures Group. Les cours du cacao ont marqué de nouveaux plus hauts en trois ans cette semaine, la fève brune atteignant vendredi 2015 livres sterling la tonne à Londres (sur le nouveau contrat le plus échangé, celui pour livraison en décembre), au plus haut depuis mi-juillet 2011, et 3230 dollars la tonne (également pour livraison en décembre) à New York, un sommet depuis le 20 juillet 2011. "Les prix du cacao continuent de tenir des niveaux élevés alors que la forte demande de beurre de cacao fait que les concasseurs restent très occupés", ont expliqué les analystes de Citi, pour qui les cours devraient continuer sur leur lancée alors que la saison 2014 devrait être marquée par un déficit de l'offre par rapport à la demande. "S'il n'y a pas de problèmes économiques majeurs, la consommation va continuer à grimper et maintenir les prix à un niveau élevé, ce qui va se traduire par un marché bien plus sensible aux conditions météorologiques que par le passé", a-t-on prévenu chez Citi.


-CHICAGO-Les cours du blé ont rebondi cette semaine à Chicago, soutenus par les tensions autour de la crise ukrainienne et les problèmes de qualité en Europe, entraînant dans leur sillage les prix du maïs et du soja. "Pour une fois c'est le marché du blé qui a dominé les échanges", souligne Michael Zuzolo Global Commodity Analytics and Consulting. Les investisseurs sont restés très attentifs à l'évolution de la crise entre l'Ukraine et la Russie, responsables à eux deux d'un cinquième des exportations mondiales de blé. Si le conflit devait entraver fortement leurs ventes à l'étranger, les acheteurs pourraient se tourner plus amplement vers le blé américain. D'autant que la production de la céréale en France, et dans une moindre mesure en Allemagne, a été fortement affectée par les fortes pluies de juillet, entraînant des interrogations sur la qualité de leur blé. Les autorités russes ont toutefois assuré que la suspension des importations de nombreux produits agroalimentaires en provenance d'Europe et d'Amérique du nord, décidée en riposte aux sanctions économiques adoptées par ces régions contre Moscou, n'affecterait pas les exportations du blé produit en Russie, où la récolte s'annonce abondante. Pour l'instant "les exportations américaines stagnent", relève Dewey Strickler de Ag Watch Market Advisors. Aussi les cours de la céréale sont-ils repartis à la baisse jeudi et vendredi, limitant leur progression sur la semaine. Sur le marché du maïs, les prix ont rebondi après être descendus lundi en début de séance jusqu'à 3,61 dollars le boisseau, au plus bas depuis 2010. "A ce niveau, même les plus pessimistes deviennent prudents", note Dewey Strickler. "Si on parvient à clôturer au-dessus de 3,6250 dollars, il s'agira de la première hausse hebdomadaire depuis la semaine ayant clôturé le 20 juin", remarque-t-il.


-LONDRES- L'or a rebondi cette semaine, prisé pour ses qualités de valeur refuge face à l'aggravation des conflits en Ukraine, à Gaza et en Irak, tirant quelque peu les autres métaux précieux dans son sillage. "Les nombreuses crises géopolitiques vont continuer de soutenir le cours de l'or, au moins à court terme", ont souligné les économistes de Commerzbank. Le métal jaune n'avait pas réussi à profiter au mois de juillet de l'aversion au risque croissant parmi les intervenants du marché, mais la situation a changé au fur et à mesure de l'accroissement des tensions cette semaine. Les sanctions réciproques entre Russes et Occidentaux, la rupture vendredi du cessez-le-feu entre le Hamas et Israël à Gaza et le feu vert donné par le président américain Barack Obama à des frappes aériennes en Irak contre les jihadistes de l'État islamique (EI) ont poussé jusqu'aux investisseurs les plus téméraires vers des rivages plus sûrs. L'or a en conséquence pu remonter vendredi à son plus haut niveau depuis trois semaines (à 1322,92 dollars l'once). Les autres métaux précieux ont suivi le mouvement de façon atténuée et avec un temps de retard. L'argent a ainsi pu rebondir de son faible niveau de mercredi, le plus bas depuis sept semaines (à 19,73 dollars l'once). Le platine s'est aussi repris après être tombé mardi dans des gouffres inconnus depuis six semaines (à 1449 dollars l'once). Le palladium a lui aussi récupéré quelques couleurs après avoir chuté le même jour à son plus bas niveau depuis plus de cinq semaines (à 839,40 dollars l'once). Outre les problèmes géopolitiques, l'or a profité des craintes d'un certain retour de l'inflation aux États-Unis, un phénomène contre lequel les investisseurs peuvent chercher à se protéger en achetant du métal jaune. "Il y a toutefois encore de nombreux obstacles qui empêchent l'or de monter davantage, et le seuil de 1320 dollars risque de poser problème comme à la fin juin", a prévenu Brenda Kelly, de la maison de courtage IG.


-BRASILIA- La hausse des prix à la consommation a nettement ralenti en juillet au Brésil, revenant à 0,01% en juillet au Brésil, la plus faible hausse depuis 2010, mais s'établit à 6,5% sur les 12 derniers mois, le plafond fixé par le gouvernement, a indiqué vendredi l'Institut brésilien de géographie et statistiques (IBGE, public). Les autorités brésiliennes aspirent à ramener l'inflation à 4,5% sur 12 mois et ont fixé le plafond de tolérance à 6,5%. En juin l'inflation avait été de 0,4% et avait dépassé ce plafond, s'établissant à 6,52% sur les 12 derniers mois. En juillet 2013, la hausse des prix avait été de 0,03%. Depuis le début de cette année, elle atteint 3,76%. Le ralentissement de l'inflation en juillet provient essentiellement des transports (-0,98%). Les prix des aliments et des boissons, qui avaient entraîné les prix à la hausse l'an dernier, sont en recul pour le quatrième mois consécutif et de 0,15% en juillet. La Banque centrale du Brésil persite à affirmer que l'inflation en 2014 sera inférieure au plafond de 6,5% et prévoit qu'elle s'établira à 6,40%, alors que le marché table sur 6,46%. L'année dernière, elle avait atteint 5,9%.


-LONDRES- L'euro montait un peu face au dollar vendredi et les deux devises pliaient face au yen, dans un marché ébranlé par l'annonce par le président américain Barack Obama qu'il autorisait des frappes aériennes en Irak. Vers 13H00 GMT, la monnaie unique européenne valait 1,3394 dollar, contre 1,3363 dollar la veille au soir. Elle était tombée mercredi jusqu'à 1,3333 dollar, son niveau le plus faible en neuf mois. L'euro tentait de se reprendre face à la monnaie nippone, à 136,53 yens - après être tombé vers 02H15 GMT à 135,73 yens, son niveau le plus faible depuis fin novembre 2013 - contre 136,42 yens jeudi. Le dollar baissait face à la devise japonaise, à 101,93 yens pour un dollar contre 102,09 yens la veille. Le yen montait en raison d'un "regain d'aversion au risque lié à la perspective d'une intervention américaine en Irak qui a accentué l'anxiété qui régnait déjà sur le marché du fait de la crise en Ukraine", commentait Derek Halpenny, analyste chez Bank of Tokyo-Mitsubishi UFJ. En période d'incertitudes, les investisseurs se tournent traditionnellement en masse vers la monnaie nippone, ainsi que vers l'or, qu'ils considèrent comme les valeurs les plus sûres. Le président des États-Unis Barack Obama a annoncé jeudi qu'il avait autorisé des parachutages humanitaires en Irak et, si nécessaire, des frappes aériennes ciblées contre les jihadistes pour éviter un "génocide" des minorités menacées par les extrémistes sunnites de l'État islamique (EI). Les tensions géopolitiques mondiales ont ainsi noyé l'impact de la réunion jeudi de la Banque centrale européenne (BCE). Lors d'une conférence de presse suivant l'annonce d'un statu quo monétaire, le président de la BCE Mario Draghi "n'a rien fait pour surprendre les marchés en maintenant un discours cohérent et en n'annonçant rien de nouveau", commentait Angus Campbell, analyste chez FxPro. L'institution a, comme prévu par de nombreux analystes, maintenu son principal taux directeur inchangé à 0,15%, son plus bas niveau historique, auquel il avait été porté en juin. La BCE avait déjà dévoilé il y a deux mois un vaste arsenal d'outils destiné à soutenir le crédit et la croissance dans la région, avec l'espoir, par ricochet, de faire redécoller l'inflation.


-VIENNE-La demande mondiale de brut devrait croître légèrement moins vite en 2014 que précédemment estimé, a estimé vendredi l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) dans son rapport mensuel. Le cartel, qui pompe environ un tiers du brut mondial, laisse toutefois inchangée sa prévision de hausse de la demande en 2015, soit 1,21 mio de barils par jour (mbj) par rapport à 2014. Pour 2014, l'Opep table désormais sur une hausse de la demande de 1,10 mbj, contre 1,13 mbj estimés au début de l'été. Cette légère révision à la baisse est attribuée par l'Opep à "la performance (économique) moins bonne qu'attendu" au deuxième trimestre de cette année des pays riches de l'Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE). L'Opep a estimé en juillet que les pays de l'OCDE connaîtront en 2015 une croissance de leur demande de brut "pour la première fois depuis 2010", tout en soulignant que la hausse restera portée avant tout par les pays émergents et par la Chine.





4 Commentaires

  1. Auteur

    Irak Ndao

    En Août, 2014 (21:31 PM)
    Les autorités sénégalaises doivent faire des controles pour vérifier si certaines personnes qui parlent de religion ne se droguent pas ou ne boivent pas un peu trop avant de faire leur preche , il y a trop de laisser aller et trop ne non dits , il faut arreter faire certaines promotions à des gens pour éviter des dérapages
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  2. Auteur

    Re

    En Août, 2014 (01:50 AM)
    Tres bonne rubrique .. :up:  :up: 
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    Auteur

    Zerohedge

    En Août, 2014 (06:54 AM)
    Le Ministere de L'emploi a annonce une hausse de la productivite de 2,5% au deuxieme trimestre mars-juin alors qu'elle avait connue une baisse de 4,5% au premier trimestre janvier-mars. C'est quand une ecart non negligeable de 7% en trois mois.

    Le changement du system de base de la notation de credit des particuliers est une bonne chose pour l'economie americaine. En effet un changement des criteres qui affectent de score du credit d'un particulier -FICO score-(par exemple si quelqu'un decide de payer ses dettes qui etaient deja assignees a une agence de collection ne sera plus penalise) pourrait aider beaucoup de menages americains a etre eligible pour des prets au logement a des conditions meilleures. C'est a dire de beneficier de taux d'interet faible.Ce Fico score est utilise par les banques pour accorder des credits (pour acheter un logement, une voiture, ...etc).

    Un autre element qui a contribue a la hausse des cours est le faible volume des transactions. Cela dit la volatilite des cours va continuer pour le mois d'aout a cause des evenements geopolitiques qui sont sources d'incertitudes suffisantes pour peser sur la psychologie des investisseurs. Il y a una adage bien connu pour resumer ce phenome "buy the dips" and "sell the rally".
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    Auteur

    Fans

    En Août, 2014 (09:30 AM)
    aucun financier ne perdra son temps a analyser l economie de l umoa car celle ci n a pas une banque centrale dans le sens vrai du mot ,, le bceao n est qu une agence de la banque de france qui gere les devise de l umoa ,, parconsequent la bceao n est utile que pour payer ses fonctionnaires .. elle n intervient pas sur les cotation ne peut jouer aucun role regulateur son role c est de gerer la masse monetaire de l umoa ne peut pas intervenir sur le martche financier international par ce que sa monnaie n est pas cotee 1 frac = 665.99 euro quelle humiliation c est a dire 656 travailleurs des 8 pays de l umoa equivalent a un travailleur europeen ... quelle humilation?
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