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Economie

Résumé de l’actualité économique internationale du vendredi 1er août 2014

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Résumé de l’actualité économique internationale du vendredi 1er août 2014


-BRUXELLES-Les normes de paiement européennes Sepa sont entrées en vigueur vendredi dans les pays de la zone euro. Elles vont permettre de raccourcir les délais des virements bancaires (à J+1) et de mieux protéger les débiteurs lors des prélèvements. Le passage aux normes Sepa (pour Single Euro Payments Area) vise à harmoniser les moyens de paiement à l'intérieur de l'Union européenne en utilisant des numéros de comptes bancaires unifiés (Bic et Iban) pour les virements et prélèvements. "Dans tous les pays de la zone euro, les citoyens disposent désormais d'un moyen simple et commun de payer chez eux ou au-delà de leurs frontières", s'est félicité le commissaire européen en charge des services financiers, Michel Barnier, y voyant "un bénéfice pour toutes les économies européennes". Le nouveau système de paiement européen devait initialement entrer en vigueur le 1er février, mais au vu du retard pris dans certains pays, dont la France, l'UE avait allongé ce délai de six mois. "Il y a encore six mois, la part des paiements au format Sepa était bien plus basse. L'allongement de la période de transition a eu l'effet escompté: accorder du répit tout en maintenant la pression pour continuer la migration" vers les nouvelles normes, a souligné Michel Barnier.


-LONDRES- L'or et les autres métaux précieux ont décliné cette semaine, emportés notamment par un net renforcement du dollar sur fond d'optimisme sur l'économie américaine, et ce malgré les tensions géopolitiques persistantes. "Le prix de l'or n'arrive pas à profiter d'une plus grande aversion au risque parmi les intervenants du marché, glissant temporairement sous les 1280 dollars l'once (vendredi) matin", ont souligné les économistes de Commerzbank. Le métal jaune est en effet tombé vendredi à son plus bas niveau depuis sept semaines, à 1279,30 dollars l'once, entraînant les autres métaux précieux dans son sillage.
L'argent a également marqué vendredi un plus bas en sept semaines (à 20,28 dollars l'once) tandis que le platine est tombé le même jour à son minimum depuis cinq semaines (1454,25 dollars l'once). Le palladium a quant à lui reculé jusqu'à un plus bas en deux semaines (à 865,05 dollars l'once). "La chute du prix (de l'or) a en partie été due à la très faible inflation dans la zone euro, qui est tombée à 0,4% en juillet, soit son plus bas niveau depuis octobre 2009", a-t-on expliqué chez Commerzbank. L'or est notamment utilisé par les investisseurs comme une valeur refuge contre une forte hausse (ou la perspective d'une importante hausse) de l'inflation.


-ABIDJAN-La Direction générale du trésor et de la comptabilité publique (Dgtcp), a raflé le prix de la meilleure administration publique, pour la deuxième fois d’affilée, à l’occasion de la Journée nationale de l’Excellence, célébrée, vendredi, en présence du Chef de l’Etat, Alassane Ouattara. Et de deux pour cette régie financière ! Après 2013, l'édition 2014 de la journée nationale d'Excellence a consacré le Trésor comme meilleure administration publique de l'année.
Une récompense qui intervient, juste après l'éclatant succès de l'Eurobond lancé par la Côte d'Ivoire sur le marché financier international et dont la Dgtcp est l'un des principaux acteurs.


-DAKAR-Le bénéfice du groupe Ecobank a connu une hausse de 15% au premier semestre 2014 comparé au premier semestre 2013. Ce bénéfice est passé de 85,490 milliards FCFA au 30 juin 2013 à 93,391 milliards FCFA au 30 juin 2014, soit une augmentation de 7,901 milliards FCFA (1 FCFA équivaut à 0,0020 dollar). « Nous sommes tout à fait satisfaits de ces bons résultats du premier semestre, qui traduisent les améliorations opérationnelles que nous avons apportées à l'ensemble des activités », a indiqué Albert Essien, Directeur général du groupe. Selon lui, la priorité donnée à l'efficacité a permis de diminuer encore le coefficient d'exploitation et d'enregistrer une croissance de 27 % du résultat avant impôt à 122,243 milliards FCFA contre 100,572 milliards FCFA durant le premier semestre 2013. Il en est de même du résultat d'exploitation qui s'établit à 122,255 milliards FCFA (plus 27%). Le produit net bancaire (équivalent du chiffre d'affaires pour une entreprise ordinaire) a connu une croissance de 14%, passant de 472,799 milliards FCFA en juin 2013 à 513,609 milliards FCFA en juin 2014. Quant aux charges d'exploitation, elles ont été relativement maîtrisées n'évoluant que de 9% à 349 milliards FCFA contre 335,585 milliards FCFA précédemment. 



-DAKAR-Le crédit intérieur alloué par les institutions monétaires du Sénégal s’est établi à 2.652,224 milliards FCFA (environ 5,304 milliards de dollars) à la fin du mois de mai 2014i. Comparé à son niveau du mois d'avril 2014 où il se situait à 2.626,221 milliards FCFA, ce crédit connait une augmentation de 26,003 milliards FCFA en valeur absolue. Ce montant se répartit entre la position nette du gouvernement de 211,847 milliards FCFA et le crédit à l'économie de 2.414,374 milliards FCFA. Concernant la dernière composante, le crédit à court terme est prépondérant avec un niveau de 1.233 milliards FCFA contre 1.263 milliards FCFA en avril 2014.  Quant au crédit à moyen et long terme, il s'établit à 1.181 milliards FCFA en hausse de 31 milliards FCFA par rapport au mois précédent. Les avoirs extérieurs nets des institutions monétaires se sont repliés fortement de 55,883 milliards FCFA, passant de 823,601 milliards FCFA en avril 2014 à 787,718 milliards FCFA un mois plus tard.


-ABIDJAN-La Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM), a clôturé sa séance du vendredi 1er août 2014 en légère baisse par rapport à la séance précédente. L’indice BRVM 10 est passé de 249,44 à 249,39 points, soit un repli de 0,02%. L’indice BRVM Composite, pour sa part, a cédé 0,05% à 238,30 points contre 238,43 précédemment. La valeur des transactions s’est établie à 413,07 millions de FCFA contre 597,12 millions de FCFA, hier jeudi. La capitalisation boursière du marché des actions se chiffre à 5785,96 milliards de FCFA. Celle du marché obligataire s’élève à 1 303,48 milliards de FCFA. Le titre le plus actif en volume est Ecobank  Transnational Incorporated TG avec 149 485 actions 

échangées. Le titre le plus actif en valeur est BOA BURKINA FASO avec 170 millions de FCFA de 

transactions.


-NEW YORK- Les cours du pétrole coté à New York ont poursuivi leur recul vendredi, terminant à leur plus bas niveau depuis six mois, pénalisés par l'anticipation d'une hausse des réserves de brut aux Etats-Unis. Le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en septembre a baissé de 32 cents sur le New York Mercantile Exchange (Nymex) pour s'établir à 97,88 dollars, un niveau plus atteint en clôture depuis début février. L'un des facteurs tirant les prix de l'or noir vers le bas est le fait que la cadence des raffineries américaines devraient ralentir dans les semaines à venir, faisant par ricochet reculer la demande en brut, a relevé Tim Evans de Citi. L'interruption de la raffinerie de Coffeyville dans le Kansas, en raison d'un incendie dans une de ses unités de production, fait ainsi craindre aux acteurs du marché une nette remontée des stocks du terminal pétrolier de Cushing (Oklahoma, centre-sud du pays), où sont entreposées les réserves servant de référence au WTI.

-NEW YORK- Les cours du coton ont poursuivi cette  semaine leur déclin entamé en mai, plombés par la perspective d'une bonne récolte américaine et la baisse plus générale enregistrée sur le marché des produits agricoles aux Etats-Unis. Après être passés la semaine dernière sous la barre psychologique des 65 cents pour la première fois depuis début octobre 2009, les cours sont descendus jeudi jusqu'à 62,32 cents. Cela représente une chute de 26,5% depuis le 8 mai pour le contrat de livraison en décembre, a remarqué Sharon Johnson, agent de courtage pour KCG Futures. Des éléments fondamentaux participent à cette baisse comme les pluies qui continuent de tomber sur l'ouest du Texas, une importante zone de production pour la fibre blanche qui souffrait de sécheresse depuis plusieurs années, a expliqué la spécialiste. Le ministère américain de l'Agriculture (USDA) a récemment relevé nettement ses estimations de production et de superficies consacrées au coton cette année. En Inde, autre grand pays producteur de coton, les moussons ont gagné en vigueur après un début faiblard de la saison des pluies, laissant anticiper une récolte plus importante qu'initialement prévu. Les cours de la fibre blanche cotée aux Etats-Unis pâtissent aussi beaucoup des ventes des fonds spéculatifs depuis mai. Ils subissent en outre la pression de la chute des cours du maïs, du blé et du soja depuis le printemps à Chicago. 


-NEW YORK-L'économie des Etats-Unis a continué de créer des emplois en juillet, mais à un rythme plus faible que ne l'envisageaient les analystes. Quant au taux de chômage, il est légèrement remonté, selon les données publiées vendredi par le département américain du travail. Il s'est créé 209'000 emplois en juillet, alors que les analystes tablaient dans leur prévision médiane sur 220'000 nouveaux emplois. Le taux de chômage s'est, lui, établi à 6,2% contre 6,1% en juin. Ces chiffres légèrement décevants sont en partie compensés par des révisions à la hausse des créations d'emplois en mai et juin (15'000 de plus au total). Ainsi, au mois de juin, les nouvelles embauches auront frôlé la barre des 300'000 (298'000). Le nombre de chômeurs s'établit à 9,7 millions en juillet, sans différence marquante par rapport à juin. Sur l'année, le nombre de chômeurs s'est réduit de 1,7 million. Il y a un an, le taux de chômage était encore de 7,3% outre-Atlantique.  Au cours des trois derniers mois, l'économie des Etats-Unis a créé en moyenne 245'000 emplois chaque mois, a souligné Erica Groshen, commissaire au Bureau des Statistiques du Travail dans un communiqué.  Revenus et dépenses ont progressé de 0,4% sur un mois en données corrigées des variations saisonnières. Les analystes tablaient sur une augmentation de cet ordre pour les revenus, mais étaient moins optimistes pour les dépenses, calculant qu'elles ne progresseraient que de 0,2%.


-ROME- Les immatriculations de voitures sont en hausse de 5,02% en juillet sur un an en Italie, poursuivant une tendance déjà amorcée en juin (+3,81%), a indiqué vendredi le ministère des Transports dans un communiqué. Le nombre de véhicules neufs immatriculés dans la péninsule s'est établi à 113'777 unités en juillet, contre 108'338 au même mois de l'année dernière, a précisé le ministère.
Le marché, après une forte chute débutée en août 2013, avait changé de tendance en décembre dernier, n'affichant cependant que de modestes taux de croissance. Au mois de juillet, les voitures neuves n'ont représenté qu'un peu moins du quart (23,79%) du volume total des ventes (478'167 véhicules), le reste se composant de voitures d'occasion. Sur les sept premiers mois de 2014, 871'334 voitures ont été immatriculées, soit une hausse de 3,65% par rapport à la même période de 2013. Le constructeur Fiat Chrysler Automobiles a précisé pour sa part, dans un communiqué distinct, avoir vu sa part de marché en Italie reculer de 1,44% à 27,29% en juillet, soit 31'054 véhicules (-1,79 point sur un an).


-NEW YORK- Wall Street perdait du terrain à la mi-séance vendredi, creusant ses pertes après la chute de la veille et tentant de discerner l'impact d'un rapport sur l'emploi un peu décevant sur la politique monétaire américaine: le Dow Jones cédait 0,67% et le Nasdaq 0,94%. Vers 16H15 GMT, le Dow Jones, qui avait enregistré sa pire séance en six mois jeudi, reculait de 111,14 points, à 16452,16 points, et le Nasdaq, à dominante technologique, de 41,16 points, à 4328,62 points. L'indice élargi S&P 500 perdait 0,67%, soit 12,93 points, à 1917,74 points. "Une certaine angoisse plane sur le marché", a estimé Gregori Volokhine de Meeschaert Financial Services. L'élement déclencheur a selon lui été le petit durcissement de ton de la Réserve fédérale (Fed) qui a mentionné mercredi pour la première fois dans un communiqué que l'inflation se rapprochait de son objectif de 2%. "Cela ravive l'idée que la Fed pourrait relever son taux directeur avant la deuxième moitié de 2015, une perspective qui suffit à rendre les marchés nerveux", a expliqué le spécialiste. La politique monétaire ultra-accommodante menée par l'institution, avec des taux d'intérêt directeurs proches de zéro depuis 2008 pour inciter au crédit et stimuler la croissance, a en effet largement participé à la hausse des indices et à l'afflux d'argent dit facile sur le marché des actions notamment. Le rapport mensuel sur l'emploi américain diffusé avant le début de la séance a toutefois apporté un peu de répit.


-PARIS - La Bourse de Paris a terminé en nette baisse vendredi (-1,02%), au plus bas depuis début février, après avoir brièvement limité la casse grâce à un indicateur américain plaidant pour une politique monétaire accommodante. L'indice CAC 40 a perdu 43,36 points à 4202,78 points, signant une troisième séance de baisse consécutive, dans un volume d'échanges nourri, de 5 milliards d'euros. La veille, il avait perdu 1,53%. Parmi les autres marchés européens, Francfort a lâché 2,10% et Londres 0,76%. Par ailleurs, l'Eurostoxx 50 a perdu 1,38%. Dans la foulée des deux séances précédentes, le marché parisien a poursuivi son recul, passant brièvement sous 4200 points. L'emploi américain lui a permis de redresser la barre dans l'après-midi, avant de perdre à nouveau du terrain. "Le marché est dominé par la volatilité et réagit à des facteurs techniques", remarque Alexandre Baradez, analyste chez IG France.


-PARIS-Les Bourses européennes ont glissé vendredi, dans un contexte de départs en vacances globalement marqué par un retrait des investisseurs, d'autant plus prudents face aux données européennes médiocres et aux tensions géopolitiques. "Les indices PMI publiés pour l'Europe aujourd'hui ainsi que la presque faillite de Banco Espirito Santo au Portugal constituent de bonnes indications sur le fait que des problèmes demeurent dans l'économie européenne", a commenté Jasper Lawler, analyste chez CMC Markets UK. "Le marché est dominé par la volatilité et réagit à des facteurs techniques", remarque de son côté Alexandre Baradez, analyste à IG France. Le secteur manufacturier en zone euro a ainsi montré des signes d'essoufflement en juillet, en raison notamment de la situation en France, où l'activité manufacturière s'est repliée à son plus faible niveau depuis décembre 2013. L'Eurostoxx 50 est descendu de 1,38%. A Francfort, l'indice Dax a lâché 2,10% à 9210,08 points.


-LONDRES- Les résultats semestriels de la plus grosse banque britannique, HSBC, seront attendus la semaine prochaine à la Bourse de Londres avec d'autres résultats d'entreprises et la décision de politique monétaire de la Banque d'Angleterre. Durant la semaine écoulée, l'indice FTSE-100 des principales valeurs a perdu 1,65% pour terminer vendredi à 6679,18 points. HSBC publiera lundi ses résultats, après ceux de Barclays, LBG et RBS cette semaine. Standard Chartered fermera le ban jeudi.
Parmi les résultats notables figureront encore ceux de InterContinental Hotels Group (mardi), de l'assureur Aviva (jeudi) et du voyagiste TUI Travel (vendredi). Les investisseurs attendront également la décision de politique monétaire de la Banque d'Angleterre (BoE) jeudi. "Il fait peu de doute que le comité de politique monétaire mantiendra le taux d'intérêt à 0,50%", malgré la confirmation de la bonne tenue de croissance au Royaume-Uni, estime Howard Archer, économiste chez IHS Global Insight. Le suspense demeure en revanche sur le calendrier précis de la future hausse des taux, attendue pour la fin de l'année ou bien le début de 2015, souligne-t-il. Le rapport trimestriel sur l'inflation et les perspectives de croissance, attendu le 13 août, fournira des éléments décisifs sur la perception de la banque centrale de l'état de l'économie britannique.


-FRANCFORT- Comme celle qui s'achève, la semaine prochaine sera chargée à la Bourse de Francfort et rien n'indique qu'elle sera plus faste, dans un contexte géopolitique inquiétant et alors que le cru de résultats d'entreprises est pour le moment très mitigé. "Au vu de nombreux facteurs négatifs et du peu de perspective d'impulsions positives, on peut espérer au mieux des éclaircies" la semaine prochaine dans le paysage boursier francfortois, prédit Werner Bader, de la banque LBBW. "Le moral est mauvais, l'appétit pour les actions est faible", explique-t-il. Cette semaine, résultats d'entreprises mal orientés et mauvaises nouvelles en provenance d'Ukraine, du Proche-Orient, d'Argentine ou encore du Portugal, ont composé un cocktail peu au goût des investisseurs. Le Dax a terminé vendredi à 9210,08 points, en recul de 4,50 % par rapport à vendredi dernier. Les ingrédients seront globalement les mêmes la semaine prochaine, avec des tensions géopolitiques toujours très fortes autour de l'Ukraine et de Gaza, une Argentine en défaut de paiement, et une nouvelle salve de résultats trimestriels d'entreprises. Au menu notamment dix des trente entreprises du Dax, parmi lesquelles BMW (mardi) Commerzbank (jeudi), Deutsche Telekom (jeudi), Munich Re (jeudi) ou encore Allianz (vendredi). Plusieurs indicateurs allemands sont également au programme, notamment industriels. Or, "on ne peut pas parler d'un optimisme débordant en ce moment dans l'industrie allemande", relèvent les analystes de HSBC.



4 Commentaires

  1. Auteur

    Lings

    En Août, 2014 (20:46 PM)
    Bien!!!!!!!!!!!!!!!!!!
  2. Auteur

    Content

    En Août, 2014 (20:53 PM)
    Ceci est de l'information pour un peuple qui aspire à se développer.

    merci :sn: 
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    Auteur

    Zerohedge

    En Août, 2014 (22:24 PM)
    Les chiffres de l'emploi ne sont pas aussi mauvais car cela fait plus de 6 mois que la creation nette d'emplois est au-dessus de la barre des 200 000.La tendance a la hausse est claire. Le probleme avec ces chiffres est de determiner l'impact ou les effets saisonniers qui peuvent avoir un certain degre d'influence. C'est un element qui permet d'apprecier la durabilite de cette tendance. La hausse du taux de chomage (qui est passe de 6,1% a 6,2%) est du a une augmentation du nombre des demandeurs d'emplois de plus de 329 000.

    La probabilite d'une hausse des taux d'interet cette annee est relativement faible malgre les bonnes performances de l'economie americaines au deuxieme trimestre. Il existe des signes de deflation en Europe qui pese 20% de l'economie mondiale, le Japon peine a faire decoller son economie. Je ne parle meme pas des tension geopolitiques et de leur consequences sur l'economie mondiale. Ce n'est pas pour rien que le FMI a revise a la baisse dans son rapport sur les persepectives de l'economie mondiale la croissance de l'activite economique aux Etats-Unis. Comment dans un contexte pareil Janet Yellen va justifier une hausse du taux directeur? Je ne pense pas qu'elle risque de remettre en cause la consolidation de la reprise fragile de l'economie americaine a l'aube de l'arret du dispositif mis en place par sa banque (QE -quantitative easing) pour relancer l'economique.
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    Auteur

    Namadji

    En Août, 2014 (22:31 PM)
    Avec Amadou Ba comme ministre des finances ce n'est pas demain la veille que le Sénégal va décoller. Plus incompétent et véreux que ce gars, il en existe pas sur terre. Maxala, il a utilisé ses dignéros pour apater le griot du macky, farba ngom et c'est ce dernier, graissé à hauteur dun milliard qui a machouillé l'ouie du couple faye sall. Je reviendrais vous filer des cafards d'Amadou Ba
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