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Economie

Résumé de l’actualité économique internationale du vendredi 19 septembre 2014

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Résumé de l’actualité économique internationale du vendredi 19 septembre 2014

-NEW YORK- Les cours du pétrole coté à New York ont terminé en baisse vendredi, pénalisés par la hausse du dollar et des inquiétudes sur la demande mondiale. Le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en octobre perdait 66 cents, à 92,41 dollars, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).


Le dollar a encore pesé nettement sur le prix du pétrole aujourd'hui, a noté Phil Flynn, de Price Futures Group. A Londres, en revanche, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre a fini à 98,39 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE), en hausse de 69 cents par rapport à la clôture de vendredi. En effet, alors que la Réserve fédérale nous prépare doucement à la remontée de ses taux, en Europe, en Chine et ailleurs, des mesures de relance sont engagées pour stimuler les économies, et cette différence de perspective donne beaucoup de vigueur au billet vert, a-t-il poursuivi.

La monnaie américaine évolue actuellement à des niveaux inconnus depuis six ans face au yen et depuis 14 mois face à l'euro. Or un dollar fort rend les achats de brut, libellés en dollars, plus coûteux et donc moins attractifs pour les acheteurs munis d'autres devises. Et, en dehors de l'économie américaine qui semble se porter plutôt mieux, la vigueur de l'économie mondiale inquiète en particulier en Europe, a ajouté John Kilduff, de Again Capital.
Du côté de l'offre, le marché a continué de souffrir du net rebond des réserves de brut aux Etats-Unis la semaine dernière, un signe peu encourageant pour la demande du premier consommateur mondial de brut, a aussi relevé M. Kilduff. Selon les chiffres du département américain de l'Énergie (DoE) publiés mercredi, les réserves d'or noir ont gonflé de 3,7 millions de barils lors de la semaine achevée le 12 septembre, alors que les experts tablaient en moyenne sur un recul de 1,2 million de barils.

-ABIDJAN-Le Chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara a estimé, vendredi, que le secteur financier ne contribue pas, suffisamment, au financement des Petites et moyennes entreprises (PME) ivoiriennes.

M. Ouattara a fait cette déclaration à la faveur de l'inauguration de ‘' La Maison de l'Entreprise'', centre de développement des affaires du secteur privé, abritant, également, le nouveau siège de la Confédération générale des entreprises de Côte d'Ivoire (CGECI), le patronat ivoirien.
Admiratif devant ce ‘'bel édifice'', le président Ouattara a souligné qu'il est ‘' la démonstration de l'ambition du secteur privé ivoirien'', rappelant la mise en place du ‘'cadre de concertation Etat-secteur privé''.
"Le bel édifice que nous inaugurons aujourd’hui est la démonstration des grandes ambitions du secteur privé ivoirien pour l’avenir", s'est félicité M. Ouattara, soulignang que "le secteur privé ivoirien se dote ainsi d’atouts nouveaux et modernes pour assumer pleinement son rôle de moteur de la croissance économique et de la création d’emplois en Côte d’Ivoire".
‘'LesPME sont au cœur de la croissance économique comme l’ont pleinement démontré les pays émergents dans le monde. Mais sans financement adéquat,la croissance des PME est ralentie. Tout comme le sang qui irrigue le cœur, le crédit bancaire doit irriguer notre économie. Si le débit n’est pas assez suffisant, alors le cœur s’essouffle tout comme la croissance économique d’un pays", a expliqué le Chef de l'Etat. 
"90% des entreprises sont des PME. Cependant, lorsqu'on se réfère aux différentes études sur les PME, il ressort que plus de 70% de celles-ci accèdent difficilement au financement, notamment aux crédits à moyen et long terme'' a-t-il déploré, indiquant que le secteur financier ne ‘' contribue pas suffisamment'' au financement des PME et ne répond pas à sa ‘'mission'' d'intermédiaire. Par ailleurs, Alassane Ouattara a dénoncé le ‘'faible taux'' de bancarisation qui est passé, selon lui, de 4% en 2009 à 12% en 2014.


-PARIS- Le marché obligataire en Europe a été rattrapé par les craintes autour des opérations de prêts de la BCE, qui ont pris le pas sur le soulagement lié à la défaite des indépendantistes en Écosse. Dans un premier temps, la victoire du non en Écosse avait poussé les investisseurs à prendre plus de risques et à se détourner des valeurs refuges comme les dettes allemandes et britanniques, provoquant une remontée de leurs taux, et une baisse des taux des pays du sud, comme l'Espagne et l'Italie, plus prisés par les investisseurs.
Finalement, l'annonce d'un remboursement vendredi par les banques de la zone euro d'un prêt de la Banque centrale européenne (BCE) a ravivé les craintes sur l'efficacité de sa politique monétaire.
Les banques ont en effet indiqué vouloir rembourser de manière anticipée un montant très important d'un précédent prêt exceptionnel (LTRO) comme elles en ont la possibilité chaque semaine.
Cette annonce est tombée au lendemain du lancement d'une autre mesure exceptionnelle de la BCE, le TLTRO, des prêts ciblés aux banques. Les banques européennes ne se sont pas précipitées pour participer à cette opération. Certains analystes pensent que les banques se sont contentées d'emprunter via le TLTRO uniquement pour pouvoir rembourser le précédent LTRO, et non pas pour financer l'économie.
"C'est un très mauvaise nouvelle parce que cela signifie que le TLTRO a servi à relayer le LTRO en termes de liquidités et non pas à relancer le crédit comme prévu par la BCE", souligne René Defossez, stratégiste obligataire chez Natixis. A 18H00, le taux britannique à 10 ans a reculé à 2,544%. Il s'était établi à 2,575% jeudi à la clôture sur le marché obligataire secondaire où s'échange la dette déjà émise. Au-delà des problèmes liés à la BCE, le vote écossais est plutôt défavorable à la dette britannique.
"Le vote +oui+ aurait provoqué pas mal d'incertitudes qui auraient pu peser sur la croissance, au point d'entraîner, selon certains investisseurs, une baisse des taux de la Banque d'Angleterre (BoE)", rappelle M. Defossez. La victoire du non, "relativement nette, permet donc aux investisseurs de se repositionner et renforce donc l'idée d'une remontée des taux de la BoE", selon M. Defossez.


-ABIDJAN-La Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM, basée à Abidjan), a clôturé sa séance du vendredi 19 septembre 2014 en hausse par rapport à la séance précédente. L’indice BRVM 10 est passé de 271,23 à 275,14 points, soit une progression de 1,44%. L’indice BRVM

Composite, pour sa part, a gagné 1,21% à 257,68 points contre 254,60 précédemment. La valeur des transactions s’est établie à 10,14 milliards de FCFA contre 608,26 millions de FCFA, jeudi. La capitalisation boursière du marché des actions se chiffre à 6 262,87 milliards de FCFA. Celle du

marché obligataire s’élève à 1 211,45 milliards de FCFA.

3. Le titre le plus actif en volume est Ecobank Transnational Incorporated TG avec 674 668 actions échangées. Le titre le plus actif en valeur est TPBF 6,50% 2013-2020 avec 5,50 milliards de FCFA de transactions.


-NEW YORK-Le géant chinois de la distribution en ligne Alibaba a fait vendredi une entrée fracassante à Wall Street avec un envol de l'action dès les premiers échanges confirmant l'euphorie autour de ce géant de la distribution en ligne, marqueur de l'économie chinoise.
C'est sous les acclamations des traders sur le plancher du New York Stock Exchange (NYSE), que le titre "BABA" est apparu officiellement pour la première fois sur les écrans boursiers. Il a fallu attendre près de deux heures et demie après l'ouverture de Wall Street pour que le titre puisse enfin être coté. L'action affichait alors un bond de 37% comparé aux 68 dollars annoncés jeudi soir comme prix d'introduction.
L'ascension a continué pendant plusieurs minutes, l'action frôlant même le cap symbolique des 100 dollars à 99,70 dollars. Une heure plus tard, elle évoluait à 90,47, ce qui représente encore un gain de 33,4% par rapport à son prix d'introduction. La veille, Alibaba a annoncé avoir levé 25,02 milliards de dollars auprès des investisseurs au prix de 68 dollars par action, soit le haut de la fourchette de 66-68 dollars qu'il visait pour son entrée en Bourse. Cette somme lui permet d'effacer le record détenu par un autre groupe chinois, AGBank, qui avait levé 22,1 milliards de dollars en 2010 à Hong Kong et Shanghai, selon le cabinet de recherche Dealogic.
Le fondateur de cette success story, l'ancien professeur d'anglais Jack Ma a assisté vendredi vers 15h30 (heures suisses) sur le fameux parquet du NYSE à Manhattan à la sonnerie de la cloche - synonyme d'ouverture de la Bourse - par huit clients d'Alibaba. Il a reçu un accueil de rock star. Tout l'état-major du NYSE était là pour l'accueillir. La scène était retransmise en direct sur toutes les chaînes de télévision financières américaines où présentateurs et commentateurs multipliaient les superlatifs et s'extasiaient sur son histoire personnelle. Il faut dire qu'il a fondé Alibaba en 1999 avec seulement 60'000 dollars. Pour certains experts, cet hybride d'Amazon, eBay et PayPal créé en 1999 avec 60'000 dollars, donne l'occasion d'avoir une part du gâteau de l'énorme marché chinois. D'autres ne veulent pas rater le train d'un nouveau Google ou Facebook, selon les analystes.


-ABIDJAN-L'Autorité nationale de régulation des marchés publics en Côte d’ Ivoire (ANRMP) a fait part vendredi de ses préoccupations au sujet de l’attribution des contrats de gré à gré signés par le gouvernement, précisant que ces contrats doivent être ouverts aux appels d’offres, car violant les règlements en vigueur. “Il a été révélé que pour 95% des cas, les raisons évoquées pour l'attribution des marchés à travers des contrats de gré à gré ne sont pas justifiées, au regard des règlements actuellement en vigueur”, a confié à la presse, le président de l'ANRMP, Non Karna Coulibaly.
Selon le code ivoirien des marchés publics, le gouvernement peut, sous certaines conditions spécifiques, avoir recours à des contrats de gré à gré, notamment dans des situations où il est nécessaire d'agir immédiatement et que le processus normal de soumission pourrait créer des retards inacceptables.
Le gouvernement du président Alassane Ouattara a soutenu que les contrats de gré à gré étaient nécessaires pour accélérer le processus de reconstruction du pays. Cependant, sur les contrats audités par l'ANRMP, 75% ont été attribués après des délais de plus de 100 jours, une période de loin supérieure aux 45 jours réglementaires, alors que 17% de ces marchés ont été donnés après une période de plus de 400 jours.
Dans l'ensemble, et en prenant en compte un certain nombre de critères, la passation de 40% des contrats a été jugée satisfaisante, contre 58% considérés comme non règlementaire.


-YAOUNDE-Le taux de croissance du Cameroun devrait se situer à 5,8% en 2014, contre les 5,6% initialement projetés, selon une note de conjoncture publiée vendredi par le ministère des Finances.

Cette performance serait notamment le reflet du rebond des exportations de bois, de l'impulsion aux services marchands des administrations publiques mais aussi d'une meilleure offre en énergie.
Des risques sont cependant à redouter, en rapport avec le choc inflationniste résultant de la baisse des subventions sur les carburants, la contagion de l'insécurité aux frontières avec le Nigeria et la République centrafricaine, de la psychose née de la fièvre hémorragique Ebola.
Au plan budgétaire, les recettes totales recouvrées au premier semestre de l'année en cours se sont inscrites à la hausse de l'ordre de 20%, par rapport à la même période en 2013, alors que les dépenses enregistrées croissaient de 14,7%.


-CHICAGO- Les cours du maïs, du blé et du soja ont inexorablement poursuivi leur déclin cette semaine, les deux derniers touchant des planchers plus atteints depuis 2010, plombés par l'abondance des récoltes prévue cette année. "Le marché reste actuellement enlisé dans une tendance baissière très lourde en raison d'attentes de récoltes record" et, dans le cas du soja, "de prévisions d'une hausse de la production en Amérique du sud pour la campagne 2014-2015", a expliqué Dewey Strickler, de AG Watch Advisors.
Des températures modérées et une pluviométrie quasi idéales ces derniers mois, pendant la période clef de développement des cultures de maïs et de soja, ont créé les conditions d'une récolte historique pour ces deux cultures les plus importantes aux Etats-Unis.

Selon les dernières prévisions du ministère américain de l'Agriculture (USDA), la production américaine devraient ainsi atteindre des niveaux jamais vus auparavant dans les deux cas, à respectivement 366 millions de tonnes, pour le maïs, et 106,5 millions de tonnes, pour le soja.
Plombés par ces attentes, les cours agricoles étaient envoyés au tapis: le contrat de référence pour le soja évoluait à des niveaux plus vus depuis juillet 2010. Les prix du maïs restaient proches de leurs niveaux du 11 septembre, lorsqu'ils avaient touché un plus bas (à 3,29 USD le boisseau en séance), depuis juin 2010. Les cours du blé n'échappaient pas à cette très forte tendance baissière, pénalisés quant à eux par l'abondance prévue de l'offre mondiale. "Du côté de l'Union européenne, les estimations de récoltes ont été révisées en hausse de 2,5 millions de tonnes, jusqu'à 146,6 millions de tonnes, en hausse de 8% par rapport à l'année précédente", ont relevé les experts de Commerzbank citant des chiffres de la société spécialisée Strategie Group.
"Et même en Ukraine, (...) les prévisions de récoltes de blé ont été relevées de 13% par rapport aux chiffres d'août, à 23,7 millions de tonnes", ont-ils poursuivi.
Les prix de la céréale ont également souffert jeudi de ventes hebdomadaires à l'exportation jugées particulièrement décevantes. "Cette déception est en partie due à la force du dollar", ont estimé les analystes. La monnaie américaine évolue actuellement à des niveaux plus vus depuis six ans face au yen et depuis 14 mois face à l'euro.
Or, un dollar fort rend les achats de matières premières, libellées en dollars, plus coûteux et donc moins attractifs pour les acheteurs munis d'autres devises, freinant les exportations américaines.
En outre, "des précipitations dans les plaines du Sud jusque-là très sèches", essentielles dans la production de blé aux Etats-Unis, participaient également au déclin de ses cours, a estimé l'analyste Arlan Suderman, de Water Street Solutions. Le boisseau de maïs (environ 25 kg) pour livraison en décembre 2014, le plus échangé actuellement sur le marché, évoluait vendredi en mi-séance à 3,3375 USD contre 3,3850 USD à la clôture vendredi dernier.
Le boisseau de blé pour livraison en décembre, le contrat le plus actif en ce moment, cotait à 4,7625 USD contre 5,0250 USD en fin de semaine dernière, à des niveaux plus vus depuis début juillet 2010.
Le boisseau de soja pour livraison en novembre, le plus coté, s'échangeait à 9,6025 USD contre 9,8525 USD vendredi dernier, à des seuils inconnus également depuis juillet 2010.

-PARIS-Les Bourses européennes ont connu une fin de semaine contrastée, soulagées par la victoire du non au referendum écossais mais manquant de vigueur pour en tirer parti. "Les marchés actions en Europe ont poussé un gros soupir de soulagement quand l'Écosse a voté contre l'indépendance du reste du Royaume-Uni", a commenté Jasper Lawler, analyste chez CMC Markets UK. Le camp du non l'a emporté par 55,3%, selon un résultat annoncé vendredi matin. Ce résultat "était largement anticipé par les marchés", a toutefois relevé Jasper Lawler, si bien que la progression a été modérée. Dans ce contexte, la hausse moins forte que prévu de l'indice composite du Conference Board en août passait relativement inaperçue.

L'Eurostoxx 50 a gagné 0,06%. Paris a fini à l'équilibre (-0,08% soit 3,48 points) à 4461,22 points, dans un volume d'échanges soutenu de 5,1 milliards d'euros, prudente avant la décision de Moody's sur la note de solvabilité de la France. L'opérateur Orange a pris 0,74% à 11,6 euros.
Après avoir connu une belle hausse tout au long de la séance, Lafarge a fini en léger recul (-0,11% à 56,67 euros). En tête de l'indice SBF 120, le spécialiste de stockage de produits pétroliers Rubis a gagné 3,25% à 45,02 euros. Arkema, entré en négociations avec Total pour lui racheter sa filiale d'adhésifs Bostik, a fini en nette baisse (-3,86% à 55,59 euros), tandis que Total a fini à l'équilibre (+0,09% à 50,04 euros).


Londres a pris 0,27% (18,63 points), à 6837,92 points. Les actions d'entreprises écossaises ou les plus exposées à cette région ont terminé en hausse. L'emblématique Royal Bank of Scotland (RBS) a ainsi pris 2,46% à 366 pence. Sa concurrence Lloyds Banking Group a aussi gagné 1,25% à 76,82 pence. La compagnie d'assurance édimbourgeoise Standard Life a pour sa part terminé en hausse de 1,42% à 421,6 pence. Du côté des perdants, le groupe minier Randgold Resources a reculé de 1,69% à 4355 pence, la plus mauvaise performance de l'indice, en raison de la chute des cours de l'or.

A Francfort, le Dax a terminé à l'équilibre (+0,01%) à 9799,26 points.
Deutsche Telekom a terminé en tête de l'indice (+3,78% à 12,09 euros) après le relèvement par Citigroup de sa recommandation sur le titre, à "acheter" contre "neutre" auparavant. Deutsche Bank (+2,13% à 28,30 euros), Merck KGaA (+1,64% à 69,60 euros) et Munich Re (+1,56% à 156,25 euros) se sont également bien comportés. Bayer a glissé de 0,40% à 112,25 euros.


En bas de tableau, SAP s'est enfoncé de 3,77% à 57,63 euros après l'annonce du plus gros rachat de son histoire, celui de l'américain Concur pour 8,3 milliards de dollars. L'opération lui permettra de se renforcer dans le "cloud" mais le prix est conséquent. Juste au-dessus, BMW a lâché 1,54% à 88,99 euros. La société a annoncé la prolongation de deux ans, jusqu'à mai 2017, du contrat de son directeur financier, Friedrich Eichiner.
Siemens aussi a perdu 1,45% à 96,40 euros.

Madrid a fini presque à l'équilibre, gagnant 0,10% et franchissant la barre des 11'000 points, à 11'001,9 points. Parmi les valeurs bancaires, Santander, numéro un en zone euro par la capitalisation boursière, a perdu 0,26% à 7,75 euros et BBVA 0,38% à 9,72 euro, tandis que CaixaBank terminait dans le vert, gagnant 0,57% à 4,924 euros.

Milan a reculé de 0,74% à 20'972 points. L'assureur UnipolSai a gagné 2,50% à 2,382 euros et World Duty Free 1,69% à 9,025 euros.
Parmi les titres en vue, Telecom Italia a reculé de 1,32% à 0,894 euro après avoir pourtant bien démarré la séance suite à l'annonce de l'entrée à son capital du groupe français Vivendi. Le fabricant de doudounes Moncler a perdu 2,92% à 11,65 euros. STMicroelectronics se classe lanterne rouge avec une chute de 4,05% à 6,165 euros.

Bruxelles a avancé de 0,38% à 3220,39 points, enregistrant sa troisième séance de hausse consécutive. Le groupe métallurgique Bekaert a le plus progressé (+1,35% à 27,80 euros), suivi par KBC (+1,08% à 43,67 euros). Le bancassureur va mettre fin aux activités de sa filiale Banque diamantaire anversoise après l'échec d'une cession prévue au groupe chinois Yinren.
KBC s'était engagé à se dessaisir de la banque spécialisée dans le financement du négoce et de l'industrie diamantaire dans le cadre d'un plan de restructuration convenu avec Bruxelles en échange de son renflouement en 2008-2009 par les pouvoirs publics. A l'autre bout de l'indice, Cofinimmo, dans le secteur immobilier, a lâché 1,82% à 86,35 euros.

Amsterdam a gagné 0,87% à 425,74 points. A la hausse, le bancassureur ING a gagné 5,75% à 11,95 euros tandis qu'à la baisse, le groupe de prospection géologique Fugro a perdu 3,49% à 24,21 euros.

La Bourse suisse a gagné 0,11% à 8840,17 points au terme d'une séance sans grande impulsion. Le laboratoire Actelion a poursuivi sur sa lancée, s'appréciant de 1,73% à 111,50 francs après avoir déjà rebondi la veille.


Le réassureur Swiss Re a également gagné 1,25% à 77 francs. En bas de tableau, Julius Baer a cédé 1,10% à 42,35 francs. Richemont, le fabricant de produits de luxe, a également perdu 0,96% à 82,20 francs et l'horloger Swatch Group 0,42% à 473,20 francs au lendemain de la publication des statistiques sur les exportations horlogères en août, marquées par un nouveau recul à Hong Kong, premier marché pour les fabricants de montres suisses. Mercredi, lors d'un point sur son activité, Richemont avait fait état d'un tassement de sa croissance en raison d'une baisse des ventes sur ses grands marchés asiatiques.

Lisbonne a clôturé en légère hausse de 0,11% à 5911,80 points. Vedette de la journée, la banque BCP a bondi de 4,90% à 10,5 centimes d'euro.
En revanche, le groupe électricien EDP a reculé de 1,77% à 3,44 euros et Portugal Telecom a cédé 1,34% à 1,77 euro.



2 Commentaires

  1. Auteur

    Copie Coller Internationale

    En Septembre, 2014 (23:06 PM)
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  2. Auteur

    Zerohedge

    En Septembre, 2014 (07:28 AM)
    Les activites de Wall Street ce vendredi ne se resument seulement a l'introduction du titre du geant chinois de l'e-commerce Alibaba.Meme s'il faut noter que cela a ete un grand succes avec une capitalisation boursiere de $167,62 milliards qui place cette cie dans le lot des 8 plus grandes du NYSE-new york stoch exchange. Cela dit, il y a eu un evenement d'une meme envergure au niveau du secteur de la technologie avec Oracle qui vient juste de publier ses resultats financiers pour le deuxieme trimestre.En effet, Larry Elison vient de ceder sa place de CEO a Mark Hurd et Safra Katz (co-CEO). Il conserve la presidence du conseil d'admiinistration et devient le CTO-chief technology officer. C'est la premiere fois qu'on voit un triumvirat a la tete d'une grande organisation comme Oracle. En termes d'organisation et de strategie cela ne laissera pas indifferent les concurrents d'Oracle voire meme certaines grandes entreprises de la place qui sont toujours en quete d'innovation dans la gestion des affaires.
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