Les drames se suivent et ne se ressemblent pas. Après l’incendie meurtrier des Parcelles assainies, un autre drame est survenu à Keur Massar, dans la lointaine banlieue de Dakar. O. Sow, en garde à vue à la gendarmerie de la localité, a asséné plusieurs coups de pilon son petit frère qui a succombé à ses blessures.
A l’origine, une banale dispute entre les deux frères dans la nuit du mardi 9 au mercredi 10 mai. Sous le coup de la colère, O. Sow, 40 ans, se saisit d’un pilon et fracasse la tête de son M. Sow, son jeune frère, 34 ans. Il lui assène plusieurs coups avant que les secours n’interviennent. Et rend l’âme peu après.
Embarqué par la gendarmerie, il sera présenté au Procureur de la République, demain vendredi. On lui reproche les délits de coups et blessures volontaires ayant entrainé la mort.
Selon des sources, les deux frères étaient considérés comme des malades mentaux. Raison pour laquelle l’un dormait dans les couloirs de la maison, l’autre dans une petite chambre qui tient lieu de débarras.
Source : Enquête
9 Commentaires
Iga Biva
En Mai, 2017 (08:54 AM)Oh mon pays ma Patrie
La jeunesse est là qui veut servir
A la grandeur de ton avenir ?...
Anonyme
En Mai, 2017 (08:56 AM)Anonyme
En Mai, 2017 (09:05 AM)Anonyme
En Mai, 2017 (09:17 AM)Citoyen
En Mai, 2017 (09:32 AM)Chekh
En Mai, 2017 (10:05 AM)Anonyme
En Mai, 2017 (10:38 AM)Vrai
En Mai, 2017 (11:53 AM)Anonyme
En Mai, 2017 (12:12 PM)Des adultes de 40 et 34 ans ....sont ils des enfants attardés ou serais ce le journaliste qui ne maîtrise pas son sujet ?
hormis ce détail....encore un drame de la pauvreté et des laisser pour compte .
Facile de les étiqueter " malades mentaux", l'affaire sera classée sans suites....à la prochaine, en espérant qu'entre temps, les sournaleux aient suivi un cours de recyclage pour notre plus grande satisfaction.
Seneweb ressemble à une rubrique pour chiens écrasés ; jamais un article de fond, que des Scoops nauséabonds et malvenus.
Nul n'ignore la situation désastreuse des conditions de vie de la population à part ceux qui décident, ceux de la gouvernance, ils s'en foutent comme de leur premier boubou.
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