Une rocambolesque affaire d’inceste secoue
la famille Nianké, demeurant à Keur Massar, au quartier El Hadji Pathé.
Jean Nianké, accusé par sa fille de 13 ans, d’être le père de son bébé
de moins de 6 mois, a été cueilli par la gendarmerie de ladite commune,
avant d’être déféré au Parquet.
Un père de famille rattrapé par une «relation incestueuse» avec sa
fille. Tel peut être le résumé de cette tragédie qui secoue actuellement
la famille Nianké, logée à Keur Massar. Pendant des années, le chef de
famille, navigateur de son état, aurait abusé de sa fille, âgée de 13
ans seulement. Des témoignages recueillis dans le voisinage et dans une
partie de la famille indiquent que la fille mineure V. Nianké a eu la
malchance de contracter une grossesse à partir des «assauts sexuels
répétés» de son géniteur. Une grossesse suivie d’un accouchement d’une
fille, il y a moins de 6 mois maintenant. Seulement, jusque-là,
explique-t-on, la victime n’a jamais voulu révéler l’identité du papa
de son bébé, malgré les menaces et autres intimidations de sa maman.
C’est
tout récemment qu’elle s’est résolue à le faire. Et le lieu choisi pour
déballer n’est pas innocent ni fortuit. En effet, c’est aux gendarmes
de la Brigade de Keur Massar qu’elle a narré sa mésaventure. Ces
derniers n’ont pas mis du temps pour débarquer dans la maison familiale
le dimanche 12 août dernier, afin d’embarquer Jean Nianké. C’est en ce
moment que son épouse ainsi que les autres membres de la famille ont
découvert que «l’auteur» de la grossesse de V. Nianké n’est personne
d’autre que le chef de la famille.
Placé en garde à vue depuis le 12
août, Jean Nianké a été finalement déféré au Parquet au grand dam de
ses autres enfants, qui demeurent convaincus que c’est une «cabale»
contre leur père. Du moins certains des enfants, car le frère aîné à qui
la fille mineure s’est confiée en premier, pour désigner son père comme
l’auteur de la grossesse, semble bien convaincu par ces révélations. La
mère de famille quant à elle, est restée injoignable ni introuvable
hier, puisqu’étant partie chercher sa fille quelque part en banlieue. La
fille avait, en effet, pris la poudre d’escampette depuis que les
gendarmes sont venus cueillir son père sous ses yeux. Une fugue dont on
dit qu’elle est habituée depuis sa grossesse parce que ne pouvant pas
rester dans la même maison que son «bourreau», qui l’aurait toujours
menacée de mort si jamais, elle parlait de leurs «ébats».
4 Commentaires
Boy Djinné
En Août, 2012 (13:46 PM)Finis Vols Viols Agression
En Août, 2012 (13:50 PM)La solution aux voleurs et agresseurs, c'est la paralysie d'une jambe ou deux en écrasant le tendon d'Achille. Ce tendon est la masse en forme de corde qui relie la jambe et le pied, derrière les chevilles. Quand le tendon d'Achille est écrasé ou coupé, le gars ne peut plus courir et un voleur ou agresseur qui ne peut pas courir n'est plus dangereux. En plus comme il boite, il décline visiblement le danger qu’il incarne : Il a une carte d'identité physique.
Méthode de destruction du Tendon d'Achille : serrer à fond le tendon avec des tenailles ou pinces et répéter jusqu'à l’écrasement sensible de l'emprise. Pour le castrer, il faut pincer à fond les conduites rattachées aux testicules (boules).
Que chaque famille s’octroie une paire de pinces ou tenailles !
Merci de faire circuler et diffusez dans wax sa xalaat.
On aura bientôt réglé ce problème.
Limmus
En Août, 2012 (00:14 AM)(-)+(-)=+
En Septembre, 2012 (11:15 AM)Participer à la Discussion