Les images, tournées lundi 12 janvier, sont terribles. On y voit des policiers saoudiens décapiter au sabre une femme birmane condamnée à mort pour le meurtre d'une fillette à la Mecque (Arabie Saoudite). L'auteur de cette vidéo a été arrêté, rapporte samedi 17 janvier les médias saoudiens.
"Je n'ai pas tué, Dieu est grand, je n'ai pas tué (...) C'est une injustice", crie la condamnée, entièrement vêtue de noir et s'exprimant en arabe. Sur ces images, un bourreau la contraint à s'allonger au sol avant de la décapiter avec un sabre, une arme utilisée pour les exécutions qui se déroulent en public dans le royaume saoudien. Un passage piéton est visible au premier plan de la scène qui semble se dérouler dans une rue.
87 condamnations à mort en 2014
Plusieurs vidéos affirmant montrer des condamnations à mort perpétrées en Arabie saoudite ont été diffusées sur internet ces trois dernières années. En Arabie saoudite -où dix condamnés à mort ont été exécutés depuis le début de l'année - le viol, le meurtre, l'apostasie, le vol à main armée et le trafic de drogue sont passibles de la peine capitale.
En 2014, 87 condamnés à mort ont été exécutés. 78 l'avaient été en 2013, selon un décompte effectué par l'AFP. Selon un rapport d'Amnesty International, le royaume ultraconservateur, régi par une version rigoriste de la charia, a perpétré le troisième plus grand nombre d'exécutions au monde en 2014, derrière l'Iran et l'Irak.
40 Commentaires
On Est Le 19 Janvier
En Janvier, 2015 (13:21 PM)Arabie Saoudite
En Janvier, 2015 (13:24 PM)L'homme
En Janvier, 2015 (13:27 PM)Tangaay
En Janvier, 2015 (13:45 PM)Waarou
En Janvier, 2015 (13:47 PM)Tous ces pays arabes commencent a emuler le Qatar: garder ces trucs barbares in peto mais projeter une image moderne pour les etrangers. Par exemple, exiger le port du voile , mais pas a AlJazeera ...
Hey ... crise oblige !!! le baril de petrole ne vaut plus rien
Propagande Mensongère
En Janvier, 2015 (13:49 PM)Dioubo
En Janvier, 2015 (13:53 PM)Car Il n'y a pas dans le Coran un chapitre sur l'extermination sacrée selon Mohamed Talbi l'auteur tunisien de "Ma religion c'est la liberté"
Deugeu Bi
En Janvier, 2015 (14:03 PM)Bande de commentateurs ecervelles a l'hypocrisie puerile..
ISLAM=BARBARIE (Pas plus aveugle que celui qui refuse de voir)
Boy Serere 2
En Janvier, 2015 (14:05 PM)Faute de hierarchie clericale dans la religion musulmane chaque illuminé peut interpréter les versets du coran à sa sauce et l'utiliser comme justificatif pour les pires horreurs.
Les gens sont lobotomisés par la religion et perdent toute capcacité de reflexion.
Posez vous la question une seconde : pensez vous que Dieu cautionne qu'une de ses créatures tue une autre créature en son nom. Comment voulez vous que Dieu vous accorde la miséricorde si vous ne l'accordez pas aux autres.
Comment se fait il que cette barbarie existe dans le pays ou des millions de musulmans viennent faire pélérinage et demander le pardon de leurs péchés ?
Croyez moi lors du jugement dernier, nous aurons de très grosses surprises et viendront l'heure des pleurs et des grincements de dents
Nts
En Janvier, 2015 (14:18 PM)@maitre Kobayashi
En Janvier, 2015 (14:21 PM)La main qui tue sans etat d'ame a-t-elle ete designee par toi ou par Dieu???
De quel droit oterais-tu la vie d'un prochain si tu ne peux la lui donner??
Des gens comme toi personne n'en veut comme fils ou parent.
Shit-over-you bastard.
Folie
En Janvier, 2015 (14:36 PM)Ad
En Janvier, 2015 (14:40 PM)Chaque pays son propre identité ces propres Lois
Il faut les respecter si non on récolte que l'on sème.
Partout ou tu te trouves dans le monde il faut respecter
Les Lois de ce pays pour éviter toutes corrections.
Radar
En Janvier, 2015 (14:41 PM)En Arabie Saoudite, il n'y a que les étrangers qui sont exécutés.
La clémence du tribunal ou les circonstances atténuantes ne profitent qu'aux saoudiens de souche.
Il y'a bien du racisme dans ces exécutions.
Deug
En Janvier, 2015 (14:42 PM)Sgal
En Janvier, 2015 (14:44 PM)Mome
En Janvier, 2015 (14:45 PM)mais l'islam c'est la soumission et la foi à quoi ? aux préceptes et commandemants de Dieu par le livre saint et au sounnah de notre noble prophete.
Dieu,qui nous connait plus que quiconque, nous a déja averti dans le coran en nous disant que certes vous serez frappés de pitié, mais appliquer la loi car c'est plus pur et ceci apportera la paix et la tranquilité entre vous.
il faut analyser l'acte et non la réaction. l'arabie n'a rien à voir ills n'ont fait qu'appliquer la loi divine qui est meilleure que toute les autres lois.
c'est dur entre humain mais Dieu n'est pas Humain et il est omniscient.
quand on est musulman on l'assume et cela nous évite de verser dans la perversion.
Gros Coeur
En Janvier, 2015 (14:56 PM)Tangana
En Janvier, 2015 (15:30 PM)Quelques rappels historiques:
Escvlavage: plus de 17 millions de victimes
Colonisation: plus de 12 millions de victime
Guerre mondiale 14/18: plus de 4 millions de morts
Guerre mondiale 39/45: plus de 11 millions de morts, déplacés
Guerre froide: plus de 8 millions de morts et victimes collatéraux
Guerre d indépendance: plus de 6 millions de morts
Guerre du Vietnam: plus de 1.5 millions de victimes
Guerre d Irak ( fondée sur des mensonges de Bush): plus de 2,5 millions de morts
Massacre des palestiniens de 1967 jusdqu´á ce jour: plus de 7 millions de victimes
Guerre en Lybie, Syrie, et tant d autres assassinats sponsorisés: plus de 13.7 millions de victimes
Guerre en Afrghanistan : plus de 4 millions de victimes.
Apartheid: plus de 2.5 millions de victimes
.................La liste n est pas exhaustive
Toutes les grandes génocides, épuration éthniques et autres atrocités inhumaines: plus de 14 millions de victimes
Tous les grands massacre de toute l histoire de l Humanité ont été commis par ces mêmes individus.
Conculusion: On connait facilement de quel côté se trouvent les barbare
Vision2
En Janvier, 2015 (16:03 PM)Vérité
En Janvier, 2015 (16:18 PM)Origines de l’islam : ses racines païennes matriarcales – les 3 déesses de la Kaaba
Aujourd’hui encore, les fouilles archéologiques sont quasi-interdites en Arabie Saoudite, à croire que cela en dérangerait certains.
L’arrivée du patriarcat en Arabie
Le patriarcat s’est installé progressivement par la guerre à partir du IVème millénaire avant Jésus-Christ, et semble commencer à Sumer en Mésopotamie. Les anciennes déesses-mères ont été conquises, assimilées, puis remplacées, par les nouveaux dieux-pères (Olympiens, Aesirs nordiques…). Il en est de même avec les divinités matriarcales arabes (Allat, Uzza, Manat), désormais dominées par les nouveaux dieux conquérants venus de Babylone (Hu-Baal).
Paganisme matriarcal : les 3 déesses-mères de l’Arabie pré-islamique, Al-Uzza, Allat et Manat
L’évolution des différents types de mariages arabes pré-islamiques témoigne de la patriarcalisation progressive de la péninsule arabique. L’islam n’en est que la dernière étape.
Matriarcat bédouin : statut élevé et liberté sexuelle de la femme arabe avant l’islam
Le croissant lunaire, symbole de la déesse primordiale
L’étoile et le croissant, aujourd’hui vus comme des symboles de l’Islam, ont longtemps été utilisés en Asie Mineure et par certains peuples turcs, avant l’arrivée de l’Islam. L’origine du croissant et de l’étoile comme symboles date des temps de Babylone et de l’Égypte ancienne. Il a été suggéré que les tribus turques, durant leurs migrations d’Asie centrale vers la Turquie aux alentours de 800 après JC, ont adopté ce symbole des tribus et états locaux dans la zone du Moyen-Orient actuel, qui a adopté à son tour ces symboles. On retrouve aussi trace de ce symbole dans les cultes pré-islamiques du proche-orient aux côtés d’autres symboles et rituels païens adoptés par l’islam. Il est à noter que le symbole lunaire accompagné de l’étoile a également été adopté par d’autres divinités, pour Artémis chez les Grecs, Diane chez les Romains. L’adoption des rites païens au sein de l’église catholique romaine explique aussi le rapport étroit entre la lune et la Marie virginale. Le croissant de lune est en rapport avec les cycles menstruels, symbole du pouvoir de procréation des femmes.
Drapeau de guerre Ottoman (1453-1798), orné de Zulfikar, le sabre trouvé par Mahomet
L’origine du drapeau est sujette à de nombreuses légendes en Turquie, et certaines contredisent l’histoire du drapeau ottoman. Parmi les légendes les plus répandues, on trouve :
Le croissant de lune et l’étoile étaient des symboles saints pour les tribus turques pré-islamiques, tandis que le rouge est la couleur cardinale pour le sud.
Le rêve du premier empereur ottoman dans lequel un croissant et une étoile apparaissaient sur sa poitrine, présageant de la future prise de Constantinople par sa dynastie.
Un croissant et une étoile sont apparus à Mehmed II la nuit de la chute de Constantinople en 1453.
Une autre théorie date de l’empire byzantin, mettant en lumière le fait que le croissant et l’étoile ont été utilisés comme symboles de Byzance durant des siècles. Lorsque des Ottomans prirent Constantinople, ils adoptèrent ces symboles pour l’Empire Ottoman (la lune représente la déesse grecque Artémis, et les étoiles la Vierge Marie). L’étoile et le croissant de lune étaient cependant symboles de la déesse égyptienne Isis plus tôt.
Jérusalem, première direction de la prière islamique
La Mecque était le sanctuaire pré-islamique le plus important de toute la péninsule arabique. A l’origine, la ville n’était pas au centre de la religion musulmane, les croyants se tournant vers Jérusalem. La direction de la prière (la kiblah) répond à des règles très strictes énoncées par Mohammed dans le Coran. Au début, la kiblah correspond à la direction de Jérusalem (s.2, v.36), pour satisfaire les convertis d’origine juive ou chrétienne. Puis, afin d’asseoir définitivement son autorité tout en contentant la masse des nouveaux fidèles d’origine païenne, la kiblah se tourne vers la Mecque, haut lieu millénaire païen. La vénération de la pierre fut une occasion pour Mohammed de ramener vers lui les païens.
Les 3 déesses de La Mecque
A la Mecque (???), avant l’Islam, la tribu des Quraïch (????) adoraient une triade de trois divinités féminines, il s’agit d’Allat (?????), al-‘Uzza (??????) et Manat (????), ils citaient leurs noms au cours de leurs tournées (??????) autour du Ka’ba (??????). Selon Ibn al-Kalbi, les Quraysh avaient coutume de faire le tour de la Ka’aba en disant : »Au nom d’Allat, d’?Uzza, et de Manat la troisième idole. Elles sont réellement les »al-ghar?n?q » (femmes de condition supérieure ) Dont il faut demander l’intercession. » Comme aujourd’hui, les pèlerins se rasaient la tête.
Hubal, le nouveau dieu-père des déesses
Alors que pour les Nabatéens (Pétra en Jordanie), Allat était la mère de tous les dieux, pour les autres Arabes, Allat, al-‘Uzza et Manat étaient les filles d’Allah (???? ?? ?????), et étaient les intermédiaires entre Dieu et les hommes pour obtenir ses bénédictions. Allah (le-dieu) est le titre du dieu lunaire Sîn-Hubal (Baal), pièce rapportée tardivement de Mésopotamie dans le panthéon arabe, qu’il domina par la suite à La Mecque. De ce dieu, très peu de temples, de représentations, et de traces écrites nous sont parvenues jusqu’à aujourd’hui. Le terme Allah est antérieur à l’islam puisque le père de Mahomet s’appelle lui-même Abd’Allah, c’est à dire, »le serviteur du dieu ».
La Kaaba, temple de la déesse Allat
Ka’aba signifierait cube en arabe, mais la Ka’aba elle-même serait l’ancienne « Kaabou », du mot grec qui signifie ‘jeune fille’, et désigne la déesse Astarté, c’est-à-dire Aphrodite dans la mythologie grecque qui correspond à la Vénus Romaine et l’al-‘Uzza (?????) des Arabes considérée comme la déesse de la fertilité. Les anciens chroniqueurs rapportent qu’avant l’avènement de l’islam (jahilya, l’ère de l’ignorance), il y avait 24 ka’bas dans la péninsule arabique, mais celle de La Mecque était vénérée par toutes les tribus. Selon des recherches saoudiennes, il existait dans la région de nombreuses Ka’bas (tawaghit) consacrées chacune à une divinité, auxquelles les fidèles se rendaient certains jours déterminés pour procéder à des rites comprenant entre autres une déambulation circulaire et des sacrifices. Les plus importants semblent avoir été les ka’abas des déesses Allat à Taif, d’Uzza à Nakhlah et de Manat près de Qudayd.
Les prêtresses d’Allat
Elle fut célébrée par sept prêtresses nues qui gravitaient sept fois autour de cette pierre, une fois pour chaque planète (soleil / lune / mars / mercure/ vénus/ Jupiter / saturne). A ce jour, les hommes qui gardent la Kaaba sont encore appelés »fils de l’Ancienne Femme », »fils de Saba », en arabe »Beni Shaybah ». La déesse Allat avait un surnom, ou un titre supplémentaire, Saba prononcé Shaybah, signifiant sage-femme, ou, « Celle de l’ancienne sagesse ». Avant l’Islam, les gardiens du Sanctuaire étaient des prêtresses appelées »Bathi-Sheba », »filles de l’Ancienne Sage Femme ». Bethsabée, »fille de Saba » signifie, ‘‘prêtresse de la maison de Saba ». Les musulmans ont gardé ce sanctuaire cubique, et marchent encore autour, tout comme on le faisait à l’époque où on vénérait la Déesse.
Le culte des pierres
Vénérer une pierre est typiquement païen. On appelle ces pierres divines béthyle (de l’hébreu béthel »pierre sacrée »), et est une pratique polythéiste classique de l’antiquité. La pierre de la Kaaba n’échappe pas à cette règle. Cette pierre faisait en effet l’objet de vénération pré-islamique. Le culte pré-islamique des pierres peut être rapproché à des cultes lithiques des bétyles qui furent répandus dans tout le Proche Orient dès la plus haute antiquité. En effet ce culte rendu à une pierre n’est pas isolé dans l’Antiquité : on peut citer la pierre noire d’Émèse dont Héliogabale fut le grand-prêtre avant de devenir empereur romain, la pierre noire de Dusares à Petra, et c’est sous la forme d’un bétyle qu’en 204 avant J-C que Cybèle, la déesse-mère phrygienne de Pessinonte, fait son entrée à Rome. Dans de nombreuses cités orientales, des pierres sacrées sont l’objet de la vénération des fidèles, telles l’Artémis de Sardes ou l’Astarté de Paphos. En Arabie ce n’était pas une exception car le culte des pierres était omniprésent dans la société pré-islamiques. Par exemple la « pierre rouge » était la divinité de la ville arabe au sud de Ghaiman, ou la « pierre blanche » dans la Kaaba d’al-Abalat (près de la ville de Tabala, au sud de La Mecque).
La pierre noire, vulve d’Allat ?
Beaucoup d’occidentaux, surtout des sages-femmes, ont observé que l’écrin de la pierre noire, à l’angle de la Kaaba, a une forme de vulve, avec une tête de bébé qui en sort. Le mot Hajj (pèlerinage islamique à La Mecque) est dérivé de «Hack» qui veut dire friction en langue Arabe car il y avait un rituel païen dans lequel les femmes frictionnaient leur partie génitale sur la pierre noire espérant ainsi augmenter leur fertilité.(Dr.Jawad Ali dans son livre «L’histoire des arabes avant l’Islam» partie 5,page 223). Elle enduisaient la pierre avec le sang des menstrues et tournaient nues tout autour.
Une survivance de culte phallique à La Mecque ?
La Lapidation de Satan (arabe : ??? ???????, Ramy al-Jamarat signifiant « lancer [de pierre] sur les cibles [piliers] ») est une cérémonie pratiquée par les musulmans lors de leur pèlerinage ( Hajj ), au cours de laquelle ils jettent des pierres, qu’ils auront collectées durant une phase antérieure du pèlerinage, sur trois rochers qui symbolisent le diable.
Des pèlerins de Shiva ?
Lingams et yonis sur les ghâts, à Varanasi.
Ce rite s’effectue le 3e jour du pèlerinage à Mina en Arabie saoudite, à 5 km à l’est de La Mecque. Les trois piliers de pierre (un petit, un moyen et un grand) furent remplacés par les autorités saoudiennes en 2006 par trois murs de pierre, pour prévenir les accidents. Si l’écrin de la Pierre Noire de la Kaaba fait irrémédiablement penser à un vagin, les 3 piliers semblent représenter des phallus, ce qui confirmerait que La Mecque ait été un sanctuaire païen dédié à des cultes de fertilité. Sur la photo ci-dessus, le pilier phallique est entouré d’un muret circulaire, qui pourrait indiquer un vestige de culte de Shiva, ce qui semble confirmé par la tenue des pèlerins, vêtus de blancs et rasés comme des brahmanes hindouistes.
Pèlerins musulmans ou brahmanes shivaïtes ?
Ramadan, la grossesse d’Allat ?
Le calendrier musulman ou calendrier hégirien (hijri) est un calendrier lunaire, basé sur une année de 12 mois lunaires de 29 à 30 jours chacun (pour être précis : 29,53059 jours solaires). Une année hégirienne est donc plus courte qu’une année grégorienne d’environ onze jours. Les païens ont souvent fait le rapprochement entre les cycles lunaires et les cycles menstruels féminins, de durée similaire.
Ramadan également orthographié ramadhan ou ramazan, (arabe : ???????? ou Rama??n) est le neuvième mois du calendrier musulman. Au cours de ce mois, les musulmans adultes ne mangent pas, ne boivent pas, et n’entretiennent pas de relations sexuelles tant que la lune n’est pas visible. Le début du mois est basé sur l’observation du premier croissant visible après la nouvelle lune.
Est-il possible que le 9ème mois de Ramadan corresponde au 9ème mois de la grossesse de la déesse-mère Allat ? La fête de fin du Ramadan célébrerait alors l’accouchement de la déesse. Pendant le jeûne, il ne serait alors possible de manger et copuler qu’en présence de la lune, c’est-à-dire d’Allat.
Le soufisme un culte matriarcal pré-islamique ?
Selon certains auteurs, les soufis auraient essayé de maintenir le culte de Fatima (prénom de la déesse Allat), mais ils auraient été forcés de le cacher derrière des mots codés, depuis que le soufisme fait partie de l’Islam. En effet, vénérer le féminin sacré est passible de peine de mort, aujourd’hui encore dans les pays islamiques.
Lire L’affaire Salman Rushdie : les 3 déesses-mères pré-islamiques du Coran (Versets Sataniques)
Les racines juives de l’islam
Les usages islamiques (viande sacrifiée halal, interdit du porc, circoncision, voile, lapidation, tabou des menstrues…) sont totalement incompatibles avec une société arabe païenne semi-matriarcale adorant des déesses-mères, et sont donc d’origine judaïques.
Saudien
En Janvier, 2015 (16:20 PM)Titi
En Janvier, 2015 (17:00 PM)Bizo
En Janvier, 2015 (17:00 PM)Si on ne peux plus décapiter en paix sans être filmé où va le monde?
Boubou Golo
En Janvier, 2015 (17:35 PM)Kateur Vip
En Janvier, 2015 (17:45 PM)Tangana
En Janvier, 2015 (18:24 PM)Un conseil, ne soi pas lache de défendre l indéfendable.Faut faire de la politque pour jouer le role de pantin en Afrique.....
Ex-abd....
En Janvier, 2015 (19:09 PM)....
Abou
En Janvier, 2015 (20:53 PM).mo.waur.kou.ray.ngou.ray.balanga..
Raye......k
Toutou
En Janvier, 2015 (21:13 PM)Taekwondo 2008
En Janvier, 2015 (22:16 PM)Imam
En Janvier, 2015 (23:29 PM)Rahan
En Janvier, 2015 (23:43 PM)Biitiimrew
En Janvier, 2015 (02:31 AM)Radar
En Janvier, 2015 (08:06 AM)En Arabie Saoudite, il n'y a que les étrangers qui sont exécutés.
La clémence du tribunal ou les circonstances atténuantes ne profitent qu'aux saoudiens de souche.
Il y'a bien du racisme dans ces exécutions.
S@l@m
En Janvier, 2015 (08:57 AM)S@l@m
En Janvier, 2015 (09:22 AM)L'auteur tunisien de "Ma religion c'est la liberté" n'en démord pas : le Coran est porteur de modernité et de rationalité, mais son message a été altéré par les hadiths et la charia. Rencontre avec le doyen de la pensée critique musulmane, Mohamed Talbi. Une interview parue dans "Jeune Afrique" n° 2793 (20-27 juillet 2014).
Né en 1921 à Tunis, Mohamed Talbi est considéré comme l'un des historiens et penseurs les plus éminents du monde arabo-musulman. Agrégé d'arabe en 1952, premier doyen, en 1966, de la faculté des lettres et sciences humaines de Tunis, il soutient sa thèse de doctorat sur les Aghlabides (première dynastie arabo-musulmane fondée en Tunisie) en 1968, à la Sorbonne. Devenu opposant au régime de Ben Ali, il rejoint au début des années 1990 le Conseil national pour les libertés en Tunisie (CNLT, non reconnu alors).
Ardent défenseur de la liberté de penser, il dénonce le passéisme du wahhabisme, tout en livrant un combat acharné contre ceux qui osent remettre en question la véracité du Coran, qu'il nomme les "désislamisés". Personnalité à la fois tolérante et sans demi-mesure, ouverte et radicale, Talbi déroute.
Qu'est-ce qu'être musulman, selon vous ?
Être musulman, c'est se revendiquer de l'islam. C'est naître d'une cellule musulmane. C'est s'assumer comme tel en toute liberté et en toute intelligence. Lorsqu'on est musulman, on est conditionné, on ne peut pas le nier. C'est idiot, mais c'est comme ça. On est condamné à être ce que l'on est. C'est une sorte de code génétique. Vous me direz, est-ce qu'on est libre dans ces conditions ? Non. Est-ce qu'on devient libre ? Oui, on le peut. Mais on ne le devient pas forcément.
Pensez à tous ces automates commandés par leur naissance et qui ont des convictions en béton, au point de tuer. Ceux-là ne se considèrent pas comme des terroristes, il s'agit selon eux de convictions. Des convictions que nous considérons, nous, comme du terrorisme. Et c'est là tout le problème. Celui de la vérité. Qu'est-ce que la vérité ?
>> Lire aussi Mohamed Talbi : "Ennahdha est comme un cancer"
Quel jugement portez-vous sur le terroriste qui invoque des convictions musulmanes ?
Je peux d'autant plus porter un jugement sur lui qu'il ne se prive pas d'en porter sur moi. Personnellement, j'ai été accusé de kofr ["apostasie"] et condamné par trois mouvements islamistes, qui ont réclamé ma mise à mort. La sentence a même été taguée sur les murs de ma maison. Cela ne m'a pas effrayé. J'en ai informé la police, qui d'ailleurs ne s'est pas déplacée.
De toute façon, je suis appelé à disparaître un jour. Je n'ai pas demandé une protection particulière. Mon jugement sur le terroriste est qu'il n'agit que par agressivité et que toute agressivité est à condamner. On doit répondre à l'agression par l'autodéfense. Il me semble que c'est juste et rationnel. Il ne s'agit même pas de religion. Aucun dieu ne dit de porter atteinte à la vie de l'autre. En l'occurrence, il s'agit simplement de défendre le droit à la vie. Il y a là quelque chose de parfaitement fondé. Ceux qui prétendent que l'islam est violent se trompent.
Partout dans le monde, il y a toujours eu des terroristes avec des visées différentes. L'Europe a eu ses terroristes avec ou sans Dieu, athées ou au service d'un idéal. Le terrorisme n'est pas uniquement religieux. C'est une déformation de la structure de la pensée qui nie la liberté. C'est cela le terrorisme : une négation de la liberté.
Je prétends que l'islam est un humanisme. Il n'y a pas dans le Coran un chapitre sur l'extermination sacrée.
Certains accusent l'islam d'avoir une propension à la violence...
Je prétends que l'islam est un humanisme. Il n'y a pas dans le Coran un chapitre sur l'extermination sacrée. Il y a toujours cette règle de distinction dans l'exercice de la violence : "N'agressez pas. Si vous êtes agressés, ripostez de la même manière dont vous avez été agressés et, toutefois, restez pieux envers Dieu." C'est ça la règle. Les autres versets qui parlent de violence sont l'exception. Au début, les musulmans ont tout supporté de la part des Mecquois sans riposter. On leur a confisqué leurs biens et ils se sont abstenus de répondre. Il est vrai qu'ils étaient trop faibles. Mais, à un moment, Dieu les a autorisés à répondre à la violence par la violence. Ce fut la première fois que le Coran autorisa la riposte.
Vous avez toujours dit que votre seule référence était le Coran.
Oui. Je ne crois qu'au Coran et pas à la charia. Je ne retiens comme hadith vrai que celui qui concorde avec le Coran. Par exemple, ce hadith : "Le musulman est celui qui ne porte aucun préjudice aux autres ni par sa langue ni par sa main." C'est un propos qui définit exactement le Prophète, homme pacifique s'il en est. Et qui est en parfaite adéquation avec le Livre, lequel dit, en quelque sorte : "Foutez-vous la paix mutuellement." Autre exemple, on a rapporté au Prophète cette histoire : "Nous avons vu unetelle fricoter avec un homme." Et le Prophète de répondre : "Pourquoi ne l'avez-vous pas couverte de votre manteau ?" Là, j'achète.
C'est un hadith qui converge avec l'islam tel que je le conçois : porté sur la confiance mutuelle et le respect de l'autre. Pour le reste, je dis que seul le Coran oblige. La charia est oeuvre humaine. Il faut lutter contre elle par la critique, la rénovation de la pensée, la revendication des droits de l'homme et la laïcité.
Se référer au Coran veut-il dire observer toutes ses recommandations et obligations sans possibilité de les faire évoluer ?
Pas du tout. Le Prophète lui-même avait modifié certaines dispositions durant les vingt premières années, en disant "celle-ci est bonne" ou bien "aujourd'hui, je vous donne une meilleure recommandation". La lecture du Coran doit être vectorielle. D'ailleurs, le mot "charia" n'existait pas à l'époque. On utilisait le mot "hidaya", "orientation". Et l'orientation est dynamique par définition. Il est dit : "Le Coran oriente vers ce qui est le plus droit." Dans la vie humaine, l'orientation est toujours à parfaire et il faut tenter d'aller vers le plus droit, selon son époque et son temps. Il faut actualiser certaines lois coraniques. C'est dans l'esprit du Livre que de corriger ce qui est perfectible.
Peut-on, par exemple, revenir sur la loi coranique concernant la lapidation ?
Elle n'existe pas dans le Coran. Elle fait partie de la tradition juive. Aucun verset n'en parle. La lapidation est une "perle" de la charia. L'appliquer est une aberration. Ce serait comme si un juge légiférait selon une loi en disant qu'elle n'existe pas dans le code mais qu'elle est toujours valable.
La polygamie ?
Le Coran ne l'a pas inventée. Loin de là. Il l'a trouvée, et elle était illimitée. Elle était en usage surtout en Afrique. À tel point que même l'Église a permis aux Subsahariens de multiplier les épouses. Idem en Perse et en Inde. Le Coran a limité et conditionné la polygamie. Et notre Bourguiba a très bien vu les choses en l'interdisant. En effet, comment être juste avec trois ou quatre femmes, comme le recommande le Coran ?
Peut-on avoir un regard critique sur l'islam, d'une manière générale ?
Oui. C'est ce que nous faisons. Cependant, le regard qui prétend que le Coran n'est pas vrai, ou qu'il n'est pas authentique, n'est pas admissible. À partir du moment où l'on déclare l'irrecevabilité de la révélation, on cesse d'être musulman. Parce que l'islam commence par cette phrase : "Ceci est le Livre qui ne souffre aucun doute." Le musulman est celui qui ne doute pas du Livre.
Le musulman croit que le Coran est la parole de Dieu. Vous pouvez être en désaccord, dire que ce texte est écrit, fait de fragments, a été forgé au cours de l'Histoire, etc. Vous êtes libre de quitter l'islam. Je recommande même à qui se sent mal à l'aise dans cette religion ou doute de la révélation de ne pas être musulman. Celui qui ne trouve pas ses repères en islam, qu'il en sorte !
Mais il risque la mort pour apostasie...
Comme la lapidation, l'apostasie n'existe pas dans le Coran. Elle a été créée par la charia pour permettre aux tyrans de sévir et d'assassiner. Durant l'époque des califes, on pouvait être ce qu'on voulait, à condition de ne pas se rebeller contre le souverain. Mais à partir du moment où l'on se rebelle, on peut vous trouver n'importe quel prétexte pour vous tuer.
Peut-on être ou rester musulman en vivant ailleurs qu'en terre d'Islam ?
On l'est souvent malgré soi. L'islam a cessé d'être une religion pour devenir une identité. Il est devenu une appartenance à une communauté. Regardez, l'État français vous qualifie de musulman dès lors que vous êtes basané ou que vous portez un nom arabe. N'est-ce pas là forcer les musulmans à se considérer comme tels même s'ils sont sans foi ni religion ?
Seulement parce qu'ils constituent une communauté venue se greffer sur le peuple français qui, lui, n'est pas communautaire ? Les juifs posent d'ailleurs le même problème. Ils constituent eux aussi une communauté, et même quand ils ne sont plus juifs, ils continuent d'être vus comme tels. Une Rachida Dati, par exemple, peut déclarer en France : "Je suis française de parents étrangers." Point. Elle n'est pas forcément musulmane.
Je conseille fortement aux musulmans identitaires de dire qu'ils ont quitté l'islam, qu'ils ne sont plus musulmans, et de s'intégrer dans les sociétés laïques où ils se trouvent ! Il n'y a pas de mal à cela. De même, 60 000 Tunisiens se sont convertis au christianisme. Ils ont renié l'islam, c'est leur droit. Je les ai visités dans leurs églises. Il n'y a là aucun mal.
Peut-on être musulman et ne pas pratiquer ?
Non. Si on rejette la pratique, on rejette le Coran et on n'est donc plus musulman. Dieu dit : "Cette communauté qui est la vôtre est une et je suis votre Seigneur. Adorez-moi !" Les obligations religieuses font partie de la foi. Si l'on ne pratique pas par omission ou par faiblesse, cela veut dire qu'on croit encore aux obligations. Cette désobéissance est censée être provisoire. Cependant, si l'on ne pratique pas par principe, il s'agit d'un rejet. L'islam est foi et pratique. Quitter la pratique, c'est quitter la foi.
Il y a ceux qui confondent rituel et foi.
À l'inverse, tout musulman qui prie par contrainte ne prie pas. Une pratique réduite à un rituel sans spiritualité n'est pas l'islam. Ce sont des gestes sans valeur.
Vous parlez beaucoup de liberté...
Tout ce qui tue la liberté tue l'homme. Dans le monde ontologique, l'homme était un projet et Dieu lui a demandé : "Qu'est-ce que tu veux ? Être libre ou contraint ?" L'homme a répondu : "Je veux toucher l'arbre. L'arbre interdit." Car il faut avoir la possibilité réelle de désobéir, de nier Dieu. L'histoire de la tentation de l'arbre dans le Coran, c'est le moment crucial du choix.
L'homme a voulu être libre et, pour être libre, il lui faut nécessairement désobéir à Dieu. Sinon, il ne possède pas de preuve de sa liberté. Ce sont ces risques et ces possibilités de désobéissance qui ont fait que je suis devenu croyant.
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Couou1
En Janvier, 2015 (16:22 PM)- violes
- meurtres
- infanticide
- concubinages
- etc……
et là, ceux qui se réclament du 21ème siècle comprendraient mieux la Charia.
Anonyme
En Juillet, 2017 (22:40 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (22:42 PM)Participer à la Discussion