[ Video] "Lutte ou crève": des femmes hooligans menacent le Mondial 2018

The Sun, qui cite une source proche du service de renseignement russe, rapporte qu'une armée de femmes hooligans est prête à semer la zizanie au Mondial 2018. "Pour moi, le hooliganisme n'est certainement pas une affaire d'hommes", assure Diana Ivanova, 19 ans. Les organisateurs du Mondial 2018 feront le maximum pour assurer la sécurité des supporters en Russie. Cette promesse a été faite par Chris Unger, chef du département d'organisation des Coupes du monde de la FIFA. "On peut faire toute une histoire de n'importe quelle information.

Qu'il s'agisse des rumeurs sur la suspension de la ville de Samara ou des problèmes concernant les fans. Je suis sûr que le comité organisateur fera tout son possible pour que les supporters se sentent en sécurité pendant le Mondial", a déclaré Chris Unger aux journalistes il y a un mois. 11 villes Pour rappel, le Mondial 2018 se déroulera du 14 juin au 15 juillet dans 12 stades de 11 villes russes: Moscou, Kaliningrad, Saint-Pétersbourg, Volgograd, Kazan, Nijni Novgorod, Samara, Saransk, Rostov-sur-le-Don, Sotchi et Iekaterinbourg.

Au moins un demi-million d'amateurs de football ont déjà manifesté leur intention d'assister aux matchs. Mais selon une source proche du service de renseignement russe, une armée de femmes hooligans est prête à semer la zizanie à la prochaine Coupe du monde. 

Diana Ivanova fait partie de cette bande. Cette Russe de 19 ans a encore été impliquée dans une violente bagarre ce mois-ci. C'est la raison pour laquelle elle est actuellement interdite de stades en Russie. La fan du CSKA Moscou, qui s'autoproclame "nazi", arbore aussi fièrement un tatouage éloquent: "Fight or Die" ("Lutte ou Crève"). Entraînements intensifs Selon des informations rapportées par le Sun, Diana Ivanova et ses copines Olga et Elena sont prêtes à frapper un grand coup au Mondial 2018.

Pour le moment, elles suivent des entraînements intensifs et n'hésitent pas à partager leurs vidéos sur les réseaux sociaux. "Pas une affaire d'hommes" "Pour moi, le hooliganisme n'est certainement pas une affaire d'hommes. Dans notre bande, il y a même des femmes qui possèdent de l'expérience dans les sports de combat. Elles nous apprennent quelques techniques spécifiques. Un jour, on montrera en tribunes ce qu'on a vraiment dans le ventre", conclut Diana Ivanova.