Après plusieurs mois de silence, suite à son arrestation pour tentative d'homicide sur la personne de son compagnon Thomas Vergara, Nabilla a choisi le magazine Lui pour faire son grand retour médiatique. La bimbo revient sur cette nuit de novembre où tout a basculé et clame encore et toujours son innoncence. Quant à Thomas, elle l'assure, ces deux-là sont faits pour être ensemble et ce n'est pas un coup de couteau qui changera quelque chose à cela.
"Thomas est l'homme de ma vie", dit-elle à Frédéric Beigbeder en affirmant souffrir de ne pas pouvoir le voir. Depuis son arrestation le 7 novembre dernier après avoir poignardé son compagnon dans un hôtel, les juges ont interdit à Nabilla et Thomas d'entrer en contact l'un avec l'autre. Une interdiction pas vraiment respectée si l'on en croit certains "messages codés" envoyés sur les réseaux sociaux. Des médias people affirment même que les deux tourtereaux se sont revus en cachette.
"Ils font tous la queue"
Désormais le couple a demandé au juge à ce que soit levée cette interdiction. Car pour Nabilla, pas question de tirer un trait sur celui qu'elle aime. "J'imagine qu'il a envie de revenir avec moi. Il n'a pas à m'en vouloir parce que je n'ai rien fait, et il le sait. Il n'est ni acteur, ni producteur, ni riche, ni milliardaire, alors qu'ils font tous la queue. Mais lui, c'est l'homme de ma vie et il me le faut absolument". "Il me rend heureuse à fond", poursuit-elle. "Il m'écoute, il est gentil, il est doux, il prend soin de moi, il me lave les cheveux. C'est une relation passionnelle que tu ne peux pas expliquer, c'est chimique. Il est vraiment gentil ce garçon".
"Les coups de couteau? C'est du passé"
Interrogée sur les faits, Nabilla affirme une fois encore être innocente. "J'ai toujours donné la même version" explique-t-elle. "Pour moi c'est du passé. Le plus important, c'est de savoir que ça a dégénéré parce qu'il y a eu des médias, cette tension. Ce n'est pas facile de marcher tous les jours, tête baissée dans la rue, de se cacher. Moi, on me reconnait à ma voix, à ma simple odeur. Ils me reconnaissent à mes ongles, mes tatouages. C'est oppressant, ça crée une tension, et tu deviens ouf".
J'ai toujours voulu être connue
Désormais, la jeune femme n'a qu'une seule envie. Se consacrer à ce qu'elle a toujours voulu faire... du cinéma.
Et Nabilla semble très optimiste d'autant que selon elle, les médias ne l'ont pas oubliée pendant ces longs mois d'absence. "Sans aucune prétention, tous les médias, dans l'ordre alphabétique, m'ont appelée pour me demander des interviews", affirme-t-elle. Un rêve de célébrité qu'elle carressait depuis sa plus tendre enfance. "Quand j'étais plus jeune, j'ai voulu être médiatisée, connue comme tous les jeunes d'aujourd'hui. J'étais connue dans Public et Closer. Là, on parle de L'Express. Des médias que mon grand-père lit. Donc, je me dis que c'est bizarre".
Un salaire mirobolant
Il faut dire que depuis son fameux "Non mais allô quoi", dans les "Anges de la téléréalité", Nabilla n'a cessé de faire les gros titres. Une médiatisation qui lui permet de vivre aujourd'hui plus que confortablement puisque la jeune femme affirme gagner plus de 100.000 euros par mois.
Je suis trop belle pour mourir
Enfin, Nabilla est également revenue sur son séjour très difficile en prison. "La prison est pire que la garde à vue. Je pleurais ma rage, j'allumais la télé tous les jours. J'étais dans ma cellule et tous les jours je voyais des gens qui donnaient leurs avis. Et les grandes chaînes qui disaient que j'allais prendre trente ans". "Ça rend ouf, j'avais envie de mourir. Mais après je me suis dit que j'étais trop belle pour mourir."
2 Commentaires
Anonyme
En Avril, 2015 (11:49 AM)Anonyme
En Avril, 2015 (12:13 PM)Participer à la Discussion