L’Etat participe enfin, à la commémoration de la disparition d’Omar Blondin Diop, cet étudiant et acteur politique qui a marqué les années 1968-1973 pendant les grandes manifestations ouvrières et estudiantines contre le régime de Senghor. Omar Blondin Diop a été retrouvé mort, il y a quarante ans dans sa cellule à la prison de Gorée. Alors que sa famille parle d’assassinat, les autorités de l’époque (régime socialiste de Senghor) avaient annoncé un suicide par pendaison. Les autorités actuelles ont donné leur accord pour qu’une cérémonie soit organisée et qu’une plaque soit mise en place sur les lieux pour lui rendre hommage. D’après nos confrères de Nouvel Horizon, « cette annonce peut-être considérée comme une reconnaissance de la thèse de l’assassinat ». NH se pose la question de savoir si l’Etat va enfin ouvrir une enquête sur les circonstances de la mort d’Omar Blondin Diop.
45 Commentaires
Rest In Peace
En Avril, 2013 (20:41 PM)Boy Fait Divers
En Avril, 2013 (20:46 PM)Pf
En Avril, 2013 (20:55 PM)RIP.....
Dédada
En Avril, 2013 (21:01 PM)ça me fait rire quand je vois aujourdhui les gens plébisciter Senghor
Njk
En Avril, 2013 (21:17 PM)Lol
En Mars, 2024 (12:30 PM)Rethiou4
En Avril, 2013 (21:19 PM)Et assasinats politique devaient être elucider. Mais il etait aveugler par l'argent et le pouvoir.
Anonyme
En Avril, 2013 (21:27 PM)Ool
En Avril, 2013 (21:28 PM)ces gens ont fait trop de mal dans ce pays.
Temps Boy
En Avril, 2013 (21:28 PM)Je quittais chez moi pour aller cueillir du Guerte Toubab chez eux, les dimanches avec son petit fils qui est mon ami. C'etait dans les annees 90
Feu son pere aimait les enfants, il nous demandait qu'est ce qu'on voulait faire quant on sera grand? Il nous achetait des pains au chocolat tous les dimanches vers 17h. Avec mon groupe, on avait hate a y aller tous les dimanches. Temps boy lol.
Que Dieu les accueille dans son paradis
Fans
En Avril, 2013 (21:30 PM)Thiye Le Ps
En Avril, 2013 (21:34 PM)Jusqu’à ce jour, en dehors des soupçons qui pèsent de toute part, aucune information ou un fait avéré n’a été fourni pour permettre à l’opinion de savoir qui a tué Me Babacar Sèye et qui sont les véritables commanditaires. Ce fut un meurtre réfléchi et planifié. Il en est de même pour la mort du Commissaire Sadibou Ndiaye tué dans des conditions et des circonstances jusque là inconnues et nébuleuses. Le Chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, dans sa correspondance réponse à l’Opposition réunie autour de «Benno Siggil Sénégal» a évoqué «la mort du Commissaire Sadibou Ndiaye jeté du haut de la mamelle du phare alors qu’il sortait de la Présidence de la République». Ceci a été le prétexte pour revenir sur ce moment tragique dans le fonctionnement de l’Etat et dans la gestion du dossier des policiers radiés en 1987. Retour sur le lieu du crime…
1987 ! Abdou Diouf, Président de la République du Sénégal, Jean Collin Secrétaire Général de la Présidence de la République, Ibrahima Wane, Ministre de l’Intérieur, Amary Khary Sèye, Directeur Général de la Sûreté Nationale (DGSN) et le Commissaire Sadibou Ndiaye était le Directeur de la Sécurité Publique (DSP). Au niveau de la Présidence de la République, Jean Collin avait un groupe de jeunes Cadres sénégalais sortis de l’Ecole Nationale d’Administration pour certains, d’autres étaient de simples agents et des militants socialistes.
Dans ce même groupe de Collin, il y avait deux journalistes connus aujourd’hui dans le milieu de la presse. Ils sont d’ailleurs devenus des patrons de presse aujourd’hui. Ils étaient tous des agents de la Présidence à travers Jean Collin qui leur confiait des missions secrètes.
Tout est parti d’un incident d’un groupe de policiers. C’est dans le cadre de leur travail que des policiers ont eu des altercations avec un civil. Selon la partie civile, les policiers auraient maltraités la personne. L’affaire atterrit au Tribunal. Les policiers accusés par le civil sont jugés puis condamnés à un an ferme sans appel. Le mandat d’arrêt est lancé, les policiers sont arrêtés.
Au niveau de la Police, les agents contestent cette décision de justice. Selon eux, il y aurait eu des pressions raison pour laquelle la sentence est lourde. Les policiers étaient persuadés qu’il y a une main invisible derrière. Les policiers démarrent une campagne pour casser cette décision. Il fallait tout faire pour faire libérer les agents arrêtés.
Dans leur stratégie, les policiers décident d’organiser une marche pacifique dans les rues de Dakar. Les marcheurs devraient quitter le Commissariat centrale de Dakar pour aller vers le Palais de la République.
Cette décision de marche va à l’encontre des règlements. Car les hommes de tenues n’ont pas le droit d’organiser des marches. Sur ce plan, ils ont enfreint la loi. En dépit de cela, les policiers ont tenu
leur marche.
Le jour de cette marche, les autorités ont envoyé des éléments de la Gendarmerie pour disperser la foule de policiers en marche vers le Palais.
Vers la place de l’Indépendance, les Gendarmes et les policiers se sont affrontés en plein jour. Les choses ont failli débordé mais il y a eu plus de peur que de mal. Le pire a été évité.
Sur le champ, le Président de la République Abdou Diouf reçoit son Secrétaire Général Jean Collin pour prendre une décision. Car de réelles menaces pesaient sur la stabilité de son régime. Tout était possible si les policiers étaient arrivés devant le Palais.
Jean Collin propose ainsi à Abdou Diouf la radiation de tous les policiers. Le Président de la République applique la mesure et saisit l’Assemblée Nationale qui vote la loi. Le Sénégal, par la simple volonté de Jean Collin, de sa bande de jeunes Cadres et de celle du Chef de l’Etat perd l’ensemble de ses policiers pères de familles.
En ces moments, les Policiers occupaient une place centrale dans le dispositif étatique du pays. Ils se sentent touchés, humiliés en dépit de tout le travail qu’ils abattent en tant que des Républicains au service de la Nation.
La loi passe à l’Assemblée Nationale. Le Secrétaire Général de la Présidence Jean Collin demande au Directeur Général de la Sûreté National (DGSN) Amary Khary Sèye de convoquer tous les Commissaires de Police à l’Ecole Nationale de la Police.
Ce jour, le discours de Collin a été particulièrement virulent. Devant tous les Commissaires, il traite les policiers «d’incapables». Il les traite de tous les bas mots. Selon nos sources, Collin aurait même dit aux Commissaires que les gendarmes feront mieux le travail. Il faut rappeler que le travail que faisaient les policiers a été confié aux gendarmes. Dans ce groupe de Commissaires rencontrés par Jean Collin, il y avait le Commissaire Sadidou, Directeur de la Sécurité Publique (DSP).
Dans les normes, les policiers ne devraient pas tenir leur marche illégale sans que le Directeur de la Sécurité Publique ne réagisse. Connaissant la loi, Collin ne pouvait pas admettre que Sadibou Ndiaye se range du côté des hors la loi.
C’est à peine que le Commissaire Sadibou Ndiaye a laissé Jean Collin terminer ses propos, il le coupe devant toute l’assistance et l’arrose d’insultes. Le Commissaire d’une quarantaine d’année abreuve d’injures Jean Collin qui n’a jamais été traité de la sorte par une personne. A l’époque, il était plus craint et plus respecté que le Chef de l’Etat qui ne prenait aucune décision sans le consulter.
Le Directeur Général de la Sûreté National d’alors Amary Khary Sèye a été très proche des socialistes. Jean Collin passe par lui encore pour convoquer le Commissaire Sadidou Ndiaye à la Présidence de la République après leur réunion houleuse.
Dans le bureau de Jean Collin, le Commissaire répète ce qu’il avait dit à l’Ecole Nationale de la Police lors de leur réunion. Et plus grave encore, il menace de faire des révélations contre le régime socialiste.
Il faut rappeler que Sadibou Ndiaye a été un proche de Jean Collin jusqu’avant la radiation des policiers. Il détenait tous les dossiers des socialistes. Des dossiers qui concernaient des marabouts, des députés, des femmes de Ministres, des femmes d’affaires, des policiers français, du traitement que les socialistes faisaient subir à certains marabouts qui dérangeaient leur régime, des trafics de devises, de drogue, d’or, des dossiers concernant des chefs d’Etat. Bref le Commissaire Sadibou Ndiaye détenait beaucoup de secrets inaltérables et jalousement gardés.
A la Présidence, le Commissaire cache ses vérités à Jean Collin et rentre à la Cité Police (l’immeuble situé en face de la porte du millénaire).
Le lendemain, Jean Collin fait appeler de nouveau le Commissaire qui refuse de répondre. Dans cette affaire, Collin n’a jamais agi seul. Il était accompagné par des personnes tous agents à la Présidence de la République.
Lorsque Sadidou Ndiaye a refusé de répondre, Collin l’a fait venir par la force au Ministère de l’Intérieur. D’autres sources disent que la dernière rencontre entre Collin et le Commissaire a eu lieu à la Présidence.
Tout se serait passé lors du face-à-face entre le Secrétaire général de la présidence et le Directeur de la Sécurité Publique. Dans le bureau, les deux hommes étaient seuls. Au moment où ils discutaient, alors que Sadibou Ndiaye a été amené de force, un homme aurait tiré sur lui, le tuant sur le coup. Donc le Commissaire, selon les informations que nous détenons aurait été assassiné sous les yeux de Collin et de … qui encore ?
Il faut maintenant se débarrasser du corps. Des jeunes auraient été chargés de transporter le corps du Commissaire à bord de sa propre voiture.
Le corps sera transporté du centre ville aux mamelles de Ouakam. Le Commissaire sera jeté du haut des mamelles avec sa voiture. Lorsqu’ils le jetaient dans l’océan, des éléments qui faisaient la patrouille les auraient aperçus.
Selon certaines sources, la voiture n’est pas tombée directement. En plus la thèse d’accident simulé n’avait pas convaincu les sénégalais car aucune trace de pneus n’a été décelée. Or il est évident que dans des accidents pareils, le conducteur tente toujours d’arrêter sa voiture ou de dévier. Et dans ce cas, il laisse des traces de pneu sur le sol.
Sa famille est laissée dans un désarroi total. C’est l’Etat qui a fait l’autopsie. Il l’a enterré après avoir déclaré la thèse d’un accident.
Selon nos sources, son fils a contacté un avocat proche de l’opposant Wade. Ce dernier est d’ailleurs actuellement Ministre dans le Gouvernement. Lorsqu’il a montré à l’avocat les informations d’Etat estampillées «top secret» que son père Sadibou Ndiaye détenait. Ce dernier lui aurait tout simplement conseillé de les garder et de ne pas porter plainte.
Sa vie était en danger. Car les auteurs du crime de son père n’hésiterait pas à la descendre.
C’était un 1987, donc à un an de la présidentielle de 1988. Me Abdoulaye Wade le leader de l’Opposition, après son emprisonnement de 1985 suite à une marche contre l’apartheid, est revenu en force avec ce dossier des policiers radiés.
Il en fait un dossier et rejoint les policiers dans la bataille. Etant un parti d’opposition représenté à l’Assemblée Nationale, Me Abdoulaye Wade demande à ses députés de voter contre la loi qui radie les policiers. Il gagne en sympathie du côté des policiers.
Par la suite, le Gouvernement a repris quelques uns de ces policiers radiés. A cause de cette affaire, beaucoup de policiers ont perdu leurs épouses et leurs enfants. D’autres sont devenus des malades mentaux au moment où d’autres ont vu leur épouse se convertir en femme de nuit pour sauver la famille et l’éducation de leurs enfants.
L’ancien étudiant Alfoousény Cissé dirigeant de grève a été tué presque dans les mêmes conditions. Ce dernier, à l’image de Mamadou Diop Decroix et d’autres étudiants a été enrôlé de force dans l’armée. Par la suite, il sera affecté dans les zones de tension au Sud du pays. Alfouseyni Cissé habitant Ziguinchor aurait été tué dans la zone de Santhiaba Manjak, selon les versions «officielles». A en croire nos sources, il aurait été assassiné avec une arme de marque «Merlin 44». Selon une
source policière, seul Jean Collin possédait une arme de cette marque.
L’année qui a suivi la mort du Commissaire Sadibou Ndiaye, 1988, s’est tenue la fameuse élection présidentielle.
Moussa Kalamou
En Avril, 2013 (21:37 PM)Thiey Ps 2
En Avril, 2013 (21:39 PM)Dans ce même groupe de Collin, il y avait deux journalistes connus aujourd’hui dans le milieu de la presse. Ils sont d’ailleurs devenus des patrons de presse aujourd’hui. Ils étaient tous des agents de la Présidence à travers Jean Collin qui leur confiait des missions secrètes.
Tout est parti d’un incident d’un groupe de policiers. C’est dans le cadre de leur travail que des policiers ont eu des altercations avec un civil. Selon la partie civile, les policiers auraient maltraités la personne. L’affaire atterrit au Tribunal. Les policiers accusés par le civil sont jugés puis condamnés à un an ferme sans appel. Le mandat d’arrêt est lancé, les policiers sont arrêtés.
Thiey Ps 3
En Avril, 2013 (21:45 PM)Dans leur stratégie, les policiers décident d’organiser une marche pacifique dans les rues de Dakar. Les marcheurs devraient quitter le Commissariat centrale de Dakar pour aller vers le Palais de la République.
Cette décision de marche va à l’encontre des règlements. Car les hommes de tenues n’ont pas le droit d’organiser des marches. Sur ce plan, ils ont enfreint la loi. En dépit de cela, les policiers ont tenu
leur marche.
Le jour de cette marche, les autorités ont envoyé des éléments de la Gendarmerie pour disperser la foule de policiers en marche vers le Palais.
Vers la place de l’Indépendance, les Gendarmes et les policiers se sont affrontés en plein jour. Les choses ont failli débordé mais il y a eu plus de peur que de mal. Le pire a été évité.
Sur le champ, le Président de la République Abdou Diouf reçoit son Secrétaire Général Jean Collin pour prendre une décision. Car de réelles menaces pesaient sur la stabilité de son régime. Tout était possible si les policiers étaient arrivés devant le Palais.
Thiey Ps4
En Avril, 2013 (21:51 PM)En ces moments, les Policiers occupaient une place centrale dans le dispositif étatique du pays. Ils se sentent touchés, humiliés en dépit de tout le travail qu’ils abattent en tant que des Républicains au service de la Nation.
La loi passe à l’Assemblée Nationale. Le Secrétaire Général de la Présidence Jean Collin demande au Directeur Général de la Sûreté National (DGSN) Amary Khary Sèye de convoquer tous les Commissaires de Police à l’Ecole Nationale de la Police.
Ce jour, le discours de Collin a été particulièrement virulent. Devant tous les Commissaires, il traite les policiers «d’incapables». Il les traite de tous les bas mots. Selon nos sources, Collin aurait même dit aux Commissaires que les gendarmes feront mieux le travail. Il faut rappeler que le travail que faisaient les policiers a été confié aux gendarmes. Dans ce groupe de Commissaires rencontrés par Jean Collin, il y avait le Commissaire Sadidou, Directeur de la Sécurité Publique (DSP).
Dans les normes, les policiers ne devraient pas tenir leur marche illégale sans que le Directeur de la Sécurité Publique ne réagisse. Connaissant la loi, Collin ne pouvait pas admettre que Sadibou Ndiaye se range du côté des hors la loi.
Moom Ndiaye
En Avril, 2013 (21:51 PM)Ami De Sankara
En Avril, 2013 (21:55 PM)Maton
En Avril, 2013 (22:19 PM)D'hulkarnaye
En Avril, 2013 (22:31 PM)Solitys
En Avril, 2013 (22:42 PM)Ioury
En Avril, 2013 (22:51 PM)Toutes mes pensées à sa famille, ses frères Alioune, Becaye ..que cet hommage puisse nous rappeler qu'il fut un temps ou au Sénégal les vraies valeurs et les principes profonds et forts de citoyen faisaient peur au régime totalitaire de Senghor ...aujourd'hui on parle plus d'argent et de futilités ..pauvre Sénégal !
R.I.P Omar..
Libassse
En Avril, 2013 (22:55 PM)Xxx
En Avril, 2013 (23:13 PM)Modouraka
En Avril, 2013 (23:14 PM)Moi, je suis son sosie. Après sa mort, alors que sa famille habitati en face de score liberté, chaque fois que je me rendais dans cette maison pour retrouver mes Pape Ndiaye, Auguste, Iba, Kader (yalla na leen yallah yeureum) Cheikh Amalla Pape Diop et Alioune, leur maman en me regardant, ne cessait de pleurer à tel point que j'ai cessé d'y aller.
Au Sénégal, ceux qui connaissent bien Oumar sont, à part ses frèsencore en vie, Joe Ouakam, Bouba Diallo, Youssef Omaîs, le patron de patissen.
Oumar était d'une intelligence supérieure au lycée Van. Il a réussi Normale sup du premier coup là où senghor a lamentablement échoué. comme il a fait pour museler Cheikh Anta diop, il était hors de question que ce garçon puisse survivre.
Oumar a été un des leaders du mouvement étudiant en france et dans tous les reportages concernant Mai 68, il apparait aux côtés de daniel Cohn Bendit et d'autres dirigeants de la gauche. non seulement senghor voulait le liquider mais les foccart avaient fomenté un coup contre lui à l'occasion de la visite de Pompidou au sénégal.
Il fut arrêté et jeté en prison, déporté du mali et incarcéré à kédougou d'abord avant d'être transféré à gorée. étaient condamnés, les joe gaye ramaka. pape diop blondin, son frère pape Ndiaye notamment.
je pourrais passer des heures à vous parler de l'initiation que oumar nous a faite dans tous les domaines de la philo à jimmy hendrix, de john coltrane à miles davis.
il avait grandi à yoff batterie avant de se rendre en france pour y poursuivre ses études. il ne parlait pas wolof à l'époque car comme tous ses frères, il ne fréquentait qu'un milieu toubab de l'aéroport au lycée van.
Bien qu'il laisse une image de militantisme incontestable, oumar n'avait pas eu le temps d'avoir été impliqué dans les combats politiques au sénégal. c'était cependant un africaniste pur de la dimension des kwame nkrumah et les français ne voulaient pas laisser émerger des intellectuels de cette dimension en afrique. ils en ont liquidé partout au cameroun, ......
Magmeli
En Avril, 2013 (23:26 PM)C'est certes un assassinat, mais je ne suis pas sur que L.S. Senghor en soit l'auteur.
Et, certains des matons en question sont encore vivants pour temoigner qu'il a été battu a mort sur ordre de Jean Collin; suite à son passage à la Prison de Gorée parce qu'Omar lui avait craché au visage.
Qu'Omar B.Diop repose en paix et, que Dieu lui accorde Sa Miséricorde. Amine!
Djibo
En Avril, 2013 (23:57 PM)Nts
En Avril, 2013 (00:29 AM)Api
En Avril, 2013 (01:07 AM)Notre Histoire
En Avril, 2013 (02:06 AM)Tom
En Avril, 2013 (02:34 AM)Feug21
En Avril, 2013 (04:35 AM)A l 'époque , il n 'habitait pas encore à la Sicap en face du score , ils habitaient à l 'aéroport à la cité Asecna ou leur père était le médecin chef . leur maman tante Adama Ndiaye était sage femme à la polyclinique .
Collin était le ministre de l 'intérieur & c 'est de lui que tout est parti . c 'est lui qui a organisé les tortures.
Djibo était avec Niasse les responsables du MJUPS( jeunes du parti au pouvoir ) .
Rip O B Diop
En Avril, 2013 (07:21 AM)L'HISTOIRE EST DRAMATIQUE .feu jean Collin est au cœur de ce drame.
Reulan
En Avril, 2013 (07:48 AM)Maalaw
En Avril, 2013 (08:45 AM)Parmi les frères Blondin, le cadet, Omar, a fait ses études à Paris. Après avoir été élève au lycée Louis-le-Grand, il sera diplômé de l'École normale supérieure. C'est à ce moment que sa conscience politique se consolide. À Paris, il rencontre Jean-Luc Godard pour qui il joue dans La Chinoise en 1967. Il fréquentera le milieu estudiantin et participera aux évènements de mai 68. Il repart à Dakar où l'impact de 68 a été un retentissement important comme partout en Afrique. La jeunesse sénégalaise instruite, réactive et inspirée notamment par Frantz Fanon, Cheikh Anta Diop, Jean-Paul Sartre et autres rénovateurs de l'esprit de cette époque, est extrêmement surveillée par les services du pays. Omar Blondin Diop souhaite transmettre l'amorce révolutionnaire que fut mai 68 et les idées d'égalité entre tous qu'il véhicule. L'agitation syndicale et scolaire aboutit à la crise politique de 1968. C'est un revers pour le gouvernement. Il prendra des mesures coercitives. Les partis étudiants, associations, regroupements sont interdits. La population s'agite et manifeste dans la ville de Ziguinchor et en Casamance. Omar gardera contact avec les mouvements communistes français et ses camarades parisiens. Après quelques actions politiques à Dakar et une opposition fermement déclarée et radicale à la politique du Président Senghor, il sera arrêté puis inculpé pour "terrorisme" et pour espionnage comme agent étranger. Il est emprisonné la prison du cul-de-basse-fosse sur l'île de Gorée. Quelques mois plus tard, on le retrouvera mort par strangulation. La population en réaction exprime sa colère. Le Sénégal est au bord du chaos. Le Gouvernement français " aidera " le pays à retrouver son calme.
RIP DIAMBAAR !!!
Thiouneyi
En Avril, 2013 (08:51 AM)Paranoya
En Avril, 2013 (08:55 AM)Es
En Avril, 2013 (08:57 AM)Qu'Allah l'accueille au Paradis.
Teumbeul
En Avril, 2013 (09:18 AM)Moussa Bah
En Avril, 2013 (09:24 AM)Google Books
En Avril, 2013 (10:10 AM)Verité
En Avril, 2013 (10:13 AM)son frere ousmane a meme epousé la fille de keba mbaye,c pkoi jamais d'attaque du pm actuel par le rnd version pape diop. C beau la famille.
Les vrais revo etaient les incendiaires du centre culturel francais:jaky paye,paloma...etc
Le vieux blondin a amené tous ses enfants en france tres tot dans le 14eme laissant ici les fils de pauvre comme ZA alors k les mots d'ordre etaient de se battre ici.
Arretons de creer des mythes pour une personne ki s'est siuicidé pour emmerder senghor
Mahamba
En Avril, 2013 (10:43 AM)Il faut faire la différence entre une République et une Démocratie, Je pense à L'histoire de Rome et de la Grèce, dans une république après des élections le peuple n'est plus souverain, puisqu'il est représenté par ses élus......Sénateurs, etc....Donc l'anarchie ne peut être toléré(ROME).et dans une démocratie c'est l'opposé.
Dolé mo Meun Deuge.=Régime Présidentiel
Senghor avait le pouvoir.......Omar un engagé, paix à son Ame
@vérité
En Avril, 2013 (11:35 AM)Verité
En Avril, 2013 (11:52 AM)repond sur les autres points
Surement c la famille
Dieredieuf
En Avril, 2013 (18:59 PM)qu'ils reposent en paix Omar et tous ces frères qui sont morts
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