Le président gambien, Adama Barrow, a déclaré, mercredi, à Banjul, être "en contact permanent" avec son homologue sénégalais, Macky Sall.
"Nous sommes en contact permanent depuis mon arrivée au pouvoir. Nous sommes contents du travail qu’il a accompli", a dit M. Barrow lors d’une audience qu’il a accordée au ministre sénégalais de la Pêche et de l’Economie maritime, Oumar Guèye.
M. Guèye a entamé mercredi une visite de trois jours à Banjul, la capitale gambienne, dans le cadre de la signature de nouveaux accords de pêche entre la Gambie et le Sénégal.
Adama Barrow a réaffirmé sa volonté de "travailler vite" avec le gouvernement sénégalais pour accélérer la construction des infrastructures communes aux deux pays.
Il s’agit essentiellement du pont prévu sur le fleuve Gambie, à Farafenni, pour faciliter le déplacement des personnes et des biens entre le nord et le sud du Sénégal.
"Le travail, une fois qu’il est sur la bonne voie, le mieux à faire, c’est de l’accélérer", a ajouté Adama Barrow, en faisant allusion à la construction des infrastructures communes aux deux Etats.
Il a par ailleurs invité ses compatriotes et les Sénégalais à l’"unité". "Nous devons nous unir parce que c’est une dimension de la démocratie."
M. Barrow a prêté d’abord serment à l’ambassade de son pays à Dakar, avant de se prêter de nouveau à cet exercice de manière plus solennelle, à Banjul, après le départ en exil de son prédécesseur Yahya Jammeh, le 21 janvier.
M. Jammeh a fini par céder devant les pressions diplomatiques et militaires de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, après avoir refusé pendant plusieurs semaines de quitter le pouvoir, à la suite de sa défaite à l’élection présidentielle du 1er décembre dernier.
Les relations souvent difficiles entre Yahya Jammeh et les autorités du Sénégal sont vite passées à la "lune de miel" avec l’arrivée au pouvoir de son successeur, selon l’expression d’un éditorialiste sénégalais.
15 Commentaires
Anonyme
En Mars, 2017 (23:48 PM)Dakarsante
En Mars, 2017 (23:58 PM)Patriote
En Mars, 2017 (23:59 PM)diapo si daraaaa
diapo si daraaaa
diapo si daraaaa
diapo si daraaaa
diapo si daraaaa
Linda Mujer
En Mars, 2017 (00:35 AM)Anonyme
En Mars, 2017 (04:37 AM)Zeusss
En Mars, 2017 (05:31 AM)Anonyme
En Mars, 2017 (06:21 AM)Anonyme
En Mars, 2017 (06:35 AM)Hollande le patron de macky
Et on a vue hollande degager par son peuple comme une merde, inchallah macky suivra alors barrow arrete de lecher le cul d un dictateur detester par son peuple, et va travailler au lieu de faire la,chasse au sorciere comme macky juste pour rester sur ton fauteuil
Anonyme
En Mars, 2017 (07:42 AM)Il faut aussi savoir que la Gambie doit bcoup au Sénégal , on vous a toujours aidé malgré les difficultés ça aussi ne l'oubliez jamais.
Le dernier point c'est qu'il faut comprendre que la Gambie ne peut avoir la sécurité en écartant le Sénégal. Vous êtes un pays dans un pays car entouré presque par le Sénégal donc si vous nous déclarez la guerre on va juste vous encercler et c'est fini(rire) . Un bon chef de guerre n'aurait pas de peine à vous dominer(que dieu nous en épargne, la paix c'est mieux que tout). Donc monsieur barrow il faut entretenir de bonnes relations avec le Sénégal , c'est dans ton intérêt. Mais une chose me dérange un peu chez ce président Gambien, il me semble qu'il ne connait rien de l'état et a même peur de la charge de ses fonctions et responsabilités, il est novice et tâtonne un peu , il doit donc s'accrocher au dos de macky pour apprendre un peu ce qu'est diriger un pays . C'est très différent de la gestion d'une entreprise, il faut avoir la culture de l'état et être un homme d'état, même trump n'y arrive pas , il fait d'énormes dégâts sur le plan diplomatique ou de la communication motakh état diokh ko kouko khame dassé bakh . Certains pays regardent bcoup l'expérience des candidats aux élections présidentielles mais en Afrique certains arrivent à ce poste par accident car le peuple veut juste sortir des griffes d'un dictateur et vote pour toute option qui se présente. Or, il me semble très important de juger non seulement le vécu, le projet mais aussi le charisme et la carrure d'homme d'état avant de donner le pouvoir à quelqu'un ou quelqu'une.
Anonyme
En Mars, 2017 (08:28 AM)Anonyme
En Mars, 2017 (08:34 AM)Anonyme
En Mars, 2017 (09:30 AM)Sane De Paris
En Mars, 2017 (13:23 PM)Anonyme
En Mars, 2017 (13:31 PM)Anonyme
En Mars, 2017 (11:45 AM)Participer à la Discussion