Rapprocher les deux parties, afin de permettre à Aida Mbodj de retrouver son fauteuil de président du conseil départemental de Bambey: c’est ce que souhaite l’Association des départements du Sénégal. La structure, qui a déjà rencontré Aida Mbodj (trésorière de l’association), a prévu une rencontre avec le gouvernances locales, selon son président, Adama Diouf. Il s'en explique dans le quotidien le PoPulaire de ce mercredi 27 avril 2016.
«Nous avons passé en revue les différents documents qu’on lui a envoyés, dont naturellement la lettre du ministre, la lettre du préfet qui lui a notifié cette lettre mettant fin à son mandat. Et nous avons également lu le code pour voir les dispositions de la loi 96-11», indique-t-il. L’association, dit être dans les dispositions de «rapprocher les deux parties pour que l’administration reconsidère sa position de laisser Aida Mbodj exercer ses fonctions de président de département.
Parce qu’elle a démissionné du mandat de conseiller municipal de Bambey», justifie encore le président Adama Diouf. Et, «le document qu’elle nous a remis mentionne effectivement une date mais bien au-delà de ce qui est prescrit par la loi. Mais le ministère a également envoyé ses courriers récemment au mois d’avril», relativise-t-il.
3 Commentaires
Anonyme
En Avril, 2016 (11:32 AM)Anonyme
En Avril, 2016 (13:32 PM)Anonyme
En Avril, 2016 (14:09 PM)Elle a commencé par dire qu’elle avait démissionné depuis juillet 2014, maintenant sa démission date le 02 mars 2016. Durant les 20 mois qui séparent ces dates était elle dans la légalité ou pas ?
C’est comme qui dirait je l’ai volé et utilisé à présent je vous le redonne. Cela ne fait pas pour autant un être honnête. Soyez sérieux avec vos compatriotes. La dame avait dit que que le code des collectivités locales a rendu caduques la loi 96-11, elle s’est rendue compte que c’est archi faux, bref elle a perdu la face. Gardez la vôtre M. Diouf..
Bambey regorge de compétences capables de travailler plus et mieux qu’elle.
Que force reste à la loi.
Le Sénégal ne peut pas se payer le luxe de dépenser autant de moyens, d’énergie, de temps pour un Référendum en vue de renforcer nos Institutions, l’Etat de droit, la Bonne Gouvernance et transiger sur une question aussi sérieuse. Il y va de la crédibilité même de l’Etat dans sa conduite de l’acte 3.
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