Ld Debout est derrière Cheikh Bamba Dièye, convoqué à la Dic à la suite de ses propos contre les juges Demba Kandji et Malick Lamotte. Selon Mamadou Guèye, son secrétaire exécutif national, la convocation du député et ex-maire de Saint-Louis est révélatrice de la volonté du «pouvoir actuel de viser l’opposition afin qu’il n’y ait aucun candidat aux élections de 2019».
«L’honorable député Cheikh Bamba Dièye n’est pas un cas singulier par rapport aux autres, tels le cas Khalifa Sall, le cas Barthélémy Dias et le cas Karim Wade», insiste Guère sur la Rfm.
«Mais Cheikh Bamba Dieye, ce qu’il a dit est très clair. On le soutient. Il a dit que le système judiciaire est corrompu et que c’est une justice à double vitesse. Et, c’est vrai. On n’est pas dans une dictature. Nous sommes dans une République où chaque individu, qui plus est un député, qu’on veut museler au vu et au su de tout le monde, ce n’est pas normal. Il est du devoir de la Ld Debout de dire que cela n’est pas juste.»
12 Commentaires
Anonyme
En Août, 2018 (10:18 AM)Anonyme
En Août, 2018 (10:34 AM)Anonyme
En Août, 2018 (10:38 AM)Anonyme
En Août, 2018 (10:43 AM)Anonyme
En Août, 2018 (10:58 AM)La politique est une entreprise financièrement rentable au Sénégal. Le pays est un immense gâteau de chef étoilé à partager entre plus de 300 partis dont 290 vautours n’osant pas voler de leurs propres ailes à une présidentielle car n’ayant ni le quotient électoral, ni la surface financière pour payer la caution, si ce n’est pas le pouvoir qui s’en acquitte à leur place pour berner les masses, astakhfiroullah !, baiser devrais-je dire. Les polluants politiques persistants et vrais faux opposants se réfugient derrière le nid douillet des coalitions, désertent le terrain politique pour envahir le terrain médiatique et exister par l’unité de bruit ; ni permanence, ni structures, zéro activité. Le récépissé ne sert point à conquérir le suffrage des électeurs, mais c’est un permis de combinazione, de spoliation, de prédation, d’accaparement de ressources sur le dos du Sénégal. La stratégie est simple. Le parti-media dit soutenir l’action du Président de la république en fonction qui lui jette un grand os à ronger rembourré avec fromage : salaire, avantages en nature et espèces, impunités garantis durant le mandat.
Si c’est à la veille du premier tour de la présidentielle, il faut faire semblant de se présenter sans en avoir le courage. Aucune consigne et on attend le deuxième tour pour le grand chantage du maître en la matière. Au président sortant qui détient la caisse noire de milliards, il est exigé des frais de campagne. Les soi-disant souteneurs du challenger prétendent que leur soutien est sans condition. De ce fait, ils reçoivent des frais de campagne. Si le challenger passe, c’est le jackpot : rentes assurées durant le mandat du nouvel élu. Le supporter du candidat battu va transhumer par contournement, pour, dit-il, soutenir l’action du Président de la République. Dans tous les cas, les entrepreneurs politiques ne perdent rien de leur investissement et suceront le sang du contribuable sénégalais : salaires, passeport, logement, couverture maladie, parc automobiles, carburant, voyages à l’autre bout du monde. C’est pourquoi les partis yobbaléma, altoppé prospèrent. Violence au summum sur le peuple dépouillé ne saurait être plus pernicieuse. Ainsi déguisé, le vol est institutionnalisé et le crime organisé sans porter le nom de camorra ou oser appeler au « legalize it » à propos du yamba de Peter Tosh et du mouvement rastafari. Personne ou peu pour défendre les intérêts supérieurs de la nation orpheline et impunément violée à répétitions sur recommandation juridiquement encadrée. Le seul métier qui vaille est la politique. Inutile de travailler ; point de curriculum-vitae à faire valoir. Le parcours politique prime sur parcours professionnel.
Faites de la politique et toujours de la politique, rien que de la politique, ainsi ventre et bas-ventre sont éternellement satisfaits. Les compétences en politique politicienne payent plus que les compétences pures.
Ah tchim !, tchim mbaye !vagabondage politique ! transhumance !, appellation d’origine contrôlée de la prostitution politique dans le maquis avec ou sans la carte sanitaire du parti au pouvoir! Et si la proposition de l’ex- Premier Ministre Souleymane Ndéné Ndiaye avait abouti, combien d’hommes politiques, pardon, de bêtes en transhumance à la recherche de pâturages d’abord verts-PS, ensuite bleus-PDS, après marron-beige-APR, voulant goinfrer à tous les râteliers, de Senghor à Diouf, en passant par Wade et Macky, seraient fusillés ?
Rage du Sunugal, les politichiens émergent, l’homo-senegalensis s’immerge et se noie mais quand le peuple se réveillera, le monde des politichiens s’effondrera. Donald Trump ne parlera plus de pays de merde. Le rire du nègre bon banania, comme pendant l’époque coloniale, ne se rappellera plus au bon souvenir de l’homo-africanus, risée du monde.
Tuubé Waalo alias Doloff fign
Anonyme
En Août, 2018 (11:02 AM)Anonyme
En Août, 2018 (11:06 AM)Quand on les entends parler on sent nettement que ce sont des chasseur de primes bref de bien publique.
Le politicien ou le député doit être le premier a applique les lois du Sénégal.
Comment les politicien se permettent 'il d'insulter des gents en publique tout en sachant que l'insulte en publique est interdit par la constitution.
Insulter en publique est un péché chez les musulman, catholique et tous les croyants et pratiquant avec fois.
S'il vous plait, Bamba Dieye, ton père était une référence au Sénégal.
Tu es entrain de ternir son image qui a fait de toi ce que tu étais jusqu'à quand tu a dérapper en insultant des gens en publique.
Anonyme
En Août, 2018 (11:42 AM)Anonyme
En Août, 2018 (15:17 PM)Anonyme
En Août, 2018 (15:50 PM)Anonyme
En Août, 2018 (18:08 PM)Anonyme
En Août, 2018 (20:38 PM)Participer à la Discussion