Comme Malick Noël Seck, des jeunes de l’opposition ont réussi à déposer, à nouveau, la même correspondance au Conseil constitutionnel.Malgré un important dispositif sécuritaire posté devant le portail de l’institution.
Les jeunes de l’opposition n’ont pas fait que reprendre à leur compte les propos qui ont valu la prison au jeune socialiste.Pour manifester leur soutien à Malick Noël Seck envoyé en prison pour avoir envoyé une lettre au Conseil Constitutionnel, des jeunes de l’opposition n’ont fait que reprendre à leur compte les propos qui ont valu la prison au jeune socialiste. Après avoir lu et signé la lettre de Malick Noël Seck lors d’une conférence de presse le 17 octobre, les jeunes opposants ont réussi, hier, à déposer la même correspondance au Conseil constitutionnel. Malgré le dispositif important de sécurité posté devant le portail de l’Institution.
‘Nous nous sommes fixés rendez-vous dans un restaurant de la place. Et sur les lieux nous avons trouvé des gros bras du Pds qui, au parfum de notre démarche, ont voulu nous intimider’ explique Thierno Bocoum le responsable des jeunes du Rewmi. Mais c’était sans compter avec la détermination des opposants. Sur le coup, poursuit-il ‘nous avons changé de plan car notre seul objectif était de déposer la lettre au niveau du Conseil constitutionnel. Pour ne pas attirer l’attention, un premier groupe restreint de quatre personnes a été mandaté pour aller déposer la lettre’.
Une fois au niveau du Conseil constitutionnel, les quatre jeunes opposants qui ont profité de l’inattention des forces de sécurité, se sont glissé à l’intérieur et ont remis la lettre au gendarme qui était à l’accueil. La mission ainsi accomplie, les opposants ont replié au siège de la Raddho pour s’adresser à la presse.
‘Nous sommes allés déposer la lettre au niveau du Conseil constitutionnel parce que tout simplement nous considérons que ce que Noël a fait n’est pas illégal’ déclare Ousmane Ndiaye du Jëf jël. Selon le camarade de Talla Sylla, le leader de la Convergence socialiste n’a fait qu’alerter l’opinion ‘et surtout les membres du Conseil constitutionnel’. Parce que, estime M. Ndiaye ‘si un pays comme la Côte d’ivoire avait été alerté à temps par un patriote à l’instar de Malick Noël Seck, ce pays ne connaîtrait pas la situation qu’il vit actuellement’. Et ceci n’est qu’un premier jalon dans la lutte pour la libération de Malick Noël Seck, menacent les opposants.
Aujourd’hui, renseigne Thierno Bocoum ‘nous allons nous retrouver pour voir éventuellement comment faire pour poser d’autres jalons pour la libération de Noël’.Les jeunes de l’opposition indiquent avoir ‘signé et déposé la même lettre que Malick Noël Seck a écrite’.
Pour Ousmane Ndiaye et Cie, le combat pour la libération de Malick Noël Seck ne concerne pas que le seul parti socialiste. Car la condamnation de Malick Noël Seck est, crient-ils, ‘une menace contre tous ceux qui s’opposent à une troisième candidature d’Abdoulaye Wade’.
Wade a décidé d’après le responsable des jeunes de Rewmi, de sanctionner tous ceux qui diront ‘non’ à sa candidature. ‘Il a commencé par Malick Noël Seck, demain ce sera d’autres et nous n’attendrons pas qu’il nous emprisonne l’un après l’autre. Nous ferons face parce que ce pouvoir continue dans ses dérives en voulant imposer une monarchie dans ce pays’, fait savoir Thierno Bocoum.
Les jeunes de l’opposition n’ont pas fait que reprendre à leur compte les propos qui ont valu la prison au jeune socialiste.Pour manifester leur soutien à Malick Noël Seck envoyé en prison pour avoir envoyé une lettre au Conseil Constitutionnel, des jeunes de l’opposition n’ont fait que reprendre à leur compte les propos qui ont valu la prison au jeune socialiste. Après avoir lu et signé la lettre de Malick Noël Seck lors d’une conférence de presse le 17 octobre, les jeunes opposants ont réussi, hier, à déposer la même correspondance au Conseil constitutionnel. Malgré le dispositif important de sécurité posté devant le portail de l’Institution.
‘Nous nous sommes fixés rendez-vous dans un restaurant de la place. Et sur les lieux nous avons trouvé des gros bras du Pds qui, au parfum de notre démarche, ont voulu nous intimider’ explique Thierno Bocoum le responsable des jeunes du Rewmi. Mais c’était sans compter avec la détermination des opposants. Sur le coup, poursuit-il ‘nous avons changé de plan car notre seul objectif était de déposer la lettre au niveau du Conseil constitutionnel. Pour ne pas attirer l’attention, un premier groupe restreint de quatre personnes a été mandaté pour aller déposer la lettre’.
Une fois au niveau du Conseil constitutionnel, les quatre jeunes opposants qui ont profité de l’inattention des forces de sécurité, se sont glissé à l’intérieur et ont remis la lettre au gendarme qui était à l’accueil. La mission ainsi accomplie, les opposants ont replié au siège de la Raddho pour s’adresser à la presse.
‘Nous sommes allés déposer la lettre au niveau du Conseil constitutionnel parce que tout simplement nous considérons que ce que Noël a fait n’est pas illégal’ déclare Ousmane Ndiaye du Jëf jël. Selon le camarade de Talla Sylla, le leader de la Convergence socialiste n’a fait qu’alerter l’opinion ‘et surtout les membres du Conseil constitutionnel’. Parce que, estime M. Ndiaye ‘si un pays comme la Côte d’ivoire avait été alerté à temps par un patriote à l’instar de Malick Noël Seck, ce pays ne connaîtrait pas la situation qu’il vit actuellement’. Et ceci n’est qu’un premier jalon dans la lutte pour la libération de Malick Noël Seck, menacent les opposants.
Aujourd’hui, renseigne Thierno Bocoum ‘nous allons nous retrouver pour voir éventuellement comment faire pour poser d’autres jalons pour la libération de Noël’.Les jeunes de l’opposition indiquent avoir ‘signé et déposé la même lettre que Malick Noël Seck a écrite’.
Pour Ousmane Ndiaye et Cie, le combat pour la libération de Malick Noël Seck ne concerne pas que le seul parti socialiste. Car la condamnation de Malick Noël Seck est, crient-ils, ‘une menace contre tous ceux qui s’opposent à une troisième candidature d’Abdoulaye Wade’.
Wade a décidé d’après le responsable des jeunes de Rewmi, de sanctionner tous ceux qui diront ‘non’ à sa candidature. ‘Il a commencé par Malick Noël Seck, demain ce sera d’autres et nous n’attendrons pas qu’il nous emprisonne l’un après l’autre. Nous ferons face parce que ce pouvoir continue dans ses dérives en voulant imposer une monarchie dans ce pays’, fait savoir Thierno Bocoum.
4 Commentaires
Avis
En Novembre, 2011 (02:25 AM)Lol
En Octobre, 2022 (10:10 AM)Djibson
En Octobre, 2022 (11:17 AM)Lagaffe
En Novembre, 2011 (07:46 AM)Macky Dia
En Novembre, 2011 (10:16 AM)Diomy
En Novembre, 2011 (14:46 PM)regardez la fomre de sa tete il souffre de traumatisem cranien sa tourne p
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