Diendéré exhorte les Burkinabè à accepter la décision de la Cédéao

4 Commentaires

1. 

   Bledar

   En Septembre, 2015 (15:49 PM)

   Que se serait t'il passé si la CEDEAO ne serait pas allé à Ouagadougou dans les premières heures ? Ou étaient les 9/10 de l armée régulière depuis le 16 septembre ? Je crois que la CEDEAO a eu le mérite de briser l ardeur des putschistes et permettre aux jeunes chefs de corps de se réunir ,d affiner une stratégie et de dérouler un Ordre Opérationnel (sans le Chef d état Major Général des Armées ).Si les colonnes militaires qui déferlent sur Ouagadougou avaient quitté leurs bases le jour du Putsch ,la CEDEAO aura des coudées plus franches dans la négociation . Mais elle avait en face un interlocuteur arme qui qui dirigeait seul la situation ,un chef d État Major amorphe. Une Société civile bunkeurisee et une jeunesse "chair à canon" dans la rue . Il fallait gérer l urgence et réveiller l ego des burkinabés . C est à eux seuls de gérer ce problème à leur manière et de faire vite dans la journée pour mettre ces hors la loi hors d état de nuire !!!!!Dommage que la Cote D Ivoire n avait pas une intervention pareille de la CEDEAO !!!!

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Anonyme
En Septembre, 2015 (15:58 PM)
le salut militaire es d'une grande importance et surtout d'une elite qui exhorte le peuple à pardonner

entrainer en conflit d'armée de troupe n'est pas une solution

quant on commence on ne sait quant ça fini
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Anonyme
En Septembre, 2015 (20:17 PM)
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Anonyme Paix
En Septembre, 2015 (20:53 PM)
Au moment de la médiation, le RSP était en position de force. C'est ce qui a orienté je crois les 13 points proposés. Aujourd'hui il me semble qu'aucun Burkinabé ne doit verser son sang du fait de positions radicales. Il faut des concessions (même temporaires) pour que la légalité revienne. Deux armées se font face au milieu de populations vulnérables. COMBIEN DE MILLIERS DE MORTS AURA T-ON? Qui gagnera dans ça? L'affaire Thomas Sangara a été enterrée pendant des décennies et aujourd'hui, on en reparle. Faut donc intégrer la durée dans la situation qui prévaut. Dommage que l'armée ait été passive lors du Coup; il y a bien une alternative à la tuerie fratricide, pour aller vers la démocratie et le droit. L'orgueil n'a plus sa place dans une situation aussi grave. LE CAS DU BURKINA EST SPECIFIQUE, L'urgence, c'est que le RSP soit désarmé et que les Burkinabé ne se salissent pas les mains du sang de leurs frères. LE REMEDE DU RADICALISME RISQUE D'ETRE PIRE QUE LE MAL ACTUEL...N'allumons un incendie que nous ne pourrons pas éteindre...Sagesse africaine, revient nous....
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