La sortie fracassante de Thierno Alassane Sall de l'attelage gouvernemental avait créé moult commentaires en son temps. Ce dimanche, le chef du gouvernement s'est officiellement prononcé sur la question. Et révèle que l'ancien ministre de l'Energie n'a pas démissionné, comme il le prétendait. Mais, a été démis de ses fonctions par le chef de l'État. "Ce monsieur n'a pas démissionné. Il a été démis par le chef de l'État devant moi. Nous étions trois. Il a été démis pour des raisons non liées à des valeurs mais pour des raisons de performance", a déclaré le Premier ministre qui était l'invité du Grand jury de ce dimanche.
Les causes du limogeage
Le chef du gouvernement a aussi réfuté la version qui indique que Thierno Alassane est sorti du gouvernement, car ayant refusé de signer le contrat avec Total. "Quand on vous donne des objectifs, vous allez à Paris, vous travaillez avec des équipes de Total comme d'autres, vous rentrez à Dakar, un objectif est donné en matière de délais. Les services de Total viennent des mois ici, travaillent avec des experts sénégalais, les textes sont prêts et quand les textes sont prêts, vous demandez 15 jours de plus au Premier ministre. Vous demandez, parce qu'il y a une incidence financière, que tel ministre puisse regarder, alors que nous avons pris l'engagement, invité même les partenaires en question pour que, après, ce travail soit terminé pour signer. Un manager c'est la décision. Si vous n'arrivez pas à décider, le chef de l'État n'a pas besoin d'un tel collaborateur. Le chef de l'État a démis ce monsieur. Et il le sait", a soutenu Dionne.
Nous sommes prêts pour une enquête
Quant à l'enquête parlementaire réclamée par Thierno Alassane Sall sur le contrat de Total, le Premier ministre se dit partant. "Le code pétrolier est clair. Le Premier ministre et les ministres ne travaillent pas dans le néant. Le code pétrolier régit ce genre de documents. Et ce sont les mêmes documents qui sont signés. On en a aujourd'hui au moins 10 contrats qui sont en cours. C'e sont les mêmes, selon les mêmes conditions. Donc, où est le problème. S'il y a une commission d'enquête parlementaire, si le parlement le souhaite nous sommes prêts, il n'y a aucun problème. Il n'y a rien à cacher", indique-t-il.
70 Commentaires
Anonyme
En Mars, 2018 (14:17 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (14:24 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (14:26 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (14:29 PM)Thierno le prétentieux et arrogant se croyait indispensable. va chercher un job tu es encore jeune .
Anonyme
En Mars, 2018 (14:31 PM)Tôt ou tard, tout se saura sur les contrats. ..
Anonyme
En Mars, 2018 (14:34 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (14:36 PM)Bandes de vampires. ..
Yugo
En Mars, 2018 (14:40 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (14:40 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (14:45 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (14:57 PM)C’est tres honteux pour le Senegal
Thierno Alassane Sall va surement brandir sa lettre de demission et il sera demasqué.
Bail
En Mars, 2018 (15:03 PM)Bail
En Mars, 2018 (15:03 PM)Bail
En Mars, 2018 (15:03 PM)Bail
En Mars, 2018 (15:03 PM)Anonyme54
En Mars, 2018 (15:06 PM)Opposition Crypto Personnelle
En Mars, 2018 (15:15 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (15:17 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (15:19 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (15:22 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (15:22 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (15:35 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (15:40 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (15:40 PM)Jiggy
En Mars, 2018 (15:42 PM)Deug
En Mars, 2018 (15:54 PM)Weuz
En Mars, 2018 (15:58 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (15:59 PM)Bougoul
En Mars, 2018 (16:03 PM)Amath Sarr
En Mars, 2018 (16:05 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (16:10 PM)il semble à l'envieux que ce qu 'on accorde comme mérite aux autres est retranché du sien.
oui il est jeune et n'a même pas encore obtenu le millième de sa baraka sur terre chercher un travail ou pas
nono:
Volai414
En Mars, 2018 (16:28 PM)Les semaines, les années se succèdent et le Sénégal ne change en rien son mode de fonctionnement. Il serait même plus juste de dire que ce mode de fonctionnement empire. Les sujets que l'on nous sert ne nous font avancer en rien dans un pays qui ambitionne une émergence. Le pire, c'est qu'en ne se focalisant pas sur l'essentiel, dans une vingtaine d'années la situation sera plus dramatique car nous serons encore plus nombreux à être touchés par les fléaux qui sont les nôtres aujourd'hui. Le licenciement ou la démission d'un ministre est-il un événement vital dans la vie d'une nation ? Un article récent s'intitulait dans ce forum « les sénégalais n'aiment pas leur pays ». La vraie question qui vaut d'être posée n'est -elle pas : « le sénégalais s'aime-t-il à travers sa descendance ? » .Je veux partager un cri du coeur par une interrogation qui me taraude.
QUE LEGUERONS-NOUS AUX FUTURES GENERATIONS DE SENEGALAIS ?
Ne pas avoir de solutions pour les jeunes d’aujourd’hui ne veut pas dire (et ne doit surtout pas signifier) que tout est perdu pour de bon. C’est vrai qu’il est difficile de ne pas admettre que des générations de sénégalais ont été sacrifiées par une Nation qui n’a pas su ou voulu faire le travail et les sacrifices nécessaires. Ne pas trouver de solution n’est pas forcément une faute, ne pas se poser de questions légitimes est par contre assimilable à un crime quand les résultats qui en découlent sont dramatiques. Nous avons beaucoup de questions à nous poser et il me semble qu’il y en a une qui est un préalable et dont il faut se préoccuper avant d’attaquer les autres.
De 1960 à 2016, le taux de croissance démographique du Sénégal a toujours oscillé entre 2,4 et 3,1%.
Si l’on prend cette période comme référence, on tourne autour d’une moyenne de 2,8%.
Ma préoccupation n’est pas de savoir si c’est signe de bonne vitalité ou pas, tellement il est évident qu’une nation a besoin de ne pas voir sa population s’éteindre. Ma préoccupation est ailleurs : que faire de cette population ? Quelle anticipation pour que demain soit gérable, vivable dans ce pays qui est le nôtre ?
Force est de constater que l’on ne s’est pas véritablement posé la question jusqu’ici, ou alors on se l’est posé mais on n’a pas cherché la moindre esquisse de réponse.
En 2018, la population sénégalaise se chiffre à près 15,7 millions d’individus (taux de croissance ~ 3,08%). Le taux de chômage avoisine les 23% et les jeunes sont les plus affectés. La découverte du pétrole et du gaz ne saurait résoudre radicalement le problème et en termes de gisements d’emplois, nous ne sommes pas mieux lotis que beaucoup de pays qui se cassent aussi les dents sur la lutte contre le chômage et la pauvreté. A ce niveau de constat, il faut avoir le courage de poser des question qui peuvent heurter voire choquer : Y a-t-il un seuil critique de population au-delà duquel un vrai danger existe pour un pays comme le nôtre ? Ne faut-il pas envisager une vraie politique de maîtrise de la natalité au Sénégal ?
Pour donner un sens à ces questions, il faut expliquer les alertes qui nous recommandent de rester en éveil. Les données statistiques évoquées au début ne relèvent pas de la théorie mais de la réalité vécue et vérifiable. Ces mêmes données nous permettent de savoir, par exemple, combien nous serons en 2028 : près de 21 millions. En 2038, nous aurons franchi la barre des 33 millions.
Pourrons-nous faire face ? Quand nous voyons les difficultés que nous avons avec 15 millions de personnes, les projections font froid dans le dos et recommandent une vraie réflexion sérieuse et une recherche de solutions durables. Je ne crois pas que le développement durable puisse se faire en occultant la question de la croissance démographique.
Il n’y a pas besoin de faire une thèse sur la corrélation entre pauvreté et démographie au Sénégal, il y a juste besoin d’ouvrir les yeux et de faire fonctionner ce qui nous différencie des autres espèces. A mon humble avis, cela nécessite un débat dépassionné à la place des éternels sujets insignifiants et insipides que l'on nous sert en boucle au menu quotidien.
Volai414
En Mars, 2018 (16:33 PM)Les semaines, les années se succèdent et le Sénégal ne change en rien son mode de fonctionnement. Il serait même plus juste de dire que ce mode de fonctionnement empire. Les sujets que l'on nous sert ne nous font avancer en rien dans un pays qui ambitionne une émergence. Le pire, c'est qu'en ne se focalisant pas sur l'essentiel, dans une vingtaine d'années la situation sera plus dramatique car nous serons encore plus nombreux à être touchés par les fléaux qui sont les nôtres aujourd'hui. Le licenciement ou la démission d'un ministre est-il un événement vital dans la vie d'une nation ? Un article récent s'intitulait dans ce forum « les sénégalais n'aiment pas leur pays ». La vraie question qui vaut d'être posée n'est -elle pas : « le sénégalais s'aime-t-il à travers sa descendance ? » .Je veux partager un cri du coeur par une interrogation qui me taraude.
QUE LEGUERONS-NOUS AUX FUTURES GENERATIONS DE SENEGALAIS ?
Ne pas avoir de solutions pour les jeunes d’aujourd’hui ne veut pas dire (et ne doit surtout pas signifier) que tout est perdu pour de bon. C’est vrai qu’il est difficile de ne pas admettre que des générations de sénégalais ont été sacrifiées par une Nation qui n’a pas su ou voulu faire le travail et les sacrifices nécessaires. Ne pas trouver de solution n’est pas forcément une faute, ne pas se poser de questions légitimes est par contre assimilable à un crime quand les résultats qui en découlent sont dramatiques. Nous avons beaucoup de questions à nous poser et il me semble qu’il y en a une qui est un préalable et dont il faut se préoccuper avant d’attaquer les autres.
De 1960 à 2016, le taux de croissance démographique du Sénégal a toujours oscillé entre 2,4 et 3,1%.
Si l’on prend cette période comme référence, on tourne autour d’une moyenne de 2,8%.
Ma préoccupation n’est pas de savoir si c’est signe de bonne vitalité ou pas, tellement il est évident qu’une nation a besoin de ne pas voir sa population s’éteindre. Ma préoccupation est ailleurs : que faire de cette population ? Quelle anticipation pour que demain soit gérable, vivable dans ce pays qui est le nôtre ?
Force est de constater que l’on ne s’est pas véritablement posé la question jusqu’ici, ou alors on se l’est posé mais on n’a pas cherché la moindre esquisse de réponse.
En 2018, la population sénégalaise se chiffre à près 15,7 millions d’individus (taux de croissance ~ 3,08%). Le taux de chômage avoisine les 23% et les jeunes sont les plus affectés. La découverte du pétrole et du gaz ne saurait résoudre radicalement le problème et en termes de gisements d’emplois, nous ne sommes pas mieux lotis que beaucoup de pays qui se cassent aussi les dents sur la lutte contre le chômage et la pauvreté. A ce niveau de constat, il faut avoir le courage de poser des question qui peuvent heurter voire choquer : Y a-t-il un seuil critique de population au-delà duquel un vrai danger existe pour un pays comme le nôtre ? Ne faut-il pas envisager une vraie politique de maîtrise de la natalité au Sénégal ?
Pour donner un sens à ces questions, il faut expliquer les alertes qui nous recommandent de rester en éveil. Les données statistiques évoquées au début ne relèvent pas de la théorie mais de la réalité vécue et vérifiable. Ces mêmes données nous permettent de savoir, par exemple, combien nous serons en 2028 : près de 21 millions. En 2038, nous aurons franchi la barre des 33 millions.
Pourrons-nous faire face ? Quand nous voyons les difficultés que nous avons avec 15 millions de personnes, les projections font froid dans le dos et recommandent une vraie réflexion sérieuse et une recherche de solutions durables. Je ne crois pas que le développement durable puisse se faire en occultant la question de la croissance démographique.
Il n’y a pas besoin de faire une thèse sur la corrélation entre pauvreté et démographie au Sénégal, il y a juste besoin d’ouvrir les yeux et de faire fonctionner ce qui nous différencie des autres espèces. A mon humble avis, cela nécessite un débat dépassionné à la place des éternels sujets insignifiants et insipides que l'on nous sert en boucle au menu quotidien.
Anonyme
En Mars, 2018 (16:41 PM)Degg Deug
En Mars, 2018 (16:44 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (16:48 PM)Ils ont voulyu satisafire Totale a tous les couts,Ila essaye de resister.Maintenant on l'a limoge pour ca? Ila demissioner? ce n'est pas important.
L'Issue restait la meme
Bougoul
En Mars, 2018 (17:03 PM)Bougoul
En Mars, 2018 (17:03 PM)Bougoul
En Mars, 2018 (17:03 PM)Bougoul
En Mars, 2018 (17:03 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (17:31 PM)Volai414
En Mars, 2018 (17:36 PM)Ne pas avoir de solutions pour les jeunes d’aujourd’hui ne veut pas dire (et ne doit surtout pas signifier) que tout est perdu pour de bon. C’est vrai qu’il est difficile de ne pas admettre que des générations de sénégalais ont été sacrifiées par une Nation qui n’a pas su ou voulu faire le travail et les sacrifices nécessaires. Ne pas trouver de solution n’est pas forcément une faute, ne pas se poser de questions légitimes est par contre assimilable à un crime quand les résultats qui en découlent sont dramatiques. Nous avons beaucoup de questions à nous poser et il me semble qu’il y en a une qui est un préalable et dont il faut se préoccuper avant d’attaquer les autres.
De 1960 à 2016, le taux de croissance démographique du Sénégal a toujours oscillé entre 2,4 et 3,1%.
Si l’on prend cette période comme référence, on tourne autour d’une moyenne de 2,8%.
Ma préoccupation n’est pas de savoir si c’est signe de bonne vitalité ou pas, tellement il est évident qu’une nation a besoin de ne pas voir sa population s’éteindre. Ma préoccupation est ailleurs : que faire de cette population ? Quelle anticipation pour que demain soit gérable, vivable dans ce pays qui est le nôtre ?
Force est de constater que l’on ne s’est pas véritablement posé la question jusqu’ici, ou alors on se l’est posé mais on n’a pas cherché la moindre esquisse de réponse.
En 2018, la population sénégalaise se chiffre à près 15,7 millions d’individus (taux de croissance ~ 3,08%). Le taux de chômage avoisine les 23% et les jeunes sont les plus affectés. La découverte du pétrole et du gaz ne saurait résoudre radicalement le problème et en termes de gisements d’emplois, nous ne sommes pas mieux lotis que beaucoup de pays qui se cassent aussi les dents sur la lutte contre le chômage et la pauvreté. A ce niveau de constat, il faut avoir le courage de poser des question qui peuvent heurter voire choquer : Y a-t-il un seuil critique de population au-delà duquel un vrai danger existe pour un pays comme le nôtre ? Ne faut-il pas envisager une vraie politique de maîtrise de la natalité au Sénégal ?
Pour donner un sens à ces questions, il faut expliquer les alertes qui nous recommandent de rester en éveil. Les données statistiques évoquées au début ne relèvent pas de la théorie mais de la réalité vécue et vérifiable. Ces mêmes données nous permettent de savoir, par exemple, combien nous serons en 2028 : près de 21 millions. En 2038, nous aurons franchi la barre des 33 millions.
Pourrons-nous faire face ? Quand nous voyons les difficultés que nous avons avec 15 millions de personnes, les projections font froid dans le dos et recommandent une vraie réflexion sérieuse et une recherche de solutions durables. Je ne crois pas que le développement durable puisse se faire en occultant la question de la croissance démographique.
Il n’y a pas besoin de faire une thèse sur la corrélation entre pauvreté et démographie au Sénégal, il y a juste besoin d’ouvrir les yeux et de faire fonctionner ce qui nous différencie des autres espèces. A mon humble avis, cela nécessite un débat dépassionné à la place des éternels sujets insignifiants et insipides que l'on nous sert en boucle au menu quotidien.
Anonyme
En Mars, 2018 (17:44 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (17:50 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (17:50 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (17:50 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (17:50 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (17:50 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (19:03 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (19:07 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (19:17 PM)Tidiane
En Mars, 2018 (20:01 PM)Le Stable
En Mars, 2018 (20:12 PM)La jalousie provient d'un manque de confiance non pas envers l'autre, mais envers soi-même.
Un individu stable ne saurait être envieux.
Anonyme
En Mars, 2018 (20:18 PM)Ce thierno est petit et très petit
Anonyme
En Mars, 2018 (20:38 PM)Il faut te regarder ou demande a tes proches de te regarder.
Ce n est pas un metier le mansonge.
Laba
En Mars, 2018 (20:54 PM)Anonymous
En Mars, 2018 (22:04 PM)Urgent Sébikotane
En Mars, 2018 (22:36 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (23:01 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (01:38 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (02:38 AM)Mais ce n'est pas une surprise que Macky ne sait meme pas employer un bon menteur.
Son incompetence est chronique..
Anonyme
En Mars, 2018 (07:23 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (08:39 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (10:06 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (10:48 AM)A croire que TAS n'a que cet acte supposé de démission comme grande oeuvre de sa vie politique, lui même ne devrait plus en parler, tourner la page et proposer un nouveau son de cloche
Anonyme
En Mars, 2018 (13:46 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (13:56 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (19:36 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (19:36 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (19:37 PM)Participer à la Discussion