D'importants pas restent encore à franchir par les responsables en charge de l'éducation au niveau de la région de Diourbel. D'où l'implication des différents acteurs qui gravitent autour de l'école. C'est ce qui est ressorti de la restitution des enquêtes du programme d'évaluation des apprentissages plus communément appelé "Jangandoo", lors d'une rencontre initiée par la Cosydep.
Les enquêtes effectuées au niveau de la région de Diourbel par ledit programme concernent 878 ménages et dans lequel les enfants de 9 à 16 ans constituent la cible. C'est ainsi que 1150 enfants ont été identifiés dans les trois départements que sont Mbacké, Bambey et Diourbel.
L'exposé présenté par le superviseur Penda Cissé, ce samedi, lors de cette rencontre qui a eu pour cadre la salle de délibération du Conseil départemental de Diourbel, a permis de constater les immenses défaillances mais surtout les faiblesses des apprenants dans plusieurs domaines. Cependant, l'enquête a aussi relevé les disparités des résultats enregistrés à plusieurs niveaux.
Politique
1 Commentaires
Lougatois
En Février, 2017 (14:06 PM)LE NIVEAU N'A JAMAIS BAISSE AU SENEGAL
L'augmentation des eleves faibles est proportionnelle a l'augmentation de la population en general,.meme le nombre de morts dans une population de 14 millions de senegalais aujourdhui est logiquement plus important que le nombre de morts dans une population de 4 millions d'habitants des annees 70
Dans les villes ,tous les analphabetes dans les marches et dans les ateliers ont ete jusqu'en CM2 .Dans un passe recent ,les classes de CM2 etaient pleines d'eleves ne sachant ni lire ni ecrire
AUJOURDHUI TOUS LES ELEVES DE CM2 DU SENEGAL SAVENT LIRE
Quelques ONG et des voyous du ministere de l'education cherchent des financement ,des seminaires pour soit disant reflechir et et trouver la bonne solution
Cependant meme les francais ne parlent plus bien le francais,encore moins les senegalais et c'est tant mieux
Avec les NTIC ,les jeunes vont de moins en moins lire et meme se parler entre eux
Qu'il en soit ainsi pour la mort de cette maudite langue qu'est le francais
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