Le Conseil supérieur de la magistrature s’est déroulé ce lundi au palais présidentiel. Au cours de cette rencontre avec les magistrats, le président de la République a retiré le décret pourtant nomination des membres de la Cour de répression de l’enrichissement illicite. L’ex-chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, avait saisi la Cour suprême pour qu’il annule le décret qui, selon lui, a été pris au mépris du statut des magistrats.
Macky Sall a tout simplement rectifié le tir. Il a retiré le décret litigieux, a discuté avec les membres du Conseil supérieur de la magistrature et a signé un autre décret. Il a ainsi gommé «le vice» tout en reconduisant les même magistrats qui ont été nommés. Agissant ainsi, Macky a rendu le recours déposé par Wade sans objet.
49 Commentaires
Immigre
En Juillet, 2012 (04:28 AM)Captain_power
En Juillet, 2012 (04:31 AM)Patcha
En Juillet, 2012 (04:32 AM)Saltiqui
En Juillet, 2012 (04:35 AM)Sebi
En Juillet, 2012 (04:36 AM)Non
En Juillet, 2012 (04:55 AM)Verite12
En Juillet, 2012 (06:00 AM)Avec toute la rancune que le clan Wade a envers lui, il l´aurait EMPRISONNÉ pour se débarasser de lui.
Cessez de mentir, Macky fait son travail,
du courage , fonce et vive le Sénégal
Mor
En Juillet, 2012 (06:44 AM)Droit Et Justice
En Juillet, 2012 (06:46 AM)Ba2
En Juillet, 2012 (07:10 AM)Injuma
En Juillet, 2012 (08:13 AM)Liiiiiiii
En Juillet, 2012 (08:21 AM)C'EST MERCI MAITRE QU'IL FAUT DIRE DANS CE CAS-CI
Kinkon
En Juillet, 2012 (08:37 AM)[email protected]
En Juillet, 2012 (08:38 AM)Kinkon
En Juillet, 2012 (08:46 AM)Com
En Juillet, 2012 (08:51 AM)Simple Senegalais
En Juillet, 2012 (08:53 AM)MEFIEZ VOUS DE MAME BIRAME SECK EN ITALIE; POUR LE BUSINESS IL N'A PAS DE PAROLE!!!
MEFIEZ VOUS DE MAME BIRAME SECK EN ITALIE; POUR LE BUSINESS IL N'A PAS DE PAROLE!!!
MEFIEZ VOUS DE MAME BIRAME SECK EN ITALIE; POUR LE BUSINESS IL N'A PAS DE PAROLE!!!
MEFIEZ VOUS DE MAME BIRAME SECK EN ITALIE; POUR LE BUSINESS IL N'A PAS DE PAROLE!!!
Maty Dia Do
En Juillet, 2012 (09:17 AM)Diop
En Juillet, 2012 (09:22 AM)Xour
En Juillet, 2012 (09:24 AM)Fass
En Juillet, 2012 (09:28 AM)macky yambar
macky yambar
macky yambar
Samory Aw
En Juillet, 2012 (09:33 AM)Listo
En Juillet, 2012 (09:49 AM)Enfin c'est aussi une grandeur d'état, en tout un état d'esprit particulier que de reconnaitre une erreur, meme si c'est sur conseil d'experts!
Bravo donc et que les audits se poursuivent, avec la meme détermination pour faire rendre à tous ceux qui pendant ces 12 se sont vautrés, gavés sur nos deniers publics qu'ils ont pillé sans retenue!
Khadim Youm
En Juillet, 2012 (10:32 AM)La Verite Enfin
En Juillet, 2012 (10:40 AM)NOUS NE LAISSERONT PAS PASSER A L'ASSEMBLEE CES PERSONNES.
LE FISC OU LE TRESOR PUBLIC NE L'INTERPELLE PAS POUR LA JUSTIFICATION DE CES REVENUS.
ON N' A PAS BESOUIN DU FMI ( pour des Prêts) L'ARGENT EST AU SENEGAL :
COMBIEN LE SENEGAL A BESOIN POUR SE RELANCER ? 300 MILLIARDS D'EUROS? 500 MILLIARDS D'EUROS ?
LES VALEUREUX AGENTS ET CADRES DU TRESOR PUBLIC N'ONT QU'A REUNIR LES PERSONNES QUI NE PEUVENT PAS JUSTIFIEES LEUR REVENU ET LEUR DIRE DE SORTIR LA SOMME NECESSAIRE AU SENEGAL SINON C'EST LA PRISON . LE ROI ASSANE 2 L'AVAIT FAIT UNE FOIS AU MAROC ET AU BOUT DE 15 - 20 JOURS TOUS MAGOUILLEURS DE L'ETAT SE SONT CONCERTES POUR SORTIR LES SOUS SINON C'ETAIT LA PRISON.
JE DEMANDE AUSSI AU AGENTS ET CADRES DU TRESOR PUBLIC SENEGALAIS DE FAIRE
LEUR TRAVAIL CORRECTEMENT .
EN FRANCE OU AILLEUR UN SIMPLE AGENT DU TRESOR PUBLIC PEUT FAIRE TOMBER UN MINISTRE.
DONC FAITES LE TOUR MESSIEURS DU TERESOR PUBLIC , ENTRE LES GENS QUI VOLENT L'ETAT SENEGALAIS, LES MAILGOUILLEURS DES TERRAINS QUE VOUS CONNAISSEZ TRES BIEN, L'INFORMEL QUE VOUS DEVREZ RECADREZ DANS LE FORMEL ( Encore un Probléme d'Education) ETC ...
EN FRANCE PAR EXEMPLE TOUT LE MONDE PRESQUE PAYE DES IMPOTS: MESSIEURS , MESDAMES DU TRESOR PUBLIC , COMMENCEZ D'ABORD PAR FAIRE PENDRE CONSCIENCE AUX SENAGALAIS POUR...
La Logique
En Juillet, 2012 (11:04 AM)Deug
En Juillet, 2012 (11:30 AM)Ba
En Juillet, 2012 (12:03 PM)Abo
En Juillet, 2012 (13:01 PM)Farida
En Juillet, 2012 (13:28 PM)Ahlou Kitab
En Juillet, 2012 (13:39 PM)Éternel des armées l'a juré, en disant : Oui, ce que j'ai décidé arrivera, Ce que j'ai résolu s'accomplira.es14:24
Avant tout j'annule cette prophétie dans le non de JÉSUS si c'est pas la volonté de DIEU, père si c'est ta volonté qu'elle soit faite amen. Cher frères et sœurs dans le christ connaissant le puissant nom de notre seigneur et sauveur JÉSUS CHRIST qui fait peur aux démons, qui fait tremblé à leurs adeptes et même qui leurs faire fuir une fois que ce nom est invoquée ne soyez pas ignorant et ne devenez pas trop naïf je vous exhorte à méditer sur cette passage de l'écriture :
'' Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde.''1jean4:1
pourquoi croire à la prophétie des païens ou païennes qui ne confesse même pas le non de notre saint seigneur et sauveur ( JÉSUS CHRIST) souvenez vous quand l'écriture nous dit que c'est le seul nom qui a été élevé au dessus de tout nom quel nom? le nom saint sauveur JÉSUS je cite:
9
C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom,
10
afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre,
11
et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père ph2
Bien aimé nous devons pas rester comme des spectateurs, commencez a expérimenté le puissant nom de saint sauveur JÉSUS CHRIST en annulant cette fausse prophétie par les armes par lesquelles l'écriture nous recommande de combattre avec rappelez vous aussi que le seigneur nous a donné l'autorité de lier ou de délier toute chose qui ne confesse pas son saint nom je cite :
Je vous le dis en vérité, tout ce que vous lierez sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous délierez sur la terre sera délié dans le ciel. Je vous dis encore que, si deux d'entre vous s'accordent sur la terre pour demander une chose quelconque, elle leur sera accordée par mon Père qui est dans les cieux''mth18:18-19''
prenez garde de cette prophétie que la femme a fait elle semble tirée son origine des djinn arrêter de la prêter l'oreille car elle ne croit pas au seigneur elle veut se faire un nom, ne mettez pas votre confiance en elle écoutez ce que dit l'écriture :
Ainsi parle l’Éternel : Maudit soit l'homme qui se confie dans l'homme, Qui prend la chair pour son appui, Et qui détourne son cœur de l’Éternel ! jém17:5
Levez vous frère et sœur dans la foi et commencer à combattre non pas avec les armes que le monde a créé ( chapelet, récitation des pierres , ou m16 ou lance roquette toutes ces armes viennent du diable ) par contre combattons avec les armes que le saint seigneur nous a légué qui sont : son saint nom et sa sainte parole sans ces deux armes point de victoire dans le combat contre le diable, c'est un exemple de l'église de Philadelphie qui est dans la bible ap3:8 cette église avait gardé le nom du saint sauveur sans oublier sa sainte parole.
LOUANGE au SAINT PÈRE ET A SON SAINT FILS JÉSUS CHRIST NOTRE SEIGNEUR ET SAUVEUR.
Diatta Casa
En Juillet, 2012 (13:40 PM)Satar
En Juillet, 2012 (14:09 PM)Diop_ahmadou
En Juillet, 2012 (14:35 PM)Désinformation, manipulation, désintoxication et trahison tous azimuts lors des présidentielles de 2012. Tous les ingrédients des religieux sur la scène politique.
Malgré la vaste campagne de désintoxication systématique sur fond de désinformation et de manipulation à tout vent, à quelques jours du premier tour des élections présidentielles, les instituts de sondage attribuaient largement la victoire à Moustapha Niasse, suivi de wade. Macky Sall était donc classé troisième par ordre décroissant. Tanor Dieng occupait la quatrième, tandis que le maire de la Cité du Rail, Idrissa Seck, qui s’autoproclamait le quatrième président, avant l’heure, se contentait du bonnet d’âne, cinquième sur la liste des favoris.
Mais contre toute attente, la courbe s’inversait, puisque le 26 février 2012, au premier tour des présidentielles, par surprise, Moustapha Niasse, qui est arrivé troisième et Tanor Dieng, quatrième sont recalés, pour laisser librement la place à wade et son élève, en l’occurrence, Macky.
Le 25 mars 2012, tous contre Wade, Macky Sall a été choisi à défaut et par dépit. Que s’est-il donc passé en mars avant le premier tour ? L’opposition réunie, y compris Macky Sall, lui-même, décidait ensemble de battre campagne. Mais Macky Sall, beaucoup plus futé, qu’il n’y paraît, qui avait donné son accord, était présent dans la vidéo, le même qui avait signé sous réserve les conclusions des assises nationales, viola unilatéralement l’accord et décide alors de battre campagne tout seul, pendant que l’opposition affrontait les forces de l’ordre à la place de l’indépendance, car en politique, tous les coups sont permis, s’ils peuvent rapportent gros. Ce à quoi l’opposition répondait, quand on signe les conclusions des assises nationales, on doit les signer, sans réserve. Peu importent donc les moyens pour y parvenir !
Donc Moustapha Niasse, vilipendé par rapport à son âge, qui ne relève que d’une stratégie huilée des snippers, déclarés et non- éclairés, convertis en directeurs de campagne déguisés, pour le compte des nouveaux riches de l’alternance, n’avait aucune chance de l’emporter, quelle que soit sa stature d’homme d’Etat, non plus, Tanor Dieng houspillé, décrié, diabolisé, décrédibilisé, livré aux chiens, pour avoir distribué des maisons des femmes, sans compter, dit-on, était laminé d’ores et déjà, alors que celui du camp d’en face, bien que gloutonné par le raccourci politique, doit être nécessairement le bienvenu et le meilleur. C’est dire qu’une campagne électorale arbitraire et déloyale par sa nature surréaliste, ubuesque, était parfaitement orchestrée à l’encontre de ces deux figures de proue.
De surcroît, dans un pays où l’électorat rural, majoritairement illettré à plus de 70%, détermine l’issue du scrutin, dans lequel les présidents des communautés rurales, qui sont des porteurs de voix, bien servis par ceux qui sont au sommet de l’état, il va sans dire que les meilleurs soient, nécessairement, les médiocres et qui ont des poches extensibles, par rapport aux autres en mauvaise posture. Nous ne sommes pas dans une "normalitude" de la démocratie. Voilà la réalité d’un pays étrange !
Pourtant, dix ans, avant, Moustapha Niasse, cajolé, béni, le chef de file de l’opposition, entre, autres Abdoulaye Bathily, l’incorruptible sentinelle de la République, furent les faiseurs de rois, car grâce à eux wade a pu accéder au pouvoir.
Rebelote, l’histoire se répète, au prétexte que cette fois-ci, Tanor Dieng et le leader de l’AFP n’ont pas pu trouver une entente à avoir un candidat unique de Bennoo pour gagner les élections. Une explication trop simpliste, qui ne tient que sur du fil blanc, car contrairement aux idées reçues, toute chose n’est pas égale par ailleurs, car en France, la référence de la démocratie, la gauche contre Nicolas Sarkozy de l’ump, n’avait pas besoin d’un candidat unique pour faire battre la droite. En démocratie, il faut savoir mesurer sa force. Selon la règle, le candidat de la gauche qui arrive le premier, sera soutenu par toute la gauche. Ce fut bien le cas. En réalité, il y a eu bien d’autres raisons obscures, évidentes, qui ont contribué à la défaite de l’AFP. Est-ce à dire que nul n’est prophète chez lui. Nous nous interrogeons sur le vote rationnel sénégalais, même si la question reste un tabou. Voilà les contradictions d’une société en perte de repères, puisque par définition, le camp libéral, en la personne de Macky reste l’unique gagnant. Il y a là quelque chose d’étrange. Allez savoir ! Dans une démocratie tangible, Moustapha Niasse, le candidat de la Coalition Bennoo Siggil Sénégaal du rassemblement et de l’unité, était le plus à même de diriger le Sénégal par ses compétences et ses expériences parfaitement avérées. Qu’on l’accepte ou qu’on ne l’accepte pas.
Quoiqu’on puisse dire, l’intrusion directe du religieux sur la scène politique est un échec cuisant du politique, qui est éloquemment comptable de son bilan lourd, un contre modèle du politiquement correct, pour ne pas dire de l’immoralité proéminente. L’épine dorsale de ce maelström surréaliste, résulte de la frontière ténue entre Abdoulaye Wade et le religieux.
Le candidat indocile reste bien le fil conducteur direct de ce que l’on pourrait appeler l’entrisme fracassant de la double casquette des rôles, qui constitue un péril pour la démocratie. Bien que limités pour sa présence au sein de l’hémicycle, l’abondance des chapelets pourrait donner du fil à retordre au pouvoir, dans l’avenir, car il faut un début pour toute chose. C’est le cas maintenant et peut être, demain sera pire, à l’instar des pays arabes. Le discours finit par prendre et la mayonnaise prend forme. Renforcement de la démocratie pour les uns, recul pour les autres. Des Islamistes modérés ou au contraire, des islamo- affairistes ? On semble brouter par la ruse à la fois dans tous les râteliers, en se couvrant sous l’étiquette de la religion, en bénéficiant des retombées de celle-ci et avoir un pied sur la chose publique. C’est vouloir obtenir par la ruse, l’argent du beurre et le beurre à la fois.
Nous l’avions martelé hier, car le nombre de partis politiques extravagant ne convainc nullement les populations à se mouler dans la musique de la supercherie. Les candidats préoccupés par des sinécures de la république ne défendent que leur bifteck. Le poste de député n’est plus un sacerdoce, mais plutôt un gagne- pain au pluriel, plus rentable que tout autre métier. Les populations méprisées ne sont pas des gueux, au point qu’elles se laissent faire. C’est un message clair pour le nouveau pouvoir et leurs alliés du moment. La grâce risque d’être plus courte si on ne comprend pas la mesure de la gravité.
Ici, le parquet tenu en laisse agit sur instruction de l’exécutif, le tout puissant, diligente en filigrane les opérations sur commande. La liberté du juge n’est qu’une vue de l’esprit. Il y a là une contradiction flagrante et une collusion inacceptable des rôles et ce n’est pas notre vision de la démocratie.
Les audits de la discorde et à géométrie variable, continuent en grande pompe, selon les mauvaises postures au mauvais endroit et au mauvais moment. Nous sommes au cœur d’un régime présidentiel, qui tourne en plein régime. Il dispose de tous les leviers du pouvoir par sa posture que lui confère la constitution. Il est donc par essence juge et partie. Point de contre-pouvoir, aucune ligne Maginot n’est dressée contre lui. Il décide tout seul in fine. C’est un véritable monarque de la République. Ce n’est pas pour rien qu’il demande orbi, urbi, une majorité présidentielle à l’assemblée nationale.
Si l’on veut réguler des prévarications à répétitions, il faudrait que l’on mette nécessairement un directoire collégial de magistrats totalement libres et indépendants du pouvoir politique. A l’instar des grandes démocraties, il est souhaitable de réformer le statut pénal du président de la République. Mais faut-il qu’on ait le courage de dire haut et fort que le principe d’immunité du Chef de l’Etat devient dans les faits, une impunité inacceptable, alors que pendant ce temps, le citoyen lambda est embastillé le plus souvent pour des broutilles ?
La probable cohabitation en perspective traduit bien le malaise d’une débâcle du politique.
Est pire celui qui est aveugle et sourd et qui ne l’admet pas. Jamais de mémoire, dans l’histoire politique de ce pays, bien que le spirituel flirtait avec le pouvoir politique, le religieux n’est jamais arrivé à mettre le pied dans l’étrier, malgré ses accointances remarquées, remarquables avec le pouvoir temporel, sur fond de deal politique sur lequel nos élites surfaient, à grands risques, sans coup férir, pour arriver à ses fins, ce que nous appelons un retour sur investissements, ou simplement le retour de l’ascenseur, mais aujourd’hui, pour la première fois, ce qui était jusque là, hier une impossibilité, devient, une réalité. C’est donc l’arroseur arrosé, même si on s’offusque de dire le contraire par des pirouettes, qui ne convainquent personne. Il y a là une collusion insoutenable à tambour battant dans une république présumée laïque. Cela n’augure rien de bon dans notre démocratie. Et pour cause. Car l’irresponsabilité notoire du pouvoir face à ses contradictions les plus criardes à résoudre la sempiternelle problématique de l’orthodoxie, ouvre bien un marché de dupes. Soit, on est religieux, soit, on est politique. Mais on ne peut pas avoir les deux caquettes à la fois. La double casquette des rôles constitue à nos yeux, un péril de la démocratie.
Le combat continue !
Ahmadou Diop
Verité
En Juillet, 2012 (14:54 PM)Makeveli
En Juillet, 2012 (15:04 PM)Tex
En Juillet, 2012 (15:58 PM)Rex
En Juillet, 2012 (16:13 PM)Amkontane
En Juillet, 2012 (16:19 PM)Boycotte
En Juillet, 2012 (16:34 PM)Ma79
En Juillet, 2012 (16:50 PM)Almamo Drame
En Juillet, 2012 (17:00 PM)Raissa@
En Juillet, 2012 (17:16 PM)Babs
En Juillet, 2012 (19:07 PM)Macky bébé leu. féteugoul sakh bay meuna dirigé Sénégal. C'est un Président par defaut comme vient de le redire Babacar Justin NDIAYE.
Louve
En Juillet, 2012 (20:48 PM)Verites,
En Juillet, 2012 (23:48 PM)Kemo
En Juillet, 2012 (00:23 AM)Modibo Soumare
En Juillet, 2012 (02:04 AM)Cette phrase n'est pas congruente !
Omar
En Juillet, 2012 (06:20 AM)Participer à la Discussion