Guirassy met fin aux rumeurs : « J’ai affaire à des personnes qui ne se prostituent pas»

22 Commentaires

1. 

   Anonyme

   En Avril, 2015 (17:12 PM)

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Anonyme
En Avril, 2015 (18:46 PM)
c bien 2 demander l'audit foncier dans ton bled mais toi il faudrait qu'on t'audite pour tes diplomes declarés mais aussi la maniere dont on ecole de formation a pris corps - et de grace arrete de creuser / trouer notre goudron pour y enfouir des talisman.n
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Kaw Cisko
En Avril, 2015 (21:05 PM)
Merci M. Guirassy. Cela nous rassure. Après la politique, vous avez montré qu'il y a une autre voie pour participer à l'édification d'un Sénégal. En tout cas, les personnes averties, savent que vous avez du mérite aussi bien à l'échelle locale, nationale qu' internationale...n'en déplaisent aux morveux.nLe diplôme ne suffit pas! Il faut de la créativité, du courage, de l'abnégation pour arriver à ce stade. S'il n'était question que de diplôme, ces milliers de doctorants, Dea, maitisards... ne seraient pas venu taper à votre porte pour leur offrir un emploi. Vous avez du mérite maître!nEn 2ans, votre bebe est devenue une vitrine de l'enseignement supérieur; les témoignages du ministre marie tew niane, du premier ministre canadien...sont encore fraiche dans nos mémoires.nLes populations de Kedougou aussi sont fiers de vous, fiers de voir un des leurs, représenter IAM, son personnel mais aussi Kedougou car qui parle de Guirassy, renvoie directement à Kedougou.nNous croyons en vous et demeurons convaincus de votre bien fondé, de votre amour pour kedougou et le senegal.
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Anonymeanonyme
En Avril, 2015 (05:58 AM)
Merci pour ces précisions.
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Seneg
En Avril, 2015 (06:49 AM)
Pourquoi etre mechant
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Fatou Sarr
En Avril, 2015 (06:53 AM)
La Direction RSE de SONATEL a fixé pour cette année 2015 trois axes majeurs d'intervention qui portent sur (1) la promotion de la Femme, (2) la préservation de l'Environnement et (3) le développement de l'Agriculture.nnDans le cadre de ce troisième axe, la SONATEL lance à partir du mois d'Avril 2015 une série d'activités portant sur la promotion du Consommer Sénégalais grâce à l'utilisation des TIC.nnPremière activité réalisée par SONATEL en partenariat avec la Société PassCourses, l'utilisation de la plateforme web "SocialDebat" www.debat.infopour engager un débat public sur la problématique du consommer sénégalais. nnCette activité s'est tenue les 4 et 5 Avril 2015 autour de deux questionnements mis en ligne :n1- Quels leviers utiliser pour inciter à la consommation des produits locaux ?n2- Que reprochez-vous aux produits sénégalais susceptibles d'être commercialisés dans la grande distribution ?n
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Ec
En Avril, 2015 (06:54 AM)
Bravo Guirassy. On sait comment tu te bats . Persévère . Seul le travail paie
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Djibis
En Avril, 2015 (07:09 AM)
Jamel Debbouze a tenté de traverser les voies de la gare de Trappes, en région parisienne, lorsqu’un train est passé au même moment. Ce 17 janvier 1990, le jeune homme alors âgé de 15 ans a heurté avec le bras droit un train Paris-Nantes lancé à pleine vitesse. L’accident l’a marqué à vie en le privant de l’usage de ce bras. « J’ai eu la chance extraordinaire de ne pas m’en rendre compte »
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Max
En Avril, 2015 (07:10 AM)
Jamel Debbouze a tenté de traverser les voies de la gare de Trappes, en région parisienne, lorsqu’un train est passé au même moment. Ce 17 janvier 1990, le jeune homme alors âgé de 15 ans a heurté avec le bras droit un train Paris-Nantes lancé à pleine vitesse. L’accident l’a marqué à vie en le privant de l’usage de ce bras. « J’ai eu la chance extraordinaire de ne pas m’en rendre compte »
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Lepen
En Avril, 2015 (07:12 AM)
Ceux qui s’attendaient à ce qu’il fasse une croix sur sa carrière politique peuvent encore attendre puisque l’ancien ministre de la Communication sous Wade n’a pas dit son dernier mot. «Je vous aime et je me battrai pour vous»,
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Idi
En Avril, 2015 (07:15 AM)
fan de monsieur idrissa seck en qui j’ai une très grande admiration même si pour le moment je ne suis pas politique engagé .\ntrois (03) points me font dire que l’heure de monsieur idrissa seck a bien sonné.\n\n1 – la marche bleue \nla première fois que j’ai entendu mr seck sur les ondes de rfi date de 1988. c’est vrai, j’étais encore jeune ; mais j’ai très vite compris que ce monsieur montre un engagement sans faille auprès du président wade pour son élection à la tête du senegal.\nla suite, tout le monde le connait .par l’engagement, la détermination, le courage, la fidélité ; la loyauté et surtout l’intelligence ; monsieur idrissa seck a pu accélérer la longue marche bleue pour un triomphe un soir du 19 mars 2000.\nque de chemin parcouru, oui le marathon a été long, pénible et difficile. beaucoup ont démissionné en route et d’autres ont choisi des raccourcis. mais lui ; monsieur idrissa seck est resté maître de la marche jusqu’à la ligne d’arrivée.\n\n2 – la traversée du désert \nmalheureusement quatre ans après, la marche bleue débouche sur une traversée du désert pour monsieur seck.\nil n’a jamais abandonné le combat, non justement c’est parce qu’il est resté sur ses principes de défense de la république et du senegal que ceux qui avaient reboursé chemin ou choisi des raccourcis se sont coalisés pour le combattre sans pitié.\nnous sommes en face de la plus grosse campagne de diabolisation qu’aucun homme politique n’a subie.\nle (pds) etat, a utilisé tous les pouvoirs ; exécutifs, législatifs, judiciaires et aussi le lobbying maraboutiques et de la presse pour arriver à bout du seul grand homme politique liberal qui n’a jamais été cité sur aucun scandale vrai ou supposé du pds …\nmalgré que sa famille était obligée à l’exil, ses proches en prison, ses comptes gelés, et même son passeport retiré ; lui monsieur seck est resté debout pour être le premier et le seul grand a dire non au président wade ; en face to face svp …\nil a dit non à la dévolution monarchique du pouvoir ; non à un troisième mandat.\nc’est bien vrai que les combats de monsieur seck étaient suffisamment grands et sérieux qu’il ne pouvait nullement parler politique et programme pour le senegal.\nc’est donc tout naturellement que nous senegalais avions à chaque fois décidé de sanctionner ceux qui nous donnaient l’impression de l’arrogance ou de la suffisance .nous avons alors accordé notre confiance à ceux qui nous ont donné l’impression de nous écouter pour prendre en charge nos préoccupations …\n\n3 – l’heure a sonné pour monsieur idrissa seck\nl’homme est encore jeune, l’homme est le plus doué de sa génération de politiques , l’homme a une base politique , l’homme a les relations qu’il faut pour mobiliser des moyens financiers…\nmonsieur idrissa seck ; les senegalais attendent que vous partez à leur rencontre, dieu sait que vous avez beaucoup à leur dire …\nce sera pour 2017 ,2022 ; je ne saurais m’avancé, mais une chose est sûre et certaine ; monsieur idrissa seck a aujourd’hui toutes les chances de devenir président du senegal.\nje le crois et je le lui souhaite vivement.\n\npaix et prosperite pour le senegal.\n\n\nbabacar
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Sarr
En Avril, 2015 (07:20 AM)
Convergence des étudiants et jeunes diplômés du Sénégal (Cejed), a organisé la 2èmeédition de sa caravane des Grandes écoles, les 2, 3, 4 et 5 avril derniers, à Saint-Louis, indique un communiqué. Il s’agit d’un événement entrepreneurial dont l’objectif est d’échanger et de partager entre jeunes et autorités sur la question de l’emploi au Sénégal.nSelon le document, le choix de cette ville historique du Sénégal n’est pas fortuit car, elle est l’ancienne capitale de la l’Afrique de l’Ouest francophone (Aof), et jouit d’un statut particulier davantage renforcé par son classement au patrimoine universel de l’Unesco.nL’engagement que ces jeunes ont montré durant ces 5 jours, souligne le texte, s’est traduit par l’acquisition d’une solide base de données sur les potentialités exploitables de cette région. La région de Casamance sera à l’honneur pour la prochaine étape pour cette caravane des Grandes écoles. nLa Cejed, grâce à ses caravanes, a su marquer de son empreinte les territoires du Sénégal qu’elle a, jusque-là, eu à sillonner. Une initiative que ses partenaires, notamment le ministère du Tourisme et des Transports aériens, ont salué. Dans un esprit d’équipe, elle chemine avec des universités publiques et privées du Sénégal.
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Ibou
En Avril, 2015 (07:22 AM)
je ne fais de politique, mais kedougou a intérêt a soutenir ce fils du terroir ; il a raison de dire qu il se battra pour son fief
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Mamour
En Avril, 2015 (07:25 AM)
Le PSE est un plan qui n’intègre pas sérieusement les dimensions Education/Formation et leadership. Le plan n’intègre pas sa propre planification.nnNous ne pouvons pas bâtir un plan d’émergence horizon 2035 sans une reforme solide du système éducatif au niveau primaire et dans le moyen/secondaire. Les sénégalais qui devront assurer le suivi et la pérennité du plan, doivent être bien préparés pour cet effet : bien éduqués et bien formés.nnC’est la formation primaire d’abord qui assure la bonne semence et qui demain produira le capital humain tant souhait pour faire émerger un pays. Il nous reste encore beaucoup de chemin à faire même si on est sur le bonnnA quoi ça sert de construire une cité du savoir si elle ne sera pas accessible a la majorité des sénégalais ?nnLa reforme du Supérieur devrait être précédée de celle de l’éducation nationale.nnVu la tendance de l’évolution démographique du pays : la population se caractérise par sa jeunesse: l’âge moyen de la population est de 22,4 ans et la moitié de la population a 18,7 ans (âge médian). Donc, logiquement, les -20 ans > 50 % de la population en 2035, une donne qu’il faut donc prendre en considération.nnQui vont casser les bus ? Qui vont détruire les feux de signalisation ? Qui vont piger dans la rue ? Qui vont jeter les ordures n’importe ou ?nnC’est les jeunes qui ont moins de 10 ans. En 2015, ce sont ces jeunes que nous devons préparer, c’est ces jeunes que nous devons bien éduquer.nnLes projets qui devaient démarrer depuis 2014 peinent à être financés. nnL’échéancier du plan (PSE) n’est pas respecté. Pour exemple : les PP4, PP7, PP8, le projet sur l’économie numérique, les projets PP20 jusqu'à PP27 et bien d’autres trainent encore et ils devraient démarrer depuis janvier 2014.nnLes projets de reforme qui le composent, sont contestés. Le consensus pose problème et les populations et acteurs se perdent dans ces reformes (voir acte 3, loi cadre portant sur les universités, la modernisation des Daaras, les visas entrés, le code des marchés, …)nnLes projets phares sont concentrés à Dakar (voir document du PSE : page 74) ce que accentuera la migration des populations. Ils souhaiteront plus rester dans la zone de forte croissance plutôt que de retourner dans les zones de misères et de calvaires. Zones sans poste de santé ni de moyens de transport et parlons même pas d’une alimentation riche et variée : source de bonne sante et réussite dans les activités physiques (d’autant plus qu’on s’oriente vers l’agriculture).nnLe PSE n’est qu’une compilation de projets. Certains PTF savent bien que c’est cet ensemble non-harmonisé qui fera émerger le Sénégal Ils ne viendront pas investir leurs sous (surtout avec l’instabilité des régimes). D’autres le savent aussi mais ils préfèrent faire leur cinéma et ne veulent surtout pas décourager le Président.nnUn conseil Monsieur le Président Macky Sall, ciblez les projets intéressants que vous pouvez exécuter durant votre mandat et ignorez le reste pour votre successeur dans la continuité de l’état.nnSoyez réaliste Monsieur le Président, vous ne pouvez pas lancer tous les projets du PSE comme stipulé dans le document alors qu’il ne vous reste que deux (2) ans.n
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Amadou
En Avril, 2015 (07:30 AM)
Le PSE est un plan qui n’intègre pas sérieusement les dimensions Education/Formation et leadership. Le plan n’intègre pas sa propre planification.nnNous ne pouvons pas bâtir un plan d’émergence horizon 2035 sans une reforme solide du système éducatif au niveau primaire et dans le moyen/secondaire. Les sénégalais qui devront assurer le suivi et la pérennité du plan, doivent être bien préparés pour cet effet : bien éduqués et bien formés.nnC’est la formation primaire d’abord qui assure la bonne semence et qui demain produira le capital humain tant souhait pour faire émerger un pays. Il nous reste encore beaucoup de chemin à faire même si on est sur le bonnnA quoi ça sert de construire une cité du savoir si elle ne sera pas accessible a la majorité des sénégalais ?nnLa reforme du Supérieur devrait être précédée de celle de l’éducation nationale.nnVu la tendance de l’évolution démographique du pays : la population se caractérise par sa jeunesse: l’âge moyen de la population est de 22,4 ans et la moitié de la population a 18,7 ans (âge médian). Donc, logiquement, les -20 ans > 50 % de la population en 2035, une donne qu’il faut donc prendre en considération.nnQui vont casser les bus ? Qui vont détruire les feux de signalisation ? Qui vont piger dans la rue ? Qui vont jeter les ordures n’importe ou ?nnC’est les jeunes qui ont moins de 10 ans. En 2015, ce sont ces jeunes que nous devons préparer, c’est ces jeunes que nous devons bien éduquer.nnLes projets qui devaient démarrer depuis 2014 peinent à être financés. nnL’échéancier du plan (PSE) n’est pas respecté. Pour exemple : les PP4, PP7, PP8, le projet sur l’économie numérique, les projets PP20 jusqu'à PP27 et bien d’autres trainent encore et ils devraient démarrer depuis janvier 2014.nnLes projets de reforme qui le composent, sont contestés. Le consensus pose problème et les populations et acteurs se perdent dans ces reformes (voir acte 3, loi cadre portant sur les universités, la modernisation des Daaras, les visas entrés, le code des marchés, …)nnLes projets phares sont concentrés à Dakar (voir document du PSE : page 74) ce que accentuera la migration des populations. Ils souhaiteront plus rester dans la zone de forte croissance plutôt que de retourner dans les zones de misères et de calvaires. Zones sans poste de santé ni de moyens de transport et parlons même pas d’une alimentation riche et variée : source de bonne sante et réussite dans les activités physiques (d’autant plus qu’on s’oriente vers l’agriculture).nnLe PSE n’est qu’une compilation de projets. Certains PTF savent bien que c’est cet ensemble non-harmonisé qui fera émerger le Sénégal Ils ne viendront pas investir leurs sous (surtout avec l’instabilité des régimes). D’autres le savent aussi mais ils préfèrent faire leur cinéma et ne veulent surtout pas décourager le Président.nnUn conseil Monsieur le Président Macky Sall, ciblez les projets intéressants que vous pouvez exécuter durant votre mandat et ignorez le reste pour votre successeur dans la continuité de l’état.nnSoyez réaliste Monsieur le Président, vous ne pouvez pas lancer tous les projets du PSE comme stipulé dans le document alors qu’il ne vous reste que deux (2) ans.n
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Rassemb
En Avril, 2015 (07:39 AM)
L'ancien ambassadeur de France au Sénégal de 2007 à 2011, Jean-Christophe Rufin, n’a pas porté de gant pour critiquer l’actuel régime sur presque tous les secteurs. La réplique ne fait pas attendre. Dr Ibrahima Mendy, membre influent de l’Apr, croit savoir que l’écrivain Français s’est trompé d’époque et de période, en tenant ce discours.nJean-Christophe Rufin est désormais dans le viseur des apéristes, pour avoir attaqué leur mentor, Macky Sall qu’il accuse de manque d’initiative et d’immobilisme dans le site «mondeafrique.com». A en croire Ibrahima Mendy, porte-parole de l’Apr, «Ruffin ne maitrise plus la situation qui se prévaut au Sénégal, d’autant plus qu’il l’a quitté depuis 2013. Il a une méconnaissance de la situation politique, sécuritaire et économique de l’actuel gouvernement du Sénégal. Nous pensons que le diplomate est allé vite en besogne. Car le chef de l’Etat, depuis sa prise de fonction en 2012, s’active, de jour comme de nuit, en mettant en œuvre sa vision pour un Sénégal Emergent.»nChiffres à l’appui, sur les progrès du nouveau gouvernement, ce lieutenant de Macky Sall révèle que le taux de croissance du Sénégal est passé de 1% en 2011 à 4,5% en 2014 et il est projeté à 5,4% en 2015, . «Cela veut dire que le nouveau gouvernement travaille sans relâche pour le développement ce pays pillé par le président Abdoulaye Wade et sa bande. Ce que Ruffin ne savait pas aussi : le président de la République, Macky Sall, a lancé une nouvelle politique, avec la bourse de sécurité familiale qui concerne plusieurs ménages en milieu rural, la réduction des billets d’avions et il peut revenir visiter le Sénégal à moindre coût etc..», précisera-t-il L’ancien représentant de la France au Sénégal avait mis en garde l’actuel régime sur une éventuelle attaque terroriste. Sans pourtant rentrer dans les détails pour des raisons sécuritaires, Dr Mendy rassure la population. «L’armée sénégalaise fait partie des meilleures du monde et puisque tous les aspects sécuritaires ne se discutent pas sur la place publique, qu’il sache que le président Macky Sall et les ministres concernés ont pris les devants sur ce fléau. Le gouvernement est conscient et toutes les dispositions ont été prises pour y faire face, parce qu’il n’y a pas de Sécurité à 100%. Même aux Etats unis et en France, il y’a des failles», a-t-il recadré.
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Bastia
En Avril, 2015 (07:50 AM)
Les risques varient avec l'âgenn nna) Jusqu'à 1 An.nn nn Si les accidents n'occupent pas la première place, c'est l'âge où se produisent le plus grand nombre de morts accidentelles. Le bébé risque surtout l'asphyxie et les chutes, mais aussi le coup de chaleur, les brûlures, les intoxications, les accidents de la route.nn nn Attention à ce qu'il ne soit pas étouffé dans ses couvertures, sous un oreiller (l'utilisation de couvertures attachées ou d'oreillers dans la literie d'un berceau est formellement déconseillée), par la faute du chat de la maison qui vient se coucher sur lui, avec tout ce qu'il peut porter à la bouche (épingles, broches...).nn nn- Ne le laissez pas seul sur sa chaise haute ou sur une table à langer pendant que vous le changez et, mieux encore, dans ce dernier cas, tenez-le toujours bien.nn nnb) De 1 à 4 Ans.nn nn C'est pendant cette période que les accidents sont les plus fréquents.nn nn Ils se produisent le plus souvent dans la maison et autour d'elle.nn nn Les lieux les plus dangereux de la maison sont d'abord la cuisine, puis la chambre et la salle de bains.nn nn Les risques encourus sont les chutes, les brûlures, les empoisonnements accidentels, la submersion.nn nn.L'eau attire l'enfant et il lui en faut peu pour se noyer, une bassine parfois ; ne laissez jamais un enfant seul près de l'eau.:nn. mettez les allumettes hors de sa portée ;nn. tournez les queues des casseroles sur le fourneau vers le mur ;nn. ne posez jamais de récipient d'eau chaude sur le sol ;nn. fermez bien la porte donnant sur la rue : il ne s'y élancera pas en courant au risque de se faire écraser ;nn. faites garnir les prises électriques avec des bouchons protecteurs : il ne risquera pas d'y mettre ses doigts ou d'y introduire un objet métallique ;nn. dès qu'il commence à se déplacer seul, mettez hors de sa portée tous les petits objets qu'il peut saisir : boutons, agrafes, trombones, billes, cacahuètes et autres petits fruits secs, etc., qu'il risque d'introduire dans sa bouche, dans une narine, dans l'oreille. Souvenez-vous qu'au ras du sol, sous un meuble, il aura vite fait d'apercevoir et d'attraper l'objet oublié ou que le balai n'aura pas atteint ;nn. mettez un grillage aux fenêtres, une barrière aux escaliers ;nn. dehors, tenez-le fermement à la main ou mettez-lui un petit harnais ;nn. rangez soigneusement et hors de portée de sa main, les objets tranchants ou coupants, les produits dangereux; médicaments, insecticides, produits d'entretien que vous garderez toujours dans leur conditionnement d'origine, sans les transvaser dans un autre contenant et prenez l'habitude d'éloigner l'enfant quand vous les utilisez (mettez-le dans son lit ou dans son parc...).nn. fermez à clé votre boîte à outils.nn nnc) De 5 à 14 Ansnn nn Les accidents se produisent hors de la maison et plus particulièrement dans la rue. Les plus fréquents sont les accidents de la route et la noyade.nn - Apprenez-lui les règles essentielles de la circulation car avant 10 ans, en effet, un enfant a du mal à les assimiler.:nn - S'il a une bicyclette, enseignez-lui les éléments indispensables du Code de la route.nn - Apprenez-lui à nager le plus tôt possible.nn - Procurez-lui les équipements conformes à l'activité de loisirs qu'il pratique.nn - Interdisez-lui de parler à des inconnus. nn nn L'auteur nnPierre Thinen
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Anonyme
En Avril, 2015 (08:08 AM)
vraiment ce monsieur m;a pas honte avec tout le tord qu;il a fait a kedougou de grace qu;il se retire quant ce kaw cisko c;est lui l;instigateur des fameuses emeutes de kedougou et c guirrassy qui l;a fait recruter a la poste donc ces commentaires on s;en moque il faut audite foncier a kedougou
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Anonyme
En Avril, 2015 (09:27 AM)
travaille main dans la main demain vs serai les ludeur du pds le temps viendra le pouvoir reviendra a vous
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Aisha
En Avril, 2015 (09:50 AM)
Qu’est-ce qu’un leader ? En quoi se différencie-t-il de l’individu lambda ? Nous avons tous un a priori sur ces questions. On l’imagine en Alexandre le Grand — l’illustre conquérant macédonien —, en Sir William Wallace — héros de l’indépendance écossaise —, dans la peau d’un Steve Jobs, d’un Bill Gates ou de l’un des deux fondateurs mythiques d’HP — des visionnaires qui ont à jamais changé le monde, ou encore en guide spirituel, militaire ou politique. Pour la majorité d’entre nous, le leader jongle avec les mots, entraîne, motive, inspire, prend des postures courageuses et se veut en rupture avec le statu quo. Il ne se contente pas de gérer l’existant, il crée de nouvelles brèches, des ouvertures, de véritables opportunités de développement. Il est tout cela, mais pas uniquement.nnCe sont les « suiveurs » qui font de vous un leader … ou pas !nnIl ne suffit pas de vouloir être un leader, il faut que les autres vous voient ainsi. Tout est question de perception. Personne ne peut donc s’attribuer ce label. Vous ne verrez jamais une annonce du type : « Nous avons le plaisir de vous annoncer la nomination de Madame X ou de Monsieur Y au poste de leader en charge de …». Voilà qui serait saugrenu. En réalité, on peut passer sa vie entière à vouloir le devenir sans jamais y parvenir et inversement être perçu comme tel sans jamais l’avoir cherché. Par ailleurs, cette reconnaissance n’est jamais définitivement acquise.nnL’image que l’on prête au leader est généralement positive. Il n’en est pas toujours de même pour le manager. Cela n’est guère étonnant. Au second, nous associons le respect d’une gouvernance dans le cadre d’une certaine stabilité organisationnelle, le pilotage des opérations et plus globalement la gestion des tâches qui lui ont été confiées. Il doit atteindre certains objectifs définis dans un cadre délimité. En comparaison, le leader est supposé être l’artisan d’une vision, le catalyseur des énergies et de l’innovation. Plus gratifiant. L’un incarne le contrôle, l’autre le changement. Le leader inscrit son action dans un mouvement perpétuel. Il cherche davantage à convaincre. Plutôt que d’ordonner et de forcer l’exécution, il cherche l’adhésion. Bien entendu, rien n’est aussi binaire. Pour réussir, le manager doit disposer d’une équipe motivée et engagée derrière lui et le leader n’aura pas d’autres choix que de devenir tôt ou tard plus directif pour faire aboutir ses projets. Les lignes qui les séparent sont néanmoins très marquées.nnQui, quoi, où, commentnnQui peut être un leader ? Si la réponse est loin d’être simple comme nous l’aurons compris, il existe néanmoins plusieurs angles d’approche pour tenter d’en apporter une. Le leadership est souvent le fruit d’une conjonction d’éléments. Il y a d’abord celles et ceux qui se voient affublés de ce titre pour ce qu’ils sont, ce qu’ils représentent. Le « qui » l’emporte dans ce scénario. Ils présentent des caractéristiques hors norme leur permettant de s’imposer naturellement, parmi lesquelles le charisme, véritable facteur de différenciation. A titre d’exemple, citons François Mitterrand ou Barack Obama. On peut les apprécier ou pas, mais ils sont d’incontestables leaders. Il y a ensuite ceux qui le sont pour ce qu’ils font. Nous sommes à présent dans le « quoi ». Ce qu’ils ont réalisé les place au-dessus du commun des mortels. Jean-Paul Sartre en intellectuel chef de file — pour ses œuvres et le courant intellectuel qu’il a su inspirer — en est la parfaite illustration.nnIl y a ensuite ceux qui le deviennent de part ce qu’ils vivent. C’est le « où » qui compte dans ce cas de figure. Le lieu et les circonstances de l’action font alors toute la différence. Winston Churchill n’aurait sans doute pas autant marqué le monde de son empreinte si les événements dramatiques de la seconde guerre mondiale ne lui avaient pas offert la possibilité de s’illustrer en tant que Premier ministre du Royaume-Uni. Vient enfin — après le « qui », le « quoi » et le « où » — le « comment ». Certaines personnes parviennent à atteindre leur cible par ce qu’ils utilisent. Leur méthode ou mode opératoire les distingue des autres.nnBien entendu, un même individu peut être cumulard ! Ces points ne sont pas exclusifs. Nicolas Sarkozy est parvenu au sommet de l’Etat en 2007 pour ses qualités intrinsèques, la façon dont il a opéré, ses alliances politiques, ainsi que sa méthode de communication et de management des situations. Il s’est principalement illustré sur le « qui » et le « comment ». Cinq années plus tard, alors même qu’il possédait les mêmes atouts, un élément est venu perturber la donne au début de sa mandature : la crise de 2008 qui est venu noircir le tableau du « quoi ». Le style bien installé, l’homme est dans l’action, le mouvement, il aime débattre, convaincre, gagner. Il agace certaines personnes pour ses excès, est admiré par d’autres, ne laisse personne indifférent. Mais au final il ne convainc pas sur les résultats. La période ne le place pas en position de force. Cela pêche à la fois sur le « quoi » et sur le situationnel (le « où »).nnEt c’est justement sur ces points que François Hollande — qui a par ailleurs bénéficié d’autres effets d’aubaine — a fondé toute sa campagne. Les circonstances lui sont favorables — renoncement de Dominique Strauss-Kahn, affaiblissement du président sortant et mauvais bilan du quinquennat précédent. Il axe ses discours sur le « quoi », en prétendant pouvoir faire mieux, ainsi que sur l’exemplarité.nnUn constat s’impose alors à nous. Si des points de différenciation peuvent vous permettre de l’emporter, d’autres — selon le contexte — peuvent annihiler vos atouts apparents. Il n’est pas nécessaire de répondre à toutes les questions pour réussir et être perçu comme un leader, mais le Grand Homme au sens de Hegel est toutefois censé y parvenir. En offrant une forme de complétude, il ne peut que marquer l’histoire des hommes de façon indélébile. Le Général De Gaulle répondait à cette description. Il présentait le profil d’un leader très complet. Il libère Paris (« quoi »), guide la France d’après-guerre avec méthode et rigueur (« qui » et « comment »), est présent à quelques-uns des plus grands tournants de l’histoire de notre pays au cours du 20ème siècle (« où ») et a toujours mené ses actions avec détermination, sans accepter de compromis sur ses valeurs, en usant d’une communication des plus modernes (« qui » et « comment »). Certains individus sont en avance sur leur temps.nnDessine-moi un leader !nnVouloir dresser le profil type du leader idéal serait très hasardeux. On en parle beaucoup, mais essentiellement parce qu’il serait plus simple pour tout le monde d’en disposer. Imaginez s’il existait un test pour mesurer le leadership d’un individu, un peu comme on le fait avec celui du QI.nnBien que nous n’en soyons pas là encore, certaines caractéristiques se retrouvent néanmoins de façon quasi systématique : un courage sans faille, un potentiel de visionnaire, un sens des réalités, une éthique irréprochable, une authenticité dans l’action, une capacité à laisser s’exprimer les émotions et à en tirer partie, une aisance relationnelle, un talent d’orateur, un charisme affirmé et enfin une dose d’humilité. Là encore, le dosage entre ces différents éléments peut différer d’un individu à l’autre.nnDe façon générale, ils savent où ils vont et le chemin qu’ils souhaitent emprunter. Ils ont une vision et définissent très précisément les étapes pour parvenir à leur fin. Ils croient dans le futur. Des leaders pessimistes, cela n’existe pas. Ils ont confiance dans leur capacité et s’ils ne sous-estiment jamais les difficultés, ils gardent un moral d’acier et transforment leurs inquiétudes en actions. Exigeants, ils définissent pour eux et les autres des objectifs ambitieux. Quand la plupart des concurrents cherchent à gagner des parts de marché, eux n’ont de cesse que de vouloir réinventer une industrie ou un métier. Au final, ils changent la donne et aident les autres à croire en eux.nnQu’ils soient en comité restreint ou qu’ils interviennent devant un plus grand nombre, ils génèrent presque toujours passion et envie. Ils ont le don de transformer les situations délicates en opportunités et les contraintes en atouts.
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Anonyme
En Avril, 2015 (12:28 PM)
Que Dieu lui pardonne. Mais c'est 36 prières quotidiennes y suffiront-elles ? Dieu hais les menteurs, et ceux qui lui résiste dans leur ignominie, mais comme il est miséricordieux.....n n
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Kaw Cisko
En Avril, 2015 (16:15 PM)
Anonyme tu devrez laisser ton masque tomber plutôt que de parler à visage couvert! Il faut noter cela quelque part ds ton.agenda : Guirassy sera Incha Allah l'un.des hommes forts de ce pays. Nous ne perdons pas notre temps de avec des gens qui s'interessent à des idioties, nous travaillons d'arrache pied, nuit et jour à mettre le fondement qui fera de Kedougou, un carrefour sous regional et du Senegal un pays développé. nJe me battrai pour vous, est une phrase pleine de sens, pour qui sait ce qui lie Guirassy à Kedougou. Arrête de te   :n
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