La Côte d’Ivoire a inaugurée plus grand Datacenter d’Afrique de l’Ouest, le jeudi 28 avril 2016.
Cette infrastructure, située Village des technologies de l'information et de la biotechnologie de la ville (VITIB) de Grand Bassam dans la banlieue abidjanaise, est le fruit d’un investissement de l’opérateur Orange, numéro un ivoirien de la téléphonie mobile.[Lire la suite sur ivoirematin.com]
17 Commentaires
Anonyme
En Avril, 2016 (21:46 PM)Kolef
En Avril, 2016 (21:47 PM)Kiki
En Avril, 2016 (21:58 PM)Anonyme
En Avril, 2016 (22:14 PM)On a tendance à analyse l'importance d'un pays à travers sa croissance, mais aujourd'hui beaucoup d'économistes pointent du doigt cette procédure. Il est incontestable aujourd'hui que la Cote d'ivoire est le pays qui a le taux de croissance le plus élevé en Afrique de l'Ouest. Mais cette croissance profite t elle à la population ivoirienne. La réponse est non car c'est juste des multinationales qui viennent investir pour avoir un retour énorme à cause du marché ivoirienne. N'envions pas la croissance ivoirienne car le jour que la France décidera de se retirer de ce marché, tout finira par couler. Je préfère que le peuple sénégalais bâtisse sa propre croissance sans contrainte ou obligation extérieur. Mais pour cela il faut lutter contre les APE.
Wassalam
Anonyme
En Avril, 2016 (23:12 PM)Anonyme
En Avril, 2016 (23:16 PM)Anonyme
En Avril, 2016 (00:50 AM)Mr. A.
En Avril, 2016 (02:36 AM)Anonyme
En Avril, 2016 (04:28 AM)Bethio
En Avril, 2016 (06:55 AM)Anonyme
En Avril, 2016 (09:56 AM)Lesagemaitre
En Avril, 2016 (11:55 AM)Ce ne sera pas le plus DATACENTER de l'Afrique de l'ouest le plus grand est en cours de construction à Rufisque et il appartient à Sonatel à 100%. VITIB servira de secours à celui de Rufisque et vice versa.
Listo
En Avril, 2016 (13:24 PM)Nous avons au Senegal deux problèmes :
1- Un problème de leadership, c'est à dire avoir à la tête du pays, un vrai leader mais pas du tout un rêveur, qui a une véritable vision du Senegal, et un projet économique intégré de toutes les régions du Senegal, menant vers un développement global, réfléchi, pense, programme, conduit et réalise selon un plan , comprenant ses sources de financement.
Ce leader dont a besoin d'un technicien de la trempe d'un Alassane Ouattara qui n'est en rien un politicien mais un économiste à l'expérience financière prodigieuse
suite à ses fonctionnaires au FMI et à la tête de la Beceao.
Lors de sa campagne électorale en 2010, Alassane Outtara avait proposé aux Ivoiriens un projet de gouvernement qui était une "véritable étude de cas" de la Côte d'Ivoire, digne d'être enseignée dans les grandes écoles : non seulement Alassane savait où il mènerait à terme la Côte d'Ivoire, et connaissait toutes les sources de financement de son plan, car c'était un plan chiffre, chronologique et non pas des promesses utopiques de nos politiciens.
2- Au Senegal et c'est la différence avec la Côte d'Ivoire, depuis 2000, nous sommes surtout dirigés par des professionnels de la politique, sans aucune expérience professionnelle réputée ou connue, le plus des juristes, des syndicalistes, des enseignants et parfois même sans véritable métier : voilà un peu le descriptif de ceux qui dirigent ou aspirent à diriger le Senegal.
Tout ce qui les intéresse est le pouvoir mais n'ont aucune idée , aucune vision, aucune projection de la ou ils veulent mener le Senegal!
Notre problème est donc comment se débarrasser de cette classe politicienne pour investir des hommes véritablement compétents, qui ont du métier, qui savent ce qu'est un État.
3- Macky Sall, malgré sa bonne volonté et son Pse, ne nous fera pas faire le bond qualitatif, économique dont nous avons tant besoin car il n'a pas cette vision dont je faisais cas tantôt !
Dans sa gestion pratique du Senegal, Macky Sall se présente et agit, comme un "justicier", un redresseur de torts en quelque sorte, estimant que dans les gestions précédentes , telle ou telle région, ont pu être lésées pu oubliées et qu'il fallait rectifier et leur rendre justice : ce qui, évidemment une absurdité, et ne peut se servir de plan de développement !
4- Enfin quand on voit ce qui en 5 ans s'est réalisé en Côte d'Ivoire, on ne peut être qu'admiratif de Alassane Ouattara qui lui, sait véritablement s'entourer des compétences nationales pour mener ses projets et ce n'est pas , le meilleur est à venir pour la fin de ses mandats.
Anonyme
En Avril, 2016 (14:32 PM)Listo
En Avril, 2016 (16:56 PM)Mais deux exemples concrets qui démontrent a souhait toute neutralité politique :
1- Ce n'est pas en Côte d'Ivoire, et Alasane Ouattara n'aurait jamais eu l'idée d'aller faire construire une autoroute Ila Touba d'un coût pharaonique de plus de 450 milliards CFA et qui est une véritable aberration économique car n'impactant en rien de façon substantielle l'économie nationale ni se structurant de façon significative les infrastructures routières du pays.
C'est la signification politique qui est plus évidente en l'occurrence et pendant ce temps la route de contournement de la Gambie qui, elle, est véritablement une priorité nationale n'est pas, ce qui nous vaut, le chantage de la Gambie, en ce moment.
2- l'aéroport d'Abidjan a été construit par le colonisateur, selon un plan architectural quasi similaire a celui de Dakar : alors que l'aéroport a deux fois plus de trafic passagers que Dakar et connaît un trafic avions deux plus élevé, les autorités Ivoiriennes sous Henry Konan Bedie en 1996/1998 ont redimensionné l'aéroport d'Abidjan en érigeant un étage supérieur dédié au départ des passagers, le rez-de-chaussée l'étant pour les arrivées, en plus d'un allongement de la piste d'envol et atterrissage pour un coût a l'epoque de 40 milliards
En 2015, un A380 de Air France s'y est pose et maintenant c'est une routine.
Au Sénégal, le précédent régime avec Ablaye Wade, on s'est embarque, sans raison, sans études sérieuses dans la construction d'un nouvel aéroport depuis Avril 2007 pour un coût estimé à 220 milliards CFA. En Avril 2016, soit 9 ans plus tard, l'aéroport n'est toujours pas achève et son coût au jour d'aujourd'hui dépasse les 400 milliards cfa.
Les Sénégalais ont donc des raisons de ne pas être contents de leurs dirigeants, d'hier comme d'aujourd'hui et de le dire!
Anonyme
En Avril, 2016 (21:54 PM)Positive Woman
En Avril, 2016 (22:44 PM)Participer à la Discussion