Malick Gackou est depuis 2015 engagé dans la lutte contre la mortalité et la morbidité maternelles et périnatales. Dans un entretien paru dans l’édition de ce mercredi du «Vrai Journal», le leader du Grand parti révèle qu’il s’agit d’un «combat d’une vie», qu’il mène dans le cadre de la fondation «Maternité solidaire».
Malick Gackou est parti d’un constat alarmant : «Au Sénégal, tous les quatre ou six heures, une femme meurt en donnant la vie. On dénombre près de 2500 à plus de 3000 femmes qui décèdent chaque année durant le processus de la maternité. C’est inacceptable et inadmissible, même si des efforts considérables ont été entrepris ces dernières années.»
L’affaire Astou Sokhna illustre l’ampleur du phénomène. Malick Gackou lui-même en est un symbole. «Ma propre mère est décédée à ma naissance des suites d’une hémorragie et j’en porte éternellement les stigmates», confie-il au «Vrai Journal».
Cet épisode douloureux de sa vie ne l’a pas précipité dans les abysses de la fatalité. Il constitue au contraire le carburant qui l’a poussé à créer sa fondation. «Je suis un élément de la cause», dit-il avant d’ajouter : «Je ne ménagerai aucun effort, aucune peine, pour l’éradication définitive de la mortalité maternelle au Sénégal, en Afrique et dans le monde.»
Depuis sa création, «Maternité solidaire» mène diverses actions de terrain. Gackou révèle que dans le cadre de son plan d’actions 2020-2021, sa fondation a «pu appuyer les structures de santé des communes de Taiba Ndiaye et de Notto Diobass». «Avec la fin probable de la pandémie, poursuit-il, nous allons reprendre nos actions sur le terrain avec un budget annuel de cent millions de francs CFA pour l’appui aux maternités, aux structures de santé et le portage du plaidoyer de lutte contre la mortalité maternelle et infanto-juvénile.»
Dans le cadre de son «combat», Malick Gackou se fixe comme «principal objectif, (…) la construction d’un hôpital ultra moderne consacré à la vie de la mère et de l’enfant». «Je ferai tout pour le matérialiser pour sauver les femmes face au désastre de la mortalité maternelle», s’engage-t-il.
Malick Gackou est parti d’un constat alarmant : «Au Sénégal, tous les quatre ou six heures, une femme meurt en donnant la vie. On dénombre près de 2500 à plus de 3000 femmes qui décèdent chaque année durant le processus de la maternité. C’est inacceptable et inadmissible, même si des efforts considérables ont été entrepris ces dernières années.»
L’affaire Astou Sokhna illustre l’ampleur du phénomène. Malick Gackou lui-même en est un symbole. «Ma propre mère est décédée à ma naissance des suites d’une hémorragie et j’en porte éternellement les stigmates», confie-il au «Vrai Journal».
Cet épisode douloureux de sa vie ne l’a pas précipité dans les abysses de la fatalité. Il constitue au contraire le carburant qui l’a poussé à créer sa fondation. «Je suis un élément de la cause», dit-il avant d’ajouter : «Je ne ménagerai aucun effort, aucune peine, pour l’éradication définitive de la mortalité maternelle au Sénégal, en Afrique et dans le monde.»
Depuis sa création, «Maternité solidaire» mène diverses actions de terrain. Gackou révèle que dans le cadre de son plan d’actions 2020-2021, sa fondation a «pu appuyer les structures de santé des communes de Taiba Ndiaye et de Notto Diobass». «Avec la fin probable de la pandémie, poursuit-il, nous allons reprendre nos actions sur le terrain avec un budget annuel de cent millions de francs CFA pour l’appui aux maternités, aux structures de santé et le portage du plaidoyer de lutte contre la mortalité maternelle et infanto-juvénile.»
Dans le cadre de son «combat», Malick Gackou se fixe comme «principal objectif, (…) la construction d’un hôpital ultra moderne consacré à la vie de la mère et de l’enfant». «Je ferai tout pour le matérialiser pour sauver les femmes face au désastre de la mortalité maternelle», s’engage-t-il.
10 Commentaires
Dame Seck
En Avril, 2022 (13:28 PM)-
Si tous les riches politiciens reversaient quelques millions de leurs magots, plus ou moins mal aquis, sans sans aucun interét caché, il y aurait moins de disparité entre citoyens, et moins de misère dans ce pays. Bravo Gakou !
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En Avril, 2022 (15:10 PM)-
L’affaire Sonko-Adji Sarr a mis fin à l’émission de « Jakaarlo » de la TFM. Ils essaient d’éviter de commenter sur ce problème de fesse. Pendant trois vendredis consécutifs que l’affaire Sonko-Adji Sarr fait le « choux gras » de la presse, il n’y a pas eu de programme de « Jakaarlo. » C’est un problème récurrent. J’avais aussi fait la même remarque au mois de février et mars. Tant que l’affaire Sonko fera la une des journaux, « Jakaarlo » sera fermé. C’est la peur partout. Ils sèment la terreur dans ce pays. Voilà où on en est arrivé. .
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En Avril, 2022 (16:12 PM)-
16:12 PM
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En Avril, 2022 (16:56 PM)Tu peux nous lâcher un peu avec TFM.
Sam
En Avril, 2022 (13:47 PM)-
@13:47 PM
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En Avril, 2022 (15:54 PM)Appartement tu ne comprends pas grand chose. Le système fonctionne en pyramide sanitaire avec des niveaux de référence. Les hôpitaux ne sont pas implantés n'importe comment.
1- Hôpitaux (avec plusieurs niveaux)
2- centres de santé
3- postes de santé
4- cases de santé
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Il parait qu'un grand politicien agé, connu gagne 40 millions!!! par mois, plus les bonus, perdium, doublons, vehicules, carburants.... Et rien ne filtre de cette fortune ni sur lui, ni sur les millions de pauvres qui souffrent pour une ambulance, des ordonnances, habits de bébé, un puits, un "resto du coeurs" un fondation.. Rien Niet ! il pourrait payer Macron et Joe Bid...
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En Avril, 2022 (16:09 PM)-
Niasse
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En Avril, 2022 (16:42 PM)Me
En Avril, 2022 (14:14 PM)-
Si toutes les taupes faisaient autant de bonnes actions, alors Vive les Taupes !!
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En Avril, 2022 (15:17 PM)Moi j'ai pas confiance en vous
Président 2024 inchalla Allah
Djibson
En Avril, 2022 (07:06 AM)Décevant.......
Pips
En Mai, 2022 (20:16 PM)Donald
En Mai, 2022 (21:37 PM)Participer à la Discussion