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Politique

Lettre ouverte à Moustapha Diakhaté ( Par Thierno Bocoum)

Single Post
Photo : Seneweb.com

Cher collègue, 


Tu fais partie des derniers à rejoindre le train du dénigrement, de la calomnie et du complot que ton leader conduit depuis belle lurette contre Idrissa Seck.


Sais-tu que le coup d’État debout puis rampant, qui avait été théorisé pour éloigner Idrissa Seck de Wade et faire main basse sur une victoire gagnée de haute lutte était le fait d’un des lieutenants de ton leader qu’il a fini par bombarder ministre dès son accession au pouvoir??


Sais-tu, cher collègue que le journal « il est midi » qui passait son temps à insulter et à calomnier d’honnêtes citoyens était dirigé par un collaborateur actif de ton leader?? Il l’a d’ailleurs nommé PCA de la Rts dès son accession au pouvoir.


Sais-tu que la deseckisation qui avait fait de nombreuses et innocentes victimes sous Wade était conduite par ton leader pour mieux se faire une place sous l’arbre qu’il tente de terrasser aujourd’hui??


Sais-tu, Moustapha que ton leader a eu à organiser des attaques et complots, pour essayer de déstabiliser celui qui a le plus contribué à le mettre en orbite??  


Nous avons résisté à tout cela et nous continuerons à résister. 


Cependant, nous ne sommes ni rancuniers ni vindicatifs. Les crapauds ont toujours bavé, mais la blanche colombe n’a jamais pu être confondue sur un seul centime de détourné ou de biens indus.


Mais en ce qui te concerne, Moustapha, nous ne résisterons pas puisque nous ne subissons rien.


Nous constatons avec désolation que tu dégringoles, tu t’enivres d’un pouvoir éphémère.


Tu abandonnes tes convictions pour ne devenir qu’un simple répondeur automatique. Tu laisses l’Assemblée nationale mourir de sa belle mort sans rechigner. Tu défends l’indéfendable sans gêne. Tu te ranges du côté des oppresseurs pour organiser de cyniques représailles...


Finalement, Cher Moustapha, tu deviens méconnaissable?!


Heureusement que le ridicule ne tue pas sinon on t’aurait perdu avec beaucoup de regrets. Dans notre pays, sous Macky, cette ridicule dope, fini par positionner et finalement banalise les prestigieuses fonctions de nos gouvernants.


Moustapha, prends-toi au moins au sérieux?! N’essaie pas de nous faire croire qu’Idrissa Seck est lui-même la personne qui a été votre source dans les accusations fallacieuses que vous ne cessez de repeindre à longueur d’année pour lui donner un nouvel éclat.


Chers, collègue, sois au moins pratique en demandant à la personne à qui Idrissa Seck aurait fait une confidence de faire elle-même sa déclaration, si tant est sa volonté, au lieu de jouer au « haut-parleur ».


Cher collègue, nous ne te retournerons pas les insultes à l’encontre de notre leader. Nous n’utiliserons pas ce langage ordurier qui a jalonné ton texte, mais nous te demanderons de te ressaisir pendant qu’il est encore temps.


Thierno BOCOUM 


Député à l’Assemblée nationale 



33 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (13:47 PM)
    Merci Mr Boucoum quelle leçon de morale
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  2. Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (13:48 PM)
    sil etait bien intentione, il allait declarer la date lors de son message solennel ala nation le 31 decembre passe. il est oblige par la pression. en meme temps cest sa constitution qui ne contient que ce qui linteresse comme il avait dit a makhtar mbow. avec cette constitition, i pourra se representer apres 2 mandats consecutifs ala maniere de mathieu kerekou ou putin
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    Auteur

    Anonym

    En Janvier, 2016 (13:49 PM)
    il a tout tenté il a échouié il a mémé dit a macky de traquer les mara bout au début du mandat mais peine perdu linga beugone yép amoussi dara

    mais part toujours a touba gnioukay niakal fayda



    il est le president du groupe parelementaire le plus nul que le sénégal n'a jamais connu depuis l'independance



    il faisait le franc alors il est tres mauvais



    il voulait que wade soit en résidence surveillé jusqu'a présent rien



    il a fait voté la loi sur les université loi brulé par les professeur



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    Auteur

    Vive

    En Janvier, 2016 (14:01 PM)
    Bien dit Bocoum ce diakhate ndeysssane est devenu un soit disant "griot "
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    Auteur

    Vive

    En Janvier, 2016 (14:01 PM)
    Bien dit Bocoum ce diakhate ndeysssane est devenu un soit disant "griot "
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    Auteur

    Vive

    En Janvier, 2016 (14:01 PM)
    Bien dit Bocoum ce diakhate ndeysssane est devenu un soit disant "griot "
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    Auteur

    Vive

    En Janvier, 2016 (14:01 PM)
    Bien dit Bocoum ce diakhate ndeysssane est devenu un soit disant "griot "
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    Auteur

    Vive

    En Janvier, 2016 (14:01 PM)
    Bien dit Bocoum ce diakhate ndeysssane est devenu un soit disant "griot "
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    Auteur

    Otarcie

    En Janvier, 2016 (14:08 PM)
    Waw waw waa Yéw, sa bopou maam way. Tu nous tympanises, au nom de Dieu; pour un oui ou pour un non, vous montez au créneau pour nous servir des balivernes. Bocoum kheureumal sa ndiaboot.
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    Auteur

    Saloum Saloum

    En Janvier, 2016 (14:08 PM)
    Vraiment l'administrateur du site aidez nous avec ses publicités sur les performances sexuelles, on a en marre ou bien créer une rubrique publicité sexuelle.
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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (14:10 PM)
    en tout cas Idy n'inspire pas confiance. ni son parcours gouvernemental ni son parcours academique ne peuvent etre defendu. dans un autres pays des gens comme idrissa seck n'oserait plus jamais aspirer a un quelconque poste public.. mais senegal... on oublie beaucoup trop vite... on se laisse berner and diriger par les plus malhonnetes... des gens qui ne peuvent mm pas sortir le plus petit diplome obtenu a l'universite... et on veut etre un pays developpe... nous sommes des farceurs, nous senegalais... nous sommes mm ridicules.. c'est ce qui explique notre retard... Thierno Bocoum, c'est mm une honte pour un intellectuel de ton niveau de te ranger derriere idy connu pour sa malhonnetete, des gens qui dilapide les avoirs de ce pays, des gens qui ne savent pas ce que signifie le service public.. qui pensent que etre au pouvoir c'est voler et garder le bien du peuple et faire la fete avec ses amis et parents... Pleure mon pays! pleure mon pauvre Senegal!
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    Auteur

    Alakham

    En Janvier, 2016 (14:13 PM)
    MERCI MON CHER THIERNO
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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (14:21 PM)
    23 octobre 2006

    Interview d’Idrissa Seck avec la RFM

    Beaucoup d'observateurs ont du mal à croire que vous irez au bout de votre candidature. Pourquoi, en dépit de nombreuses dénégations, certains persistent-ils à penser qu'il y a eu un « deal » entre Abdoulaye Wade et vous ?



    L'idée de deal est un fantasme du camp présidentiel.

    Ce qui m'engage, ce sont les actes que je pose et les paroles que je prononce. Je ne peux pas avoir mobilisé mes réseaux au niveau international, activé toutes les associations qui me soutiennent dans le monde, impliqué tous mes compagnons politiques au Sénégal pour du bluff. Cela ne me ressemble pas.

    Il n'y a jamais eu et il n'y aura jamais de deal entre le Président de la République et moi. Il m'a accusé de faits graves que la justice a réfutés un à un. L'idée de deal est étrangère à ma conception de l'éthique, de l'Etat et de la politique.

    Sauf volonté divine contraire, entre Abdoulaye Wade et moi, toute entente politique est derrière nous.



    Vos adversaires rappellent toujours une phrase que vous avez prononcée au cours d'un séminaire gouvernemental à Ziguinchor : « Je suis né pauvre et je suis devenu riche. » Vous êtes-vous enrichi à la faveur du pouvoir ?



    Je voudrais d'abord rappeler le contexte de cette phrase.



    J'avais lancé en 2004, la Stratégie de Croissance Accélérée (SCA) au séminaire de Ziguinchor, en y invitant des économistes de renom comme l'américain Michael Fairbank's de OTF (On The Frontiers)

    Dans sa présentation liminaire, Michael Fairbanks, avait demandé aux élites sénégalaises de faire un choix entre l'ancien monde où les richesses et les privilèges étaient distribués à la naissance et figés à vie et le nouveau monde où les talents assurent cette distribution de richesses et de privilèges. Et où on peut naître pauvre et mourir riche et naître riche et mourir pauvre en fonction du mérite.

    C'est en réaction à cette interpellation que j'avais formulé la phrase que vous rappelez.

    Les seules ressources que mon passage au pouvoir a mis à ma disposition et qui renforcent mes moyens d'intervention politique et sociale sont les fonds politiques que le Président de la République lui-même m'a discrétionnairement alloués. J'ai indiqué le code qui a présidé à leur redistribution. Les proches, les orphelins, les indigents, les lourdement endettés, l'affranchissement des jougs, les voyageurs en détresse et ceux dont les cœurs sont à gagner à notre cause.



    Le Livre m'a inspiré d'en dresser compte : “Et nous avons dénombré toute chose dans un registre explicite ”

    Ce qui me préserve des oublis des mémoires affaiblies…



    Vous êtes souvent décrit comme un personnage cassant voire arrogant… Que répondez-vous à cette rumeur qui brouille votre image ?



    Le propre de la rumeur c'est de partir de rien pour gonfler, telle une bulle, et prendre injustement les allures d'une vérité. En l'occurrence, l'idée d'un Idrissa Seck arrogant et cassant est une pure caricature.



    Le musulman que j'aspire à être connaît l'importance de l'humilité. Ma fréquentation des Psaumes m'a également enseigné que le Seigneur invite à être humble : « … afin que l'homme tiré de la terre cesse d'inspirer l'effroi » (Psaumes 10, V18)



    Mais humilité ne veut pas dire légèreté, encore moins vulgarité. Nul ne peut revendiquer une position de pouvoir et ne pas adopter une posture qui impose le respect.



    Dire le contraire c'est cautionner une banalisation de l'autorité publique, donc un affaissement de l'autorité et du prestige de l'Etat comme on l'observe aujourd'hui dans notre pays.



    Vous avez quand même dit que vous êtes né pour être président. Ce qui n'est pas modeste



    Ce n'est pas modeste du tout et c'est pour cela que je ne l'ai jamais dit. Cette rumeur est née du titre d'un journal de Princeton qui disait : « Idrissa will someday be President » (Idrissa sera un jour président). Nous nous limitons humblement à prier pour que ce jour soit proche.



    Pourquoi mêlez-vous le Coran au discours politique ? Quel est votre rapport à la laïcité ?



    Le Coran est ma référence. Il m'enseigne d'adopter aussi comme sources d'inspiration l'Evangile, la Thora et les Psaumes, de m'ouvrir aux merveilles du monde et à toutes ces cultures, de parler à chaque peuple sa langue. C'est à travers Tintin, Titeuf, Ducobu et jeux électroniques que j'enseigne à mes enfants le coran de façon fragmentée et graduelle comme l'a reçu le prophète (PSL) pendant 23ans.

    Ceux qui veulent instituer un Etat Islamique où ne vivraient que des croyants méconnaissent le Livre. Le Coran fonde la laïcité en divers versets :

    « C'est Lui qui vous a créé. Parmi vous il y a mécréant et croyant… » S64 V2. L'un ne peut pas éteindre l'autre. Songez au formidable dialogue entre Dieu et Iblis (Satan). Le premier choisit d'accorder un délai au second pour obstruer son chemin. (S7 V12-18)

    « Nulle contrainte en religion » (S2 V256)

    « La vérité émane de votre Seigneur, quiconque le veut qu'il croie et quiconque le veut qu'il mécroie » (S18 V29)

    « Et par l'âme et Celui qui l'a harmonieusement façonnée »

    « Et lui a alors inspiré son immoralité, de même que sa piété » (S91 V7 et 8)



    J'accorde une importance fondamentale à la laïcité. Je ne peux avoir le parcours que j'ai eu et ne pas être ouvert sur les autres cultures et les autres sociétés. De St-Gabriel à Princeton en passant par Sciences-po Paris, je me suis fait des amis de toutes les religions, de toutes les civilisations et de tous les continents. Notre pays est un exemple réussi de cohabitation entre les religions. Je m'emploierai à préserver cet acquis essentiel si je suis en responsabilité. Premier ministre, j'ai pu d'ailleurs démontrer mon attachement à cet équilibre, à l'occasion de la polémique engagée par le président de la République contre le clergé en 2003.



    Vous avez dit et répété que vous n'alliez jamais vous présenter contre Abdoulaye Wade. Qu'est-ce qui vous a fait changer d'avis ?



    Abdoulaye Wade et moi étions liés par un pacte qu'il a rompu à la face du monde. Je ne parle même pas de la brutalité avec laquelle il m'a traité. Cela passe encore. Ce qui passe moins, c'est que plus le temps passait, plus les dérives se multipliaient, et plus il m'était difficile de me confiner dans une attitude de spectateur face à la déconstruction progressive des institutions, des avancées économiques et des acquis diplomatiques de notre pays. Le Abdoulaye Wade pour lequel j'entendais renoncer à me présenter n'est plus celui-ci. L'actuel Wade est pris dans un étau, ligoté par une stratégie familiale et pris en otage par un entourage destructeur. Et je ne suis pas le seul Sénégalais à ne plus reconnaître celui qui a été élu le 19 mars 2000.



    Beaucoup d'observateurs estiment que vous ne rassurez pas, et que vous allez régler des comptes une fois au pouvoir. Avez-vous présenté une candidature de revanche ?





    La revanche est une notion inconnue du musulman que j'aspire à être. Ma religion m'enseigne le pardon. Mon cursus intellectuel et mes idéaux politiques m'incitent à la tolérance. Après avoir échappé au complot de ses frères et obtenu sur eux la victoire, Joseph dit ceci à leur endroit : « Pas de récriminations contre vous aujourd'hui ! Qu'Allah vous pardonne. C'est Lui le plus Miséricordieux des Miséricordieux. »

    Je ne peux, une fois élu, distraire mon temps et mon énergie à régler des comptes, au détriment de la satisfaction des problèmes urgents des Sénégalais.

    Et puis, je ne peux pas poser le moindre acte de représailles à l'encontre d'Abdoulaye Wade. Les Sénégalais ne le comprendraient pas et je tiens à l'estime de mes compatriotes. Il y a des choses que je préfère subir de mon compagnon au lieu de les lui faire subir. Abdoulaye Wade peut me faire ce qu'il désire. Je convoite de Dieu un cœur large pour le subir.

    Jamais je n'installerai le Sénégal dans un climat de règlement de comptes. L'Etat n'est pas un instrument pour assouvir des vengeances personnelles. J'en ai une bien plus haute idée.



    Que proposez-vous de nouveau aux Sénégalais ? Avec quels hommes et femmes allez-vous le réaliser ?





    Ce que j'espère, c'est que chaque sénégalaise et chaque sénégalais ressente dans son vécu quotidien la restauration de l'Etat de droit, le respect des Droits de l'homme, un panier de la ménagère garni et des opportunités d'emploi.



    Les sénégalais ne souhaitent plus voir au Sénégal des journalistes envoyés à la DIC pour avoir exprimé leur opinion.

    Les sénégalais ne souhaitent plus voir la manipulation des institutions judiciaires pour éliminer un adversaire politique gênant.

    Ils souhaitent que la transparence irrigue tous les actes du gouvernement. Ce qui manque le plus aujourd'hui avec les modèles de gestion comme l'ANOCI

    et la société AIBD (Aéroport Internationale Blaise Diagne)



    Dans le premier cas, on fait croire aux sénégalais que c'est avec des dons que les travaux de l'ANOCI seraient réalisés, alors qu'en fait ces travaux sont exécutés avec des ressources publiques (Prés de 31 milliards auprès du fond Kowétien et de la BID. ) Pour la société de construction de l'aéroport, on ne sait pas sur quelle base le partenaire stratégique (actionnaire à 55% d'une société au capital de 100 millions de francs CFA) a été choisi. Ce partenaire apporte 55 millions de francs, ne prend aucun risque puisque l'emprunt est garanti par les redevances aéroportuaires, mais il devrait être le gestionnaire d'un aéroport dont le coup dépassera vraisemblablement 300 millions de dollars.



    Les sénégalais souhaitent, également, que la croissance descende au niveau du panier de la ménagère.

    Ils ne veulent plus d'un Sénégal où l'électricité est coupée régulièrement et où le Président leur demande de retourner à la bougie.

    Quel était le cri de campagne du président en mars 2000, en direction de la jeunesse ? ‘Vous qui n'avez pas d'emploi, levez le bras.' Aujourd'hui, quand il devra refaire le tour du pays, ces mêmes jeunes lui diront : ‘Monsieur le Président, nous sommes dans l'émigration clandestine, nous prenons des barques, des pirogues de fortune, nous mourons dans la mer parce que nous ne trouvons pas d'emplois chez nous.

    Ce que je ferai de nouveau, m'appuyant sur les efforts de tous, c'est également ceci :





    Le conflit casamançais sera notre première préoccupation. Nous ne donnerons pas de délai mais nous allons mobiliser les moyens nécessaires pour faire revenir la paix dans cette belle région du Sénégal. Nous avons dans cette perspective un important projet dénommé Initiative pour le Développement Intégré de la Casamance ;





    Décongestionner Dakar. 22 pour cent de la population et 80 pour cent de l'industrie ne peuvent pas être confinés sur 0,03 pour cent du territoire sénégalais. Le site de Dakar sera réservé en priorité aux services (Banque, assurance, nouvelles technologies). Il nous faudra aménager hors de Dakar d'autres pôles de développement, reliés au port de Dakar par rails et autoroute, disposant de ports secs ainsi que de vastes espaces viabilisés et équipés pour abriter des sites industriels, des villages artisanaux et des zones d'habitation. Fournir des facilités de financement aux meilleurs projets à délocaliser sur les dits sites. Un fond de 125 millions de dollars est déjà identifié à cet effet ;





    Explorer les réponses populaires apportées aux besoins de santé, d'éducation afin de les moderniser et de les rendre plus efficaces ;



    Un plan Job et Tiop centré sur les 3 secteurs fournisseurs de notre sécurité alimentaire : Agriculture, Elevage, Pêche. Mettre sur pied une politique de promotion économique des jeunes (Formation à l'entreprenariat, appui à l'accès au crédit, etc.) ;





    Remplacer COUPELEC par une SENELEC performante scindée en deux. D'une part des IPP privés pour la production et une SENELEC publique pour la distribution et le transport. Restaurer la crédibilité financière de la SAR pour une réelle relance de ses activités industrielles, à l'exclusion des activités d'importation que les traders sont mieux à même d'accomplir ;





    Soutenir sérieusement l'artisanat. A titre d'illustration, nous allons octroyer aux professionnels du bois les 18 Milliards de Chiffre d'Affaire que génère le mobilier national et une part substantielle des 35 milliards consacrés, chaque année, aux meubles importés ;





    Toutes ces actions de notre programme de redressement national, je l'ai déjà dit, seront portées par les meilleurs d'entre nous, représentatifs des vertus et des compétences de notre pays.



    Que répondez-vous à ceux qui prétendent qu'il n y a pas de compétences parmi les hommes et les femmes qui vous entourent ?



    Nombreux sont les sénégalaises et les sénégalais qui, dans le caché comme dans le manifesté, appuient ma candidature et travaillent activement à la faire triompher. Jetez un coup d'œil sur les profils des membres de notre secrétariat national et dites moi si votre question se pose encore. En attendant de découvrir les sénégalaises et les sénégalais que les meilleures firmes et institutions mondiales s'arrachent et qui m'ont déjà donné leur engagement de venir servir le pays à mes cotés.



    Mes collaborateurs ont en plus une autre chose qui me lie à eux : la solidarité forgée par les souffrances communes et le feu du combat. Quelqu'un peut tirer un trait sur tous ses compagnons d'hier et se refaire des amis d'aujourd'hui. Tandis que, pour moi, la loyauté, le passé commun et le compagnonnage de la première heure ont un sens que m'enseigne le Livre :

    « On ne peut comparer cependant celui d'entre vous qui a donné ses biens et combattu avant la conquête… Ces derniers sont plus hauts en hiérarchie que ceux qui ont dépensé et ont combattu après.» (S57 V10)





    Quels sont vos atouts et handicaps dans la course à la présidentielle ?



    Je vous laisse, en tant qu'observateur, le soin de détecter les handicaps. Je crois que mon principal atout c'est ma foi. Foi en notre destin, foi en notre avenir.





    Que vous inspire comme réflexion l'attitude de l'opposition à votre égard ? Ne vous êtes-vous pas fait trop d'ennemis parmi les opposants pour pouvoir faire alliance avec vous ?



    Je n'ai jamais eu de problèmes personnels avec des leaders de parti. Chacun défend ses positions politiques et je défends les miennes. A titre d'exemple, lors des investitures de candidats aux élections locales, Landing voulait Bignona et Bathily, Bakel. Je m'y suis opposé. Car ils restent des concurrents potentiels pour l'avenir et il n'était pas rationnel de leur prêter la force du PDS pour conquérir les stations stratégiques de Monsieur Casamance pour l'un et Monsieur Sénégal oriental pour l'autre.

    Mais je pense que les intérêts supérieurs du pays supplantent tout autre intérêt. C'est pourquoi j'ai demandé à rencontrer les leaders de la CPA.

    J'ai également déclaré que je suis tout à fait disposé à m'aligner derrière celui que les suffrages auront désigné au premier tour comme étant le meilleur profil dans l'opposition.



    Avez-vous détourné de l'argent dans les chantiers de Thiès ? N'est-ce pas là l'origine de la fortune que d'aucuns vous prêtent ?



    Je l'avais dit et je le réitère : jusqu'à l'extinction du soleil, le détournement du moindre centime d'argent public ne pourra m'être imputé. Et les faits m'ont jusqu'ici donné raison. Malgré la mobilisation inédite de tous les instruments de répression et d'investigation de l'Etat, la justice a fini par reconnaître mon innocence.

    La commission d'instruction a dit que je n'ai commis ni détournement de deniers publics ni surfacturations dans le cadre des chantiers de Thiès et que même si la responsabilité des entreprises était établie en matière de surfacturation, il resterait à prouver comment Idrissa Seck a pu bénéficier sciemment des produits des surfacturations. Comment aurais je pu détourner des fonds dont je n'avais ni la garde, ni la responsabilité du mouvement ? Ce mouvement est par ailleurs, clairement établi par des relevés bancaires, du trésor aux entreprises en passant par le PCRPE.

    Les commissions rogatoires internationales n'ont rien trouvé et ne trouveront jamais rien parce qu'il n y'a rien. Tout ce que je possède a une origine licite. Mais en tout état de cause je suis disposé, à tout moment de la convenance d'un juge, à prouver que mes revenus justifient les biens dont je dispose.



    Je comprends le désespoir de mes adversaires qui, faute de solution politique au problème Idrissa Seck, recourent à des faux fuyants juridiques. Malheureusement pour eux, ils ont lamentablement échoué sur cet autre terrain. Ils doivent revenir à une évidence : ils n'ont d'autre choix que de m'affronter par les urnes. Ils en ont une peur bleue qui les pousse à de nombreuses fautes.



    Comment avez-vous vécu votre séjour carcéral ? Que vous a appris la prison ?



    Vous connaissez sans doute ce proverbe du 14 ème siécle « Moult a appris qui bien connut ahan ». A beaucoup appris qui a bien peiné.



    En prison j'ai beaucoup songé à mes devanciers dans la station de la détention. J'ai appris du plus illustre d'entre eux, une belle endurance ainsi que la protection contre l'affliction. J'ai songé à Mohamed (PSL) dans la grotte disant à son compagnon, « ne t'afflige pas, Allah est avec nous ». J'ai songé à Serigne Touba , isolé au Gabon, à Mandela dont les compagnons ont reçu l'urine de leurs geôliers comme boisson, à Napoléon au Port d'Antibes, soumettant sa conduite au seul tribunal de sa conscience tranquille, parce que innocente. A De Gaulle considérant sa captivité comme le temps des semailles et de la germination suivi plus tard par celui de la moisson. ALéopold Sédar Senghor envoyant du chocolat à son ami Pompidou, émerveillant son geôlier allemand par la qualité de son latin. A Abdoulaye Wade, m'écoutant avec énormément d'émotion, dans le bureau des avocats à Reubeus, lui rendre compte de l'entretien que j'ai eu avec Jean Collin alors tout puissant secrétaire général de la Présidence de la République qui a cherché à me débaucher et à qui j'ai répondu que s'il voulait m'avoir, il devait passer par Abdoulaye Wade.

    A César enfin, dans le repaire des pirates de l'île de Pharmacuse qui l'ont arrêté avant d'exiger pour sa libération, une rançon…

    Je me suis fait beaucoup d'amis parmi les détenus et les gardiens malgré un régime d'isolement complet.

    J'ai beaucoup pensé à Coluche, sur l'homme politique qui investissait plus dans les prisons que dans les écoles et qui expliquait ce choix par le fait qu'il savait qu'il ne retournerait pas à l'école tandis que pour la prison… on ne sait jamais.

    En prison, j'ai beaucoup écrit notamment sur les réformes du système judiciaire et de l'administration en général. J'ai écrit sur la promotion, chez les fonctionnaires, d'un comportement de dignité et de refus face aux ordres illégaux de leur hiérarchie politique.

    Je ne me suis jamais autant amusé avec Koutia me décrivant avec une surprenante acuité mon émerveillement face aux parures et parfums de Ndéye Penda qui les renouvelle perpétuellement pour mon plaisir visuel et olfactif. La créativité de ma douce épouse en cette matière est le plus bel hommage qui m'ait été donné de voir et sentir pour ce beau verset de Rahman où Dieu dit : « Chaque jour, il accomplit une œuvre nouvelle ».



    Craignez-vous une nouvelle inculpation avec la poursuite des commissions rogatoires internationales, comme l'a laissé entendre le ministre de la Justice, Cheikh Tidiane Sy ?





    Non seulement je ne crains rien, mais également je vais également siffler la fin de la récréation. J'ai pris les dispositions pour mettre un terme à ces allégations qui n'ont jamais été établies par un juge. Le Sénégal est d'ailleurs l'un des rares pays dits démocratiques où un chef d'Etat et des ministres se mêlent ouvertement d'affaires traitées par la justice. L'indépendance de la justice dicte tout à fait le contraire. C'est une question d'hygiène démocratique. Nous vivons actuellement dans ce pays une grave crise démocratique. Les institutions sont à vau-l'eau. Tous les principes sont foulés au pied. L'Etat est à genoux. La justice est transformée en un outil de règlement de comptes. La Dic interpelle de façon ininterrompue hommes politiques et journalistes. Le sens de ma candidature, c'est d'instaurer un nouveau système dans lequel ces graves dérives n'auront plus de place.



    Imaginez-vous un seul instant être empêché d'élection pour cause de nouvelles poursuites ?

    Absolument pas. Cette hypothèse fantaisiste n'existe que dans la tête de ceux à qui cela fait plaisir d'y croire. Je l'affirme solennellement : seul le verdict des urnes va, le cas échéant, m'empêcher d'accéder à la station présidentielle. Aucune diversion, aucun subterfuge juridique ni aucune manœuvre dilatoire ne peuvent m'empêcher de me soumettre au suffrage de mes compatriotes. Ceux qui ont peur de m'affronter n'ont qu'à renoncer à se présenter.





    Si votre parti Rewmi n'est pas reconnu, allez-vous vers le bras de fer ou changer d'appellation ?





    Le parti existe déjà. Il s'appelait FPJ. Il s'appelle maintenant Rewmi. La question ne porte pas sur l'existence légale du parti mais sur son droit à choisir le nom qu'il veut et en particulier Rewmi. Avons-nous le droit de nous appeler Samba ou Bathie ? C'est ça le débat. Sur cette question nous ne nous soumettrons qu'à une décision de justice et non à une injonction autoritaire et arbitraire d'un Premier Ministre ou de son Ministre de l'Intérieur

    Que pouvez-vous changer que vous n'aviez pas pu quand vous étiez Premier ministre ?



    D'abord, je suis très fier du bilan que j'ai réalisé au poste de Premier Ministre. Les faits sont têtus : à cette station, j'ai mené le Sénégal au point d'achèvement de l'initiative PPTE. Devant le Club de Paris, en 2003, nous avons récolté 840 millions de dollars – une performance qualifiée à l'époque d'historique par le Chef de l'Etat.

    L'économie a connu un second souffle en 2003-2004. Le Sénégal était éligible au MCA sur la base des données de 2004 et les notations de l'Agence Internationale de Cotation Standard And Poor's nous conféraient la note B à court terme et B+ à long terme.

    Le Sénégal était considéré comme solvable. Mieux, la Banque Mondiale considérait que nous avions le meilleur cadre macroéconomique en Afrique subsaharienne.

    Si le Président de la République observe, aujourd'hui que je n'ai pas défendu ses grands projets dans mon discours de politique générale, c'est certainement pour me donner raison. Aucun des projets sur les délais de réalisation desquels j'avais refusé de m'engager n'est à ce jour réalisé (l'aéroport de Ndiass, le train à grand écartement, ville nouvelle, tramway …)

    J'ai une conception de la parole politique. Autant on peut affirmer que le courant revient le 15 octobre pour aujourd'hui être démenti par les faits, autant je ne peux annoncer un engagement sans m'assurer au préalable de la disponibilité des moyens logistiques, financiers et humains nécessaires à sa réalisation.



    Si vous êtes élu président, quel est le premier acte que vous allez poser ?





    Prier.

    Prier pour que Dieu nous protége contre les peines et les larmes que charrient les catastrophes comme celle du Joola ;



    Prier pour qu'Il nous apporte des joies similaires à celles qu'a procuré l'épopée des lions au Japon ;



    Prier pour que la voix de ceux d'en bas arrive à ceux d'en haut ;



    Rendre grâce pour le bienfait dont Il m'a comblé ;



    Convoiter de lui la force de faire une bonne œuvre qu'Il agrée ;



    Prier pour qu'Il me fasse entrer par sa miséricorde, parmi les serviteurs vertueux ;



    Me mettre au travail, entouré des meilleurs d'entre nous, représentatifs des vertus et des compétences de notre pays.



    19) Le témoin annonce l'arrestation de Bara Tall et le populaire dit que les autorités ont retiré votre passeport diplomatique. Quelle est votre réaction



    Je me fixe pour règle de ne pas réagir à des rumeurs mais seulement à des faits. Il s'y ajoute que ce que les magistrats ont déjà dit dans leur arrêt n° 4 du 7 février 2006 me met hors de portée des manipulations judiciaires de mes adversaires.



    Pour le passeport diplomatique, j'ai introduit comme d'habitude, auprès du ministre des Affaires Etrangère, une demande de prorogation des passeports de ma sécurité, de ma famille et de moi-même. Après un délai inhabituel de traitement de ma demande, j'ai téléphoné à Madame Claude Absa Diallo, Secrétaire Général du ministère des affaires étrangères qui m'a généreusement et professionnellement informé des dispositions qui régissent ma requête. Dispositions selon lesquelles «peuvent également obtenir le passeport diplomatique, les anciens Chefs d'Etat, les anciens Chefs de Gouvernement et les anciens Ministres des Affaires Etrangères qui en font la demande, sur la décision du Chef de l'Etat, après avis du Ministre chargé des Affaires étrangères ».

    Il s'agit donc d'une possibilité et non d'un droit. Me conformant, comme tout citoyen sénégalais aux lois et règlements de mon pays, j'ai adressé une lettre au Président de la République et suis en attente de sa réponse. J'ai en même temps entamé une procédure d'obtention d'un passeport ordinaire. Il n y'a donc pas de quoi s'alarmer.



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    Abc

    En Janvier, 2016 (14:22 PM)
    C'est son parent bocoum et niane (moustapha diakité et non diakhaté, il vient des nianes)
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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (14:24 PM)
    li ngay wakh kha,o si dara









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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (14:27 PM)
    Moustapha Diakhaté et la femme de l’autre





    Moustapha Diakhaté et la femme de l’autre

    Pour un rien Moustapha Diakhaté, devenu miraculeusement le président du groupe parlementaire au pouvoir, monte sur ses grands chevaux pour servir aux députés et opposants des leçons de morale. Partout, il se targue d’être un « talibé », qui en plus est de Touba. Ndékéteyo, Tapha trompe son monde. Car, il devient comme possédé devant une belle femme, pourtant épouse d’un modou-modou. Mais, selon un parent de ce dernier, qui nous a mis la puce à l’oreille, « il ne perd rien à attendre ». Du moins, s’il continue à s’enfermer avec la pulpeuse dame. C’est probablement pour elle que Taphe a troqué ses « sabodors » démodés contre des « Ganilas » costumes et ne fume plus le tabac maure dans une « gueune » (pipe). Maintenant Moustapha Diakhaté a les moyens. Et comme « le pouvoir rend fou », est-ce à lui que s’adressait le député Moustapha Cissé Lô, lorsqu’il déclarait à Sen Tv que beaucoup de proches du président Macky Sall passent tout leur temps à draguer les femmes d’autrui ?

    xibar.net
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    Anonyme

    En Janvier, 2016 (14:40 PM)
    THIER WAKH SOUBEU WAKH NGOOOON TEL MAITRE TEL ELEVE ....AU LIEU DE TRAVAILLER POUR AVOIR UNE BASE///////////////////////////////// WAKHHHHHHH REEEEEEK :bindeu:  :bindeu:  :bindeu:  :frustre:  :frustre:  :frustre: 
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    Auteur

    Lynx

    En Janvier, 2016 (15:12 PM)
    Voila l'occupation de nos députés payés avec nos maigres deniers pulbics avec des dotations de Toyota Fortuner sur le dos de la population.

    Malgré tout ce sacrifice du peuple chacun de ces "députés" est en réalité député de son maître et non du peuple qui assiste à des débats nuls et insipides par presse interposée.

    Que DIEU sauve le Sénégal !!!

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    Apolitique

    En Janvier, 2016 (15:16 PM)


    Je ne sais pas qui; mais ce gars vous terrasse dans tous les débats car parle en connaissance de cause avec des arguments solides et concrétes basés sur des textes.



    La majorité silencieuse.
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    Anonyme

    En Janvier, 2016 (15:17 PM)
    Idy à pris le butin et bocoum n'à rien pris,mais il festoyer à ce moment avec la parrain que tout le monde sait milliardaire.
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    Lui Et Moi

    En Janvier, 2016 (15:22 PM)
    Bocoum tu parles trop. Tu te prononce sur toutes les questions, trouve explication et justification à tout. Soit plus modéré.
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    Auteur

    Boy Maroc

    En Janvier, 2016 (15:24 PM)
    Ce Thierno Bocoum me rappelle Pape Babacar Mbaye du PS.
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    Auteur

    Vertuvertu

    En Janvier, 2016 (15:26 PM)
    Il est trop lambe ce jeune homme ; on dirait qu'il passe son temps à faire la revue de presse pour savoir qui attaque son parti ou son mentor , pour réagir. Honnorable , occupes toi de ce qui interesse le pays au lieu de s'adooner au tesseunté. Meme nos femmes n'ont plus ce temps.
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    Anonyme

    En Janvier, 2016 (15:37 PM)
    Thierno tu perds ton temps, tout le monde sait que ton patron est voleur,vulgaire et vantard.C'est parce qu'il t'engraisse que tu le défends , mais tabaski viendra
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    Diakhaté

    En Janvier, 2016 (15:54 PM)
    Merçi Bocoum Moustapha dou dém laisse tomber

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    Auteur

    Correction

    En Janvier, 2016 (16:15 PM)
    Orthographe à revoir. Il y a trop de fautes.

    Thierno demande à ton leader de te payer un livre "BLED" sur les 74 milliards

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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (16:38 PM)
    DE QUEL THIERNO CE BOCOUM EST IL LE TALIBE ??? EN TOUT CAS CE PAYS NE SERA PAS A SEC !!!
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    Croyan En Dieu

    En Janvier, 2016 (17:25 PM)
    thierno boucoum, bara gaye, lamine ba, tafsir thioye, sont des meilleurs de la politique senegalaise, je croi que le pays a besoin de vos genre, soyez patient 1 jour vous dirigera ce pays, n'ecoutez pas les vieux perdant comme le nullard diakhate, leur retraite n'est pas loin, en 2017 mal-elu sall ne sera plus le president de la republique, et rebeuss les attent
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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (17:43 PM)
    MERCI MILLE FOIS MONSIEUR BOCOUM.

    PROPOS LIMPIDES
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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (21:45 PM)
    Idy a bien volé des milliards, c'est vrai ou c'est faux? il y a-t-il eu un protocole à Rebeuss? OUI ou Non?

    Idy a(t-il fait la prison pour un problème de SOUS avec Wade?

    Si tu es honnête Mr Bocoum, il fallait répondre à ces questions au lieu de faire l'avocat du DIABLE IDY.

    Idy a avoué qu'il a pris l'argent de Wade mêmes les enfants de 2 ans en 2004 le savaient.
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    Fatou

    En Janvier, 2016 (23:55 PM)
    Mais Diakhate tate recla déff

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    Faxapenda

    En Janvier, 2016 (14:28 PM)
    Décidément , Bocoum est un véritable enfant de coeur, un bébé politique. En effet, penser un seul instant qu'on se fait des cadeaux en politique relève d'une candeur primaire ! Combien de coups de crocs en jambes inconventionnels ont été donnés par ton mentor ? demander à Talla Sylla, lorsqu'il militait ave Idy à Thiés au sein du PDS !
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    Azou

    En Janvier, 2016 (15:59 PM)
    Les grands bandits se disputent à l'heure de partage du butin" dans " lui et moi", disait Idy,; " nos soucis d'argent sont terminés" disait wade à son complice Idrissa SECK..La question que je me pose est la suivante: si vraiment Idy était aussi ambitieux pour le Sénégal, il allait quitter wade le jour où ce dernier a sorti cette phrase de sa bouche. Mais loin de là, ils ont comploté contre notre cher pays et pillé toutes nos ressources et quand le grand partage devait avoir lieu, la dispute des grands bandits commença et ce fut le clash entre les deux. Mécontent, Wade trouva le prétexte du détournement de l'argent destiné à la réalisation des chantiers de Thiès pour l'obliger à partager la grande part du butin que Seck a prise et les négociations commencèrent. Idy d'exige sa libération en échange d'une part reversée à wade sur le butin et le fameux protocole de Rebeuss fut signé qui allait blanchir Idy avec un non lieu dicté non par la verité mais par un complot sur l'argent du contribuable. Voilà le film de "lui et moi". Donc Honorable, je vous aime bien, mais, mais, mais, on a tout compris. Tu perds ton temps avec ce voyou.
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