macky god must love you and i know so i never doubt about you since day one that you will be president may god bless you more even knowind that you are already bless.Part of my daily worship to allah i decide to add you on it cause i see you in my dream saving senegal from collapsing.May allah watch over you and direct you into the right path you will need more than anybody i love you my dear macky
merci macky!! franchement si je devais noter son discour je dlui donnerai 18/20 car il s'est comporté en vrai chef d'etat et s'est exprimé comme tel contrairement a ce ke lautre vieux nous avait habitué...et en plus il na marginalisé aucune couche de la société donc je lui tire mon chapeau!! maintenant place aux actes concrets et aux realisation courage macky!!!!
merci mr e president yalla na la yalla diapale gnou gui laye yakar lou barry et puis oulof rek dou fi langue et les autres c est bien di en francais merci encore on t adore
bravo Mr le President vous avez fait un discours honnorable très apprecié avec des points sensibles qui repondent aux attentes des populations . Vous l'avez promis durant la campagne electorale et vous l'avez répétez dans ce discours à la nation donc vous avez fait du wax waxaat et non du wax waxeetcomme votre prédécesseur. Vous avez ete sobre,modeste , court et précis.
formidable,mais jaimerai beaucoup que tu insistes sur l hgiene et la proprete du pays.le senegal est trop salle.
la corruption,l infrastructure du pays comme lavait fait wade.et surtout deduquer les senegalais de les conscientiser pour quils puissent respecter les biens publique.
venez au secours de l'armée. La corruption de Wade a atteint les rangs au point que les militaires ne pensent plus qu'à l'argent facile :du dernier soldat aux généraux. Le commandement est coupé des réalités du terrain. Purgez l'armée de tous ces généraux qui n'ont aucun parcours respectable et que Wade a imposé aux braves jambaars. Dans le dernier lot des nominations, il n y a pas plus de 2 généraux valables. Ceux que les militaires attendaient de façon unanime ont été écartés parce qu'ils sont des gens dignes et intègres. L'armée a les moyens de sa mission, elle exige des hommes d'action à sa tête!
Excellent discours, très bien délivré et avec conviction. Ceci présage de bonnes choses, en particulier la professionnalisation de la vie publique.
Bravo son Excellence pour ce travail remarquable dans un délai aussi serré, mais également dans les circonstances où les sollicitations – consultations pour constituer le Gouvernement, recevoir les souteneurs après la victoire, préparer la prestation de serment, etc.- ont été fort nombreuses ! On peut aisément comprendre et être convaincu que derrière ce discours engagé et ferme se cache une équipe compétente.
Bonne chance et surtout bon courage pour rester sur la ligne tracée qui, si elle est suivie, conduira résolument le Sénégal sur le sentier de la création de la richesse.
Ami sénégalais, vous avez beaucoup de chance d'avoir un président de cette carrure, il s'est exprimé en français (4ème langue internationale) et quelques ignares eussent aimé qu'il s’exprimât en Wolof (3.8 millions de personnes parlent le Wolof dans le monde de 6 milliard d'habitants) Ces incultes, limite xénophobes n'ont pas compris qu'ils ont maintenant un président de stature internationale et que le monde entier a écouté son discours. Alors qu'il soit en français, en anglais ou en espagnol peut importe! il a fait passer un grand message d'une future grande nation démocratique qu'il n'aurait pas pu faire entendre dans le monde en Wolof. Une langue appartient à celui qui la parle! Bien évidemment il faut protéger les langues locales et la culture vernaculaire, mais malheureusement elles disparaîtront comme elles ont disparues au quotidien dans les pays développés. Quand au premier ministre (Mbaye), HEC, Sorbonne et le reste, c'est du haut de gamme et en correspondance avec les besoins du pays. Bravo à vous pour la leçon de démocratie. (F)
MERCI MONSIEUR LE PRESIDENT MAIS IL FAUDRA QUE NOUS CITOYENS QUI VOUS AVONS ELU VOUS DONNERONS UNE MAJORITE CONFORTABLE A L ASSEMBLEE NATIONALE POUR QUE VOUS PUISSIEZ REALISER CE QUE VOUS VENEZ DE NOUS DIRE .MERCI C EST PRECIS ,NET ET CLAIR
merci monsieur le president.ca se voit que vous symbolisez la rupture generationnelle.nous comptons bcp sur vous pour voir le senegal ds le concert des nations.avec NOUS voulons un senegal où regnent la justice,....l equitè,Les defis sont multiples mais DIEU VOUS AIDERA A LES RELEVER THIA KAW THIA KANAM.
discours bien dit mais le niveau dont il veut porter le senegal oubien la façon dont il veut gouverner notre pays depasse largement les senegalais..ça c'est une mentalite trop europeèn..esperons!!!!
On a enfin un Président qui unie et non qui divise. Je ne me sentais pas sénégalais avec wade et sa clic et pourtant je suis né et j'ai grandi au Sénégal pays que j'aime et ou j'investie. wade commençait à m'éloigner de mon pays de ma terre de cette teranga sénégalaise, je ne l'ai jamais considéré comme mon président car il a toujours agit comme si je n'existait pas. Oui Macky tu es mon président et je suis fière de contribuer au développement de mon pays avec toi. Tiens ta promesse on te soutient président et on marche avec toi. Ma mère me dis toujours de ne jamais dévier du bon chemin et de rester toujours concentrer dans le travail, d'être sincère et honnête dans la relation avec les autres et de mourir pour la vérité.
Mettons nous au travail , c'est son souhait le plus fort et ds la vie on a que des a priori sur les personnes, on l'a mis à l'épreuve alors donnez lui le temps de prouver et treve de commèrages et de tactiques politiciennes... Respectez lez gens apolitiques. Tous pour un Senegal "uni et indivisible" comme il l'a si bien dit !!!Wassalam
le discours de Macky me renvoie au disours inaugural de Keba Mbaye a l'UCAD " qui se servent au lieu de servir " , " je dis bien personne, personne ..." entre autres ... est ce un signe que lui avait en tete la leçon magistrale du Mr ....
Simple remarque au boulot naaak!!! wahe dji doyna aak politique biiii Senegal DIeume kanam!!!!
"Dans un pays où les chefs délèguent leur travail pour se tourner les pouces ou se déchargent sur leurs inférieurs hiérarchiques pour ne pas avoir à prendre leurs responsabilités, l’excellence et la productivité ne sont que rarement ou accidentellement au rendez-vous."
j'espere qu'avec la nouvelle équipe cette remarque ne sera pas valable pour le sénégal!
''Je tiens, également, à ce que les dispositions constitutionnelles limitant l’élection du Président de la République à un mandat de cinq ans, renouvelable une seule fois, soient verrouillées sans possibilité de modification'' Macky Sall $$$$$$ UN GRAND PAS EN AVANT, VIVE LE SENEGAL $$$$$$$$$$$
je suis sénégalaise vivant à l'exterieur; je suis agréablement surprise du choix de notre premier ministre..VIVE LE SENEGAL VIVE MON PAYS HOURRA AU PRESIDENT MACKY je n'arrete pas de chanter depuis ce matin ...
YOUSSOU NDOUR GRAND MERCI...y en a marre BRAVO...DEVELOPPONS NOTRE PAYS...SERRONS LA CEINTURE ENSEMBLE....
il dit que le 4 avril consacre l'accession à la souveraineté internationale. Quel nullard !
On dit souveraineté nationale et pas internationale. L'international est le cadre des rapports entre les souveraineté nationales. Je me demande même ce que veut dire souveraineté internationale. C drôle.
Il doit vraiment apprendre à parler et à faire moins de fautes...
Bof...
Moi en tout cas j'attends les audits et la politique de l'emploi.
Comme El pistolero a dit que les caisses de l'Etat sont vides, alors il faudrait aller aux trousses de ceux qui les ont vidées.
On sait que l'ex premier ministre est un copain à Macky mais ce n'est pas une raison pour l'épargner.
Pas de copinage. Ce pays a été dépouillé et il faut faire valoir la justice jusqu'au bout.
En attendant, les Wade doivent être mis en examen voire écroués d'office..
AVEC sincérité JE VEUX DIRE QU' AUJOURD'HUI je ME SUIS Réveillé, avec joie et bonheur PLEIN DANS MON COEUR, ET aussi beaucoup D'ASPIRATIONS de voir UN NOUVEAUX, QUI SE DESSINE DANS UN AVENIR TREEEEES!! PROCHE "BILLAHI" JE LE SENT, I FEEL IT WAY DOWN DEEP INside !! we can
que dieu te protege te guide pour k tu puisse realise tous tes proger tu es calme et modeste .les senegalais doivent faire bcoups deffort une seule personne ne peut pas tous faire gnou bayi fo yafouce féne corruption nafékh tricherie ta khamne loudoule yalla nénela
MACKY NE VEUT PAS CHOQUER LES PULAAR QUI L ONT ELUS C EST POURQUOI IL FERA PAS DE DISCOURS EN WOLOF.POUR LES NON PULAAR QUI ONT VOTER MACKY ATTENDEZ VOUS A UN GOUVERNEMENT DES ENTREPRISES DES MAIRIES.... REMPLIES DE PULAAR
dire "souverainete internationale" est correct. cela signifie "independance vis a vis de toute puissance exterieure"...arretons de critiquer et concentrons nous sur l'essentiel
salamalecoum souleymane zule diop dama conetane si yaw le moment ou tu pleurer j'ais meme failli pleure grand le senegal a besoin des gens comme zule diop .pour macky limou wara ndjeukeu bagne bounou touder bene ministre aye yeufou thiakhane aye lamb ak aye journee je suis un chaufeur.
Sénégalaises, sénégalais. Mon rêve s'est enfin réalisé. J'ai toujours révé d'avoir un président travailleur et qui invite au travail. moi je travaille et je fais suis fait tout seul sans politique, sans attendre rien de personne. je travaille nuit et jour et je ne me repose que 4heures par jour. je gagne ma vie correctement car j'ai gravi beaucoup d'échelons j'ai construit deux maisons et ai acheté une voiture confortable. je pense aller à la mecque et y amener mon grand frère et ma soeur ainée. je n'ai pas besoin d'avoir plus. suis déjà heureux et tout ça grâce au travail.
suivons le nouveau président en travaillant au lieu de passer tout notre temps à s'ériger en observateur politique ou en expert du débat national. peace and love.
Ce lundi 2 avril 2012, le Sénégal ouvre une nouvelle page de son histoire. Le peuple, s’est subitement remis à rêver, à nouveau enivré par une victoire contre un vieux sénile dont les velléités dictatoriales ont été découvertes sur le tard et, fort heureusement, sévèrement sanctionnées. C’est normal. Mais attention.
Les mêmes causes produisant les mêmes effets, donner un blanc-seing à la nouvelle équipe comporte beaucoup de risques.
Ne serait-ce que parce qu’une telle attitude nous jetterait dans le même piège que celui qui s’est refermé sur nous au soir du 19 mars 2000. Il nous faut alors cette fois-ci faire preuve de plus de sérénité. Il nous faut être plus vigilants et plus exigeants, y compris dans l’euphorie de la victoire.
Comme on s'en souvient, l’ivresse de la delivrance du 19 mars 2000 nous avait fait baisser la garde au point d’enfanter le régime monstrueux dont nous venons de nous débarrasser. Et pourtant, le combat fut héroïque et la victoire belle: ils permirent au peuple sénégalais de débouter le régime socialiste et d’installer Me Abdoulaye Wade au pouvoir!
A l’arrivée, la déception ne fut qu’à la mesure de l’immense espérance. La suite, on la connaît: ce furent douze ans d’errance, douze ans perdus pour le Sénégal. Douze ans que nous aurions pourtant pu mettre à profit pour faire avancer notre démocratie au lieu de la faire reculer, nous occuper des vraies priorités nationales au lieu de consacrer nos maigres ressources à des « chantiers » à la pertinence douteuse, renforcer la justice sociale au lieu de favoriser le népotisme, remettre ce qui restait de notre système éducatif sur les rails au lieu de le liquider…
La liste est longue de ces cas où nous nous sommes clairement fourvoyés sur des sentiers mal tracés. Le résultat est là, implacable. Douze ans après, nous sommes obligés de faire un retour à la case départ avec un pays en bien piteux état. Et pour une seconde fois, nous avons été obligés à faire un choix difficile, c'est à dire a voter « contre » quelqu’un, plutôt que de voter « pour » quelqu’un.
Car, si d’un point de vue purement légal, personne ne conteste la « légitimité » de notre nouveau chef d’Etat, il lui faut, à lui - et surtout à ses partisans déjà aveuglés par la perspective du pouvoir - avoir les pieds sur terre. Comme son prédécesseur, il n’est qu’un « président par défaut ». Démocratiquement élu certes mais en réalité très minoritaire. Légitimement installé, mais très mal élu. N’en déplaise aux laudateurs et aux adeptes de la pensée unique.
Oui, rien qu’à se fier aux chiffres sur lesquels il fonde sa propre légitimité, le nouveau président a été élu par moins de deux millions de Sénégalais. C’est moins de la moitié des électeurs inscrits. Plus significatif encore, c’est très peu pour une population que l’on estime à environ douze ou treize millions d’habitants. On est donc très loin du « plébiscite » et du « vote massif », que l’on brandit à tout-va.
Tout le monde a déjà dit que le scrutin pour le second tour du 25 mars 2012, plus qu’une simple élection présidentielle, était devenue un référendum pour ou contre le projet de dévolution monarchique du pouvoir et une démonstration de force des capacités du peuple souverain, y compris face à la toute-puissance de l’Etat.
Devant pareille circonstance, il faut aux vainqueurs du jour avoir le triomphe modeste et comprendre qu’à l’exception des 26 % des électeurs (moins de 720.000 Sénégalais au total) ayant voté au premier tour en faveur du nouvel élu, le reste du pays, c'est-à-dire l’écrasante majorité des Sénégalais, ne sont ni des militants, ni des sympathisants, ni des électeurs de l’Alliance pour la république (APR) ou de son président. Ils ne pensent donc pas comme les militants et responsables de l’APR et ne partagent pas forcément leurs points de vue. Que ce soit sur le pays et la meilleure manière de conduire ses destinées, que ce soit sur les qualités et la crédibilité à accorder aux propos du leader de l’APR. Au plus, ils ont accordé au nouveau président une occasion de… prouver.
Ces rappels sont importants, car dans les cercles du nouveau parti au pouvoir ou proches du nouveau président, c’est déjà le début de ce qui ressemble fort à un culte de la personnalité. C’est déjà la stigmatisation contre tous ceux qui veulent relativiser l’ampleur de la victoire, pour ne pas dire les menaces à peine voilées contre quiconque ose questionner le passé du nouveau président.
Or, on ne le sait que trop bien, l’actuel président est aussi comptable en très grande partie des actes posés par le régime précédent. Du népotisme érigé en mode de gouvernement à la mal-gouvernance endémique, des enrichissements illicites à la calamiteuse présidentielle de 2007, dont les résultats, rappelons-le, n’ont jusqu’à ce jour, pas été reconnus par l’essentiel de l’opposition, y compris par ceux qui aujourd’hui, ont appelé à voter pour le nouveau président . C’est tout dire…
Que l’homme ait retenu les leçons du passé et veuille changer. Soit. Puisque nous somme tous capables de repentir. Qu’il ait appris à mieux traiter les citoyens, en étant dans l’opposition, c’est possible. On peut lui accorder comme à tout être humain le bénéficie du doute. Qu’il ait aujourd’hui la volonté de bien faire, ce serait tout à son honneur.
Néanmoins, il est bon de noter que tout ceci commence par accepter quelques principes bien simples, dont la liberté de chaque citoyen à apprécier, selon ses propres convictions, le nouveau régime sur ses actes et non sur des professions de foi. Accepter la différence et comprendre que gouverner un pays, ce n’est pas comme le considérait Abdoulaye Wade s’imposer en roitelet entouré de courtisans et de laudateurs.
Diriger un pays au 21ème siècle et devant l’affirmation de plus en plus forte de la citoyenneté reconquise, c’est aussi et surtout s’appliquer ce qu’on exige aux autres, en matière de respect des règles démocratiques, de bonne gouvernance, de transparence et d’équité.
Bref, c’est faire tout ce qu’Abdoulaye Wade a été incapable de faire durant ces douze ans de pouvoir, y compris - nous insistons dessus - lorsque siégeait à ses côté, son ex-premier ministre de 2004 à 2007, ex-directeur de campagne en 2007 et ancien ministre de 2001 à 2004.
Voilà pourquoi, il nous a paru utile, à l’heure où nous célébrons une nouvelle victoire du peuple sur les démons qui ont failli brûler ce pays, de lancer cet appel citoyen pour que nous sachions tous raison garder et rester vigilants pour ne pas avoir – demain encore - à élire un autre président… par défaut.
A l’arrivée, la déception ne fut qu’à la mesure de l’immense espérance. La suite, on la connaît: ce furent douze ans d’errance, douze ans perdus pour le Sénégal. Douze ans que nous aurions pourtant pu mettre à profit pour faire avancer notre démocratie au lieu de la faire reculer, nous occuper des vraies priorités nationales au lieu de consacrer nos maigres ressources à des « chantiers » à la pertinence douteuse, renforcer la justice sociale au lieu de favoriser le népotisme, remettre ce qui restait de notre système éducatif sur les rails au lieu de le liquider…
La liste est longue de ces cas où nous nous sommes clairement fourvoyés sur des sentiers mal tracés. Le résultat est là, implacable. Douze ans après, nous sommes obligés de faire un retour à la case départ avec un pays en bien piteux état. Et pour une seconde fois, nous avons été obligés à faire un choix difficile, c'est à dire a voter « contre » quelqu’un, plutôt que de voter « pour » quelqu’un.
Car, si d’un point de vue purement légal, personne ne conteste la « légitimité » de notre nouveau chef d’Etat, il lui faut, à lui - et surtout à ses partisans déjà aveuglés par la perspective du pouvoir - avoir les pieds sur terre. Comme son prédécesseur, il n’est qu’un « président par défaut ». Démocratiquement élu certes mais en réalité très minoritaire. Légitimement installé, mais très mal élu. N’en déplaise aux laudateurs et aux adeptes de la pensée unique.
Oui, rien qu’à se fier aux chiffres sur lesquels il fonde sa propre légitimité, le nouveau président a été élu par moins de deux millions de Sénégalais. C’est moins de la moitié des électeurs inscrits. Plus significatif encore, c’est très peu pour une population que l’on estime à environ douze ou treize millions d’habitants. On est donc très loin du « plébiscite » et du « vote massif », que l’on brandit à tout-va.
Tout le monde a déjà dit que le scrutin pour le second tour du 25 mars 2012, plus qu’une simple élection présidentielle, était devenue un référendum pour ou contre le projet de dévolution monarchique du pouvoir et une démonstration de force des capacités du peuple souverain, y compris face à la toute-puissance de l’Etat.
Devant pareille circonstance, il faut aux vainqueurs du jour avoir le triomphe modeste et comprendre qu’à l’exception des 26 % des électeurs (moins de 720.000 Sénégalais au total) ayant voté au premier tour en faveur du nouvel élu, le reste du pays, c'est-à-dire l’écrasante majorité des Sénégalais, ne sont ni des militants, ni des sympathisants, ni des électeurs de l’Alliance pour la république (APR) ou de son président. Ils ne pensent donc pas comme les militants et responsables de l’APR et ne partagent pas forcément leurs points de vue. Que ce soit sur le pays et la meilleure manière de conduire ses destinées, que ce soit sur les qualités et la crédibilité à accorder aux propos du leader de l’APR. Au plus, ils ont accordé au nouveau président une occasion de… prouver.
Ces rappels sont importants, car dans les cercles du nouveau parti au pouvoir ou proches du nouveau président, c’est déjà le début de ce qui ressemble fort à un culte de la personnalité. C’est déjà la stigmatisation contre tous ceux qui veulent relativiser l’ampleur de la victoire, pour ne pas dire les menaces à peine voilées contre quiconque ose questionner le passé du nouveau président.
Or, on ne le sait que trop bien, l’actuel président est aussi comptable en très grande partie des actes posés par le régime précédent. Du népotisme érigé en mode de gouvernement à la mal-gouvernance endémique, des enrichissements illicites à la calamiteuse présidentielle de 2007, dont les résultats, rappelons-le, n’ont jusqu’à ce jour, pas été reconnus par l’essentiel de l’opposition, y compris par ceux qui aujourd’hui, ont appelé à voter pour le nouveau président . C’est tout dire…
Que l’homme ait retenu les leçons du passé et veuille changer. Soit. Puisque nous somme tous capables de repentir. Qu’il ait appris à mieux traiter les citoyens, en étant dans l’opposition, c’est possible. On peut lui accorder comme à tout être humain le bénéficie du doute. Qu’il ait aujourd’hui la volonté de bien faire, ce serait tout à son honneur.
Néanmoins, il est bon de noter que tout ceci commence par accepter quelques principes bien simples, dont la liberté de chaque citoyen à apprécier, selon ses propres convictions, le nouveau régime sur ses actes et non sur des professions de foi. Accepter la différence et comprendre que gouverner un pays, ce n’est pas comme le considérait Abdoulaye Wade s’imposer en roitelet entouré de courtisans et de laudateurs.
Diriger un pays au 21ème siècle et devant l’affirmation de plus en plus forte de la citoyenneté reconquise, c’est aussi et surtout s’appliquer ce qu’on exige aux autres, en matière de respect des règles démocratiques, de bonne gouvernance, de transparence et d’équité.
Bref, c’est faire tout ce qu’Abdoulaye Wade a été incapable de faire durant ces douze ans de pouvoir, y compris - nous insistons dessus - lorsque siégeait à ses côté, son ex-premier ministre de 2004 à 2007, ex-directeur de campagne en 2007 et ancien ministre de 2001 à 2004.
Voilà pourquoi, il nous a paru utile, à l’heure où nous célébrons une nouvelle victoire du peuple sur les démons qui ont failli brûler ce pays, de lancer cet appel citoyen pour que nous sachions tous raison garder et rester vigilants pour ne pas avoir – demain encore - à élire un autre président… par défaut.
N’en déplaise aux laudateurs et aux adeptes de la pensée unique.
Oui, rien qu’à se fier aux chiffres sur lesquels il fonde sa propre légitimité, le nouveau président a été élu par moins de deux millions de Sénégalais. C’est moins de la moitié des électeurs inscrits. Plus significatif encore, c’est très peu pour une population que l’on estime à environ douze ou treize millions d’habitants. On est donc très loin du « plébiscite » et du « vote massif », que l’on brandit à tout-va.
Tout le monde a déjà dit que le scrutin pour le second tour du 25 mars 2012, plus qu’une simple élection présidentielle, était devenue un référendum pour ou contre le projet de dévolution monarchique du pouvoir et une démonstration de force des capacités du peuple souverain, y compris face à la toute-puissance de l’Etat.
Devant pareille circonstance, il faut aux vainqueurs du jour avoir le triomphe modeste et comprendre qu’à l’exception des 26 % des électeurs (moins de 720.000 Sénégalais au total) ayant voté au premier tour en faveur du nouvel élu, le reste du pays, c'est-à-dire l’écrasante majorité des Sénégalais, ne sont ni des militants, ni des sympathisants, ni des électeurs de l’Alliance pour la république (APR) ou de son président. Ils ne pensent donc pas comme les militants et responsables de l’APR et ne partagent pas forcément leurs points de vue. Que ce soit sur le pays et la meilleure manière de conduire ses destinées, que ce soit sur les qualités et la crédibilité à accorder aux propos du leader de l’APR. Au plus, ils ont accordé au nouveau président une occasion de… prouver.
Ces rappels sont importants, car dans les cercles du nouveau parti au pouvoir ou proches du nouveau président, c’est déjà le début de ce qui ressemble fort à un culte de la personnalité. C’est déjà la stigmatisation contre tous ceux qui veulent relativiser l’ampleur de la victoire, pour ne pas dire les menaces à peine voilées contre quiconque ose questionner le passé du nouveau président.
Or, on ne le sait que trop bien, l’actuel président est aussi comptable en très grande partie des actes posés par le régime précédent. Du népotisme érigé en mode de gouvernement à la mal-gouvernance endémique, des enrichissements illicites à la calamiteuse présidentielle de 2007, dont les résultats, rappelons-le, n’ont jusqu’à ce jour, pas été reconnus par l’essentiel de l’opposition, y compris par ceux qui aujourd’hui, ont appelé à voter pour le nouveau président . C’est tout dire…
Que l’homme ait retenu les leçons du passé et veuille changer. Soit. Puisque nous somme tous capables de repentir. Qu’il ait appris à mieux traiter les citoyens, en étant dans l’opposition, c’est possible. On peut lui accorder comme à tout être humain le bénéficie du doute. Qu’il ait aujourd’hui la volonté de bien faire, ce serait tout à son honneur.
Néanmoins, il est bon de noter que tout ceci commence par accepter quelques principes bien simples, dont la liberté de chaque citoyen à apprécier, selon ses propres convictions, le nouveau régime sur ses actes et non sur des professions de foi. Accepter la différence et comprendre que gouverner un pays, ce n’est pas comme le considérait Abdoulaye Wade s’imposer en roitelet entouré de courtisans et de laudateurs.
Diriger un pays au 21ème siècle et devant l’affirmation de plus en plus forte de la citoyenneté reconquise, c’est aussi et surtout s’appliquer ce qu’on exige aux autres, en matière de respect des règles démocratiques, de bonne gouvernance, de transparence et d’équité.
Bref, c’est faire tout ce qu’Abdoulaye Wade a été incapable de faire durant ces douze ans de pouvoir, y compris - nous insistons dessus - lorsque siégeait à ses côté, son ex-premier ministre de 2004 à 2007, ex-directeur de campagne en 2007 et ancien ministre de 2001 à 2004.
Voilà pourquoi, il nous a paru utile, à l’heure où nous célébrons une nouvelle victoire du peuple sur les démons qui ont failli brûler ce pays, de lancer cet appel citoyen pour que nous sachions tous raison garder et rester vigilants pour ne pas avoir – demain encore - à élire un autre président… par défaut.
Que ce soit sur le pays et la meilleure manière de conduire ses destinées, que ce soit sur les qualités et la crédibilité à accorder aux propos du leader de l’APR. Au plus, ils ont accordé au nouveau président une occasion de… prouver.
Ces rappels sont importants, car dans les cercles du nouveau parti au pouvoir ou proches du nouveau président, c’est déjà le début de ce qui ressemble fort à un culte de la personnalité. C’est déjà la stigmatisation contre tous ceux qui veulent relativiser l’ampleur de la victoire, pour ne pas dire les menaces à peine voilées contre quiconque ose questionner le passé du nouveau président.
Or, on ne le sait que trop bien, l’actuel président est aussi comptable en très grande partie des actes posés par le régime précédent. Du népotisme érigé en mode de gouvernement à la mal-gouvernance endémique, des enrichissements illicites à la calamiteuse présidentielle de 2007, dont les résultats, rappelons-le, n’ont jusqu’à ce jour, pas été reconnus par l’essentiel de l’opposition, y compris par ceux qui aujourd’hui, ont appelé à voter pour le nouveau président . C’est tout dire…
Que l’homme ait retenu les leçons du passé et veuille changer. Soit. Puisque nous somme tous capables de repentir. Qu’il ait appris à mieux traiter les citoyens, en étant dans l’opposition, c’est possible. On peut lui accorder comme à tout être humain le bénéficie du doute. Qu’il ait aujourd’hui la volonté de bien faire, ce serait tout à son honneur.
Néanmoins, il est bon de noter que tout ceci commence par accepter quelques principes bien simples, dont la liberté de chaque citoyen à apprécier, selon ses propres convictions, le nouveau régime sur ses actes et non sur des professions de foi. Accepter la différence et comprendre que gouverner un pays, ce n’est pas comme le considérait Abdoulaye Wade s’imposer en roitelet entouré de courtisans et de laudateurs.
Diriger un pays au 21ème siècle et devant l’affirmation de plus en plus forte de la citoyenneté reconquise, c’est aussi et surtout s’appliquer ce qu’on exige aux autres, en matière de respect des règles démocratiques, de bonne gouvernance, de transparence et d’équité.
Bref, c’est faire tout ce qu’Abdoulaye Wade a été incapable de faire durant ces douze ans de pouvoir, y compris - nous insistons dessus - lorsque siégeait à ses côté, son ex-premier ministre de 2004 à 2007, ex-directeur de campagne en 2007 et ancien ministre de 2001 à 2004.
Voilà pourquoi, il nous a paru utile, à l’heure où nous célébrons une nouvelle victoire du peuple sur les démons qui ont failli brûler ce pays, de lancer cet appel citoyen pour que nous sachions tous raison garder et rester vigilants pour ne pas avoir – demain encore - à élire un autre président… par défaut.
Qu’il ait aujourd’hui la volonté de bien faire, ce serait tout à son honneur.
Néanmoins, il est bon de noter que tout ceci commence par accepter quelques principes bien simples, dont la liberté de chaque citoyen à apprécier, selon ses propres convictions, le nouveau régime sur ses actes et non sur des professions de foi. Accepter la différence et comprendre que gouverner un pays, ce n’est pas comme le considérait Abdoulaye Wade s’imposer en roitelet entouré de courtisans et de laudateurs.
Diriger un pays au 21ème siècle et devant l’affirmation de plus en plus forte de la citoyenneté reconquise, c’est aussi et surtout s’appliquer ce qu’on exige aux autres, en matière de respect des règles démocratiques, de bonne gouvernance, de transparence et d’équité.
Bref, c’est faire tout ce qu’Abdoulaye Wade a été incapable de faire durant ces douze ans de pouvoir, y compris - nous insistons dessus - lorsque siégeait à ses côté, son ex-premier ministre de 2004 à 2007, ex-directeur de campagne en 2007 et ancien ministre de 2001 à 2004.
Voilà pourquoi, il nous a paru utile, à l’heure où nous célébrons une nouvelle victoire du peuple sur les démons qui ont failli brûler ce pays, de lancer cet appel citoyen pour que nous sachions tous raison garder et rester vigilants pour ne pas avoir – demain encore - à élire un autre président… par défaut.
salame le discour es tres beau mais jai pas entendu parler des personnes handicapés du sénégal qui sont plus dans le besoin davoir des soins gratuitement et une petite allocation pour vivre avec leurs familles
Moi je veux bien que les prix baissent mais si on doit prendre la moitie du budget pour subventionner les prix, ce sera intenable et cela risque de plomber l`economie.
Moi je preconise la justice sociale cad libre acces a la formation et a l`emploi, jeter les fondementaux d1 eco solide en financant et subventionnant les PME, l`eradication de la corruption au sein de l`adminnistration et l`acces aux soins de sante primaires pour tous, doter d`equipements les agents du controle eco. et d`hygiene...
Un Etat c1 tout mais pas pour le manger seulement.
c'est fini les discours en wolofs macky est un president pour tous il a intéret a parler françai et se taire si non il n'aura pas nos cartes prochainement
sa sera difficile mais DIEU , le tout puissant te protégera en terminant tout ce nous promènera de refaire un autre Sénégal par rapport d'autrui. amen............................................................
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78 Commentaires
Faye
En Avril, 2012 (21:14 PM)Apr Texas
En Avril, 2012 (21:17 PM)CLAIR, NET ET PRECIS. Sounou khele guene na dale.
Aliou
En Avril, 2012 (21:23 PM)Bielle
En Avril, 2012 (21:24 PM)Bara
En Avril, 2012 (21:25 PM)Cg
En Avril, 2012 (21:33 PM)Je ne suis pas avec toi ,mais contre wade c a dire avec le Senegal
Dioubeul
En Avril, 2012 (21:37 PM)benno bokk dioubeul sunugal
benno bokk dioubeul sunugal
benno bokk dioubeul sunugal
Q
En Avril, 2012 (21:38 PM)Penske
En Avril, 2012 (21:38 PM)Somewhere
En Avril, 2012 (21:39 PM)de l'avion présidentiel....
Vive le Sénégal
Zaph
En Avril, 2012 (21:43 PM)Espoi
En Avril, 2012 (21:44 PM)Seydou Kane Diallo
En Avril, 2012 (21:48 PM)N`diaye Deme
En Avril, 2012 (21:50 PM)Azer
En Avril, 2012 (21:53 PM)Yakar
En Avril, 2012 (21:56 PM)Sopdabakh
En Avril, 2012 (22:01 PM)Salkonzi
En Avril, 2012 (22:02 PM)la corruption,l infrastructure du pays comme lavait fait wade.et surtout deduquer les senegalais de les conscientiser pour quils puissent respecter les biens publique.
Mamadou Niang
En Avril, 2012 (22:14 PM)Urgence
En Avril, 2012 (22:20 PM)venez au secours de l'armée. La corruption de Wade a atteint les rangs au point que les militaires ne pensent plus qu'à l'argent facile :du dernier soldat aux généraux. Le commandement est coupé des réalités du terrain. Purgez l'armée de tous ces généraux qui n'ont aucun parcours respectable et que Wade a imposé aux braves jambaars. Dans le dernier lot des nominations, il n y a pas plus de 2 généraux valables. Ceux que les militaires attendaient de façon unanime ont été écartés parce qu'ils sont des gens dignes et intègres. L'armée a les moyens de sa mission, elle exige des hommes d'action à sa tête!
Sede
En Avril, 2012 (22:23 PM)Yo
En Avril, 2012 (22:28 PM)Jean
En Avril, 2012 (22:29 PM)Observateur
En Avril, 2012 (22:31 PM)Bravo son Excellence pour ce travail remarquable dans un délai aussi serré, mais également dans les circonstances où les sollicitations – consultations pour constituer le Gouvernement, recevoir les souteneurs après la victoire, préparer la prestation de serment, etc.- ont été fort nombreuses ! On peut aisément comprendre et être convaincu que derrière ce discours engagé et ferme se cache une équipe compétente.
Bonne chance et surtout bon courage pour rester sur la ligne tracée qui, si elle est suivie, conduira résolument le Sénégal sur le sentier de la création de la richesse.
Ami
En Avril, 2012 (22:33 PM)Coumbisse
En Avril, 2012 (22:58 PM)Lemzomampalago
En Avril, 2012 (23:01 PM)Deet
En Avril, 2012 (23:14 PM)Laskha
En Avril, 2012 (23:30 PM)Kona
En Avril, 2012 (23:33 PM)Na
En Avril, 2012 (00:02 AM)Puisse Allah le guider vers le droit chemin de la gouvernance et le preserver contre le chaytan
Piandineve
En Avril, 2012 (00:03 AM)Immigres
En Avril, 2012 (00:25 AM)Aziz
En Avril, 2012 (00:32 AM)_kikina
En Avril, 2012 (00:55 AM)Je suis fier d'être Sénégalais
Dioudiouf
En Avril, 2012 (00:57 AM)Boylebougui
En Avril, 2012 (01:19 AM)Boylebougui
En Avril, 2012 (01:42 AM)Simple remarque au boulot naaak!!! wahe dji doyna aak politique biiii Senegal DIeume kanam!!!!
Moustapha Niass
En Avril, 2012 (01:42 AM)MOI PERSONNELLEMENT J'AIMERAIS VOIR MOUSTAPHA NIASS DANS LE NOUVEAU GOUVERNEMENT, JE NE SUIS PAS DANS LE PARTI DE NIASS.
MOI PERSONNELLEMENT J'AIMERAIS VOIR MOUSTAPHA NIASS DANS LE NOUVEAU GOUVERNEMENT, JE NE SUIS PAS DANS LE PARTI DE NIASS.
MOI PERSONNELLEMENT J'AIMERAIS VOIR MOUSTAPHA NIASS DANS LE NOUVEAU GOUVERNEMENT, JE NE SUIS PAS DANS LE PARTI DE NIASS.
MOI PERSONNELLEMENT J'AIMERAIS VOIR MOUSTAPHA NIASS DANS LE NOUVEAU GOUVERNEMENT, JE NE SUIS PAS DANS LE PARTI DE NIASS.
MOI PERSONNELLEMENT J'AIMERAIS VOIR MOUSTAPHA NIASS DANS LE NOUVEAU GOUVERNEMENT, JE NE SUIS PAS DANS LE PARTI DE NIASS.
MOI PERSONNELLEMENT J'AIMERAIS VOIR MOUSTAPHA NIASS DANS LE NOUVEAU GOUVERNEMENT, JE NE SUIS PAS DANS LE PARTI DE NIASS.
Un Septique-obtimiste
En Avril, 2012 (01:50 AM)j'espere qu'avec la nouvelle équipe cette remarque ne sera pas valable pour le sénégal!
Khadim
En Avril, 2012 (02:45 AM)Fall
En Avril, 2012 (03:57 AM)En Wolof Pourquoi Pas
En Avril, 2012 (04:02 AM)Syc
En Avril, 2012 (04:40 AM)Si je ne me trompe la langue officielle c'est le francais
D'ailleurs le discour a ete traduit en Wolof a la rts
Ce qui m'a le plus impressionne il dit " JE NE PROTEGERAIS PERSONNE "
Parlant des niak diom qui pillent l'argent du contribuable .
D'ailleurs l'espoir est permis car il a deja nomme un homme integre a la tete du gouvernement
Et j Suis sur ce dernier va nommer les hommes qu'il faut a la place qu'il faut
Le Senegal ne manque pas d digne fils et filles qui peuvent relever le defit
Yallah yallah doli soutoura wathie yeurmande ci sounou rew diapale bi gouvernement
Ak bep senegalais bou diok pour ligueye gnou dieum kaname
Le temps est au travail le compte a rebours a deja commence
Vive le Senegal , vive l'Afrique
Guene Balma akh
Ba
En Avril, 2012 (05:14 AM)Mooomooo
En Avril, 2012 (06:41 AM)Kalimera
En Avril, 2012 (07:05 AM)Gggggggggg
En Avril, 2012 (07:31 AM)&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&
@@@@@@@@@@@@@
Femme De France
En Avril, 2012 (07:49 AM)YOUSSOU NDOUR GRAND MERCI...y en a marre BRAVO...DEVELOPPONS NOTRE PAYS...SERRONS LA CEINTURE ENSEMBLE....
Zézé
En Avril, 2012 (07:58 AM)On dit souveraineté nationale et pas internationale. L'international est le cadre des rapports entre les souveraineté nationales. Je me demande même ce que veut dire souveraineté internationale. C drôle.
Il doit vraiment apprendre à parler et à faire moins de fautes...
Bof...
Moi en tout cas j'attends les audits et la politique de l'emploi.
Comme El pistolero a dit que les caisses de l'Etat sont vides, alors il faudrait aller aux trousses de ceux qui les ont vidées.
On sait que l'ex premier ministre est un copain à Macky mais ce n'est pas une raison pour l'épargner.
Pas de copinage. Ce pays a été dépouillé et il faut faire valoir la justice jusqu'au bout.
En attendant, les Wade doivent être mis en examen voire écroués d'office..
Ba
En Avril, 2012 (08:00 AM)Bethio Petit Pagne
En Avril, 2012 (08:08 AM)Mai-nakk, j'ai la nostaligie de PA-Ndiankhoumm WADE
Vivi
En Avril, 2012 (08:14 AM)Sikaw Sikanam Rek
En Avril, 2012 (08:55 AM)Kaddu Magg
En Avril, 2012 (09:03 AM)Niokhorf
En Avril, 2012 (10:23 AM)Nt
En Avril, 2012 (10:31 AM)Deug
En Avril, 2012 (10:32 AM)Hj
En Avril, 2012 (10:47 AM)Moisa
En Avril, 2012 (10:52 AM)Tapha
En Avril, 2012 (11:28 AM)dire "souverainete internationale" est correct. cela signifie "independance vis a vis de toute puissance exterieure"...arretons de critiquer et concentrons nous sur l'essentiel
Serigne
En Avril, 2012 (12:04 PM)Abdoulayebeye
En Avril, 2012 (12:07 PM)Mame Konta
En Avril, 2012 (12:34 PM)Patriote Travailleur
En Avril, 2012 (13:13 PM)suivons le nouveau président en travaillant au lieu de passer tout notre temps à s'ériger en observateur politique ou en expert du débat national. peace and love.
Vivemacky
En Avril, 2012 (14:28 PM)Mor
En Avril, 2012 (15:38 PM)Par Hamadou Tidiane SY*
Ce lundi 2 avril 2012, le Sénégal ouvre une nouvelle page de son histoire. Le peuple, s’est subitement remis à rêver, à nouveau enivré par une victoire contre un vieux sénile dont les velléités dictatoriales ont été découvertes sur le tard et, fort heureusement, sévèrement sanctionnées. C’est normal. Mais attention.
Les mêmes causes produisant les mêmes effets, donner un blanc-seing à la nouvelle équipe comporte beaucoup de risques.
Ne serait-ce que parce qu’une telle attitude nous jetterait dans le même piège que celui qui s’est refermé sur nous au soir du 19 mars 2000. Il nous faut alors cette fois-ci faire preuve de plus de sérénité. Il nous faut être plus vigilants et plus exigeants, y compris dans l’euphorie de la victoire.
Comme on s'en souvient, l’ivresse de la delivrance du 19 mars 2000 nous avait fait baisser la garde au point d’enfanter le régime monstrueux dont nous venons de nous débarrasser. Et pourtant, le combat fut héroïque et la victoire belle: ils permirent au peuple sénégalais de débouter le régime socialiste et d’installer Me Abdoulaye Wade au pouvoir!
A l’arrivée, la déception ne fut qu’à la mesure de l’immense espérance. La suite, on la connaît: ce furent douze ans d’errance, douze ans perdus pour le Sénégal. Douze ans que nous aurions pourtant pu mettre à profit pour faire avancer notre démocratie au lieu de la faire reculer, nous occuper des vraies priorités nationales au lieu de consacrer nos maigres ressources à des « chantiers » à la pertinence douteuse, renforcer la justice sociale au lieu de favoriser le népotisme, remettre ce qui restait de notre système éducatif sur les rails au lieu de le liquider…
La liste est longue de ces cas où nous nous sommes clairement fourvoyés sur des sentiers mal tracés. Le résultat est là, implacable. Douze ans après, nous sommes obligés de faire un retour à la case départ avec un pays en bien piteux état. Et pour une seconde fois, nous avons été obligés à faire un choix difficile, c'est à dire a voter « contre » quelqu’un, plutôt que de voter « pour » quelqu’un.
Car, si d’un point de vue purement légal, personne ne conteste la « légitimité » de notre nouveau chef d’Etat, il lui faut, à lui - et surtout à ses partisans déjà aveuglés par la perspective du pouvoir - avoir les pieds sur terre. Comme son prédécesseur, il n’est qu’un « président par défaut ». Démocratiquement élu certes mais en réalité très minoritaire. Légitimement installé, mais très mal élu. N’en déplaise aux laudateurs et aux adeptes de la pensée unique.
Oui, rien qu’à se fier aux chiffres sur lesquels il fonde sa propre légitimité, le nouveau président a été élu par moins de deux millions de Sénégalais. C’est moins de la moitié des électeurs inscrits. Plus significatif encore, c’est très peu pour une population que l’on estime à environ douze ou treize millions d’habitants. On est donc très loin du « plébiscite » et du « vote massif », que l’on brandit à tout-va.
Tout le monde a déjà dit que le scrutin pour le second tour du 25 mars 2012, plus qu’une simple élection présidentielle, était devenue un référendum pour ou contre le projet de dévolution monarchique du pouvoir et une démonstration de force des capacités du peuple souverain, y compris face à la toute-puissance de l’Etat.
Devant pareille circonstance, il faut aux vainqueurs du jour avoir le triomphe modeste et comprendre qu’à l’exception des 26 % des électeurs (moins de 720.000 Sénégalais au total) ayant voté au premier tour en faveur du nouvel élu, le reste du pays, c'est-à-dire l’écrasante majorité des Sénégalais, ne sont ni des militants, ni des sympathisants, ni des électeurs de l’Alliance pour la république (APR) ou de son président. Ils ne pensent donc pas comme les militants et responsables de l’APR et ne partagent pas forcément leurs points de vue. Que ce soit sur le pays et la meilleure manière de conduire ses destinées, que ce soit sur les qualités et la crédibilité à accorder aux propos du leader de l’APR. Au plus, ils ont accordé au nouveau président une occasion de… prouver.
Ces rappels sont importants, car dans les cercles du nouveau parti au pouvoir ou proches du nouveau président, c’est déjà le début de ce qui ressemble fort à un culte de la personnalité. C’est déjà la stigmatisation contre tous ceux qui veulent relativiser l’ampleur de la victoire, pour ne pas dire les menaces à peine voilées contre quiconque ose questionner le passé du nouveau président.
Or, on ne le sait que trop bien, l’actuel président est aussi comptable en très grande partie des actes posés par le régime précédent. Du népotisme érigé en mode de gouvernement à la mal-gouvernance endémique, des enrichissements illicites à la calamiteuse présidentielle de 2007, dont les résultats, rappelons-le, n’ont jusqu’à ce jour, pas été reconnus par l’essentiel de l’opposition, y compris par ceux qui aujourd’hui, ont appelé à voter pour le nouveau président . C’est tout dire…
Que l’homme ait retenu les leçons du passé et veuille changer. Soit. Puisque nous somme tous capables de repentir. Qu’il ait appris à mieux traiter les citoyens, en étant dans l’opposition, c’est possible. On peut lui accorder comme à tout être humain le bénéficie du doute. Qu’il ait aujourd’hui la volonté de bien faire, ce serait tout à son honneur.
Néanmoins, il est bon de noter que tout ceci commence par accepter quelques principes bien simples, dont la liberté de chaque citoyen à apprécier, selon ses propres convictions, le nouveau régime sur ses actes et non sur des professions de foi. Accepter la différence et comprendre que gouverner un pays, ce n’est pas comme le considérait Abdoulaye Wade s’imposer en roitelet entouré de courtisans et de laudateurs.
Diriger un pays au 21ème siècle et devant l’affirmation de plus en plus forte de la citoyenneté reconquise, c’est aussi et surtout s’appliquer ce qu’on exige aux autres, en matière de respect des règles démocratiques, de bonne gouvernance, de transparence et d’équité.
Bref, c’est faire tout ce qu’Abdoulaye Wade a été incapable de faire durant ces douze ans de pouvoir, y compris - nous insistons dessus - lorsque siégeait à ses côté, son ex-premier ministre de 2004 à 2007, ex-directeur de campagne en 2007 et ancien ministre de 2001 à 2004.
Voilà pourquoi, il nous a paru utile, à l’heure où nous célébrons une nouvelle victoire du peuple sur les démons qui ont failli brûler ce pays, de lancer cet appel citoyen pour que nous sachions tous raison garder et rester vigilants pour ne pas avoir – demain encore - à élire un autre président… par défaut.
*Journaliste, fondateur Ouestafnews, Ashoka/Knight News & Knowledge Fellow.
Mor
En Avril, 2012 (15:54 PM)A l’arrivée, la déception ne fut qu’à la mesure de l’immense espérance. La suite, on la connaît: ce furent douze ans d’errance, douze ans perdus pour le Sénégal. Douze ans que nous aurions pourtant pu mettre à profit pour faire avancer notre démocratie au lieu de la faire reculer, nous occuper des vraies priorités nationales au lieu de consacrer nos maigres ressources à des « chantiers » à la pertinence douteuse, renforcer la justice sociale au lieu de favoriser le népotisme, remettre ce qui restait de notre système éducatif sur les rails au lieu de le liquider…
La liste est longue de ces cas où nous nous sommes clairement fourvoyés sur des sentiers mal tracés. Le résultat est là, implacable. Douze ans après, nous sommes obligés de faire un retour à la case départ avec un pays en bien piteux état. Et pour une seconde fois, nous avons été obligés à faire un choix difficile, c'est à dire a voter « contre » quelqu’un, plutôt que de voter « pour » quelqu’un.
Car, si d’un point de vue purement légal, personne ne conteste la « légitimité » de notre nouveau chef d’Etat, il lui faut, à lui - et surtout à ses partisans déjà aveuglés par la perspective du pouvoir - avoir les pieds sur terre. Comme son prédécesseur, il n’est qu’un « président par défaut ». Démocratiquement élu certes mais en réalité très minoritaire. Légitimement installé, mais très mal élu. N’en déplaise aux laudateurs et aux adeptes de la pensée unique.
Oui, rien qu’à se fier aux chiffres sur lesquels il fonde sa propre légitimité, le nouveau président a été élu par moins de deux millions de Sénégalais. C’est moins de la moitié des électeurs inscrits. Plus significatif encore, c’est très peu pour une population que l’on estime à environ douze ou treize millions d’habitants. On est donc très loin du « plébiscite » et du « vote massif », que l’on brandit à tout-va.
Tout le monde a déjà dit que le scrutin pour le second tour du 25 mars 2012, plus qu’une simple élection présidentielle, était devenue un référendum pour ou contre le projet de dévolution monarchique du pouvoir et une démonstration de force des capacités du peuple souverain, y compris face à la toute-puissance de l’Etat.
Devant pareille circonstance, il faut aux vainqueurs du jour avoir le triomphe modeste et comprendre qu’à l’exception des 26 % des électeurs (moins de 720.000 Sénégalais au total) ayant voté au premier tour en faveur du nouvel élu, le reste du pays, c'est-à-dire l’écrasante majorité des Sénégalais, ne sont ni des militants, ni des sympathisants, ni des électeurs de l’Alliance pour la république (APR) ou de son président. Ils ne pensent donc pas comme les militants et responsables de l’APR et ne partagent pas forcément leurs points de vue. Que ce soit sur le pays et la meilleure manière de conduire ses destinées, que ce soit sur les qualités et la crédibilité à accorder aux propos du leader de l’APR. Au plus, ils ont accordé au nouveau président une occasion de… prouver.
Ces rappels sont importants, car dans les cercles du nouveau parti au pouvoir ou proches du nouveau président, c’est déjà le début de ce qui ressemble fort à un culte de la personnalité. C’est déjà la stigmatisation contre tous ceux qui veulent relativiser l’ampleur de la victoire, pour ne pas dire les menaces à peine voilées contre quiconque ose questionner le passé du nouveau président.
Or, on ne le sait que trop bien, l’actuel président est aussi comptable en très grande partie des actes posés par le régime précédent. Du népotisme érigé en mode de gouvernement à la mal-gouvernance endémique, des enrichissements illicites à la calamiteuse présidentielle de 2007, dont les résultats, rappelons-le, n’ont jusqu’à ce jour, pas été reconnus par l’essentiel de l’opposition, y compris par ceux qui aujourd’hui, ont appelé à voter pour le nouveau président . C’est tout dire…
Que l’homme ait retenu les leçons du passé et veuille changer. Soit. Puisque nous somme tous capables de repentir. Qu’il ait appris à mieux traiter les citoyens, en étant dans l’opposition, c’est possible. On peut lui accorder comme à tout être humain le bénéficie du doute. Qu’il ait aujourd’hui la volonté de bien faire, ce serait tout à son honneur.
Néanmoins, il est bon de noter que tout ceci commence par accepter quelques principes bien simples, dont la liberté de chaque citoyen à apprécier, selon ses propres convictions, le nouveau régime sur ses actes et non sur des professions de foi. Accepter la différence et comprendre que gouverner un pays, ce n’est pas comme le considérait Abdoulaye Wade s’imposer en roitelet entouré de courtisans et de laudateurs.
Diriger un pays au 21ème siècle et devant l’affirmation de plus en plus forte de la citoyenneté reconquise, c’est aussi et surtout s’appliquer ce qu’on exige aux autres, en matière de respect des règles démocratiques, de bonne gouvernance, de transparence et d’équité.
Bref, c’est faire tout ce qu’Abdoulaye Wade a été incapable de faire durant ces douze ans de pouvoir, y compris - nous insistons dessus - lorsque siégeait à ses côté, son ex-premier ministre de 2004 à 2007, ex-directeur de campagne en 2007 et ancien ministre de 2001 à 2004.
Voilà pourquoi, il nous a paru utile, à l’heure où nous célébrons une nouvelle victoire du peuple sur les démons qui ont failli brûler ce pays, de lancer cet appel citoyen pour que nous sachions tous raison garder et rester vigilants pour ne pas avoir – demain encore - à élire un autre président… par défaut.
*Journaliste, fondateur Ouestafnews, Ashoka/Knight News & Knowledge Fellow.
Mor
En Avril, 2012 (15:58 PM)Oui, rien qu’à se fier aux chiffres sur lesquels il fonde sa propre légitimité, le nouveau président a été élu par moins de deux millions de Sénégalais. C’est moins de la moitié des électeurs inscrits. Plus significatif encore, c’est très peu pour une population que l’on estime à environ douze ou treize millions d’habitants. On est donc très loin du « plébiscite » et du « vote massif », que l’on brandit à tout-va.
Tout le monde a déjà dit que le scrutin pour le second tour du 25 mars 2012, plus qu’une simple élection présidentielle, était devenue un référendum pour ou contre le projet de dévolution monarchique du pouvoir et une démonstration de force des capacités du peuple souverain, y compris face à la toute-puissance de l’Etat.
Devant pareille circonstance, il faut aux vainqueurs du jour avoir le triomphe modeste et comprendre qu’à l’exception des 26 % des électeurs (moins de 720.000 Sénégalais au total) ayant voté au premier tour en faveur du nouvel élu, le reste du pays, c'est-à-dire l’écrasante majorité des Sénégalais, ne sont ni des militants, ni des sympathisants, ni des électeurs de l’Alliance pour la république (APR) ou de son président. Ils ne pensent donc pas comme les militants et responsables de l’APR et ne partagent pas forcément leurs points de vue. Que ce soit sur le pays et la meilleure manière de conduire ses destinées, que ce soit sur les qualités et la crédibilité à accorder aux propos du leader de l’APR. Au plus, ils ont accordé au nouveau président une occasion de… prouver.
Ces rappels sont importants, car dans les cercles du nouveau parti au pouvoir ou proches du nouveau président, c’est déjà le début de ce qui ressemble fort à un culte de la personnalité. C’est déjà la stigmatisation contre tous ceux qui veulent relativiser l’ampleur de la victoire, pour ne pas dire les menaces à peine voilées contre quiconque ose questionner le passé du nouveau président.
Or, on ne le sait que trop bien, l’actuel président est aussi comptable en très grande partie des actes posés par le régime précédent. Du népotisme érigé en mode de gouvernement à la mal-gouvernance endémique, des enrichissements illicites à la calamiteuse présidentielle de 2007, dont les résultats, rappelons-le, n’ont jusqu’à ce jour, pas été reconnus par l’essentiel de l’opposition, y compris par ceux qui aujourd’hui, ont appelé à voter pour le nouveau président . C’est tout dire…
Que l’homme ait retenu les leçons du passé et veuille changer. Soit. Puisque nous somme tous capables de repentir. Qu’il ait appris à mieux traiter les citoyens, en étant dans l’opposition, c’est possible. On peut lui accorder comme à tout être humain le bénéficie du doute. Qu’il ait aujourd’hui la volonté de bien faire, ce serait tout à son honneur.
Néanmoins, il est bon de noter que tout ceci commence par accepter quelques principes bien simples, dont la liberté de chaque citoyen à apprécier, selon ses propres convictions, le nouveau régime sur ses actes et non sur des professions de foi. Accepter la différence et comprendre que gouverner un pays, ce n’est pas comme le considérait Abdoulaye Wade s’imposer en roitelet entouré de courtisans et de laudateurs.
Diriger un pays au 21ème siècle et devant l’affirmation de plus en plus forte de la citoyenneté reconquise, c’est aussi et surtout s’appliquer ce qu’on exige aux autres, en matière de respect des règles démocratiques, de bonne gouvernance, de transparence et d’équité.
Bref, c’est faire tout ce qu’Abdoulaye Wade a été incapable de faire durant ces douze ans de pouvoir, y compris - nous insistons dessus - lorsque siégeait à ses côté, son ex-premier ministre de 2004 à 2007, ex-directeur de campagne en 2007 et ancien ministre de 2001 à 2004.
Voilà pourquoi, il nous a paru utile, à l’heure où nous célébrons une nouvelle victoire du peuple sur les démons qui ont failli brûler ce pays, de lancer cet appel citoyen pour que nous sachions tous raison garder et rester vigilants pour ne pas avoir – demain encore - à élire un autre président… par défaut.
*Journaliste, fondateur Ouestafnews, Ashoka/Knight News & Knowledge Fellow.
Mor
En Avril, 2012 (16:12 PM)Ces rappels sont importants, car dans les cercles du nouveau parti au pouvoir ou proches du nouveau président, c’est déjà le début de ce qui ressemble fort à un culte de la personnalité. C’est déjà la stigmatisation contre tous ceux qui veulent relativiser l’ampleur de la victoire, pour ne pas dire les menaces à peine voilées contre quiconque ose questionner le passé du nouveau président.
Or, on ne le sait que trop bien, l’actuel président est aussi comptable en très grande partie des actes posés par le régime précédent. Du népotisme érigé en mode de gouvernement à la mal-gouvernance endémique, des enrichissements illicites à la calamiteuse présidentielle de 2007, dont les résultats, rappelons-le, n’ont jusqu’à ce jour, pas été reconnus par l’essentiel de l’opposition, y compris par ceux qui aujourd’hui, ont appelé à voter pour le nouveau président . C’est tout dire…
Que l’homme ait retenu les leçons du passé et veuille changer. Soit. Puisque nous somme tous capables de repentir. Qu’il ait appris à mieux traiter les citoyens, en étant dans l’opposition, c’est possible. On peut lui accorder comme à tout être humain le bénéficie du doute. Qu’il ait aujourd’hui la volonté de bien faire, ce serait tout à son honneur.
Néanmoins, il est bon de noter que tout ceci commence par accepter quelques principes bien simples, dont la liberté de chaque citoyen à apprécier, selon ses propres convictions, le nouveau régime sur ses actes et non sur des professions de foi. Accepter la différence et comprendre que gouverner un pays, ce n’est pas comme le considérait Abdoulaye Wade s’imposer en roitelet entouré de courtisans et de laudateurs.
Diriger un pays au 21ème siècle et devant l’affirmation de plus en plus forte de la citoyenneté reconquise, c’est aussi et surtout s’appliquer ce qu’on exige aux autres, en matière de respect des règles démocratiques, de bonne gouvernance, de transparence et d’équité.
Bref, c’est faire tout ce qu’Abdoulaye Wade a été incapable de faire durant ces douze ans de pouvoir, y compris - nous insistons dessus - lorsque siégeait à ses côté, son ex-premier ministre de 2004 à 2007, ex-directeur de campagne en 2007 et ancien ministre de 2001 à 2004.
Voilà pourquoi, il nous a paru utile, à l’heure où nous célébrons une nouvelle victoire du peuple sur les démons qui ont failli brûler ce pays, de lancer cet appel citoyen pour que nous sachions tous raison garder et rester vigilants pour ne pas avoir – demain encore - à élire un autre président… par défaut.
*Journaliste, fondateur Ouestafnews, Ashoka/Knight News & Knowledge Fellow.
Mor
En Avril, 2012 (16:18 PM)Néanmoins, il est bon de noter que tout ceci commence par accepter quelques principes bien simples, dont la liberté de chaque citoyen à apprécier, selon ses propres convictions, le nouveau régime sur ses actes et non sur des professions de foi. Accepter la différence et comprendre que gouverner un pays, ce n’est pas comme le considérait Abdoulaye Wade s’imposer en roitelet entouré de courtisans et de laudateurs.
Diriger un pays au 21ème siècle et devant l’affirmation de plus en plus forte de la citoyenneté reconquise, c’est aussi et surtout s’appliquer ce qu’on exige aux autres, en matière de respect des règles démocratiques, de bonne gouvernance, de transparence et d’équité.
Bref, c’est faire tout ce qu’Abdoulaye Wade a été incapable de faire durant ces douze ans de pouvoir, y compris - nous insistons dessus - lorsque siégeait à ses côté, son ex-premier ministre de 2004 à 2007, ex-directeur de campagne en 2007 et ancien ministre de 2001 à 2004.
Voilà pourquoi, il nous a paru utile, à l’heure où nous célébrons une nouvelle victoire du peuple sur les démons qui ont failli brûler ce pays, de lancer cet appel citoyen pour que nous sachions tous raison garder et rester vigilants pour ne pas avoir – demain encore - à élire un autre président… par défaut.
*Journaliste, fondateur Ouestafnews, Ashoka/Knight News & Knowledge Fellow.
Rama
En Avril, 2012 (17:32 PM)Ok!!!!!
En Avril, 2012 (17:45 PM)Laskha
En Avril, 2012 (17:53 PM)Moi je preconise la justice sociale cad libre acces a la formation et a l`emploi, jeter les fondementaux d1 eco solide en financant et subventionnant les PME, l`eradication de la corruption au sein de l`adminnistration et l`acces aux soins de sante primaires pour tous, doter d`equipements les agents du controle eco. et d`hygiene...
Un Etat c1 tout mais pas pour le manger seulement.
Bonne continuation Mr le President
Un President Pour Tous
En Avril, 2012 (18:00 PM)Xulo
En Avril, 2012 (19:58 PM)Vive Le Senegal Uni
En Avril, 2012 (20:33 PM)Tapha57
En Avril, 2012 (21:33 PM)Participer à la Discussion