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Politique

Mimi Touré sur la réduction du mandat : «Le Conseil constitutionnel indiquera au président la démarche à suivre»

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Aminata Toure, ancien premier ministre du Senegal

Marraine de la finale de la coupe du Maire, dans la localité de Darou Khoudoss, dans le département de Tivaouane, l’ancien Premier ministre Aminata Touré a livré quelques commentaires sur le discours de fin d’année du chef de l’État, notamment sur la question de la réduction du mandat présidentiel, de 7 à 5 ans. Aminata Touré estime que le président de la République et leader de l’Apr est en train d’emprunter les voies et moyens légaux pour matérialiser une promesse. « Le président a été élu pour un mandat de 7 ans. Il a, de sa propre initiative, pris la décision de ramener le mandat à 5 ans. C’est ainsi qu’il perçoit la démocratie. Il va requérir l’avis du Conseil constitutionnel qui lui indiquera la démarche à suivre. Cela prouve que le président est un homme de parole », défend Mimi Touré, qui minimise à ce propos, les critiques, qu’elle met sur le compte de l’opposition.


« Il (Macky Sall : NDLR) avait demandé aux uns et aux autres d’être patients. Le moment venu, sa parole et ses actes seront conformes. Que tout reste conforme à la loi », a-t-elle commenté.



22 Commentaires

  1. Auteur

    En Janvier, 2016 (09:47 AM)
    Il est toujour dangeureux de jouer avec ton peuple parce que toujour a la fin du jeux c est le peuple qui va trionfer
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  2. Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (09:54 AM)
    Les gens doivent savoir que Wade lui avait rallongé le mandat du PR de 5 à 7 ans sans passer par le référendum et il avait utilisé à son temps sa majorité mécanique. Macky sall lui vient et promet de réduire son mandat de 7 à 5 ans en passant par les voies légales et les gens trouvent quelque chose à dire. Vraiment les sénégalais oublient vite!
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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (10:12 AM)
    Faites vos ruses et blas blas mais vs ne pouvez changer la date des legislatives de 2017 le peuple vs attend au tournant macky sera minoritaire et contraint à la cohabitation cette sorcière de mimi fait partie de ces satans et diviseur wade macky Alioune Badara cissé vs a montré la voix de la retenue entre wade et macky vs ne divisez k pour reigner bandes de comploteurs :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal: 
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    Auteur

    Diadiack

    En Janvier, 2016 (10:17 AM)
    En vérité, Macky compte faire les 7 ans pour tenir l'élection présidentielle en 2019. Ni le Conseil Constitutionnel, ni le Parlement, ne voteront contre la durée du mandat de 7 ans. C'est un terrain déjà préparé par son conseiller juridique Ismaël Madior. Il ne veut respecter sa promesse et veut rester jusqu'à 2019. Il faut bien noter que les élections présidentielles se feront en 2019
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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (10:36 AM)
    Il faut sensibiliser la population pour faire face au wakhe wakhete !
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    Auteur

    Terminus 2017

    En Janvier, 2016 (10:50 AM)
    toucoulorisation de la republique, maky degage
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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (10:57 AM)
    Nous avons élu Macky pour un mandat de 7 ans.
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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (11:09 AM)
    Le Président de la république a prononcé, le 31 décembre, un discours long et enchevêtré (avec des thèmes passablement imbriqués) mais assez saisissable et divisible en trois volets que sont la politique intérieure, les efforts de développement et la politique étrangère. Dans les heures consécutives à l’allocution, les commentateurs issus des chapelles politiques et surgis des horizons non politiques, ont fait des discours sur le discours de Macky Sall. Inutile donc, d’ajouter un discours-fleuve à une orgie de discours ! Toutefois, il convient de fixer – ne serait-ce qu’un halo de lumière – sur le chapitre institutionnel de l’adresse présidentielle.



    Certes, les Assises dites nationales ne sont pas un conclave sans consistance ; tout comme la Commission nationale de Réforme des Institutions (CNRI) ne manque pas de vues relativement lumineuses. Cependant, la trajectoire historique du Sénégal prouve éloquemment que la panacée ne découle pas et ne découlera jamais de nos institutions à l’état brut. Par voie de conséquence, les réformes institutionnelles à la pelle (annoncées, envisagées ou mises en route) ne produiront qu’une ratatouille niçoise (version institutionnelle) très peu digeste. Les faits – têtus sous tous les cieux – ont démontré amplement que les constitutions et les institutions (choses inanimées) ne valent que ce que valent les hommes et les femmes qui les animent, donc leur donnent vie. La Constitution du Sénégal est un tas de mots. Pardonnez-moi, cette définition triviale ! Mais encore, faut-il que les acteurs soient capables de se hisser à la hauteur de cette colline d’articles et d’alinéas, tous vecteurs de valeurs démocratiques et républicaines. Facile de le répéter dans un discours, difficile de le réaliser au quotidien !



    Bien entendu, le souci de modernisation et de stabilisation de la Constitution – préoccupation affichée par le Président Macky Sall – est louable. La meilleure alliée du chef de l’Etat étant d’abord l’étymologie. En effet, « Constitution » dérive du latin cum (ensemble) et statuo (fixer, établir). Ce qui fait une belle jonction avec la volonté de sacralisation exprimée dans le message présidentiel de la Saint-Sylvestre. En revanche, l’ennemie numéro un de ce catéchisme politico-institutionnel est indéniablement sa propre désincarnation. La succession des évènements (trame de l’actualité) en fait foi, depuis mars 2012. La liste étant longue, on en extrait trois exemples phares.



    Dans une république souveraine et vieille d’un demi-siècle de gouvernance démocratique avancée (comme le Sénégal) la séparation des pouvoirs est, à la fois, la charpente et la clé de voûte du magma d’institutions que sont les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire organiquement flanqués de leurs nombreux démembrements. N’empêche, l’Assemblée nationale – matrice des lois – a giflé la Cour suprême, au travers d’une bruyante et gênante résolution de soutien au ministre de l’Education nationale, contrarié par un arrêt évidemment suprême. Si on voulait ruiner la vitalité de l’institution judiciaire, on ne s’y prendrait pas autrement. A la lumière d’un tel comportement, que vaut un wagon de textes porteurs de réformes ? Lorsque le député élu au suffrage universel – par le même canal de légitimité que le Président de la république – est plus pro-gouvernemental que le ministre, aucune réforme magique ne lui inoculera le sérum de la séparation des pouvoirs. D’où la vanité et le surréalisme d’un paquebot plein de réformes constitutionnelles et institutionnelles.



    Il va sans dire que tous les Sénégalais pétris de civisme et attentifs au devenir des générations montantes sont farouchement opposés au recrutement de tout élève-maitre incapable de conjuguer le verbe « mourir » au futur. Mais ils sont aussi fermement en désaccord avec toute attitude de rébellion (même verbale) contre une décision de justice, elle-même, extraite des entrailles des lois votées par l’Assemblée nationale. Du reste, des voies de recours et de contre-attaque sont à la portée du ministre. La tricherie dans un concours officiel et national n’est-elle pas un délit ? Tout sauf une défiance qui vexe le pouvoir judiciaire et contrecarre son indépendance. Après tout, ce n’est pas la Cour suprême qui a matériellement organisé le concours. Elle n’a rien à voir avec les ratés. Gardons-nous de hâter le déclin des lois ! Il y va de la sauvegarde du Sénégal qui est au-dessus de tous les partis.



    L’autre exemple illustratif du fossé entre l’incantation et la praxis, renvoie à l’apologie de la transhumance. Djibo Leyti Ka, auteur des discours les plus véhéments et les percutants contre la transhumance, après la défaite de Wade (il voulait être le père d’une loi anti-transhumance) a franchi, aujourd’hui, le Rubicon. Preuve que Le problème n’est pas dans les textes mais dans les têtes. Autrement dit, les mœurs politiques contrebalancent les règles du jeu. Même lorsque celles-ci figurent, en bonne place, dans des Constitutions plébiscitées par voie référendaire. La modernisation, la stabilisation et la sacralisation, chères à Macky Sall, restent au stade de la poésie…constitutionnelle. Parce que tributaires des servitudes du système que sont le besoin d’un bassin électoral (sans cesse élargi et garant de victoire) et la soif inextinguible d’étrenner un second mandat. Un phénomène amplifié par la saison africaine des premiers tours gagnants (un coup, KO). Suivez mon regard qui balaye les scènes électorales en Afrique !



    Le troisième exemple souligne fort bien le divorce entre le verbe et la vérité, c’est-à-dire entre le discours sur la Constitution, un soir de fin d’année, et les manœuvres politiques qui ont la peau dure. Il s’agit, ici, de l’ingéniosité de l’ingénieur Macky Sall qui a réussi le tour de force de mettre en congé voire de crucifier, en douceur, l’exercice des libertés les plus élémentaires dans une démocratie adulte. Une prouesse qui – contrairement aux apparences – n’est pas strictement policière. Le quatrième Président du Sénégal a convoqué la métaphore du puissant train, avec sa longue rame de wagons et ses machines de tête. Pour le figer et le rouiller sur place, il a démonté, acheminé et déposé les trois locomotives de l’effervescence et de la mobilisation démocratiques (la presse mordante, la société civile et l’intelligentsia dominante) au réfectoire du Palais.



    Le résultat est frappant : les manifestations (y compris les plus légitimes) restent dans les limbes. Parce que non aiguillonnées et non stimulées par l’élite qui, en démocratie, est la boussole des masses. Mieux, le leader de l’APR, Macky Sall, a vassalisé les cerveaux et éteint les lumières. Les intellectuels qui furent, hier, les porte-étendards de la pensée contestataire, de la pensée protestataire, de la pensée réfractaire et de la pensée voltairienne sont, aujourd’hui, les commissaires de la Police…des idées.



    A Pikine, une manifestation programmée dans les limites territoriales de la municipalité – très loin de la place de l’Indépendance – par une population grandement ulcérée par la profanation continue des tombes (un motif vraiment domestique sans rapport avec la vie chère, la pauvreté tenace ou le mandat présidentiel) a été interdite. Aucune levée de boucliers n’a été enregistrée dans les différents segments de la société sénégalaise. Question : où est l’incidence de l’Acte 3 de la Décentralisation, un Acte censé octroyer directement et entièrement des prérogatives aux populations curieusement interdites de colère ouverte ? En définitive, les faits confortent l’opinion de Stendhal : « Les discours des hommes politiques ne sont que les masques qu’ils appliquent sur leurs actions ». Celui du 31 décembre n’y échappe pas, malgré les réformes hardies qu’il fait miroiter.



    Théoriquement, les réformes constitutionnelles et/ou institutionnelles sont des changements importants en vue d’une réelle amélioration. Dans la pratique, les écueils sont légion. Certains d’entre eux (les obstacles) sont consubstantiels à la politique active. Ainsi, le choc entre le catalogue des vœux et les casse-têtes du champ politique, installe souvent les leaders, dans le culte de l’efficacité au détriment de l’attachement sincère aux idéaux charriés par les grandes modifications constitutionnelles. Quand le chef de l’Etat Macky Sall parle, on écoute ses explications, mais on aimerait entendre ce qui est tu. Par exemple, ce référendum mort-né ou ressuscité-mort qui a, de plus en plus, l’air d’une voie de contournement de l’engagement pris avant le second tour de la dernière présidentielle, portant sur la réduction du mandat.



    PS : Je ne commente pas le volet économique du discours présidentiel de fin d’année. Je le soumets volontiers au test infaillible du temps ou de la durée. « L’économie réelle, c’est le ventre et la poche. Tout le reste n’est que littérature économique » disait l’ex-ministre de l’Economie et des Finances du Sénégal et ancien chef du département Afrique du FMI, notre compatriote Mamoudou Touré. Dans le même ordre d’idées, Winston Churchill corsait les choses de façon, à la fois, drôle et savante : « Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées ». Dewénati, bonne année 2016 !
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    Anonyme

    En Janvier, 2016 (11:10 AM)
    Encore boroom guèméniou matieu katou koye bii !
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    Auteur

    Anonymelune

    En Janvier, 2016 (11:30 AM)
    Marraine de la finale à Darou Khoudoss decidement cette guenon est entrain de voltiger partout pour exister

    Pauvre conne j'ai pitiè d'elle de premier ministre à diègou wèrènetè
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    Anonyme

    En Janvier, 2016 (11:46 AM)
    La saisine du conseil constitutionnel n'est pas obligatoire, ce n'est qu' une faculté , l'article de la constitution précise bien que le président de la république peut saisir le conseil constitutionnel s'il veut faire le référendum, donc il peut le faire sans même demander l'avis du conseil constitutionnel, si vraiment il veut que le référendum ait lieu, vu sa démarche, je me demande s'il a vraiment envie d'y aller
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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (12:30 PM)
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    Anonyme

    En Janvier, 2016 (12:35 PM)
    pourtant c est ce même conseil constitutionnel que vous decriez du temps de wade!
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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (13:48 PM)
    Tous les chemins mènent à Rome. Parole de politiciens!
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    Auteur

    Anonyme Poil

    En Janvier, 2016 (14:39 PM)
    Que disaient ils après l'avis rendu par le Comité Consultatif de l'ONU sur l'affaire Karim Wade? De grâce, Ismaila comme Mimi, n'insultez pas notre intelligence?
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    Auteur

    Foulbés,

    En Janvier, 2016 (16:35 PM)
    Sauf l'Unique sait les comment et pourquoi l'honorable Mimi Touré, ex Fonctionnaire internationale, ex Ministre, ex Première Ministre de la République, encore dignement-noblement-loyalement-sincèrement-honnêtement-poliment au Service de la République, avec science pure et bonne conscience, à la demande du Président de la République plurielle, laïque, démocratique et sociale du Sénégal éternellement archi-pluriel en tout de tout, Son Excellence, l'Ingénieur Macky Sall, Peul pure Souche, donc éternellement digne-noble-courageux atavique, a pu croiser sur son propre chemin un sinistre "être" comme sarr oumar. Dieu seul sait! Mais en tant que très simple créature de Dieu NOUS ne voyons aucun mal de NOUS interroger. Car le sinistre "être" sarr oumar n'arrive même pas aux cheville de l'honorable Mimi Touré. À ce sujet, des collines de faits concrets, démontrables-démonstratifs, crèvent les yeux et défoncent les tympans. Certains-es, n'ayant connu que des menteurs-traitres-manipulateurs-comploteurs-trompeurs-magouilleurs-corrompus-prédateurs-falsificateurs-tricheurs-usurpateurs ont la mesquine propension à refouler leurs souillées nature sur les dignes-nobles peuples sénégalais. L'Ingénieur Macky Sall, sainement-saintement-dignement-démocratiquement élu pour 7 ans, a librement DIT aux digne-nobles peuples sénégalais, qu'IL réduira son mandat pour se conformer aux exigences exigées dans tous les pays viscéralement démocratiques-laïcs-sociaux-civilisés. Macky SALL, Peul pure Souche, donc digne-noble-courageux atavique, ne trahira jamais personne! Taisez-vous donc minables "êtres"! Donnez plutôt vos idées-projets-programmes comme contribution au développement économique-social-culturel-spirituel du Sénégal, en faveur de tous ses peuples, au lieu de passer vos funeste temps à cracher des crétineries crétines-foutaises-bobards, à manigancer-magouiller, à combiner-comploter-pactiser pour vous abjects desseins, à trahir-tromper-dénigrer-diffamer-calomnier! SILENCE SINSTRES ÊTRES! AU BOULOT! DUR-BIEN FAIT! POUR TOUT LE SENEGAL! Foulbés.
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    Diophante

    En Janvier, 2016 (16:36 PM)
    macky ;prend ton courage à 2 mains et dit haut et fort que tu veux faire 7 ans! le peuple va te toléré et tu pourra travailler en toute sérénité! le chemin que tu est entrain de choisir troublera le pays et te discréditera davantage car tu sais bien que tu fera tes 7 ans par A ou C'est pourquoi Wade et cisse lo me plaisent bcp; il faut être tjrs sincère avec soi! on direz que tu ne connais pas le sénégalais; dire les choses comme tel; et en 2019;tu nous laisse notre pays car tu nous as vraiment déçu! tu as géré le pays sans courage! c'est un conseil et faut bien la noté!!!
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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (16:43 PM)
    congeyeyou wade guiss nako tewoule danouna
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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (17:05 PM)
    Le Conseil constitutionnel comprend cinq membres, dont un président et un vice-président, qui sont nommés par décret du président de la République]b pour six ans non renouvelables.



    Les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d’aucune voie de recours
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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (20:09 PM)
    En plus d etre mechante comme une vipere, c est une hypocrite avec sa bouche fourchue de menteuse. Ell parlait de 4000 milliard on se trouve avec les biens de bibo Bourgi donne a Karim Wade et un compte fictif a singapour. Maintenant Bibo poursuit l'etat du Senegal et notre pays risque d'etre condamner a payer 48 milliard a Bibo en plus de la reputation d 'un pays de droit que nous avons perdue.Ce gouvernement ets un fleau national que nous devons deratiser le plus vite possible.
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    Auteur

    Anonyme

    En Janvier, 2016 (22:52 PM)
    Man nak magui beugueu diakhlé ci sama réw. N'est ce pas c'est eux qui ont décrié et jeté à la poubelle il y a quelques jours la fameuse décision de justice rendue par la cour suprême sur l'affaire des élèves maitres? Aujourd'hui ils nous disent qu'ils vont respecter la décision du conseil constitutionnel! Quel Sénégal, je ne m'y reconnais plus!

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    Auteur

    Galsen Yewou Len

    En Janvier, 2016 (23:00 PM)
    notre premier vœux çà doit être la verite sur l argent sale de l iaaf qui l a élu et le proces de karim qu ils ont organise comme ristourne a diack dont son fils massata l enculés a ete mise en prison par WADE pour escroquerie de 2MILLIARDS PAMODZI EQUIPE NATIONALE DU SENEGALet puis ce qui est bizarre au senegal on a une nouvelle race de politiciens sans vergogne des magistrat indigne des députés corrompus dans une affaire internationale qui n a pas encore fini ces revelations on nous parle de candidatures non le peuple vous dit non tous les candidats potentiels sont trempés par diack dans un blanchiment d argent et ce que vous ne savez pas les français nous ont balancé que 2 paragraphes sur l instruction du PACTE DE MOSCOU une instruction sur un scandale international concernant toutes les grandes puissances du monde avec la complicités d un gouvernement conspirateur ne peut être que 2 paragraphes çà dure même des jours attendez vous a des révélations qui vont mettre la république a genou et ses juges comploteurs.Ne parlez pas d élections mais de l information judiciaire sur les cagoulards du PACTE DE MOSCOU d abord ils ont mordu a l hameçon de la trahison lancé par diack et nos juges au lieu de répondre sur l affaire diack venant de juridictions plus élevés par rapport a votre leur nano-barreau un procureur de la république qui était au premier plan durant la traque des biens ridicule car étant complice indigne devant le peuple mais qu ils se dise jamais procès se fera sans qu il soit impliqué pour complicités de conspiraton et complots contre karim il a goutté à l argent diack alors ou la crei et ces encules de chiens aboyeurs L IAAF est là c est un dossier sure il faut arretes khalifa cite dans laffaire les maires de 2009 les tetes de listes de l opposition 2012



    donc y a que wade qui n a pas goutte a l argent sale de diack et sa coalition



    jeunes juges levez vous faites front c est votre honneur qui est en jeu seneweb j espere que vous cesserez de trier les articles pour n en montrer que ceux qui plaisent au gouvernement ne soyez pas des fakes



    y a pas que les 1 500 000 euro l argent depasse plus que çà karim a un dossier corser qu il pilotera pour mettre le senegal sur les rails des grandes pays de justice qui emprisonne des juges des magistrats des hommes politiques et des anciens présidents et çà sera une premiere car etant le porte flambeau de la démocratie africaine grâce a ton pere WADE on doit etre les premiers a juger des corrompus de haut rang des bandits au colle blanc blanchisseurs des grands scandales

    le conseil constitutionnel doit démettre macky pour haute trahison et conspiration contre l état du senegal emprisonnés ces députés et exiger des élections anticipées a tout les niveaux tout est sale actuellement avec l affaire diack le gouvernement n est plus légitime car issu d un putsch avorté par un juge français comme eux
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