Mardi 19 Mars, 2024 á Dakar
Vendredi 01 Juin, 2018 +33
Politique

Nouvelle offre politique à soumettre aux sénégalais- Karim Wade oriente l’intelligentsia libérale

Single Post
Nouvelle offre politique à soumettre aux sénégalais- Karim Wade oriente l’intelligentsia libérale
En réunion hier, la fédération nationale des cadres libéraux (Fncl) dit avoir tournée la page Modou Diagne Fada.

Oumar Sarr, invité d’honneur, était porteur des messages du Pape du Sopi et de son fils Karim, candidat des libéraux à la prochaine présidentielle.


D’après le coordonateur national du Pds, Karim Wade veut orienter l’intelligentsia libérale vers une nouvelle offre politique à soumettre aux Sénégalais. Parce que les libéraux disent être convaincus que le chef de l’Etat, Macky Sall, candidat à sa propre succession, va organiser l’élection présidentielle en 2017.


Ainsi, il s’agit désormais pour Karim Wade, de gonfler à bloc les cadres pour qu’ils jouent leur véritable rôle des forces de proposition et d’anticipation.


19 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (21:30 PM)
    Pour la proposition, je suis d'avis que la vision des liberaux est de loin meilleure que cette de macky qui n'a que l'ibjectif d'aider la france à recoloniser économiquement le Sénégal. Par contre pour l'anticipation, je crois que ça devrait impérativement passé par une alternative à la candidature de karim que macky a déjà compromise.

    Malheureusement pour le pds qui risque de porter son choix sur omar sarr qui n'a aucun charisme.
  2. Auteur

    On Reveille Karim

    En Novembre, 2015 (21:36 PM)
    Celà faisait un bon moment que l'on entendait pas parler de Karim. Maintenant c'est chose faite car il y a une stratégie qui consiste à ne pas laisser Karim tombé dans l'oubli. Par A ou B il faut réguliérement que l'on parle de lui. Les pauvres ! Karim a été imposé aux sénégalais par son pére de président, mais il n'est et ne sera jamais dans les coeurs des sénégalais.
    {comment_ads}
    Auteur

    Nicol

    En Novembre, 2015 (21:44 PM)
    Nouvelle tentative de ramener les regards sur le prisonnier Wade. Peine perdue, il a eu son heure de gloire. Ce qu'il en a fait, c'est nous tous qui en sommes témoins.

    Maintenant si ça amuse le pds de conjuguer le future au passé c'est leur soblé.
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (21:54 PM)
    Du courage! Tiens bon!

    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (22:42 PM)
    Auteur

    Lolosenegal

    En Novembre, 2015 (00:22 AM)
    Faudrait déjà qu'il soit sorti de prison !!! Quand on sait qu'il est là à cause de son cher papa, il purge la peine de son père . Le vieux n'est même pas capable de prendre ses responsabilités. Bel exemple de paternalisme. :fbhear:  :fblike: 
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (03:01 AM)
    I will not vote for a convict.....

    And this is from the Angola prison in Louisiana
    {comment_ads}
    Auteur

    Karimerie

    En Novembre, 2015 (09:24 AM)
    Ah il va encore degonfler le PDS ce gosse j ne sais dans quelle école il a appris à échouer presque tout le monde est parti
    {comment_ads}
    Auteur

    Sidy Lamine Niasse

    En Novembre, 2015 (11:14 AM)
    Karim m’avait dit…» – Par Sidy Lamine Niasse

    Karim Wade me l’avait dit en 2010. Cinq ans plus tard, l’ambassadeur de France au Sénégal l’a fait : les magistrats de la Crei ont reçu l’ordre de condamner le fils du président Wade à une peine privative de liberté. Jean Félix Paganon leur a fait, de manière détournée, cette injonction au nom de la France qui entend ainsi faire payer à Abdoulaye Wade, à travers son fils, d’avoir cherché, durant son dernier mandat, à sortir le Sénégal de son état de chasse gardée de la douce Marianne.

    Karim me l’avait dit à Téhéran, plus précisément à l’hôtel de l’indépendance Istiklal, en présence de son chargé de la communication, Cheikh Diallo, et du ministre des Affaires étrangères d’alors, Me Madické Niang, qui dirigeait la délégation sénégalaise à une réunion de la commission mixte sénégalo-iranienne et la déclaration faite, dimanche, par l’ambassadeur Jean Félix Paganon, en violation de toutes les règles qui régissent les relations entre des pays indépendants et libres, prouve que la France peut avoir la rancune tenace :

    le fils d’Abdoulaye Wade doit payer, trois ans après la perte du pouvoir par le Pds, pour n’avoir rien fait en vue d’empêcher son père de président de déloger le Français Bolloré du juteux terminal à conteneurs du Port de Dakar au profit de Dubaï Port World et d’autoriser l’érection d’une deuxième cimenterie qui allait casser le monopole jusque là détenu par des Français à travers la Sococim. Et les magistrats de la Crei savent ce qu’ils doivent faire s’ils veulent, un jour, se voir récompenser par la France d’une médaille de la légion d’honneur.

    Karim me l’avait dit au cours d’un diner privé à Téhéran, où je m’étais alors rendu pour assister à une conférence internationale : Jamais, il n’avait autant subi de pressions de la part d’autorités étrangères qu’à l’occasion de la gestion de ces deux dossiers. Mais il a eu le culot, lui le «nègre» métissé, de tenir bon. Pire, il aura l’outrecuidance d’avancer des arguments imparables pour justifier la position du gouvernement sénégalais sur ces deux dossiers qui tenaient tellement à cœur à «nos ancêtres les Gaulois» qu’ils en avaient fait une affaire d’Etat.

    Karim m’avait dit, à propos de la création d’une deuxième cimenterie du Sénégal, qu’elle avait suscité l’hostilité des Français et même d’une partie de la communauté européenne à son égard, parce qu’ils estimaient cette initiative impertinente. Et face à leurs fortes pressions, il leur avait fait savoir que l’Etat du Sénégal n’avait pas investi un sou dans cette cimenterie.

    Avant de leur rappeler que cet investissement était le fait d’entreprises privées et que celles-ci avaient bénéficié, au préalable, de l’accompagnement de banques européennes après étude du marché. Que ce qui intéresse l’Etat, c’est que cela crée de la plus-value, par la création d’emplois et l’augmentation des recettes fiscales.

    Karim m’avait également conté les pressions subies et les misères à lui faites avant et après l’octroi à Dubaï Port World du terminal à conteneurs du Port autonome de Dakar jusqu’ici la chasse gardée du Français Bolloré. Il aura beau expliquer à ses détracteurs qu’il s’agissait d’un appel d’offres transparent et que M. Bolloré qui était le candidat des Français et de certains Européens, était loin derrière, ce sera en pure perte. Pire, cela leur restera en travers de la gorge. Paris ne l’a jamais pardonné au président Wade et, par ricochet, à son rejeton, ainsi que le laisse voir la sortie scandaleuse de son ambassadeur à Dakar.

    Karim ne me l’a dit parce qu’il ne pouvait pas le savoir : cinq ans après ses confessions faites à Téhéran où il était parti diversifier la coopération du Sénégal avec l’étranger sur les instructions du président de la République d’alors, son pays est devenu plus qu’une chasse gardée de la France. Au point que les autorités françaises s’octroient maintenant le droit d’indiquer à ses juges du siège qui doit être condamné ou bénéficié d’un non lieu. N’est-ce pas son ambassadeur Jean Félix Paganon qui a rendu un verdict implacable : «C’est un non-lieu qui serait étonnant pour Karim» ?

    En donnant ainsi par anticipation un verdict attendu le 23 mars prochain, il emprunte les pas de ses prédécesseurs, Roisin, Parant ou encore Ruffin, qui se sont succédés depuis la première alternance en 2000, et qui ont tous montré leur hostilité à Abdoulaye Wade, considéré comme un nationaliste qui s’est battu pour que le Sénégal ne soit plus la chasse gardée de la France, en mettant notamment en avant les intérêts de son pays et en diversifiant ses partenaires suivant les lois du marché dictées par l’offre et la demande.

    Karim ne m’avait pas dit expressément tout cela. N’empêche qu’en tant qu’observateur, j’avais des réserves par rapport à ses confessions, en me demandant si ce n’était pas là que propos de politicien. Même si je me disais, en mon for intérieur, que si ses propos étaient avérés, cela voudrait dire que nous avons une nouvelle génération moins complexée devant cette race blanche qui se croit supérieure aux autres.

    Et la sortie de l’ambassadeur Paganon m’a fait comprendre que le principal écueil à une coopération plus juste entre l’Afrique et l’Europe renvoie à l’éternel problème de la décolonisation à solutionner avant de penser au développement. Sinon la France va continuer de donner par la main droite ce qu’elle récupèrera par la main gauche. Et ce sont ses intérêts économiques qui continueront de déterminer les lois du marché.

    Si ce n’est pas le port avec Bolloré, Necontrans et d’autres structures, la cimenterie qu’on veut dominer avec la Sococim, l’énergie avec Total, la route avec Eiffage, avec l’armée, la monnaie et la langue, tout est français. Et nous revenons toujours à l’ancien adage selon lequel nos ancêtres sont des Gaulois, si nous n’allons pas jusqu’à théoriser avec Léopold Sédar Senghor, que l’homme de Grimaldi était un négroïde.

    Mais Karim n’ayant pas des dons de divination, ne s’attendait sans doute pas à ce que la France fasse, partout sur ce continent, face à une rude concurrence, la plupart de ses anciennes colonies s’ouvrant de plus en plus à des puissances économiques concurrentes telles que l’Amérique, la Chine, l’Inde et le Brésil. Et le monde arabe n’est pas en reste. Mieux, son père de président commence à faire des émules dans son pays, en la personne notamment du maire de Dakar, le très socialiste Khalifa Sall, qui a bénéficié du soutien de l’Usaid et de la Fondation Bill et Melinda Gates pour lancer son emprunt obligataire.

    Il est clair aujourd’hui que le procès de Karim Wade et Cie devant la Crei est politique. C’est celui intenté contre l’ancien président de la République, à travers son fils, par la France en s’appuyant sur Macky Sall qu’elle avait honoré de la légion d’honneur dès les premières prémices de sa séparation avec Wade pour l’accompagner vers le sommet. Celui-ci le lui a bien rendu, en revenant sur les accords et contrats contraires aux intérêts de la France. Pour boucler la boucle, la France lui demande un agneau du sacrifice, en la personne du fils de Wade et de certains de ses compagnons.

    Et pour ne laisser de place à aucune surprise au rendu du verdict de la Crei le 23 mars, Paris a, d’ores et déjà, dicté sa loi par le voix autorisée de Son Excellence Paganon : Pas de non-lieu, ni de relaxe au bénéfice du doute, encore moins de condamnation avec sursis pour Karim. Wade fils sera inexorablement condamné à une peine ferme. La plus lourde possible ?

    Karim me l’avait dit au cours d’un diner privé à Téhéran, où je m’étais alors rendu pour assister à une conférence internationale : Jamais, il n’avait autant subi de pressions de la part d’autorités étrangères qu’à l’occasion de la gestion de ces deux dossiers.

    Mais il a eu le culot, lui le «nègre» métissé, de tenir bon. Pire, il aura l’outrecuidance d’avancer des arguments imparables pour justifier la position du gouvernement sénégalais sur ces deux dossiers qui tenaient tellement à cœur à «nos ancêtres les Gaulois» qu’ils en avaient fait une affaire d’Etat.

    Karim m’avait dit, à propos de la création d’une deuxième cimenterie du Sénégal, qu’elle avait suscité l’hostilité des Français et même d’une partie de la communauté européenne à son égard, parce qu’ils estimaient cette initiative impertinente. Et face à leurs fortes pressions, il leur avait fait savoir que l’Etat du Sénégal n’avait pas investi un sou dans cette cimenterie.

    Avant de leur rappeler que cet investissement était le fait d’entreprises privées et que celles-ci avaient bénéficié, au préalable, de l’accompagnement de banques européennes après étude du marché. Que ce qui intéresse l’Etat, c’est que cela crée de la plus-value, par la création d’emplois et l’augmentation des recettes fiscales.

    Karim m’avait également conté les pressions subies et les misères à lui faites avant et après l’octroi à Dubaï Port World du terminal à conteneurs du Port autonome de Dakar jusqu’ici la chasse gardée du Français Bolloré.

    Il aura beau expliquer à ses détracteurs qu’il s’agissait d’un appel d’offres transparent et que M. Bolloré qui était le candidat des Français et de certains Européens, était loin derrière, ce sera en pure perte. Pire, cela leur restera en travers de la gorge. Paris ne l’a jamais pardonné au président Wade et, par ricochet, à son rejeton, ainsi que le laisse voir la sortie scandaleuse de son ambassadeur à Dakar.

    Karim ne me l’a dit parce qu’il ne pouvait pas le savoir : cinq ans après ses confessions faites à Téhéran où il était parti diversifier la coopération du Sénégal avec l’étranger sur les instructions du président de la République d’alors, son pays est devenu plus qu’une chasse gardée de la France.

    Au point que les autorités françaises s’octroient maintenant le droit d’indiquer à ses juges du siège qui doit être condamné ou bénéficié d’un non lieu. N’est-ce pas son ambassadeur Jean Félix Paganon qui a rendu un verdict implacable : «C’est un non-lieu qui serait étonnant pour Karim» ?

    En donnant ainsi par anticipation un verdict attendu le 23 mars prochain, il emprunte les pas de ses prédécesseurs, Roisin, Parant ou encore Ruffin, qui se sont succédé depuis la première alternance en 2000, et qui ont tous montré leur hostilité à Abdoulaye Wade, considéré comme un nationaliste qui s’est battu pour que le Sénégal ne soit plus la chasse gardée de la France, en mettant notamment en avant les intérêts de son pays et en diversifiant ses partenaires suivant les lois du marché dictées par l’offre et la demande.

    Karim ne m’avait pas dit expressément tout cela. N’empêche qu’en tant qu’observateur, j’avais des réserves par rapport à ses confessions, en me demandant si ce n’était pas là que propos de politicien. Même si je me disais, en mon for intérieur, que si ses propos étaient avérés, cela voudrait dire que nous avons une nouvelle génération moins complexée devant cette race blanche qui se croit supérieure aux autres.

    Et la sortie de l’ambassadeur Paganon m’a fait comprendre que le principal écueil à une coopération plus juste entre l’Afrique et l’Europe renvoie à l’éternel problème de la décolonisation à solutionner avant de penser au développement. Sinon la France va continuer de donner par la main droite ce qu’elle récupèrera par la main gauche. Et ce sont ses intérêts économiques qui continueront de déterminer les lois du marché.

    Si ce n’est pas le port avec Bolloré, Necontrans et d’autres structures, la cimenterie qu’on veut dominer avec la Sococim, l’énergie avec Total, la route avec Eiffage, avec l’armée, la monnaie et la langue, tout est français. Et nous revenons toujours à l’ancien adage selon lequel nos ancêtres sont des Gaulois, si nous n’allons pas jusqu’à théoriser avec Léopold Sédar Senghor, que l’homme de Grimaldi était un négroïde.

    Mais Karim n’ayant pas des dons de divination, ne s’attendait sans doute pas à ce que la France fasse, partout sur ce continent, face à une rude concurrence, la plupart de ses anciennes colonies s’ouvrant de plus en plus à des puissances économiques concurrentes telles que l’Amérique, la Chine, l’Inde et le Brésil. Et le monde arabe n’est pas en reste.

    Mieux, son père de président commence à faire des émules dans son pays, en la personne notamment du maire de Dakar, le très socialiste Khalifa Sall, qui a bénéficié du soutien de l’Usaid et de la Fondation Bill et Melinda Gates pour lancer son emprunt obligataire.

    Il est clair aujourd’hui que le procès de Karim Wade et Cie devant la Crei est politique. C’est celui intenté contre l’ancien président de la République, à travers son fils, par la France en s’appuyant sur Macky Sall qu’elle avait honoré de la légion d’honneur dès les premières prémices de sa séparation avec Wade pour l’accompagner vers le sommet.

    Celui-ci le lui a bien rendu, en revenant sur les accords et contrats contraires aux intérêts de la France. Pour boucler la boucle, la France lui demande un agneau du sacrifice, en la personne du fils de Wade et de certains de ses compagnons.

    Et pour ne laisser de place à aucune surprise au rendu du verdict de la Crei le 23 mars, Paris a, d’ores et déjà, dicté sa loi par la voix autorisée de Son Excellence Paganon : Pas de non-lieu, ni de relaxe au bénéfice du doute, encore moins de condamnation avec sursis pour Karim. Wade fils sera inexorablement condamné à une peine ferme. La plus lourde possible ?
    Auteur

    Jamil

    En Novembre, 2015 (15:11 PM)
    Karim connaît tout Wade ....
    {comment_ads}
    Auteur

    Jamil

    En Novembre, 2015 (15:11 PM)
    Karim connaît tout Wade ....
    {comment_ads}
    Auteur

    Jamil

    En Novembre, 2015 (15:11 PM)
    Karim connaît tout Wade ....
    {comment_ads}
    Auteur

    Jamil

    En Novembre, 2015 (15:11 PM)
    Karim connaît tout Wade ....
    Auteur

    Jamil

    En Novembre, 2015 (15:11 PM)
    Karim connaît tout Wade ....
    {comment_ads}
    Auteur

    Jamil

    En Novembre, 2015 (15:11 PM)
    Karim connaît tout Wade ....
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (19:33 PM)
    {comment_ads}
    Auteur

    Type

    En Novembre, 2015 (22:11 PM)
    Vu
    Auteur

    Anonyme

    En Novembre, 2015 (09:21 AM)
    l'objectif visé par macky est attein reformer la CREI aprè avoir condamné K KARIM WADE Dieu est juste et la vérité jaillera ubn jour ine cha alah
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2015 (21:06 PM)
    {comment_ads}

Participer à la Discussion

  • Nous vous prions d'etre courtois.
  • N'envoyez pas de message ayant un ton agressif ou insultant.
  • N'envoyez pas de message inutile.
  • Pas de messages répétitifs, ou de hors sujéts.
  • Attaques personnelles. Vous pouvez critiquer une idée, mais pas d'attaques personnelles SVP. Ceci inclut tout message à contenu diffamatoire, vulgaire, violent, ne respectant pas la vie privée, sexuel ou en violation avec la loi. Ces messages seront supprimés.
  • Pas de publicité. Ce forum n'est pas un espace publicitaire gratuit.
  • Pas de majuscules. Tout message inscrit entièrement en majuscule sera supprimé.
Auteur: Commentaire : Poster mon commentaire

Repondre á un commentaire...

Auteur Commentaire : Poster ma reponse

ON EN PARLE

Banner 01

Seneweb Radio

  • RFM Radio
    Ecoutez le meilleur de la radio
  • SUD FM
    Ecoutez le meilleur de la radio
  • Zik-FM
    Ecoutez le meilleur de la radio

Newsletter Subscribe

Get the Latest Posts & Articles in Your Email