Le coordonnateur du comité d’initiatives des intellectuels du Sénégal (CIIS) ne décourage pas de voir la deuxième alternance redressée. Ancien membre de la coalition Macky2012, aujourd’hui parmi les figures marquantes de la coalition de l’opposition regroupée autour de Mankoo Wattu Sénégaal, Malick Ndiaye ne se retrouve ni dans l’opposition encore moins dans le pouvoir. Il l’a fait savoirs dans un entretien au quotidien EnQuête de ce samedi 5 novembre 2016.
«Mankoo Wattu Sénégaal, explique-t-il, est fondée sur trois points qui ne sont absolument pas une plateforme d’opposition mais les éléments constitutifs d’un front contre les dérives. Il s’agit d’abord des libertés : la défense de Sonko, Nafi Ngom Keita, Cheikhna Keita, Amsatou Sidibé, etc.», liste le professeur à l’université, qui se dit également favorable à «un fichier électoral consensuel comme en 1992 pour la paix dans notre pays, pour échapper aux démons qui ont eu lieu en côte d’ivoire, au Liberia et ailleurs».
Un point non moins important, souligne l’intellectuel: «la récupération des ressources notamment pétrolières, minières et gazières. Ces points ne constituent pas une opposition», tient-il à préciser. Car, à l’en croire, «Il n’y a pas d’opposition à l’heure actuelle au niveau du Sénégal. Il y a un front contre les dérives. Parce qu’un front de l’opposition devrait selon lui, avoir un programme alternatif qui n’existe pas. Wattu Sénégaal ne possède pas à ce jour un programme de gouvernement ni un programme de relations extérieures, encore moins un programme d’industrialisation, d’agriculture ou autres. Sous cet angle, elle ne dessine pas les contours d’une opposition. C’est un front ponctuel contre les dérives et à ce titre, elle souhaite le redressement du Sénégal avec ces trois points
10 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2016 (14:59 PM)Deug
En Novembre, 2016 (15:07 PM)Anonyme
En Novembre, 2016 (15:17 PM)Latsabetcha
En Novembre, 2016 (20:11 PM)Malickunsas
En Novembre, 2016 (20:24 PM)Anonyme
En Novembre, 2016 (21:52 PM)Macky Sall Emergent
En Novembre, 2016 (22:33 PM)Il faut savoir que les pays n'ont ni amis ni ennemis mais que des intérêts ok et si le Roi du Maroc vient au Sénégal c'est pas pour venir juste manger notre Bon Thiebou Dieune légendaire, il vient pour son business pour le business de son royaume qui se développe a pas de géant et qui aujourd'hui se rapproche du niveau de développement du Portugal,de la Grèce ou de la Turquie. Donc nos relations bilatérales économiques doivent être gagnantes gagnantes et le Sénégal doit aussi promouvoir nos hommes d'affaires (cheikh Amar, Serigne Mboup CCBM , Baba Diaw ITOC, Bara Tall, Yerim Sow Ngom SEDIMA, Ameth Amar de la NMA. ......)
Le Sénégal ne peut se développer qu'avec un secteur prive sénégalais fort , arrêtons de rêver les marocains viennent ici et en Afrique Noir ( Cote Ivoire , Guinee, Rwanda, Tanzanie) pour leur propre intérêt comme les colons Européens l'ont fait et continuent de le faire et la Chine aujourd'hui OK
Et au nom de quoi l'Université Cheikh Anta Diop refuse la faculté de Médecine a un Sénégalais et accorde la quasi totalité des places a des étudiants marocains qui après une formation au frais des contribuables Sénégalais retournent exercer dans leur pays . Je peut comprendre que 25% ou moins des places soit accordées a des étudiants maghrébins mais tel n'est pas le cas il faut aller voir dans les classe de spécialisation en médecine ( cardiologie, Chirurgie, ophtalmologie , dermatologie ..) les Sénégalais sont minoritaires et de sources sures les nouveaux étudiants marocains grâce a la corruptions au seins de la faculté de médecine arrivent a y être orientes comme si le Sénégal n'etait pas en manque de médecins c'est vraiment absurde
Donc xénophobie a part il faut une préférence nationale comme ca se fait partout dans le monde et arrêter d'être stupide seul des Sénégal vont développer le Sénégal
Comme disait l'autre c'est bien d'être bon une fois mais si on est bien deux fois on devient
Bon+Bon = Bonbon et onc on se fait manger
Vive le Sénégal
Ds
En Novembre, 2016 (23:01 PM)Anonyme
En Novembre, 2016 (23:41 PM)Le programme premier de l'opposition est de faire face aux dérives de l'actuel régime, ensuite lui faire des propositions.. Cela, du jour au lendemain, l'opposition le fait. Il n y a même pas quelques mois, Idrissa Seck a conseillé de mettre sur place un conseil stratégique de la gestion des ressources du pays... L'actuel régime l'a suivi non?
Mais qu'est - ce que ce gignol veut encore? Que l'opposition passe tout son temps à dire je vais faire ceci, je vais cela alors que l'heure est à la recherche de financement des partis pour faire fac e à un régime qui se sert des ressources publiques pour s'autofinancer..
Anonyme
En Novembre, 2016 (00:47 AM)Participer à la Discussion