Le ministre de l'Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye, a sorti l'arrêté fixant montant de la caution pour l'élection présidentielle du 24 février 2019.
Celui-ci est fixé à 30 millions de francs Cfa. Une somme que les candidats devront verser à la Caisse de dépôts et de consignations (Cdc).
De 65 millions en 2012, la caution pour la présidentielle a donc connu une réduction de 53,84%.
26 Commentaires
Front National Sénégal Sunugal
En Août, 2018 (14:27 PM)OUI 30 MILLIONS POUR DEVENIR PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DU SENEGAL C BON
OUI 30 MILLIONS POUR DEVENIR PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DU SENEGAL C BON
OUI 30 MILLIONS POUR DEVENIR PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DU SENEGAL C BON
Anonyme Ousmane Sane
En Août, 2018 (15:05 PM)Mareme Faye
En Août, 2018 (15:11 PM)Adama Ndoye
En Août, 2018 (15:19 PM)Anonyme
En Août, 2018 (15:23 PM)AuthorWalf NET Posted onPosted on27 août 2018 0
Pierre après pierre, un consultant bancaire démolit les projets de Macky Sall qui s’est lancé dans la construction d’infrastructures d’envergure pour se bâtir un bilan en 2019. Mais pour le consultant bancaire Mohamed Dia, qui s’est fendu d’une tribune dans le journal français Le Monde, ces projets constituent un gouffre financier dans la mesure où les ressources mobilisées sont mal allouées avec des investissements improductifs et qui pourraient freiner la croissance économique du pays. Et, prévient l’expert, cela va engendrer une situation désastreuse, irréversible.
«Le plan d’infrastructures de Macky Sall envoie le Sénégal droit dans le mur». C’est l’alerte lancé par le consultant bancaire Mohamed Dia, dans une tribune au quotidien français Le Monde. Pour ce dernier, le pays a davantage besoin d’écoles et d’hôpitaux que d’une arène de lutte, d’une autoroute ou d’un stade flambant neuf. «Nous sautons beaucoup d’étapes en nous dotant d’infrastructures de nouvelle génération, car elles ne reflètent pas l’état réel de notre économie. Nous faisons face à des problèmes d’autosuffisance alimentaire, d’éducation, d’accès à l’eau potable et aux soins médicaux. Dans ce contexte, le Sénégal doit-il se vanter d’une nouvelle autoroute, d’un Train express régional (Ter), d’un nouveau complexe sportif et d’une arène nationale flambant neuve ?», s’interroge le consultant bancaire. Qui assimile l’autoroute Ila Touba à un projet «quasi inutile». Longue d’une centaine de kilomètres, dit-il, cette infrastructure est en train d’être réalisée à l’aide d’un prêt concessionnel d’un montant de 416 milliards de francs Cfa. Et selon lui, un prêt concessionnel présente beaucoup d’avantages, tels qu’un taux d’intérêt faible (le nôtre est fixé à 2 % sur vingt-cinq ans) et une possibilité d’exonération temporaire des remboursements. Mais, indique le consultant bancaire, tant qu’il n’y a pas de développement harmonieux sur l’étendue du territoire, ce genre de route est presque inutile. «Cette autoroute sera dotée de postes de péage à Thiès, Khombole, Bambey, Diourbel et Touba. Quel sera le tarif ? Le Sénégalais lambda sera-t-il en mesure de l’emprunter si ce n’est pour la célébration du Magal de Touba [fête religieuse mouride] ? Sa construction a-t-elle des fins électoralistes, car le président peine à avoir de bons résultats à Touba ? L’étude de rentabilité a-t-elle été faite de manière correcte et concrète pour en connaître le retour sur investissement ?», s’interroge-t-il. Non sans signaler qu’avec cette manne de 416 milliards, le Sénégal aurait pu se payer des dizaines d’établissements similaires au centre hospitalier national de Pikine, qui a coûté un peu plus de 7 milliards de francs, à travers le pays afin que chacun ait accès à des soins médicaux de qualité. Mieux, fait-il remarquer, on aurait également pu moderniser les hôpitaux déjà existants et équiper les hôpitaux départementaux pour limiter les évacuations vers Dakar.
Dépenses somptuaires
Alors que le Sénégal compte actuellement 6 369 salles de classe dites abris «provisoires», le consultant s’indigne de voir l’Etat mettre pas moins de 32 milliards de francs Cfa dans la construction de l’arène nationale pour des combats de lutte. «Entre le centre international de conférence Abdou-Diouf et le complexe sportif Dakar Arena, plus ou moins 126 milliards de francs Cfa ont été dépensés. Sans oublier la promesse de la construction d’un stade olympique de 50 mille places en 2020. Ces dépenses somptuaires étaient-elles des priorités alors que sont négligés les investissements qui forment le socle de l’émergence ? A titre d’exemple, une usine de dessalement de l’eau de mer coûte 135 milliards de francs et aurait réglé le problème de l’eau une bonne fois pour toute», souligne Mohamed Dia. Non sans rappeler que même la Banque mondiale a averti de la non-rentabilité du Train express régional (Ter) qui reliera Dakar à l’aéroport international Blaise-Diagne sur une distance de 57 km. Des critiques qui ont valu, à l’époque, à la Représentante résidente de l’institution financière internationale, Louise Cord, une grosse colère du Premier ministre en pleine campagne électorale pour les Législatives et qui ont failli lui coûté une expulsion du pays. «Le gouvernement s’est entêté pour la mise en œuvre d’un coût de 750 milliards de francs Cfa dans l’un des 25 pays les plus pauvres du monde, classé 162e sur 188 selon l’indice de développement humain. Un pays qui compte 0,07 médecin pour 1 000 habitants, qui affiche un taux de pauvreté de 47 % et dont la dette publique représente 60 % du Pib…», relève M. Dia. Et pour ce dernier, avec un tel manque de sens des priorités, le pays court à la faillite. Parce que, dit-il, mélangeant croissance économique et développement. «A ce rythme, le Sénégal court à la faillite. En 2017 déjà, nous avons eu des difficultés à payer le service de notre dette. Si nous n’arrivons plus à le payer intégralement, les taux d’intérêt augmenteront. S’ils augmentent, nous serons encore moins capables d’assurer nos remboursements. Nous ne bénéficierons plus de prêts… En revanche, les impôts augmenteront, ainsi que le prix des denrées de première nécessité. Les subventions publiques s’arrêteront, les effectifs de la Fonction publique seront revus à la baisse. La dernière fois que la France a fait défaut sur le service de sa dette, cela lui a pris cinquante ans avant qu’elle ne puisse emprunter de nouveau», avertit le consultant bancaire, ajoutant que le Pse n’est pas réaliste et est égoïste parce que conçu pour fournir à court terme un bilan au chef de l’Etat, dans la perspective de l’élection présidentielle de 2019 où ces réalisations vont se tirer la bourre avec les nombreux scandales qui ont ponctué ses cinq années de règne. Pardon, sept ans de magistère.
Seyni DIOP
Fara Ndiaye
En Août, 2018 (15:24 PM)Anonyme
En Août, 2018 (15:32 PM)Bathie Samb
En Août, 2018 (15:33 PM)Talla
En Août, 2018 (15:36 PM)Ngor Sene
En Août, 2018 (15:39 PM)BOUGANE vise plus loin que ces gens là tout ile monde peut se postuler candidat mais jamais tout le monde ne servira le Sénégal. GEUM SA BOPP rekk for ever.
Ramatoulaye
En Août, 2018 (15:42 PM)Khalil Ndiaye
En Août, 2018 (15:43 PM)Mbaye Lo
En Août, 2018 (15:44 PM)Maty
En Août, 2018 (15:52 PM)Pape Thiam
En Août, 2018 (16:19 PM)Fama
En Août, 2018 (16:26 PM)Anonyme
En Août, 2018 (16:29 PM)Soda Diop
En Août, 2018 (16:31 PM)Anonyme
En Août, 2018 (16:31 PM)Anonyme
En Août, 2018 (16:38 PM)Posez la grille ethnique et vous lirez Maky facilement.
60 milliards à Maky pour une carte par personne qui ne viendra jamais. . 60 milliards investis sur des cartes pour voler les élections.Wade, avec 15 milliards, a produit 2 cartes par personnes dans le temps et dans l’espace. Maky qui avait promis 3191 milliards de FCFA avec les conseils délocalisés et 500 mille emplois aux jeunes, est volontairement incapable de nous livrer sans discrimination régionalo-ethnique des cartes d’électeur.
Le processus électoral est miné de A à Z comme dans le maquis. Comble de népotisme, de clanisme et de combinazione, c’est Aliou SAll DG de la caisse des dépôts et de consignations, frère de Maky, qui reçoit la caution des adversaires de Maky ! Pour la petite histoire Maky a taillé sur mesure le poste pour son frère de sang à la veille de sa nomination, en arrachant à l’ARMP, un droit de regard sur ce qui se passe à la CDC. Maky manipule la Constitution pour empêcher à Wade de se présenter à une élection présidentielle, avec un âge max pour les candidats. Maky invente le parrainage citoyen universel, avec 53.457 signatures au minimum, pour éliminer des adversaires qu’il n’ose pas affronter démocratiquement. Macky parraine des candidats fantoches aux différentes élections. Maky choisit et élimine les candidats de son choix à toutes les élections en manipulant la mackystrature ; demandez à Karim et Khalifa. Le parrainage permet à Maky de faire le tri de ses adversaires qui réussiront à passer après le tamis de la justice. Maky choisit les électeurs en sabotant l’inscription, la fabrication des cartes, leur distribution, la fabrication des bulletins, leur acheminement, l’organisation du vote, la proclamation des résultats. Seuls Maky et les 40 voleurs du suffrages du peuple détiennent le fichier électoral. Lors des législatives de juillet 2017, Maky a délibérément saboté les élections à Dakar, Touba, en milieu wolof, mouride et dans les zones non favorables. Aucun problème dans les régions toucouleur ou de sa belle-famille du Sine. Des mauritaniens de son ethnie franchissent le fleuve pour s’inscrire en masse sur les listes électorales. Farba ngom dit que le Fouta est le titre foncier de Macky. Maky avait 5 ans pour préparer les législatives de 2017. Il organise la fraude industrielle en confisquant la voix du peuple comme avec son wakh wakhééte sur un mandat de 5 ans. Les 6.210.000 électeurs votent ou pas comme Maky le veut. Les 90.000 électeurs de 200 bureaux de vote à Touba n’ont pas voté parce que Maky n’en voulait pas. Le vote a démarré à 18 heures à Touba, telle fut la volonté de Maky.1.021.502 électeurs n’ont pas vu la couleur de leur carte. 1 million 500 sénégalais, des sans-papiers, n’ont pas voté par sabotage organisé car Macky qui avait voté par force sans pièces à Fatick en 2007 l’a voulu ainsi. Relisez Althusser. Maky a confié l’appareil répressif de l’Etat à Abdoulaye Daouda Diallo, l’appareil idéologique confié à Yaya Abdoul Kane ministre des télécoms, chargé en plus du centre national d’Etat civil qui manipule les données démographiques avec fichage de tous les sénégalais dès la naissance, Chérif Diallo Directeur des TIC, Elhadji Ndiaye 2S TV PCA de la société sénégalaise de télédiffusion, Racine Talla à la RTS, ARTP avec le DG Abdou Karim Sall et le PCA Abou Abel Thiam, l’opérateur de téléphone Hayo couvrant le Fouta, Tigo à Yérim sow qui avait mis l’hôtel Radisson à la disposition de Maky pendant la présidentielle de 2012, comme Alassane Ouattara avec l’hôtel Ivoire d’Abidjan, pour lui servir d’Etat-major de guerre au cas où Wade refuserait de céder le pouvoir. La RTS, Youssou Ndour le ministre bodio bodio, en conflit d’intérêt avec son Groupe Falaat Maky, 2 S TV, le Quotidien, Libération, etc., font le reste du travail de propagande digne de la radio des mille collines du Rwanda. L’appareil économique étatique est sous la botte de son ethnie. Tout le Ministère de l’Economie dirigé par Amadou BA, est au service de son ethnie. Pour acheter les consciences, Maky invente soudainement en vue de la présidentielle de 2019, la délégation à l’entreprenariat rapide(DER) avec un budget officiel de 30 milliards de FCFA par an. La corruption de masse est en marche, arrachant ainsi toute dignité à l’électeur. L’OFNAC est une grosse arnaque, et ce n’est pas l’IGE Nafi Ngom Keita qui avait osé convoquer Aliou Sall le frère de Maky qui dira le contraire.
Case Rebeuss, il n’y a que les wolofs qui y séjournent dont les candidats sérieux que sont Karim Wade et Khalifa, victimes de méthodes et procès dignes du nazisme et du stalinisme. Mamadou Dia avait même, selon RFI, tenté un coup d’Etat depuis Dakar contre Sekou Touré dans les années soixante pour soutenir ses parents peul fouta de la Guinée. Senghor couplé à Mamadou Dia et Diouf avec son dauphin Tanor, ont initié cette coalition ethnique depuis 1960. Maky la perpétue avec le PM Dione. Cissé Lo avait déjà théorisé la coalition toucouleur et sérére. 517.770 bénéficiaires des bourses familiales politico-ethniques qui ne travaillent pas ont reçu 258.885.000.000 F CFA à raison 100.000 FCFA par ménage et par trimestre de 2013 à 2018. Une milice d’ASP politico-ethnique cooptée sans concours au nez et à la barbe de la police nationale et de la gendarmerie. En plus de la toucoulorisation à outrance de la république par des nominations, Maky veut changer la donne démographique du Sénégal en inscrivant en masse les peuls Fouta de la Guinée sur les listes électorales. Maky veut brûler ce pays où la coexistence des peuples et religions était incontestable. La mackystrature récite une dictée sous contrôle de Maky. Attention Maky est dangereux !
Chers compatriotes, réveillez-vous !
Les sénégalais ont tranquillement vaqué à leurs occupations le lendemain des défaites de Diouf et de Wade, pour le pouvoir, rien que pour le pouvoir, pour tout le pouvoir. Le PSE ce sont les Petrotimbo faye gaz Sall émergents. Maky fait tout pour immerger le Sénégal dans un océan de larmes, de feu, de sang, de cimetières.
Attention danger, l’ethnicisme émerge !
Anonyme
En Août, 2018 (16:50 PM)Anonyme
En Août, 2018 (17:08 PM)Anonyme
En Août, 2018 (17:17 PM)Anonyme
En Août, 2018 (17:18 PM)Anonyme
En Août, 2018 (17:24 PM)Anonyme
En Août, 2018 (06:53 AM)Participer à la Discussion