Après Guédiawaye, la caravane de l'opposition a été ce dimanche à Thiès où elle a été accueillie par le Président du conseil départemental de la localité, par ailleurs Président de Rewmi. Abdoulaye Baldé (Ucs), Mamadou Lamine Diallo (Tekki), Cheikh Tidiane Gadio (Luy Jot Jotna), Malick Gakou (Grand parti), Cheikh Bamba Dièye (Fsd/Bj), Oumar Sarr (Pds), Mamadou Diop “Decroix (Fpdr)... ont pris part à cette caravane.
Pendant plus de 4 tours d'horloge, Idrissa Seck et Cie ont sillonné les quartiers, faisant un crochet dans le quartier Diamagueune, fief d'Abdou Mbow, vice-président à l'Assemblée nationale et Grand Thiès où habitent le ministre Thierno Alassane Sall et le Directeur de la maison de l'outil, Maodo Malick Mbaye...
Idrissa Seck s'est adressé à la population thiessoise et a promis une défaite cuisante à Macky Sall au soir du 20 mars.
Mamadou Diop “Decroix” d'ajouter que “face à ce rendez-vous important de l'histoire, Thiès répondra présent et le 20 mars, Thiès votera Non, Non et Non”. “La région de Thiès est un symbole de la résistance. Elle est porteuse de valeurs républicaines. Refusez la manipulations. Le 20 mars, sortez nombreux pour montrer à Macky Sall que la République s'est pas son égal”, déclare Mamadou Diop “Decroix”, haranguant la foule.
22 Commentaires
Anonyme
En Mars, 2016 (07:33 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (07:36 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (07:46 AM)bouffez votre fric le PeuPle a comPri
Anonyme Pap
En Mars, 2016 (07:54 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (07:54 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (08:00 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (08:14 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (08:21 AM)Mansawali Walimansa Refer 2016
En Mars, 2016 (08:30 AM)Oui c'est vrai que, en pratique politique on va à la guerre comme on va à la guerre
Nous ne jugeons de rien mais nous savons que l'homme propose et Dieu dispose
Anonyme
En Mars, 2016 (08:31 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (08:45 AM)Abhanne
En Mars, 2016 (09:04 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (09:05 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (09:32 AM)Atypico
En Mars, 2016 (09:42 AM)Republicain
En Mars, 2016 (11:13 AM)Ne pas voter oui, c’est maintenir le monopole et le diktat des partis politiques et refuser aux candidats indépendants de se présenter aux élections présidentielle, législatives, sénatoriales et locales, alors qu’ils sont parfois de loin plus crédibles et légitimes que certains politiciens professionnels. N’est-ce pas là une vieille revendication qu’il ne faudrait surtout pas renier ?
Ne pas voter oui, c’est hypothéquer les dividendes que des milliers de Sénégalais auraient pu tirer de la qualité d’une bonne représentativité à toutes les sphères de décision de notre Etat. C’est dire non à des ministres, députés, sénateurs, élus locaux de qualité, qui allient technicité, compétence et légitimité.
Ne pas voter oui, c’est ne pas moderniser les partis politiques et les laisser en l’état, dans une nébuleuse aussi bien organisationnelle que financière avec des financements parfois occultes qui passent du blanchiment d’argent au trafic de drogue.
Ne pas voter oui, c’est refuser le développement des territoires et des collectivités locales et continuer à tout concentrer dans la capitale. Le Sénégal, ce n’est pas Dakar seulement.
Ne pas voter oui, c’est proposer un environnement malsain aux citoyens. C’est leur dire que désormais vos terres peuvent ne plus vous appartenir. C’est leur dire que vous avez peu droit sur le pétrole, le gaz qui viennent d’être découverts et sur d’autres ressources naturelles.
Ne pas voter oui, c’est dire aux Sénégalais que vous n’avez que des droits mais aucun devoir vis-à-vis de votre Etat. Réclamer, encore réclamer, toujours réclamer.
Ne pas voter oui, c’est donner insidieusement et tacitement, aux futurs locataires du Palais, la possibilité de faire plusieurs mandats de 7 ans avec tous les risques d’abus et de dérives quand on sait que le pouvoir rend fou, et le pouvoir absolu rend absolument fou, pour paraphraser Montesquieu dans L’esprit des lois.
Ne pas voter oui, c’est nier les droits de l’opposition et réfuter le statut de chef d’opposition alors que les leaders de celle-ci sont noyés par les innombrables partis politiques qui font dans le divertissement, l’anarchie et la figuration.
Ne pas voter oui, c’est dire aux Sénégalais de l’Extérieur, vous pouvez faire des transferts de capitaux mais ne pouvez nullement prétendre aux instances de décision.
Ne pas voter oui, c’est ne pas aviver l’Assemblée qui nous représente, ne pas préserver nos députés qui bénéficient de la même légitimé populaire que le président de la République, parce qu’élus au suffrage universel. C’est leur dire, restez une majorité mécanique qui exécute des mots d’ordre politiques.
Ne pas voter oui, c’est refuser toute amélioration de notre système judiciaire, au détriment des justiciables. C’est dire que le mode de fonctionnement de la justice est parfait. Donc laissons les choses telles quelles.
Ne pas voter oui, c’est accepter de tripatouiller encore et toujours, notre Dame République. C’est refuser que toutes les Sénégalaises et tous les Sénégalais naissent libres et égaux devant la loi, qu’ils se valent tous, de quelque bord qu’ils soient.
Ne pas voter oui, c’est refuser de stabiliser une bonne fois pour toutes le nombre et la durée du mandat pour tout Président élu. C’est continuer de débattre sur les réformes au lieu de veiller à leur application.
Alors, juste pour deux ans de plus, deux ans légaux et légitimes de surcroit, nous n’allons pas opter pour le nihilisme. Nous allons voter Oui. Oh que Oui.
Demain ou après-demain.
J’aime mon pays, je vote Oui.
Rapathia
En Mars, 2016 (12:45 PM)Anonyme
En Mars, 2016 (14:47 PM)Anonyme Jigal
En Mars, 2016 (15:29 PM)Anonyme
En Mars, 2016 (16:32 PM)Frtyu
En Mars, 2016 (19:04 PM)Fassoise
En Mars, 2016 (01:15 AM)Participer à la Discussion