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Politique

Révélation : Les deux personnalités qui ont soutenu la famille de Idrissa Seck en exil en France...

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Révélation : Les deux personnalités qui ont soutenu la famille de Idrissa Seck en exil en France...

Le maire de Thiès dans son entretien aux confrères de Gfm ce lundi 25 mars 2013 s’est livré à des révélations au sujet des personnes qui ont soutenu sa famille en exil en France. Alors engagé dans un bras de fer avec l’ancien chef de l’Etat Abdoulaye Wade, l’ex-Premier ministre a tenu à remercier deux personnes qui, à l’époque, lui ont manifesté leur soutien, en s’occupant de sa famille en exil en France.

Dénonçant ce qu’il a qualifié de « propagande monstrueuse » contre sa personne, suivi d’ « agression physique », Idrissa Seck de prendre l’opinion à témoin : « ils m’ont sali, ils ont raconté n’importe quoi (…) Vous étiez là quand ils ont envoyé des nervis attaquer mon domicile et contraindre mes enfants à l’exil. J’ai encore le souvenir frais de ma fille qui n’avait même pas cinq ans, six ans, qui est venue s’enlacer contre moi en me disant, qu’est-ce qui se passe, papa. J’en ai encore le souvenir et je rends grâce à des amis, des grand-frères à moi, qui ont veillé à ce que cette famille-là ne manque de rien, jusqu’aux cadeaux de Noël, jusqu’aux paquets», révèlera l’ancien Premier ministre, gagné ensuite par l’émotion. 

Selon des informations obtenues par nos soins, il s’agit Baba Diaw, le magnat du pétrole et patron de Itoc (International Trading Oil and Commodities ), et de Diagna Ndiaye, le président du Cnoss, le Comité national olympique et sportif sénégalais. Deux personnalités dont Idrissa Seck a magnifié le soutien, sans les citer.

Toutefois, au sujet de Macky Sall devenu président de la République, Idrissa Seck de jeter un coup d’œil dans le rétroviseur : « celui qui est allé à la télévision (Macky Sall : ndlr) dire que le Rewmi n’existera pas, c’est lui-même qui est devenu président de la République et qui m’a donné le récépissé », s’est consolé l’ancien Premier ministre.



60 Commentaires

  1. Auteur

    Jo

    En Mars, 2013 (16:46 PM)
    Ndeyssane. Malgré tout ce tapage les sénégalais n'auront jamais confiance. C'est dommage.
  2. Auteur

    Lo Thi Meune ? Toussssssss

    En Mars, 2013 (16:47 PM)
    doul day dokhote
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    Auteur

    Yoyo

    En Mars, 2013 (16:47 PM)
    c'est quoi ce genre d'information????? Seneweb vous etes serieux???
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    Auteur

    Kouka

    En Mars, 2013 (16:47 PM)
    Bilahi Idrissa ya goréé. Mognal rekk légui sa ayy diott
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    Auteur

    Nino

    En Mars, 2013 (16:48 PM)
    thiey diouma no sante : seck

    ak khaliss bi gua goby yeup trompeur
    Auteur

    Souleymane Jules Diop

    En Mars, 2013 (16:48 PM)
    Lettre ouverte





    Pendant ces dernières années, ces derniers mois, ces dernières semaines et ces derniers jours, notamment lors des événements des 23 et 27 juin 2011, nous avons tout vu, tout lu et tout entendu. L’heure est venue pour moi de m’exprimer. Le temps est venu de délivrer, du fond du cœur, un message de vérité, de fraternité et de sincérité.



    Je me dois d’autant plus de le faire que tout un chacun sait que je suis la cible d’attaques profondément injustes.



    Depuis mon entrée dans l’espace public en qualité de Conseiller Spécial du Président de la République, puis de Président du Conseil de Surveillance de l’Agence nationale de l’Organisation de la Conférence Islamique (ANOCI) et actuellement comme Ministre d’Etat, Ministre de la Coopération internationale, des Transports aériens, des Infrastructures et de l’Energie, malgré tous les efforts que je continue de déployer pour le développement économique et social du Sénégal, des passions se déchaînent, des haines se ravivent. Pourtant rien ne m’a été donné. Avec mes collaborateurs et fort de l’expertise nationale et internationale, nous sommes toujours partis de rien, pour aboutir à ce que l’on voit.



    Jamais dans l'histoire du Sénégal, un homme public n’a reçu, autant de coups, de propos diffamatoires et outrageants. Systématiquement, je suis l'objet de graves accusations, de profondes détestations, d’attaques hallucinantes de la part de ceux qui nous connaissent à peine ou pas du tout.



    Impitoyablement, je suis sanctionné sans être entendu, jugé dans des procès sans défense, « condamné » sans recours possible. De ma présomption d’innocence, on s’en passe automatiquement. On me prête beaucoup trop ! Qu’on perde un marché public, une position, une faveur, un privilège, un titre, une fonction, aussitôt l’on me rend responsable. Qu’un ministre soit limogé, il prétend que son départ est la conséquence immédiate de son refus d'un prétendu projet de « dévolution monarchique du pouvoir ». Lorsqu’il pleut un peu trop à Dakar, je suis indexé ; lorsque le vent emporte le toit d'une maison à Pikine, je suis pointé du doigt ; lorsqu’un train déraille à Thiès, j'y suis pour quelque chose ; lorsqu’un accident survient sur la route, je suis vilipendé.



    Conformément à nos valeurs sénégalaises, je leur accorde mon pardon.



    Tout comme le Chef de l’Etat, je combats toute idée de dévolution monarchique du pouvoir.



    Fort heureusement, nombreux sont nos compatriotes qui refusent de se laisser entraîner dans la campagne sur le supposé projet de dévolution du pouvoir de « père en fils » qui constitue aujourd'hui la panacée pour tout expliquer et tout comprendre.



    Si cette idée a continué de prospérer au point de susciter des rancœurs et parfois même de la haine envers le modeste passant sur terre que je suis, c'est parce qu'elle est savamment entretenue par une partie des acteurs politiques aidée en cela par certains journalistes, - véritables machines de guerre contre ma petite personne. Cette confusion doit finir ! Cette intoxication doit s’arrêter ! Cette injustice doit cesser.



    Je le répète et le répéterai aussi longtemps que cela est nécessaire : c’est une insulte faite aux Sénégalais que de parler d’un projet de dévolution monarchique. Un tel projet n’a été, n’est et ne sera jamais dans les intentions du Président de la République ni dans les miennes. C’est universellement connu, le Sénégal connaît une longue tradition républicaine et démocratique. La souveraineté appartient au peuple qui, au terme d’élections libres, démocratiques et transparentes, confie le pouvoir à celui en qui il a confiance.



    Comme vous le savez, le Président de la République Me Abdoulaye Wade est habité par la passion du Sénégal et ne respire que pour l'Afrique et plus généralement pour la paix. Plus d’un quart de siècle de combat pour l’approfondissement de la démocratie et pour la conquête des droits individuels et collectifs. Plus d’un quart de siècle de lutte pour la liberté d’expression et pour la transparence des élections.



    Comme tout être humain, je demande à être entendu, jugé sur des actes vérifiés et donc probants et non sur des rumeurs sans fondement.



    Les Sénégalais exigent tout naturellement des réalisations palpables et concrètes, source d'espoir et de confiance en l'avenir. En ce qui me concerne, dans la quotidienneté des missions gratifiantes mais ô combien difficiles, je m'attèle, en permanence, à servir le Sénégal en accompagnant mes sœurs et frères vers une meilleure qualité de vie.



    J'ai choisi la difficulté, en refusant le scénario de la facilité. J'ai accepté les missions qui m'ont été confiées jusque-là, pour avoir l’opportunité de mieux servir mon pays.



    Le travail nous occupe nuit et jour et nous sommes conscients qu'il reste beaucoup à réaliser encore, pour la création des emplois, la réduction du coût de la vie, l’éradication de la pauvreté, l'accès aux logements sociaux, la construction d'infrastructures, un meilleur environnement pour la compétitivité de nos entreprises pour l’émergence définitive du Sénégal du futur. A côté des millions de Sénégalais, nous participons quotidiennement à relever le défi.



    Je vis pleinement, tout comme l’ensemble des responsables de ce pays, la double préoccupation majeure de la solution définitive au récurrent problème de la fourniture régulière et suffisante de l’électricité dans les ménages et les entreprises ainsi que l'amélioration quantitative et qualitative du panier de la ménagère.



    Lors des événements passés, il n’y a certes pas eu mort d’homme, mais il faut sincèrement déplorer, vivement regretter et fermement sanctionner les scènes de pillages, les actes de banditisme et de profanation des lieux de culte. Nous avons le droit de manifester ; mais nous n’avons pas le droit de saccager les biens d’autrui encore moins de piller.



    Nous avons la profonde conviction que la démocratie sénégalaise en sortira toujours grandie et renforcée. Désormais, il y a un avant et un après 23 juin. Ce message ne peut être ignoré ni par le pouvoir, ni par l’opposition. Notre formation politique, le PDS, et nos alliés ne peuvent faire autre chose que de consolider les acquis démocratiques de Léopold Sédar Senghor, d’Abdou Diouf et de Me Abdoulaye Wade.



    N’en déplaisent aux magiciens de la désinformation, aux adeptes de la propagande politique, aux manipulateurs de l’opinion publique nationale et internationale, nous disons avec force et conviction que le sentiment démocratique est très fort ici. Chez nous, il n’y a qu’un seul et unique chemin pour accéder au pouvoir : celui des urnes. Au Sénégal, en France, en Angleterre, aux Etats-Unis et dans toutes les démocraties, le pouvoir ne s’hérite pas, il se conquiert par la voix des urnes.



    En conclusion, il nous faut renouveler notre ambition pour le Sénégal, en compagnie de citoyens simples et droits, courageux et travailleurs, issus des centres urbains, de la banlieue et des zones rurales et avec tous les millions d’hommes, de jeunes et de femmes qui nourrissent autant d’amour et de passion pour notre cher Sénégal.





    Fait à Dakar, le 03 juillet 2011



    Karim Wade
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    Auteur

    Kali

    En Mars, 2013 (16:54 PM)
    oh jules diop vraiment t'es insuportable motakh gayii sonal la

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    Elparigo

    En Mars, 2013 (16:55 PM)
    Concert de Pape Diouf au Zenith de Paris

    Les plus

    - +Salle archicomble

    - +Dj Boubs magistral

    - +Pape Diouf très sobre

    - +Pape Ndiaye THiopet

    - +Titi (Robe de soirée très parisienne)

    Les moins

    - - Le face à face entre les lutteurs

    - -Les danseurs

    - - La sécurité

    - - Mbaye Dieye Faye

    - -Amina Pote

    - -Le prix des billets

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    Sokoorrr Bakhul

    En Mars, 2013 (16:56 PM)
    gars yii nakk da ngenn sokhor bouleen ko votel ok mais vous savez tres bien qu il à etait tres sincere et clair sur c propos rien à dire.SOKHOORRR REK MO NIOU TARDELL
    Auteur

    From Zion

    En Mars, 2013 (16:59 PM)
    il n a ka se presenter au elections locales on verra bien! ki dofoul dé il fait le fou!
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    Idirisssssa

    En Mars, 2013 (17:00 PM)
    THIEY SAWAJI T'ES LE VRAI PRESI .DOMMAGE QU'ON AIT SALI TA PERSONNE.MAIS SOIS FORT DIEU EST AVEC LES PATIENTS..... :sn: 
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    La Rupture

    En Mars, 2013 (17:01 PM)
    PAR DEVOIR DE VERITE

    La vérité appartient à celui qui ose la dire. En réponse aux REWMISTES et pour éclairer les sénégalais sur les raisons qui poussent Mr IDRISSA SECK à poser certains actes allant dans le sens de divertir la galerie. Pourquoi IDY est-il pressé ? Pourquoi pose-t-il ses actes ?



    Nous tenons à rappeler qu’IDY, qui a rencontré son père spirituel de Wade au moment où ses frères de parti déposaient sa candidature et qui l’a maintenu comme ils le disent en 2007, avait bien dit, nous le citons : « J’espère que dans le courant de ma vie personne n’aura l’occasion de me voir être candidat contre Me wade à une élection présidentielle. Je l’ai dit et redis et Abdoulaye Wade étant candidat aux élections de 2007, IDY n’y sera pas ; s’il l’est en 2012, Idy n’y serait pas (…).Je me suis engagé à ne jamais compétir (un verbe qui n’existe pas en français d’ailleurs) à une élection contre WADE ». En ce moment l’histoire politique du Sénégal à basculer en faveur de Wade et c’est ce qui a valu à IDY ses 17%. IL était bien parti pour les gagner mais son attitude de caméléon lui a causé du tort. Cette attitude s’est répétée en 2010 avec son entrée au CD du pds pour dit-il attaquer la candidature de Wade .Ces démarches politiciennes nous poussent à croire que IDY est un homme d’intérêt qui ne pense qu’à lui seul. C’est un homme suffisant et régionaliste et un traitre de première classe qui cultive le mensonge pour berner les sénégalais. Son comportement ne nous surprend guère, nous vous rappelons qu’en 2001, alors que le président MOUSTAPHA NIASSE venait de faire 11 mois de primature, IDY avait manœuvré pour casser la dynamique de FAL 2000 ; ce qui est arrivé. Ces lobbyings ne se sont pas arrêtés là, il a continué jusqu’à être PM du Sénégal. Aussi lors de son discours de politique général, il a essayé de donner une leçon non sue aux députés pour dire qu’ au Sénégal les feux sont au rouge et avec lui ils seront au vert., ce qu’ il n’a pas fait. Les sénégalais seront d’accord avec nous pour dire qu’avec l’avènement de MACKY à la primature que tous les chantiers de wade sont sortis de terre ; nous pouvons le constater. Le président Wade l’a dit à FATICK : « DA MA DONE DIENDE KHALE ME BOUMA DIEU RE BAKHOULE ME BALMA TANNE BI (il a levé la main de MACKY) CI LA KHAMNI BI MO BAKHE ». Sénégalais, je vous confie MACKY pour gérer le pays. Donc nous pouvons dire et certifier que MACKY n’est pas l’égal de IDY car l’ayant battu à deux reprises en 2007 en tant que directeur de campagne et en 2012 en tant que candidat. Ces démarches qui lui ont valu le manque de confiance des sénégalais reviennent sur la table avec ses sorties à la je suis présent pour narguer encore une fois le peuple. IDY veut jouer au plus malin, il veut être renvoyé par MACKY dans la coalition pour avoir la sympathie du peuple ; mais son jeu est compris .Ce qui lui pousse à faire ses déclarations. IL(IDY) est dans sa logique, c’est son droit le plus absolu ; de vouloir être le futur Président de la République du Sénégal car pour revenir à son fameux discours : « 2022 est l’année où je dois prendre ma retraire politique et les sénégalais n’auront pas la chance de me voir diriger le pays » disait-il. Sa dernière carte c’est les élections de 2017 pour s’éviter du WAKH WAKHETE. Voila les raisons qui poussent IDY à poser ses actes. IL est entrain de jouer ses dernières cartes. Que les sénégalais le prennent pour dit, rien d’autre. Cet homme ne travaillera jamais pour la réussite de MACKY. IL fera de telle sorte que le Président de la République MACKY SALL échoue pour pouvoir accomplir son rêve d’enfant (je suis né pour être Président de la République) en 2017.



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    Auteur

    Xalassatie

    En Mars, 2013 (17:05 PM)
    Il est le tanor duieng des liberaux jamais il ne sera president . pourtant il connait mieux l'etat que ce bounn-fokkie de president
    Auteur

    Daouda

    En Mars, 2013 (17:05 PM)
    je n arrive plus moi aussi a relire ce texte ,tellement c est choquant , merci mr IDY ET TU SAURAs QUE LE PEUPLE SENEGALAIS EST AVEC TOI , je nai jamais voter dans ma vi mais des aujourd hui incha allah vous aurez ma carte et ceux de ma famille.
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    Auteur

    Malaminne

    En Mars, 2013 (17:13 PM)
    Vous aurez beau à l'insulter, injurié, dénigré mais il reste le meilleur parmi les hommes politiques sénégalais.

    Inchallah en 2017 tu as ma carte

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    Virustic

    En Mars, 2013 (17:18 PM)
     :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry: 



    MAIS ET LES FONDS POLITIQUES QU'IL A BOUFFES? :?:  :?:  :?: 



    C'EST LUI-MÊME QUI A LÂCHE LE MORCEAU.





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    Auteur

    Nian

    En Mars, 2013 (17:22 PM)
    "On peut mentir une fois à tout le monde, on peut mentir tout le temps à une personne, mais on ne peut pas mentir tout le monde à tout le temps". Abraham Lincoln!
    Auteur

    Idy

    En Mars, 2013 (17:26 PM)
    Quand on évoque l’histoire, des exemples ne manquent pas pour démontrer cette voie que Mara s’était tracée avant et surtout après l’accession du PDS au pouvoir en 2000. Il n’est jamais tombé dans l’ivresse du pouvoir. Il est resté fidèle à sa posture de départ et encré dans la défense du bien commun. Quand par exemple l’autre lui avait rappelé le code des Grands Bandits qui ne se « manifestent qu’au moment du partage du butin », lui préférait lui rappeler les paroles divines sur le partage du butin qui devrait revenir « aux nécessiteux, aux voyageurs en détresse, aux orphelins, … », bref aux masses défavorisées. « Encore tes versets » lui avait-il lancé, « toujours mes versets » lui avait répondu Idy. Le fossé s’était très tôt creusé et il fallait alors l’anéantir politiquement. Il gênait. La machine à embastiller et à calomnier a alors été lancée, l’argument de l’enrichissement illicite utilisé, des fouilles jusque dans des fosses sceptiques qui n’ont rien pu démontrer, organisées. Des jeux vidéo brandis comme des preuves.



    De ces agressions « physiques, politiques, personnelles et judiciaires », Idrissa Seck n’en est certainement pas sorti indemne. Il a dû résister face à l’offensive. Il a dû s’entourer de toutes les garanties pour se battre dignement. Il a été alors peint comme un homme qui ne s’intéressait pas aux vécus de ses compatriotes, hautin, pressé, inaccessible et intéressé que par la station présidentielle. Que de faux préjugés pour un homme qui très tôt s’est engagé dans la défense des intérêts collectifs et dans l’éclosion des talents individuels. « Les lignes de connexion entre lui et ses compatriotes » ont été ainsi brisées par cette tentative d’isolement réussie en partie. Mais « Allah a rendu vaines leurs manœuvres. Allah a rendu vaines leurs ruses » et la vérité, loin des fausses certitudes, s’entrevoit de jour en jour.



    Pour cause, cet homme politique décrit comme une personne qui se suffit à lui-même, n’a jamais varié dans ses positions. Il s’est battu pendant plus de trente années à côté d’un homme et pour des valeurs. Et quand son ancienne formation politique a commencé à dévier de son idéal de changement, il n’a pas hésité à se lever et à leur dire la vérité. Il n’a pas hésité à se démarquer même au risque d’anéantir ses ambitions politiques et de se mettre à dos un puissant système. Il a toujours choisi d’être loyal d’abord vis-à-vis de lui-même, et ensuite par rapport aux valeurs qu’on lui a inculquées depuis son enfance. Pour lui « la loyauté n’est pas synonyme de génuflexion ». La vérité est toujours à dire.

    Ce fut le cas quand, utilisant un métaphore, il avait fait comprendre à Karim Wade fils d’Adoulaye Wade qu’il ne devait en aucun cas se prévaloir des prérogatives de son père pour prétendre nourrir des ambitions politiques au risque de se mettre sur le banc des accusés et de se retrouver pendu. Le père rapportant cette discussion à un de leurs amis communs déclara que « Mara avait parlé à Karim en grand frère ». Il en serait aujourd’hui autrement si le Pére et le fils l’avaient écouté.

    Ce fut aussi le cas quand on a voulu qu’il défende des projets chimériques alors qu’il a toujours refusé de « défendre l’indéfendable ». On se souvient encore de ce coup de fil en pleine déclaration de politique générale lui intiment l’ordre de parler des « éléphants blancs du Président ». Ce qu’il avait catégoriquement refusé.

    Ce fut le cas lorsque, la machine de la dévolution monarchique du pouvoir, soubassement de ses problèmes politiques qui lui a valu six mois de détention arbitraire, a été lancée et qu’il s’y était opposée et qu’on lui prêtait de vouloir organiser un « coup d’état assis, rampant et puis debout ».

    Ce fut encore le cas, alors qu’il était seul au comité directeur du PDS, et qu’il s’était opposé, avec des arguments solides, à la troisième candidature de trop et anticonstitutionnelle de Abdoulaye Wade. Seul devant tous, il avait fait entendre une voix discordante qui ne disait rien d’autre que la vérité que les autres ne méprenaient pas mais qu’ils ne voulaient pas entendre.

    Pour tous ces combats politiques, il a été d’abord décrié, rabroué, dénigré avant d’y être rejoint par d’autres franges de la classe politique sénégalaise qui ont tenté elles aussi de le mettre à l’écart. « Condamner le blâmable et approuver le convenable » a toujours été son credo et continuera certainement de guider ses actions politiques.



    S’il faut encore le rappeler, Idrissa Seck est un homme politique aguerri. Aux côtés de Abdoulaye pendant plus de trois décennies, avoir été son Directeur de Campagne en 1998 et en 2000, il connaît bien les rouages de la politique sénégalaise et ne peut ni se prendre pour un Président avant l’heure ni méconnaître ses obligations entant que leader politique. Toute nouvelle situation appelle nécessairement une nouvelle conscience. C’est ce qu’il voulait faire comprendre aux uns et aux autres lors de sa déclaration du dernier jour de la campagne présidentielle du Février 2012 en affirmant qu’il était de loin mieux outillé que les autres candidats en liste pour battre campagne jusque dans les fins fonds du Sénégal, mais qu’il avait préféré rester à la place de l’indépendance pour continuer la bataille de principe qu’il avait commencée avant tout le monde et bien avant le 23 Juin 2011.



    « Guddi bo guiss beutieuk laay waadjal ».



    Aujourd’hui, il décide d’aller rencontrer ses compatriotes et leur parler afin de rétablir la vérité. Il y a eu beaucoup d’incompréhension, beaucoup de fausses interprétations, mais point de maladresses comme veulent le faire croire ou le croient certains. L’homme était la cible d’un régime de hors la loi et il lui fallait déployer toute une stratégie pour continuer à exister politiquement tout en se gardant de faire dans les compromis ou compromissions. Ce que nous devrons retenir est que son idéal politique s’adosse sur la morale et la religion au service exclusif des intérêts communs. Pour cela, il sera toujours combattu, mais nous espérons qu’il restera toujours DEBOUT, aidé en cela par d’autres citoyens épris de justice et de vérité, puisque nulle ne doute que le Sénégal a besoin de lui et lui du Sénégal pour un Etat républicain fort, libéré des comploteurs et respecté dans le monde.

    Quand on évoque l’histoire, des exemples ne manquent pas pour démontrer cette voie que Mara s’était tracée avant et surtout après l’accession du PDS au pouvoir en 2000. Il n’est jamais tombé dans l’ivresse du pouvoir. Il est resté fidèle à sa posture de départ et encré dans la défense du bien commun. Quand par exemple l’autre lui avait rappelé le code des Grands Bandits qui ne se « manifestent qu’au moment du partage du butin », lui préférait lui rappeler les paroles divines sur le partage du butin qui devrait revenir « aux nécessiteux, aux voyageurs en détresse, aux orphelins, … », bref aux masses défavorisées. « Encore tes versets » lui avait-il lancé, « toujours mes versets » lui avait répondu Idy. Le fossé s’était très tôt creusé et il fallait alors l’anéantir politiquement. Il gênait. La machine à embastiller et à calomnier a alors été lancée, l’argument de l’enrichissement illicite utilisé, des fouilles jusque dans des fosses sceptiques qui n’ont rien pu démontrer, organisées. Des jeux vidéo brandis comme des preuves.



    De ces agressions « physiques, politiques, personnelles et judiciaires », Idrissa Seck n’en est certainement pas sorti indemne. Il a dû résister face à l’offensive. Il a dû s’entourer de toutes les garanties pour se battre dignement. Il a été alors peint comme un homme qui ne s’intéressait pas aux vécus de ses compatriotes, hautin, pressé, inaccessible et intéressé que par la station présidentielle. Que de faux préjugés pour un homme qui très tôt s’est engagé dans la défense des intérêts collectifs et dans l’éclosion des talents individuels. « Les lignes de connexion entre lui et ses compatriotes » ont été ainsi brisées par cette tentative d’isolement réussie en partie. Mais « Allah a rendu vaines leurs manœuvres. Allah a rendu vaines leurs ruses » et la vérité, loin des fausses certitudes, s’entrevoit de jour en jour.



    Pour cause, cet homme politique décrit comme une personne qui se suffit à lui-même, n’a jamais varié dans ses positions. Il s’est battu pendant plus de trente années à côté d’un homme et pour des valeurs. Et quand son ancienne formation politique a commencé à dévier de son idéal de changement, il n’a pas hésité à se lever et à leur dire la vérité. Il n’a pas hésité à se démarquer même au risque d’anéantir ses ambitions politiques et de se mettre à dos un puissant système. Il a toujours choisi d’être loyal d’abord vis-à-vis de lui-même, et ensuite par rapport aux valeurs qu’on lui a inculquées depuis son enfance. Pour lui « la loyauté n’est pas synonyme de génuflexion ». La vérité est toujours à dire.

    Ce fut le cas quand, utilisant un métaphore, il avait fait comprendre à Karim Wade fils d’Adoulaye Wade qu’il ne devait en aucun cas se prévaloir des prérogatives de son père pour prétendre nourrir des ambitions politiques au risque de se mettre sur le banc des accusés et de se retrouver pendu. Le père rapportant cette discussion à un de leurs amis communs déclara que « Mara avait parlé à Karim en grand frère ». Il en serait aujourd’hui autrement si le Pére et le fils l’avaient écouté.

    Ce fut aussi le cas quand on a voulu qu’il défende des projets chimériques alors qu’il a toujours refusé de « défendre l’indéfendable ». On se souvient encore de ce coup de fil en pleine déclaration de politique générale lui intiment l’ordre de parler des « éléphants blancs du Président ». Ce qu’il avait catégoriquement refusé.

    Ce fut le cas lorsque, la machine de la dévolution monarchique du pouvoir, soubassement de ses problèmes politiques qui lui a valu six mois de détention arbitraire, a été lancée et qu’il s’y était opposée et qu’on lui prêtait de vouloir organiser un « coup d’état assis, rampant et puis debout ».

    Ce fut encore le cas, alors qu’il était seul au comité directeur du PDS, et qu’il s’était opposé, avec des arguments solides, à la troisième candidature de trop et anticonstitutionnelle de Abdoulaye Wade. Seul devant tous, il avait fait entendre une voix discordante qui ne disait rien d’autre que la vérité que les autres ne méprenaient pas mais qu’ils ne voulaient pas entendre.

    Pour tous ces combats politiques, il a été d’abord décrié, rabroué, dénigré avant d’y être rejoint par d’autres franges de la classe politique sénégalaise qui ont tenté elles aussi de le mettre à l’écart. « Condamner le blâmable et approuver le convenable » a toujours été son credo et continuera certainement de guider ses actions politiques.



    S’il faut encore le rappeler, Idrissa Seck est un homme politique aguerri. Aux côtés de Abdoulaye pendant plus de trois décennies, avoir été son Directeur de Campagne en 1998 et en 2000, il connaît bien les rouages de la politique sénégalaise et ne peut ni se prendre pour un Président avant l’heure ni méconnaître ses obligations entant que leader politique. Toute nouvelle situation appelle nécessairement une nouvelle conscience. C’est ce qu’il voulait faire comprendre aux uns et aux autres lors de sa déclaration du dernier jour de la campagne présidentielle du Février 2012 en affirmant qu’il était de loin mieux outillé que les autres candidats en liste pour battre campagne jusque dans les fins fonds du Sénégal, mais qu’il avait préféré rester à la place de l’indépendance pour continuer la bataille de principe qu’il avait commencée avant tout le monde et bien avant le 23 Juin 2011.



    « Guddi bo guiss beutieuk laay waadjal ».



    Aujourd’hui, il décide d’aller rencontrer ses compatriotes et leur parler afin de rétablir la vérité. Il y a eu beaucoup d’incompréhension, beaucoup de fausses interprétations, mais point de maladresses comme veulent le faire croire ou le croient certains. L’homme était la cible d’un régime de hors la loi et il lui fallait déployer toute une stratégie pour continuer à exister politiquement tout en se gardant de faire dans les compromis ou compromissions. Ce que nous devrons retenir est que son idéal politique s’adosse sur la morale et la religion au service exclusif des intérêts communs. Pour cela, il sera toujours combattu, mais nous espérons qu’il restera toujours DEBOUT, aidé en cela par d’autres citoyens épris de justice et de vérité, puisque nulle ne doute que le Sénégal a besoin de lui et lui du Sénégal pour un Etat républicain fort, libéré des comploteurs et respecté dans le monde.

    Quand on évoque l’histoire, des exemples ne manquent pas pour démontrer cette voie que Mara s’était tracée avant et surtout après l’accession du PDS au pouvoir en 2000. Il n’est jamais tombé dans l’ivresse du pouvoir. Il est resté fidèle à sa posture de départ et encré dans la défense du bien commun. Quand par exemple l’autre lui avait rappelé le code des Grands Bandits qui ne se « manifestent qu’au moment du partage du butin », lui préférait lui rappeler les paroles divines sur le partage du butin qui devrait revenir « aux nécessiteux, aux voyageurs en détresse, aux orphelins, … », bref aux masses défavorisées. « Encore tes versets » lui avait-il lancé, « toujours mes versets » lui avait répondu Idy. Le fossé s’était très tôt creusé et il fallait alors l’anéantir politiquement. Il gênait. La machine à embastiller et à calomnier a alors été lancée, l’argument de l’enrichissement illicite utilisé, des fouilles jusque dans des fosses sceptiques qui n’ont rien pu démontrer, organisées. Des jeux vidéo brandis comme des preuves.



    De ces agressions « physiques, politiques, personnelles et judiciaires », Idrissa Seck n’en est certainement pas sorti indemne. Il a dû résister face à l’offensive. Il a dû s’entourer de toutes les garanties pour se battre dignement. Il a été alors peint comme un homme qui ne s’intéressait pas aux vécus de ses compatriotes, hautin, pressé, inaccessible et intéressé que par la station présidentielle. Que de faux préjugés pour un homme qui très tôt s’est engagé dans la défense des intérêts collectifs et dans l’éclosion des talents individuels. « Les lignes de connexion entre lui et ses compatriotes » ont été ainsi brisées par cette tentative d’isolement réussie en partie. Mais « Allah a rendu vaines leurs manœuvres. Allah a rendu vaines leurs ruses » et la vérité, loin des fausses certitudes, s’entrevoit de jour en jour.



    Pour cause, cet homme politique décrit comme une personne qui se suffit à lui-même, n’a jamais varié dans ses positions. Il s’est battu pendant plus de trente années à côté d’un homme et pour des valeurs. Et quand son ancienne formation politique a commencé à dévier de son idéal de changement, il n’a pas hésité à se lever et à leur dire la vérité. Il n’a pas hésité à se démarquer même au risque d’anéantir ses ambitions politiques et de se mettre à dos un puissant système. Il a toujours choisi d’être loyal d’abord vis-à-vis de lui-même, et ensuite par rapport aux valeurs qu’on lui a inculquées depuis son enfance. Pour lui « la loyauté n’est pas synonyme de génuflexion ». La vérité est toujours à dire.

    Ce fut le cas quand, utilisant un métaphore, il avait fait comprendre à Karim Wade fils d’Adoulaye Wade qu’il ne devait en aucun cas se prévaloir des prérogatives de son père pour prétendre nourrir des ambitions politiques au risque de se mettre sur le banc des accusés et de se retrouver pendu. Le père rapportant cette discussion à un de leurs amis communs déclara que « Mara avait parlé à Karim en grand frère ». Il en serait aujourd’hui autrement si le Pére et le fils l’avaient écouté.

    Ce fut aussi le cas quand on a voulu qu’il défende des projets chimériques alors qu’il a toujours refusé de « défendre l’indéfendable ». On se souvient encore de ce coup de fil en pleine déclaration de politique générale lui intiment l’ordre de parler des « éléphants blancs du Président ». Ce qu’il avait catégoriquement refusé.

    Ce fut le cas lorsque, la machine de la dévolution monarchique du pouvoir, soubassement de ses problèmes politiques qui lui a valu six mois de détention arbitraire, a été lancée et qu’il s’y était opposée et qu’on lui prêtait de vouloir organiser un « coup d’état assis, rampant et puis debout ».

    Ce fut encore le cas, alors qu’il était seul au comité directeur du PDS, et qu’il s’était opposé, avec des arguments solides, à la troisième candidature de trop et anticonstitutionnelle de Abdoulaye Wade. Seul devant tous, il avait fait entendre une voix discordante qui ne disait rien d’autre que la vérité que les autres ne méprenaient pas mais qu’ils ne voulaient pas entendre.

    Pour tous ces combats politiques, il a été d’abord décrié, rabroué, dénigré avant d’y être rejoint par d’autres franges de la classe politique sénégalaise qui ont tenté elles aussi de le mettre à l’écart. « Condamner le blâmable et approuver le convenable » a toujours été son credo et continuera certainement de guider ses actions politiques.



    S’il faut encore le rappeler, Idrissa Seck est un homme politique aguerri. Aux côtés de Abdoulaye pendant plus de trois décennies, avoir été son Directeur de Campagne en 1998 et en 2000, il connaît bien les rouages de la politique sénégalaise et ne peut ni se prendre pour un Président avant l’heure ni méconnaître ses obligations entant que leader politique. Toute nouvelle situation appelle nécessairement une nouvelle conscience. C’est ce qu’il voulait faire comprendre aux uns et aux autres lors de sa déclaration du dernier jour de la campagne présidentielle du Février 2012 en affirmant qu’il était de loin mieux outillé que les autres candidats en liste pour battre campagne jusque dans les fins fonds du Sénégal, mais qu’il avait préféré rester à la place de l’indépendance pour continuer la bataille de principe qu’il avait commencée avant tout le monde et bien avant le 23 Juin 2011.



    « Guddi bo guiss beutieuk laay waadjal ».



    Aujourd’hui, il décide d’aller rencontrer ses compatriotes et leur parler afin de rétablir la vérité. Il y a eu beaucoup d’incompréhension, beaucoup de fausses interprétations, mais point de maladresses comme veulent le faire croire ou le croient certains. L’homme était la cible d’un régime de hors la loi et il lui fallait déployer toute une stratégie pour continuer à exister politiquement tout en se gardant de faire dans les compromis ou compromissions. Ce que nous devrons retenir est que son idéal politique s’adosse sur la morale et la religion au service exclusif des intérêts communs. Pour cela, il sera toujours combattu, mais nous espérons qu’il restera toujours DEBOUT, aidé en cela par d’autres citoyens épris de justice et de vérité, puisque nulle ne doute que le Sénégal a besoin de lui et lui du Sénégal pour un Etat républicain fort, libéré des comploteurs et respecté dans le monde.

    Quand on évoque l’histoire, des exemples ne manquent pas pour démontrer cette voie que Mara s’était tracée avant et surtout après l’accession du PDS au pouvoir en 2000. Il n’est jamais tombé dans l’ivresse du pouvoir. Il est resté fidèle à sa posture de départ et encré dans la défense du bien commun. Quand par exemple l’autre lui avait rappelé le code des Grands Bandits qui ne se « manifestent qu’au moment du partage du butin », lui préférait lui rappeler les paroles divines sur le partage du butin qui devrait revenir « aux nécessiteux, aux voyageurs en détresse, aux orphelins, … », bref aux masses défavorisées. « Encore tes versets » lui avait-il lancé, « toujours mes versets » lui avait répondu Idy. Le fossé s’était très tôt creusé et il fallait alors l’anéantir politiquement. Il gênait. La machine à embastiller et à calomnier a alors été lancée, l’argument de l’enrichissement illicite utilisé, des fouilles jusque dans des fosses sceptiques qui n’ont rien pu démontrer, organisées. Des jeux vidéo brandis comme des preuves.



    De ces agressions « physiques, politiques, personnelles et judiciaires », Idrissa Seck n’en est certainement pas sorti indemne. Il a dû résister face à l’offensive. Il a dû s’entourer de toutes les garanties pour se battre dignement. Il a été alors peint comme un homme qui ne s’intéressait pas aux vécus de ses compatriotes, hautin, pressé, inaccessible et intéressé que par la station présidentielle. Que de faux préjugés pour un homme qui très tôt s’est engagé dans la défense des intérêts collectifs et dans l’éclosion des talents individuels. « Les lignes de connexion entre lui et ses compatriotes » ont été ainsi brisées par cette tentative d’isolement réussie en partie. Mais « Allah a rendu vaines leurs manœuvres. Allah a rendu vaines leurs ruses » et la vérité, loin des fausses certitudes, s’entrevoit de jour en jour.



    Pour cause, cet homme politique décrit comme une personne qui se suffit à lui-même, n’a jamais varié dans ses positions. Il s’est battu pendant plus de trente années à côté d’un homme et pour des valeurs. Et quand son ancienne formation politique a commencé à dévier de son idéal de changement, il n’a pas hésité à se lever et à leur dire la vérité. Il n’a pas hésité à se démarquer même au risque d’anéantir ses ambitions politiques et de se mettre à dos un puissant système. Il a toujours choisi d’être loyal d’abord vis-à-vis de lui-même, et ensuite par rapport aux valeurs qu’on lui a inculquées depuis son enfance. Pour lui « la loyauté n’est pas synonyme de génuflexion ». La vérité est toujours à dire.

    Ce fut le cas quand, utilisant un métaphore, il avait fait comprendre à Karim Wade fils d’Adoulaye Wade qu’il ne devait en aucun cas se prévaloir des prérogatives de son père pour prétendre nourrir des ambitions politiques au risque de se mettre sur le banc des accusés et de se retrouver pendu. Le père rapportant cette discussion à un de leurs amis communs déclara que « Mara avait parlé à Karim en grand frère ». Il en serait aujourd’hui autrement si le Pére et le fils l’avaient écouté.

    Ce fut aussi le cas quand on a voulu qu’il défende des projets chimériques alors qu’il a toujours refusé de « défendre l’indéfendable ». On se souvient encore de ce coup de fil en pleine déclaration de politique générale lui intiment l’ordre de parler des « éléphants blancs du Président ». Ce qu’il avait catégoriquement refusé.

    Ce fut le cas lorsque, la machine de la dévolution monarchique du pouvoir, soubassement de ses problèmes politiques qui lui a valu six mois de détention arbitraire, a été lancée et qu’il s’y était opposée et qu’on lui prêtait de vouloir organiser un « coup d’état assis, rampant et puis debout ».

    Ce fut encore le cas, alors qu’il était seul au comité directeur du PDS, et qu’il s’était opposé, avec des arguments solides, à la troisième candidature de trop et anticonstitutionnelle de Abdoulaye Wade. Seul devant tous, il avait fait entendre une voix discordante qui ne disait rien d’autre que la vérité que les autres ne méprenaient pas mais qu’ils ne voulaient pas entendre.

    Pour tous ces combats politiques, il a été d’abord décrié, rabroué, dénigré avant d’y être rejoint par d’autres franges de la classe politique sénégalaise qui ont tenté elles aussi de le mettre à l’écart. « Condamner le blâmable et approuver le convenable » a toujours été son credo et continuera certainement de guider ses actions politiques.



    S’il faut encore le rappeler, Idrissa Seck est un homme politique aguerri. Aux côtés de Abdoulaye pendant plus de trois décennies, avoir été son Directeur de Campagne en 1998 et en 2000, il connaît bien les rouages de la politique sénégalaise et ne peut ni se prendre pour un Président avant l’heure ni méconnaître ses obligations entant que leader politique. Toute nouvelle situation appelle nécessairement une nouvelle conscience. C’est ce qu’il voulait faire comprendre aux uns et aux autres lors de sa déclaration du dernier jour de la campagne présidentielle du Février 2012 en affirmant qu’il était de loin mieux outillé que les autres candidats en liste pour battre campagne jusque dans les fins fonds du Sénégal, mais qu’il avait préféré rester à la place de l’indépendance pour continuer la bataille de principe qu’il avait commencée avant tout le monde et bien avant le 23 Juin 2011.



    « Guddi bo guiss beutieuk laay waadjal ».



    Aujourd’hui, il décide d’aller rencontrer ses compatriotes et leur parler afin de rétablir la vérité. Il y a eu beaucoup d’incompréhension, beaucoup de fausses interprétations, mais point de maladresses comme veulent le faire croire ou le croient certains. L’homme était la cible d’un régime de hors la loi et il lui fallait déployer toute une stratégie pour continuer à exister politiquement tout en se gardant de faire dans les compromis ou compromissions. Ce que nous devrons retenir est que son idéal politique s’adosse sur la morale et la religion au service exclusif des intérêts communs. Pour cela, il sera toujours combattu, mais nous espérons qu’il restera toujours DEBOUT, aidé en cela par d’autres citoyens épris de justice et de vérité, puisque nulle ne doute que le Sénégal a besoin de lui et lui du Sénégal pour un Etat républicain fort, libéré des comploteurs et respecté dans le monde.

    Quand on évoque l’histoire, des exemples ne manquent pas pour démontrer cette voie que Mara s’était tracée avant et surtout après l’accession du PDS au pouvoir en 2000. Il n’est jamais tombé dans l’ivresse du pouvoir. Il est resté fidèle à sa posture de départ et encré dans la défense du bien commun. Quand par exemple l’autre lui avait rappelé le code des Grands Bandits qui ne se « manifestent qu’au moment du partage du butin », lui préférait lui rappeler les paroles divines sur le partage du butin qui devrait revenir « aux nécessiteux, aux voyageurs en détresse, aux orphelins, … », bref aux masses défavorisées. « Encore tes versets » lui avait-il lancé, « toujours mes versets » lui avait répondu Idy. Le fossé s’était très tôt creusé et il fallait alors l’anéantir politiquement. Il gênait. La machine à embastiller et à calomnier a alors été lancée, l’argument de l’enrichissement illicite utilisé, des fouilles jusque dans des fosses sceptiques qui n’ont rien pu démontrer, organisées. Des jeux vidéo brandis comme des preuves.



    De ces agressions « physiques, politiques, personnelles et judiciaires », Idrissa Seck n’en est certainement pas sorti indemne. Il a dû résister face à l’offensive. Il a dû s’entourer de toutes les garanties pour se battre dignement. Il a été alors peint comme un homme qui ne s’intéressait pas aux vécus de ses compatriotes, hautin, pressé, inaccessible et intéressé que par la station présidentielle. Que de faux préjugés pour un homme qui très tôt s’est engagé dans la défense des intérêts collectifs et dans l’éclosion des talents individuels. « Les lignes de connexion entre lui et ses compatriotes » ont été ainsi brisées par cette tentative d’isolement réussie en partie. Mais « Allah a rendu vaines leurs manœuvres. Allah a rendu vaines leurs ruses » et la vérité, loin des fausses certitudes, s’entrevoit de jour en jour.



    Pour cause, cet homme politique décrit comme une personne qui se suffit à lui-même, n’a jamais varié dans ses positions. Il s’est battu pendant plus de trente années à côté d’un homme et pour des valeurs. Et quand son ancienne formation politique a commencé à dévier de son idéal de changement, il n’a pas hésité à se lever et à leur dire la vérité. Il n’a pas hésité à se démarquer même au risque d’anéantir ses ambitions politiques et de se mettre à dos un puissant système. Il a toujours choisi d’être loyal d’abord vis-à-vis de lui-même, et ensuite par rapport aux valeurs qu’on lui a inculquées depuis son enfance. Pour lui « la loyauté n’est pas synonyme de génuflexion ». La vérité est toujours à dire.

    Ce fut le cas quand, utilisant un métaphore, il avait fait comprendre à Karim Wade fils d’Adoulaye Wade qu’il ne devait en aucun cas se prévaloir des prérogatives de son père pour prétendre nourrir des ambitions politiques au risque de se mettre sur le banc des accusés et de se retrouver pendu. Le père rapportant cette discussion à un de leurs amis communs déclara que « Mara avait parlé à Karim en grand frère ». Il en serait aujourd’hui autrement si le Pére et le fils l’avaient écouté.

    Ce fut aussi le cas quand on a voulu qu’il défende des projets chimériques alors qu’il a toujours refusé de « défendre l’indéfendable ». On se souvient encore de ce coup de fil en pleine déclaration de politique générale lui intiment l’ordre de parler des « éléphants blancs du Président ». Ce qu’il avait catégoriquement refusé.

    Ce fut le cas lorsque, la machine de la dévolution monarchique du pouvoir, soubassement de ses problèmes politiques qui lui a valu six mois de détention arbitraire, a été lancée et qu’il s’y était opposée et qu’on lui prêtait de vouloir organiser un « coup d’état assis, rampant et puis debout ».

    Ce fut encore le cas, alors qu’il était seul au comité directeur du PDS, et qu’il s’était opposé, avec des arguments solides, à la troisième candidature de trop et anticonstitutionnelle de Abdoulaye Wade. Seul devant tous, il avait fait entendre une voix discordante qui ne disait rien d’autre que la vérité que les autres ne méprenaient pas mais qu’ils ne voulaient pas entendre.

    Pour tous ces combats politiques, il a été d’abord décrié, rabroué, dénigré avant d’y être rejoint par d’autres franges de la classe politique sénégalaise qui ont tenté elles aussi de le mettre à l’écart. « Condamner le blâmable et approuver le convenable » a toujours été son credo et continuera certainement de guider ses actions politiques.



    S’il faut encore le rappeler, Idrissa Seck est un homme politique aguerri. Aux côtés de Abdoulaye pendant plus de trois décennies, avoir été son Directeur de Campagne en 1998 et en 2000, il connaît bien les rouages de la politique sénégalaise et ne peut ni se prendre pour un Président avant l’heure ni méconnaître ses obligations entant que leader politique. Toute nouvelle situation appelle nécessairement une nouvelle conscience. C’est ce qu’il voulait faire comprendre aux uns et aux autres lors de sa déclaration du dernier jour de la campagne présidentielle du Février 2012 en affirmant qu’il était de loin mieux outillé que les autres candidats en liste pour battre campagne jusque dans les fins fonds du Sénégal, mais qu’il avait préféré rester à la place de l’indépendance pour continuer la bataille de principe qu’il avait commencée avant tout le monde et bien avant le 23 Juin 2011.



    « Guddi bo guiss beutieuk laay waadjal ».



    Aujourd’hui, il décide d’aller rencontrer ses compatriotes et leur parler afin de rétablir la vérité. Il y a eu beaucoup d’incompréhension, beaucoup de fausses interprétations, mais point de maladresses comme veulent le faire croire ou le croient certains. L’homme était la cible d’un régime de hors la loi et il lui fallait déployer toute une stratégie pour continuer à exister politiquement tout en se gardant de faire dans les compromis ou compromissions. Ce que nous devrons retenir est que son idéal politique s’adosse sur la morale et la religion au service exclusif des intérêts communs. Pour cela, il sera toujours combattu, mais nous espérons qu’il restera toujours DEBOUT, aidé en cela par d’autres citoyens épris de justice et de vérité, puisque nulle ne doute que le Sénégal a besoin de lui et lui du Sénégal pour un Etat républicain fort, libéré des comploteurs et respecté dans le monde.

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    Auteur

    Boye

    En Mars, 2013 (17:27 PM)
    Il est le meilleur
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    Auteur

    La Replique

    En Mars, 2013 (17:28 PM)
    Idy n'est jamais honnete,sur ses propos!!!!!!!!!!!!!!!
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    Auteur

    Delo Ziaaar

    En Mars, 2013 (17:28 PM)
    sltHéé suis troixiémes commentaire c est ma chance: je tiens à remercier ma famille, mes parents, mes amis, mes oncles, mes tantes, ma grand mère, mon grand père, mes camarades de classe, mon chien, mon chat, mon poisson, mon perroquet, mon écureuil, mon frigo, ma télé, mon ordinateur, mon Facebook, mon twitter, ma chaîne YouTube

    C'est une immense opportunité que vous m avez donné pour être le premier à commenter dans cette publication et je veux vraiment vous dire merci, merci infiniment, je n oublierais jamais ce moment particulier.

    Je tiens tous à vous remercier, mais surtout je veux aussi vous dire à tous que dans la mesure ou le fond de mon coeur ne perd jamais ce sentiment que beaucoup ne peuvent pas lire ce message comme long et banale mais je ne m inquiète pas je suis tres heureux de cet évènement

    oh j'allais oublier je tiens aussi à remercier mes ex-amis, mes ex petites-amies, mes ennemies, les brutes de ma classe et je sais que je ne suis pas stupide comme eux.

    j'aimerais dire plus mais je n ai pas beaucoup de temps tous ces quelques mots expriment mes plus grands sentiments, merci à tout ce qui ont pris le temps de lire ce commentaire, MERCI BEAUCOUP!
    Auteur

    Kou Wakh Fégne

    En Mars, 2013 (17:30 PM)
    affaire de grands bandits.....................koumou laye fatéli



    diagna ndiaye ...................koumou laye fatéli



    Baba DIAW............................hahahaha



    la bande des 4 mousquetaires s'est enfin révélée. il ne manque que le grand escroc et assassin WADE himself et leur trait commun



    c'est d'étre tous des FRANC.............MAçONS
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    Auteur

    Lady

    En Mars, 2013 (17:33 PM)
    ya personne ki peut échapper aux méchants si t en route de tékki . wade, idy macky niass et autre gneupe légui il pris des sous et personne ne connaitra la vrai version sauf eux défar na thiés et les thiésois comme moi savent de koi je parle.. le coup est déjà parti nakk mais l'avenir est devant nous on a qu'à voter pour lui sil ne nous conviendra pas chose qui m'étonnerai il en subira les conséquence... c'est notre seul espoir
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    Auteur

    Jokko

    En Mars, 2013 (17:34 PM)
    Idy c'est qu'on la harceler en privé et en publique de toute part PAR le régime de Wade et cest rendu compte qu'il a commis beaucoup de faute ,(dont ce quoi il est harcelé par wade en privé ) et il est au regret en ce moment comme son pére Wade  :down:  :down:  :down:  :down: 

    NB: Tous les deux (Wade & Seck) regrettent beaucoup de s'étre fichu de la gueule des sénégalais  :up:  :up:  :up:  :up: 
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    Auteur

    Bg

    En Mars, 2013 (17:36 PM)
    EN REPONSE A ELOU DE PARIS T MARANT MON GARS C KTRES PERTINENT COMME REPONSE RIEN A DIRE

    ILS NOUS POMPENT LAIR AVEC LEURS HISTOIRE DE GUEVEL NIENIO LAOBE PAUVRE SENEGAL

    NOUS VOULONS DES COMPETENCES DOU ELLES VIENNENT

    merci
    Auteur

    Xorompolle

    En Mars, 2013 (17:46 PM)
    Je comprends maintenant pourquoi IDY bombarde ABDOUL MBAYE qui ne s'entend pas avec DIAGNA NDIAYE :up: 
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    Auteur

    Citey

    En Mars, 2013 (17:54 PM)
    may gnou diam les sénégalais t'ont pris pour un innocent mais tu as trahi tu dois assumer

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    Auteur

    Diez

    En Mars, 2013 (18:04 PM)
    Idy bayil thiakhane les sénégalais ne sont pas à ta merci ta famille et toi êtes à l' abri du besoin et vous voulez nous rouler encore dans la farine comme si ....

    Du courage avec les remords le chemin est long

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    Auteur

    Bonduel

    En Mars, 2013 (18:17 PM)
    Il s'est amusé avec les Sénégalais!! Ce type a récolté ce qu'il a semé!!

    Auteur

    Joe

    En Mars, 2013 (18:28 PM)
    donc téye IDRISSA SECK LA MOKHEW DOMAGE POUR CES JOURNALISTES
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    Auteur

    Deug

    En Mars, 2013 (18:39 PM)
    Idy doit arreter de se jouer des sénégalais, on a tout compris.... ses larmes de crocodiles.
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    Auteur

    Tarkhiss

    En Mars, 2013 (18:50 PM)
    simple constat,je peux me tromper nak mais j'ai l'impression qu'il y a des gens à l'affut qui n'attendent qu'un article sur idy pour pouvoir le descendre vite fait!!j'espere seulement qu'ils le font librement et qu'ils ne sont pas des mercenaires.tout cela ressemble à de l'acharnement et pourrait produire l'effet contraire.de quoi ont peur ceux qui l'attaquent du moment qu'ils pensent qu'il est mort politiquement?
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    Auteur

    Le Camion

    En Mars, 2013 (18:54 PM)
    Idrissa Seck 5 reportages d'affilé c'est quoi tu as encore payé (avec de l'argent volé) pour faire ton come-back. Mais on ne veut pas de toi tu es trop malveillant ... et même répugnant!
    Auteur

    Énigme

    En Mars, 2013 (18:56 PM)
    Idy daaal ab "thiaxx-leu"!

    Kouko meune, naniouko tékkil ngirr Yallah :hun:  :hun:  :hun: 
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    Auteur

    Xl

    En Mars, 2013 (18:59 PM)
    douma guewel mai guewel yi aay niit you bakh lagnou senegal gneep gno bakh nagnou rafètal wakh yi sagua aak khastè fadioul darra  :sn: 
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    Auteur

    Zeus

    En Mars, 2013 (19:48 PM)
    Wade est un monstre il a tué et envoyé beaucoup de nos compatriotes en exil il doit etre traduit en justice , comme son fils Karim et jeter en prison.
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    Auteur

    Faac

    En Mars, 2013 (19:55 PM)
    Idy est plaint de contradictions. Lui mm avait dit k'il etait riche. Non seulement il a trahi Laye avec l'argent destine a la vie politique et a chaque extrapotin, laye prenait une et lui en prenant egalement. Donc il n'a pas besoin k d'autres s'occupent de sa famille. Il est plein aux AS a moins k''il ne soit trop siche (NAYE). Il aime trop d'attentions comme un bebe de 3 mois.
    Auteur

    Thug

    En Mars, 2013 (20:12 PM)
    idy franchement tu es une bonne personne affective, tu es humai.....au moins ya kelkun qui ose dire les choses telles quelles sont......avec toi je pense que macky fera attention sur bcps choses sur aux vautours qui l entourent depuis sont accession au pouvoirs......bon courage idy continu ton chemin.......un day will be come

    NB arretez vos trucs de niegno ou de griot si c pas macky avec les halpular ce idy.......basta et que chacun respect ce que l´autre EST

    SALAM VIVE LE SENEGAL VIVE LA PAIX

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    Auteur

    Looser

    En Mars, 2013 (20:52 PM)
    Idy a raté le train de l'hitoire en allant rencontrer Wade avant le premier tour des elections presidentielles en 2007 :down:  :down:  :sn:  :sn:  :sn: 
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    Auteur

    Boyfouta

    En Mars, 2013 (21:56 PM)
    Merci Idy
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    Auteur

    Falco

    En Mars, 2013 (22:14 PM)
    Les SENEGALAIS

    Pourquoi en vouloir à une seule personne par la haine sous prétexte qu'il est voleur.

    si ce Monsieur a pris vos milliards, mais mettez le en prison, que fait -il à l'air libre si réellement il est coupable d'un vol? vous poursuivez les autres pour enrichissement illicite , tandis que lui IDRISSA est llibre de tous ses mouvements

    vous racontez du n'importe quoi sur le monsieur qui passe être le politicien le pus doué du senegal de sa génération

    le pouvoir appartient à Dieu
    Auteur

    Doro

    En Mars, 2013 (23:10 PM)
    idy comme tu aimes reciter les versets du coran dis nous sincerement les tenants et aboutissants du protocole de reubeuss wassalam
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    Auteur

    Gassama

    En Mars, 2013 (02:48 AM)
    Nous ne sommes ni de droite, ni de gauche, ni du centre. Nous sommes Thiessois, et c’est un positionnement politique propre que nous voulons faire exister dans notre pays, comme il existe ailleurs. Depuis trop longtemps les associations gèrent les conséquences sociales de politiques insensées. Aujourd’hui nous voulons agir en amont, nous voulons changer les politiques qui précipitent dans la rue tant de Thiessois. Nous savons d’expérience que cela est possible.
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    Auteur

    Guiss Guiss

    En Mars, 2013 (05:57 AM)
    quel belle photo, les trois futur president du Senegal pour les prochaines 25 ans.... Macky apres Gadio apres finalement Idy...
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    Auteur

    Sos

    En Mars, 2013 (06:56 AM)
    Je ne lui pardonerai pas d avoir accompagne wade pendant 20ans de meme revendiquer etre son fils spirituel tout en sachant que c est un monstre. si wade nous a fait tant de mal c est de sa faute.
    Auteur

    Falcao

    En Mars, 2013 (08:40 AM)
    Les SENEGALAIS

    Pourquoi en vouloir à une seule personne par la haine sous prétexte qu'il est voleur.

    si ce Monsieur a pris vos milliards, mais mettez le en prison, que fait -il à l'air libre si réellement il est coupable d'un vol? vous poursuivez les autres pour enrichissement illicite , tandis que lui IDRISSA est llibre de tous ses mouvements

    vous racontez du n'importe quoi sur le monsieur qui passe être le politicien le pus doué du senegal de sa génération

    le pouvoir appartient à Dieu
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    Auteur

    Leer

    En Mars, 2013 (08:44 AM)
    Idy Yalla bakhna moi Leer je sere toujours votre 1 fidèle
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    Auteur

    Sidiki Diouf

    En Mars, 2013 (08:59 AM)
    Vraiment ,Idy est fatigué, et ne sait plus que dire . Tout ce qu'il a dit est archifaux.

    Il est milliardaire et il menait une vie de riche en france. La preuve vous vous rappellez qu'il etait revenu de france rien que pour assister sa fille qui passait son examen. C'est la preuve que personne ne le me,açait et qu'il avait bel et bien de l'argent et jusque là il est milliardaire . Le mensonge ne fera pas de toi un president.
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    Auteur

    Fifi

    En Mars, 2013 (09:16 AM)
    vos pleurs traduisent vos regrets, wade vous a utulisé, manipulé et trahi
    Auteur

    Deug

    En Mars, 2013 (09:24 AM)
    Thièye idy founé lay feulé. tèye ay dioye la feulé. idy est un vrai politicien, très rusé, trés kathior. et trop hypocrite. heureusement que les sénégalais ne sont pas naïfs. Idy pense qu'il est plus intelligent que ts êtres humains, et pourtant, dans ce pays il n ya que des surdoués qui passent inaperçus très sages et qui ne sont pas kathior comme lui. . Mara fallait mieux, faire tes ablutions, prendre ton chapelet et faire bcp de astafiroulaha, car tu fais parti sinon meme à la tete de fuk des gens qui ont fait bcp de mal aux sénégalais; que de récolter encore des péchés en pleurant hypocritement. Sachez que, kou lek loula léwoul bala ngay déé dinga ki gouki, bref avant de mourrir, tu vas souffrir. je ne cite pas de nom pour le respect de leur ame, mais l'ex palpant est là, bcp de ministres ou d'autorités décédés, tout récemment, ont souffert avant de mourrir. Donc chacun à son tour. Dieu vous punira vous tous. comme disait l'un de nos sage homme. Sathie boudoul raw diarouta yakhe ça nélew. Idrissa SECK, tu appartient au passé, tu es dans le fleuve de l'oublie...mais sache que avec toute cette fortune que tu as, ton tour viendra, tu vas périr comme tes défunts frère ministres....Yalla mougui lay khar......Bye
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    Auteur

    Doni

    En Mars, 2013 (09:34 AM)
    moi je dirai que dafa dioumone rék;nit kou nékaye dioume:mais ayons le courage se reconnaitre kil est le seul qui ose dire la vérité sur ce gouvernement de thiouné.gouvernement bou amoule opposition bakhoule;kone ngoure bi lou ko nekh déf;Idy on est avec toi car tu es le seul a pouvoir relever la situation du pays;
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    Auteur

    Avec Idy

    En Mars, 2013 (21:52 PM)
    yaw la de ya am kham kham ,ya thi mana guene senegal,nioun nieup nio ngui and ak yaw
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    Auteur

    Diaz Pekin

    En Mars, 2013 (05:34 AM)
    idy dou dem féne inchalah et il ne recolte que ce qu'il a semé et tous les senegalais ont eté temoins des magouilles dont il est l'initiateur plus ya les souvenirs de ces virées nocturnes au palais pour rendre visite a son soi disant pere sur le dos des populations qui croyaient a la realité de leur brouille que le peuple se reveille l'heure n'est plus aux reveries et aux fées Idrissa SECK est un bandit financier de grand chemin



    Auteur

    Cheikh Dakar

    En Mars, 2013 (12:20 PM)
    A vrai dire, "koula soutt né ko ndiolmi doula takha gatt". Politique à part, Monsieur Idrissa SECK a encore une fois de plus fait la différence. Il nous a édifié sur plusieurs choses : ses "soit disant va et vient" chez WADE, le Manteau de Serigne Mourtada, la mort de Khadimm Bousso et j'en passe. Je crois qu'un homme censé àprès avoir écouté Monsieur SECK, je dis politique à part sait que cet homme était sincère dans ses dires.

    Je voudrais prévenir les apéristes qu'ils parlent de rupture mais la manière de procéder par Monsieur SECK peut être considérée comme une rupture càd à chaque moment, les gens puissent se prononcer de la vie politique de la nation, même si cela n'arrange pas le Président. Sans cela, on tomberait comme dans le passé avec WADE.

    Ayons le courage de dire non quant il le faut et d'appeler un chat un chat.

    Si les partisans de Macky pensent qu'ils sont majoritaires dans ce pays, ils se trompent, leur coalition n'avait que 26% au premier et l'APR dans tout ça ?

    Comme le dit l'adage, "mieux vaut prévenir que guérir" et heureusement le Président Macky SALL a compris cela contrairement à ces partisans qui ont fait une fixation sur les postes c'est à dire le parti avant la patrie.

    REVEILLEZ VOUS, MESDAMES, MESSIEURS AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD.

    A BON ENTENDEUR SALUT.
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    Auteur

    Landim

    En Mars, 2013 (15:58 PM)
    j ai pris soin de lire et relire les commentaires,mais je suis etonne par la legerete des propos que ne font que blamer IDI sans analise ni productions des faits que on lui raproche, sinon des afirmations gratuites.

    Elevons le niveau de debats, le sens de la dignite impose.dehors la jalouise ,la mechantete et autres maladies mentales.

    IDY est le meilleur de tous... afrontez lui au domaine des idees et projets pour le SENEGAL qui il aime plus qui n impporte quel d autre.
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    Auteur

    Coatch

    En Mars, 2013 (17:17 PM)
    je suis avec toi Landim,les gens diabolisent Idy sans écouter ni analyser alors qu'il est pertinent.C facile de crier et d'insulter sans raisons valables.Il faut au moins quelqu'un pour mettre les dirigeants sur les rails,les apéristes doivent savoir que les compagnons de Idy ne sont pas des ministres de Réwmi mais des ministres de la république
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    Auteur

    ²diop

    En Mars, 2013 (17:59 PM)
    je suis dans le fouta je regret pour tout ce que idy a eu comment trahisonle mais dieu ne sors jamais le soleil se levera un jour et c'est loin que dieu vous garde
    Auteur

    @@@mexe@@@mboro

    En Mars, 2013 (21:38 PM)
    idy le futur présidence incha halla
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    Auteur

    Pap

    En Mars, 2013 (15:46 PM)
    dafa rancunier rèkk !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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    Auteur

    Fadasse

    En Mars, 2013 (17:39 PM)
    Hummmmmmmmmm idy idy watawat. Mdaadou? En tout cas les deux personnalités cites dans l'article sont des goorjigens qui l'assument. Je me demande comment tu peux composer avec gens la jusqu'à avoir de si bon rapports avec eux. Tu ne m'inspire plus confiance si ce qui est relaté dans cet article est exact.
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