Le maire de Thiès dans son entretien aux confrères de Gfm ce lundi 25 mars 2013 s’est livré à des révélations au sujet des personnes qui ont soutenu sa famille en exil en France. Alors engagé dans un bras de fer avec l’ancien chef de l’Etat Abdoulaye Wade, l’ex-Premier ministre a tenu à remercier deux personnes qui, à l’époque, lui ont manifesté leur soutien, en s’occupant de sa famille en exil en France.
Dénonçant ce qu’il a qualifié de « propagande monstrueuse » contre sa personne, suivi d’ « agression physique », Idrissa Seck de prendre l’opinion à témoin : « ils m’ont sali, ils ont raconté n’importe quoi (…) Vous étiez là quand ils ont envoyé des nervis attaquer mon domicile et contraindre mes enfants à l’exil. J’ai encore le souvenir frais de ma fille qui n’avait même pas cinq ans, six ans, qui est venue s’enlacer contre moi en me disant, qu’est-ce qui se passe, papa. J’en ai encore le souvenir et je rends grâce à des amis, des grand-frères à moi, qui ont veillé à ce que cette famille-là ne manque de rien, jusqu’aux cadeaux de Noël, jusqu’aux paquets», révèlera l’ancien Premier ministre, gagné ensuite par l’émotion.
Selon des informations obtenues par nos soins, il s’agit Baba Diaw, le magnat du pétrole et patron de Itoc (International Trading Oil and Commodities ), et de Diagna Ndiaye, le président du Cnoss, le Comité national olympique et sportif sénégalais. Deux personnalités dont Idrissa Seck a magnifié le soutien, sans les citer.
Toutefois, au sujet de Macky Sall devenu président de la République, Idrissa Seck de jeter un coup d’œil dans le rétroviseur : « celui qui est allé à la télévision (Macky Sall : ndlr) dire que le Rewmi n’existera pas, c’est lui-même qui est devenu président de la République et qui m’a donné le récépissé », s’est consolé l’ancien Premier ministre.
60 Commentaires
Jo
En Mars, 2013 (16:46 PM)Lo Thi Meune ? Toussssssss
En Mars, 2013 (16:47 PM)Yoyo
En Mars, 2013 (16:47 PM)Kouka
En Mars, 2013 (16:47 PM)Nino
En Mars, 2013 (16:48 PM)ak khaliss bi gua goby yeup trompeur
Souleymane Jules Diop
En Mars, 2013 (16:48 PM)Pendant ces dernières années, ces derniers mois, ces dernières semaines et ces derniers jours, notamment lors des événements des 23 et 27 juin 2011, nous avons tout vu, tout lu et tout entendu. L’heure est venue pour moi de m’exprimer. Le temps est venu de délivrer, du fond du cœur, un message de vérité, de fraternité et de sincérité.
Je me dois d’autant plus de le faire que tout un chacun sait que je suis la cible d’attaques profondément injustes.
Depuis mon entrée dans l’espace public en qualité de Conseiller Spécial du Président de la République, puis de Président du Conseil de Surveillance de l’Agence nationale de l’Organisation de la Conférence Islamique (ANOCI) et actuellement comme Ministre d’Etat, Ministre de la Coopération internationale, des Transports aériens, des Infrastructures et de l’Energie, malgré tous les efforts que je continue de déployer pour le développement économique et social du Sénégal, des passions se déchaînent, des haines se ravivent. Pourtant rien ne m’a été donné. Avec mes collaborateurs et fort de l’expertise nationale et internationale, nous sommes toujours partis de rien, pour aboutir à ce que l’on voit.
Jamais dans l'histoire du Sénégal, un homme public n’a reçu, autant de coups, de propos diffamatoires et outrageants. Systématiquement, je suis l'objet de graves accusations, de profondes détestations, d’attaques hallucinantes de la part de ceux qui nous connaissent à peine ou pas du tout.
Impitoyablement, je suis sanctionné sans être entendu, jugé dans des procès sans défense, « condamné » sans recours possible. De ma présomption d’innocence, on s’en passe automatiquement. On me prête beaucoup trop ! Qu’on perde un marché public, une position, une faveur, un privilège, un titre, une fonction, aussitôt l’on me rend responsable. Qu’un ministre soit limogé, il prétend que son départ est la conséquence immédiate de son refus d'un prétendu projet de « dévolution monarchique du pouvoir ». Lorsqu’il pleut un peu trop à Dakar, je suis indexé ; lorsque le vent emporte le toit d'une maison à Pikine, je suis pointé du doigt ; lorsqu’un train déraille à Thiès, j'y suis pour quelque chose ; lorsqu’un accident survient sur la route, je suis vilipendé.
Conformément à nos valeurs sénégalaises, je leur accorde mon pardon.
Tout comme le Chef de l’Etat, je combats toute idée de dévolution monarchique du pouvoir.
Fort heureusement, nombreux sont nos compatriotes qui refusent de se laisser entraîner dans la campagne sur le supposé projet de dévolution du pouvoir de « père en fils » qui constitue aujourd'hui la panacée pour tout expliquer et tout comprendre.
Si cette idée a continué de prospérer au point de susciter des rancœurs et parfois même de la haine envers le modeste passant sur terre que je suis, c'est parce qu'elle est savamment entretenue par une partie des acteurs politiques aidée en cela par certains journalistes, - véritables machines de guerre contre ma petite personne. Cette confusion doit finir ! Cette intoxication doit s’arrêter ! Cette injustice doit cesser.
Je le répète et le répéterai aussi longtemps que cela est nécessaire : c’est une insulte faite aux Sénégalais que de parler d’un projet de dévolution monarchique. Un tel projet n’a été, n’est et ne sera jamais dans les intentions du Président de la République ni dans les miennes. C’est universellement connu, le Sénégal connaît une longue tradition républicaine et démocratique. La souveraineté appartient au peuple qui, au terme d’élections libres, démocratiques et transparentes, confie le pouvoir à celui en qui il a confiance.
Comme vous le savez, le Président de la République Me Abdoulaye Wade est habité par la passion du Sénégal et ne respire que pour l'Afrique et plus généralement pour la paix. Plus d’un quart de siècle de combat pour l’approfondissement de la démocratie et pour la conquête des droits individuels et collectifs. Plus d’un quart de siècle de lutte pour la liberté d’expression et pour la transparence des élections.
Comme tout être humain, je demande à être entendu, jugé sur des actes vérifiés et donc probants et non sur des rumeurs sans fondement.
Les Sénégalais exigent tout naturellement des réalisations palpables et concrètes, source d'espoir et de confiance en l'avenir. En ce qui me concerne, dans la quotidienneté des missions gratifiantes mais ô combien difficiles, je m'attèle, en permanence, à servir le Sénégal en accompagnant mes sœurs et frères vers une meilleure qualité de vie.
J'ai choisi la difficulté, en refusant le scénario de la facilité. J'ai accepté les missions qui m'ont été confiées jusque-là, pour avoir l’opportunité de mieux servir mon pays.
Le travail nous occupe nuit et jour et nous sommes conscients qu'il reste beaucoup à réaliser encore, pour la création des emplois, la réduction du coût de la vie, l’éradication de la pauvreté, l'accès aux logements sociaux, la construction d'infrastructures, un meilleur environnement pour la compétitivité de nos entreprises pour l’émergence définitive du Sénégal du futur. A côté des millions de Sénégalais, nous participons quotidiennement à relever le défi.
Je vis pleinement, tout comme l’ensemble des responsables de ce pays, la double préoccupation majeure de la solution définitive au récurrent problème de la fourniture régulière et suffisante de l’électricité dans les ménages et les entreprises ainsi que l'amélioration quantitative et qualitative du panier de la ménagère.
Lors des événements passés, il n’y a certes pas eu mort d’homme, mais il faut sincèrement déplorer, vivement regretter et fermement sanctionner les scènes de pillages, les actes de banditisme et de profanation des lieux de culte. Nous avons le droit de manifester ; mais nous n’avons pas le droit de saccager les biens d’autrui encore moins de piller.
Nous avons la profonde conviction que la démocratie sénégalaise en sortira toujours grandie et renforcée. Désormais, il y a un avant et un après 23 juin. Ce message ne peut être ignoré ni par le pouvoir, ni par l’opposition. Notre formation politique, le PDS, et nos alliés ne peuvent faire autre chose que de consolider les acquis démocratiques de Léopold Sédar Senghor, d’Abdou Diouf et de Me Abdoulaye Wade.
N’en déplaisent aux magiciens de la désinformation, aux adeptes de la propagande politique, aux manipulateurs de l’opinion publique nationale et internationale, nous disons avec force et conviction que le sentiment démocratique est très fort ici. Chez nous, il n’y a qu’un seul et unique chemin pour accéder au pouvoir : celui des urnes. Au Sénégal, en France, en Angleterre, aux Etats-Unis et dans toutes les démocraties, le pouvoir ne s’hérite pas, il se conquiert par la voix des urnes.
En conclusion, il nous faut renouveler notre ambition pour le Sénégal, en compagnie de citoyens simples et droits, courageux et travailleurs, issus des centres urbains, de la banlieue et des zones rurales et avec tous les millions d’hommes, de jeunes et de femmes qui nourrissent autant d’amour et de passion pour notre cher Sénégal.
Fait à Dakar, le 03 juillet 2011
Karim Wade
Kali
En Mars, 2013 (16:54 PM)Elparigo
En Mars, 2013 (16:55 PM)Les plus
- +Salle archicomble
- +Dj Boubs magistral
- +Pape Diouf très sobre
- +Pape Ndiaye THiopet
- +Titi (Robe de soirée très parisienne)
Les moins
- - Le face à face entre les lutteurs
- -Les danseurs
- - La sécurité
- - Mbaye Dieye Faye
- -Amina Pote
- -Le prix des billets
Sokoorrr Bakhul
En Mars, 2013 (16:56 PM)From Zion
En Mars, 2013 (16:59 PM)Idirisssssa
En Mars, 2013 (17:00 PM)La Rupture
En Mars, 2013 (17:01 PM)La vérité appartient à celui qui ose la dire. En réponse aux REWMISTES et pour éclairer les sénégalais sur les raisons qui poussent Mr IDRISSA SECK à poser certains actes allant dans le sens de divertir la galerie. Pourquoi IDY est-il pressé ? Pourquoi pose-t-il ses actes ?
Nous tenons à rappeler qu’IDY, qui a rencontré son père spirituel de Wade au moment où ses frères de parti déposaient sa candidature et qui l’a maintenu comme ils le disent en 2007, avait bien dit, nous le citons : « J’espère que dans le courant de ma vie personne n’aura l’occasion de me voir être candidat contre Me wade à une élection présidentielle. Je l’ai dit et redis et Abdoulaye Wade étant candidat aux élections de 2007, IDY n’y sera pas ; s’il l’est en 2012, Idy n’y serait pas (…).Je me suis engagé à ne jamais compétir (un verbe qui n’existe pas en français d’ailleurs) à une élection contre WADE ». En ce moment l’histoire politique du Sénégal à basculer en faveur de Wade et c’est ce qui a valu à IDY ses 17%. IL était bien parti pour les gagner mais son attitude de caméléon lui a causé du tort. Cette attitude s’est répétée en 2010 avec son entrée au CD du pds pour dit-il attaquer la candidature de Wade .Ces démarches politiciennes nous poussent à croire que IDY est un homme d’intérêt qui ne pense qu’à lui seul. C’est un homme suffisant et régionaliste et un traitre de première classe qui cultive le mensonge pour berner les sénégalais. Son comportement ne nous surprend guère, nous vous rappelons qu’en 2001, alors que le président MOUSTAPHA NIASSE venait de faire 11 mois de primature, IDY avait manœuvré pour casser la dynamique de FAL 2000 ; ce qui est arrivé. Ces lobbyings ne se sont pas arrêtés là, il a continué jusqu’à être PM du Sénégal. Aussi lors de son discours de politique général, il a essayé de donner une leçon non sue aux députés pour dire qu’ au Sénégal les feux sont au rouge et avec lui ils seront au vert., ce qu’ il n’a pas fait. Les sénégalais seront d’accord avec nous pour dire qu’avec l’avènement de MACKY à la primature que tous les chantiers de wade sont sortis de terre ; nous pouvons le constater. Le président Wade l’a dit à FATICK : « DA MA DONE DIENDE KHALE ME BOUMA DIEU RE BAKHOULE ME BALMA TANNE BI (il a levé la main de MACKY) CI LA KHAMNI BI MO BAKHE ». Sénégalais, je vous confie MACKY pour gérer le pays. Donc nous pouvons dire et certifier que MACKY n’est pas l’égal de IDY car l’ayant battu à deux reprises en 2007 en tant que directeur de campagne et en 2012 en tant que candidat. Ces démarches qui lui ont valu le manque de confiance des sénégalais reviennent sur la table avec ses sorties à la je suis présent pour narguer encore une fois le peuple. IDY veut jouer au plus malin, il veut être renvoyé par MACKY dans la coalition pour avoir la sympathie du peuple ; mais son jeu est compris .Ce qui lui pousse à faire ses déclarations. IL(IDY) est dans sa logique, c’est son droit le plus absolu ; de vouloir être le futur Président de la République du Sénégal car pour revenir à son fameux discours : « 2022 est l’année où je dois prendre ma retraire politique et les sénégalais n’auront pas la chance de me voir diriger le pays » disait-il. Sa dernière carte c’est les élections de 2017 pour s’éviter du WAKH WAKHETE. Voila les raisons qui poussent IDY à poser ses actes. IL est entrain de jouer ses dernières cartes. Que les sénégalais le prennent pour dit, rien d’autre. Cet homme ne travaillera jamais pour la réussite de MACKY. IL fera de telle sorte que le Président de la République MACKY SALL échoue pour pouvoir accomplir son rêve d’enfant (je suis né pour être Président de la République) en 2017.
Xalassatie
En Mars, 2013 (17:05 PM)Daouda
En Mars, 2013 (17:05 PM)Malaminne
En Mars, 2013 (17:13 PM)Inchallah en 2017 tu as ma carte
Virustic
En Mars, 2013 (17:18 PM)MAIS ET LES FONDS POLITIQUES QU'IL A BOUFFES?
C'EST LUI-MÊME QUI A LÂCHE LE MORCEAU.
Nian
En Mars, 2013 (17:22 PM)Idy
En Mars, 2013 (17:26 PM)De ces agressions « physiques, politiques, personnelles et judiciaires », Idrissa Seck n’en est certainement pas sorti indemne. Il a dû résister face à l’offensive. Il a dû s’entourer de toutes les garanties pour se battre dignement. Il a été alors peint comme un homme qui ne s’intéressait pas aux vécus de ses compatriotes, hautin, pressé, inaccessible et intéressé que par la station présidentielle. Que de faux préjugés pour un homme qui très tôt s’est engagé dans la défense des intérêts collectifs et dans l’éclosion des talents individuels. « Les lignes de connexion entre lui et ses compatriotes » ont été ainsi brisées par cette tentative d’isolement réussie en partie. Mais « Allah a rendu vaines leurs manœuvres. Allah a rendu vaines leurs ruses » et la vérité, loin des fausses certitudes, s’entrevoit de jour en jour.
Pour cause, cet homme politique décrit comme une personne qui se suffit à lui-même, n’a jamais varié dans ses positions. Il s’est battu pendant plus de trente années à côté d’un homme et pour des valeurs. Et quand son ancienne formation politique a commencé à dévier de son idéal de changement, il n’a pas hésité à se lever et à leur dire la vérité. Il n’a pas hésité à se démarquer même au risque d’anéantir ses ambitions politiques et de se mettre à dos un puissant système. Il a toujours choisi d’être loyal d’abord vis-à-vis de lui-même, et ensuite par rapport aux valeurs qu’on lui a inculquées depuis son enfance. Pour lui « la loyauté n’est pas synonyme de génuflexion ». La vérité est toujours à dire.
Ce fut le cas quand, utilisant un métaphore, il avait fait comprendre à Karim Wade fils d’Adoulaye Wade qu’il ne devait en aucun cas se prévaloir des prérogatives de son père pour prétendre nourrir des ambitions politiques au risque de se mettre sur le banc des accusés et de se retrouver pendu. Le père rapportant cette discussion à un de leurs amis communs déclara que « Mara avait parlé à Karim en grand frère ». Il en serait aujourd’hui autrement si le Pére et le fils l’avaient écouté.
Ce fut aussi le cas quand on a voulu qu’il défende des projets chimériques alors qu’il a toujours refusé de « défendre l’indéfendable ». On se souvient encore de ce coup de fil en pleine déclaration de politique générale lui intiment l’ordre de parler des « éléphants blancs du Président ». Ce qu’il avait catégoriquement refusé.
Ce fut le cas lorsque, la machine de la dévolution monarchique du pouvoir, soubassement de ses problèmes politiques qui lui a valu six mois de détention arbitraire, a été lancée et qu’il s’y était opposée et qu’on lui prêtait de vouloir organiser un « coup d’état assis, rampant et puis debout ».
Ce fut encore le cas, alors qu’il était seul au comité directeur du PDS, et qu’il s’était opposé, avec des arguments solides, à la troisième candidature de trop et anticonstitutionnelle de Abdoulaye Wade. Seul devant tous, il avait fait entendre une voix discordante qui ne disait rien d’autre que la vérité que les autres ne méprenaient pas mais qu’ils ne voulaient pas entendre.
Pour tous ces combats politiques, il a été d’abord décrié, rabroué, dénigré avant d’y être rejoint par d’autres franges de la classe politique sénégalaise qui ont tenté elles aussi de le mettre à l’écart. « Condamner le blâmable et approuver le convenable » a toujours été son credo et continuera certainement de guider ses actions politiques.
S’il faut encore le rappeler, Idrissa Seck est un homme politique aguerri. Aux côtés de Abdoulaye pendant plus de trois décennies, avoir été son Directeur de Campagne en 1998 et en 2000, il connaît bien les rouages de la politique sénégalaise et ne peut ni se prendre pour un Président avant l’heure ni méconnaître ses obligations entant que leader politique. Toute nouvelle situation appelle nécessairement une nouvelle conscience. C’est ce qu’il voulait faire comprendre aux uns et aux autres lors de sa déclaration du dernier jour de la campagne présidentielle du Février 2012 en affirmant qu’il était de loin mieux outillé que les autres candidats en liste pour battre campagne jusque dans les fins fonds du Sénégal, mais qu’il avait préféré rester à la place de l’indépendance pour continuer la bataille de principe qu’il avait commencée avant tout le monde et bien avant le 23 Juin 2011.
« Guddi bo guiss beutieuk laay waadjal ».
Aujourd’hui, il décide d’aller rencontrer ses compatriotes et leur parler afin de rétablir la vérité. Il y a eu beaucoup d’incompréhension, beaucoup de fausses interprétations, mais point de maladresses comme veulent le faire croire ou le croient certains. L’homme était la cible d’un régime de hors la loi et il lui fallait déployer toute une stratégie pour continuer à exister politiquement tout en se gardant de faire dans les compromis ou compromissions. Ce que nous devrons retenir est que son idéal politique s’adosse sur la morale et la religion au service exclusif des intérêts communs. Pour cela, il sera toujours combattu, mais nous espérons qu’il restera toujours DEBOUT, aidé en cela par d’autres citoyens épris de justice et de vérité, puisque nulle ne doute que le Sénégal a besoin de lui et lui du Sénégal pour un Etat républicain fort, libéré des comploteurs et respecté dans le monde.
Quand on évoque l’histoire, des exemples ne manquent pas pour démontrer cette voie que Mara s’était tracée avant et surtout après l’accession du PDS au pouvoir en 2000. Il n’est jamais tombé dans l’ivresse du pouvoir. Il est resté fidèle à sa posture de départ et encré dans la défense du bien commun. Quand par exemple l’autre lui avait rappelé le code des Grands Bandits qui ne se « manifestent qu’au moment du partage du butin », lui préférait lui rappeler les paroles divines sur le partage du butin qui devrait revenir « aux nécessiteux, aux voyageurs en détresse, aux orphelins, … », bref aux masses défavorisées. « Encore tes versets » lui avait-il lancé, « toujours mes versets » lui avait répondu Idy. Le fossé s’était très tôt creusé et il fallait alors l’anéantir politiquement. Il gênait. La machine à embastiller et à calomnier a alors été lancée, l’argument de l’enrichissement illicite utilisé, des fouilles jusque dans des fosses sceptiques qui n’ont rien pu démontrer, organisées. Des jeux vidéo brandis comme des preuves.
De ces agressions « physiques, politiques, personnelles et judiciaires », Idrissa Seck n’en est certainement pas sorti indemne. Il a dû résister face à l’offensive. Il a dû s’entourer de toutes les garanties pour se battre dignement. Il a été alors peint comme un homme qui ne s’intéressait pas aux vécus de ses compatriotes, hautin, pressé, inaccessible et intéressé que par la station présidentielle. Que de faux préjugés pour un homme qui très tôt s’est engagé dans la défense des intérêts collectifs et dans l’éclosion des talents individuels. « Les lignes de connexion entre lui et ses compatriotes » ont été ainsi brisées par cette tentative d’isolement réussie en partie. Mais « Allah a rendu vaines leurs manœuvres. Allah a rendu vaines leurs ruses » et la vérité, loin des fausses certitudes, s’entrevoit de jour en jour.
Pour cause, cet homme politique décrit comme une personne qui se suffit à lui-même, n’a jamais varié dans ses positions. Il s’est battu pendant plus de trente années à côté d’un homme et pour des valeurs. Et quand son ancienne formation politique a commencé à dévier de son idéal de changement, il n’a pas hésité à se lever et à leur dire la vérité. Il n’a pas hésité à se démarquer même au risque d’anéantir ses ambitions politiques et de se mettre à dos un puissant système. Il a toujours choisi d’être loyal d’abord vis-à-vis de lui-même, et ensuite par rapport aux valeurs qu’on lui a inculquées depuis son enfance. Pour lui « la loyauté n’est pas synonyme de génuflexion ». La vérité est toujours à dire.
Ce fut le cas quand, utilisant un métaphore, il avait fait comprendre à Karim Wade fils d’Adoulaye Wade qu’il ne devait en aucun cas se prévaloir des prérogatives de son père pour prétendre nourrir des ambitions politiques au risque de se mettre sur le banc des accusés et de se retrouver pendu. Le père rapportant cette discussion à un de leurs amis communs déclara que « Mara avait parlé à Karim en grand frère ». Il en serait aujourd’hui autrement si le Pére et le fils l’avaient écouté.
Ce fut aussi le cas quand on a voulu qu’il défende des projets chimériques alors qu’il a toujours refusé de « défendre l’indéfendable ». On se souvient encore de ce coup de fil en pleine déclaration de politique générale lui intiment l’ordre de parler des « éléphants blancs du Président ». Ce qu’il avait catégoriquement refusé.
Ce fut le cas lorsque, la machine de la dévolution monarchique du pouvoir, soubassement de ses problèmes politiques qui lui a valu six mois de détention arbitraire, a été lancée et qu’il s’y était opposée et qu’on lui prêtait de vouloir organiser un « coup d’état assis, rampant et puis debout ».
Ce fut encore le cas, alors qu’il était seul au comité directeur du PDS, et qu’il s’était opposé, avec des arguments solides, à la troisième candidature de trop et anticonstitutionnelle de Abdoulaye Wade. Seul devant tous, il avait fait entendre une voix discordante qui ne disait rien d’autre que la vérité que les autres ne méprenaient pas mais qu’ils ne voulaient pas entendre.
Pour tous ces combats politiques, il a été d’abord décrié, rabroué, dénigré avant d’y être rejoint par d’autres franges de la classe politique sénégalaise qui ont tenté elles aussi de le mettre à l’écart. « Condamner le blâmable et approuver le convenable » a toujours été son credo et continuera certainement de guider ses actions politiques.
S’il faut encore le rappeler, Idrissa Seck est un homme politique aguerri. Aux côtés de Abdoulaye pendant plus de trois décennies, avoir été son Directeur de Campagne en 1998 et en 2000, il connaît bien les rouages de la politique sénégalaise et ne peut ni se prendre pour un Président avant l’heure ni méconnaître ses obligations entant que leader politique. Toute nouvelle situation appelle nécessairement une nouvelle conscience. C’est ce qu’il voulait faire comprendre aux uns et aux autres lors de sa déclaration du dernier jour de la campagne présidentielle du Février 2012 en affirmant qu’il était de loin mieux outillé que les autres candidats en liste pour battre campagne jusque dans les fins fonds du Sénégal, mais qu’il avait préféré rester à la place de l’indépendance pour continuer la bataille de principe qu’il avait commencée avant tout le monde et bien avant le 23 Juin 2011.
« Guddi bo guiss beutieuk laay waadjal ».
Aujourd’hui, il décide d’aller rencontrer ses compatriotes et leur parler afin de rétablir la vérité. Il y a eu beaucoup d’incompréhension, beaucoup de fausses interprétations, mais point de maladresses comme veulent le faire croire ou le croient certains. L’homme était la cible d’un régime de hors la loi et il lui fallait déployer toute une stratégie pour continuer à exister politiquement tout en se gardant de faire dans les compromis ou compromissions. Ce que nous devrons retenir est que son idéal politique s’adosse sur la morale et la religion au service exclusif des intérêts communs. Pour cela, il sera toujours combattu, mais nous espérons qu’il restera toujours DEBOUT, aidé en cela par d’autres citoyens épris de justice et de vérité, puisque nulle ne doute que le Sénégal a besoin de lui et lui du Sénégal pour un Etat républicain fort, libéré des comploteurs et respecté dans le monde.
Quand on évoque l’histoire, des exemples ne manquent pas pour démontrer cette voie que Mara s’était tracée avant et surtout après l’accession du PDS au pouvoir en 2000. Il n’est jamais tombé dans l’ivresse du pouvoir. Il est resté fidèle à sa posture de départ et encré dans la défense du bien commun. Quand par exemple l’autre lui avait rappelé le code des Grands Bandits qui ne se « manifestent qu’au moment du partage du butin », lui préférait lui rappeler les paroles divines sur le partage du butin qui devrait revenir « aux nécessiteux, aux voyageurs en détresse, aux orphelins, … », bref aux masses défavorisées. « Encore tes versets » lui avait-il lancé, « toujours mes versets » lui avait répondu Idy. Le fossé s’était très tôt creusé et il fallait alors l’anéantir politiquement. Il gênait. La machine à embastiller et à calomnier a alors été lancée, l’argument de l’enrichissement illicite utilisé, des fouilles jusque dans des fosses sceptiques qui n’ont rien pu démontrer, organisées. Des jeux vidéo brandis comme des preuves.
De ces agressions « physiques, politiques, personnelles et judiciaires », Idrissa Seck n’en est certainement pas sorti indemne. Il a dû résister face à l’offensive. Il a dû s’entourer de toutes les garanties pour se battre dignement. Il a été alors peint comme un homme qui ne s’intéressait pas aux vécus de ses compatriotes, hautin, pressé, inaccessible et intéressé que par la station présidentielle. Que de faux préjugés pour un homme qui très tôt s’est engagé dans la défense des intérêts collectifs et dans l’éclosion des talents individuels. « Les lignes de connexion entre lui et ses compatriotes » ont été ainsi brisées par cette tentative d’isolement réussie en partie. Mais « Allah a rendu vaines leurs manœuvres. Allah a rendu vaines leurs ruses » et la vérité, loin des fausses certitudes, s’entrevoit de jour en jour.
Pour cause, cet homme politique décrit comme une personne qui se suffit à lui-même, n’a jamais varié dans ses positions. Il s’est battu pendant plus de trente années à côté d’un homme et pour des valeurs. Et quand son ancienne formation politique a commencé à dévier de son idéal de changement, il n’a pas hésité à se lever et à leur dire la vérité. Il n’a pas hésité à se démarquer même au risque d’anéantir ses ambitions politiques et de se mettre à dos un puissant système. Il a toujours choisi d’être loyal d’abord vis-à-vis de lui-même, et ensuite par rapport aux valeurs qu’on lui a inculquées depuis son enfance. Pour lui « la loyauté n’est pas synonyme de génuflexion ». La vérité est toujours à dire.
Ce fut le cas quand, utilisant un métaphore, il avait fait comprendre à Karim Wade fils d’Adoulaye Wade qu’il ne devait en aucun cas se prévaloir des prérogatives de son père pour prétendre nourrir des ambitions politiques au risque de se mettre sur le banc des accusés et de se retrouver pendu. Le père rapportant cette discussion à un de leurs amis communs déclara que « Mara avait parlé à Karim en grand frère ». Il en serait aujourd’hui autrement si le Pére et le fils l’avaient écouté.
Ce fut aussi le cas quand on a voulu qu’il défende des projets chimériques alors qu’il a toujours refusé de « défendre l’indéfendable ». On se souvient encore de ce coup de fil en pleine déclaration de politique générale lui intiment l’ordre de parler des « éléphants blancs du Président ». Ce qu’il avait catégoriquement refusé.
Ce fut le cas lorsque, la machine de la dévolution monarchique du pouvoir, soubassement de ses problèmes politiques qui lui a valu six mois de détention arbitraire, a été lancée et qu’il s’y était opposée et qu’on lui prêtait de vouloir organiser un « coup d’état assis, rampant et puis debout ».
Ce fut encore le cas, alors qu’il était seul au comité directeur du PDS, et qu’il s’était opposé, avec des arguments solides, à la troisième candidature de trop et anticonstitutionnelle de Abdoulaye Wade. Seul devant tous, il avait fait entendre une voix discordante qui ne disait rien d’autre que la vérité que les autres ne méprenaient pas mais qu’ils ne voulaient pas entendre.
Pour tous ces combats politiques, il a été d’abord décrié, rabroué, dénigré avant d’y être rejoint par d’autres franges de la classe politique sénégalaise qui ont tenté elles aussi de le mettre à l’écart. « Condamner le blâmable et approuver le convenable » a toujours été son credo et continuera certainement de guider ses actions politiques.
S’il faut encore le rappeler, Idrissa Seck est un homme politique aguerri. Aux côtés de Abdoulaye pendant plus de trois décennies, avoir été son Directeur de Campagne en 1998 et en 2000, il connaît bien les rouages de la politique sénégalaise et ne peut ni se prendre pour un Président avant l’heure ni méconnaître ses obligations entant que leader politique. Toute nouvelle situation appelle nécessairement une nouvelle conscience. C’est ce qu’il voulait faire comprendre aux uns et aux autres lors de sa déclaration du dernier jour de la campagne présidentielle du Février 2012 en affirmant qu’il était de loin mieux outillé que les autres candidats en liste pour battre campagne jusque dans les fins fonds du Sénégal, mais qu’il avait préféré rester à la place de l’indépendance pour continuer la bataille de principe qu’il avait commencée avant tout le monde et bien avant le 23 Juin 2011.
« Guddi bo guiss beutieuk laay waadjal ».
Aujourd’hui, il décide d’aller rencontrer ses compatriotes et leur parler afin de rétablir la vérité. Il y a eu beaucoup d’incompréhension, beaucoup de fausses interprétations, mais point de maladresses comme veulent le faire croire ou le croient certains. L’homme était la cible d’un régime de hors la loi et il lui fallait déployer toute une stratégie pour continuer à exister politiquement tout en se gardant de faire dans les compromis ou compromissions. Ce que nous devrons retenir est que son idéal politique s’adosse sur la morale et la religion au service exclusif des intérêts communs. Pour cela, il sera toujours combattu, mais nous espérons qu’il restera toujours DEBOUT, aidé en cela par d’autres citoyens épris de justice et de vérité, puisque nulle ne doute que le Sénégal a besoin de lui et lui du Sénégal pour un Etat républicain fort, libéré des comploteurs et respecté dans le monde.
Quand on évoque l’histoire, des exemples ne manquent pas pour démontrer cette voie que Mara s’était tracée avant et surtout après l’accession du PDS au pouvoir en 2000. Il n’est jamais tombé dans l’ivresse du pouvoir. Il est resté fidèle à sa posture de départ et encré dans la défense du bien commun. Quand par exemple l’autre lui avait rappelé le code des Grands Bandits qui ne se « manifestent qu’au moment du partage du butin », lui préférait lui rappeler les paroles divines sur le partage du butin qui devrait revenir « aux nécessiteux, aux voyageurs en détresse, aux orphelins, … », bref aux masses défavorisées. « Encore tes versets » lui avait-il lancé, « toujours mes versets » lui avait répondu Idy. Le fossé s’était très tôt creusé et il fallait alors l’anéantir politiquement. Il gênait. La machine à embastiller et à calomnier a alors été lancée, l’argument de l’enrichissement illicite utilisé, des fouilles jusque dans des fosses sceptiques qui n’ont rien pu démontrer, organisées. Des jeux vidéo brandis comme des preuves.
De ces agressions « physiques, politiques, personnelles et judiciaires », Idrissa Seck n’en est certainement pas sorti indemne. Il a dû résister face à l’offensive. Il a dû s’entourer de toutes les garanties pour se battre dignement. Il a été alors peint comme un homme qui ne s’intéressait pas aux vécus de ses compatriotes, hautin, pressé, inaccessible et intéressé que par la station présidentielle. Que de faux préjugés pour un homme qui très tôt s’est engagé dans la défense des intérêts collectifs et dans l’éclosion des talents individuels. « Les lignes de connexion entre lui et ses compatriotes » ont été ainsi brisées par cette tentative d’isolement réussie en partie. Mais « Allah a rendu vaines leurs manœuvres. Allah a rendu vaines leurs ruses » et la vérité, loin des fausses certitudes, s’entrevoit de jour en jour.
Pour cause, cet homme politique décrit comme une personne qui se suffit à lui-même, n’a jamais varié dans ses positions. Il s’est battu pendant plus de trente années à côté d’un homme et pour des valeurs. Et quand son ancienne formation politique a commencé à dévier de son idéal de changement, il n’a pas hésité à se lever et à leur dire la vérité. Il n’a pas hésité à se démarquer même au risque d’anéantir ses ambitions politiques et de se mettre à dos un puissant système. Il a toujours choisi d’être loyal d’abord vis-à-vis de lui-même, et ensuite par rapport aux valeurs qu’on lui a inculquées depuis son enfance. Pour lui « la loyauté n’est pas synonyme de génuflexion ». La vérité est toujours à dire.
Ce fut le cas quand, utilisant un métaphore, il avait fait comprendre à Karim Wade fils d’Adoulaye Wade qu’il ne devait en aucun cas se prévaloir des prérogatives de son père pour prétendre nourrir des ambitions politiques au risque de se mettre sur le banc des accusés et de se retrouver pendu. Le père rapportant cette discussion à un de leurs amis communs déclara que « Mara avait parlé à Karim en grand frère ». Il en serait aujourd’hui autrement si le Pére et le fils l’avaient écouté.
Ce fut aussi le cas quand on a voulu qu’il défende des projets chimériques alors qu’il a toujours refusé de « défendre l’indéfendable ». On se souvient encore de ce coup de fil en pleine déclaration de politique générale lui intiment l’ordre de parler des « éléphants blancs du Président ». Ce qu’il avait catégoriquement refusé.
Ce fut le cas lorsque, la machine de la dévolution monarchique du pouvoir, soubassement de ses problèmes politiques qui lui a valu six mois de détention arbitraire, a été lancée et qu’il s’y était opposée et qu’on lui prêtait de vouloir organiser un « coup d’état assis, rampant et puis debout ».
Ce fut encore le cas, alors qu’il était seul au comité directeur du PDS, et qu’il s’était opposé, avec des arguments solides, à la troisième candidature de trop et anticonstitutionnelle de Abdoulaye Wade. Seul devant tous, il avait fait entendre une voix discordante qui ne disait rien d’autre que la vérité que les autres ne méprenaient pas mais qu’ils ne voulaient pas entendre.
Pour tous ces combats politiques, il a été d’abord décrié, rabroué, dénigré avant d’y être rejoint par d’autres franges de la classe politique sénégalaise qui ont tenté elles aussi de le mettre à l’écart. « Condamner le blâmable et approuver le convenable » a toujours été son credo et continuera certainement de guider ses actions politiques.
S’il faut encore le rappeler, Idrissa Seck est un homme politique aguerri. Aux côtés de Abdoulaye pendant plus de trois décennies, avoir été son Directeur de Campagne en 1998 et en 2000, il connaît bien les rouages de la politique sénégalaise et ne peut ni se prendre pour un Président avant l’heure ni méconnaître ses obligations entant que leader politique. Toute nouvelle situation appelle nécessairement une nouvelle conscience. C’est ce qu’il voulait faire comprendre aux uns et aux autres lors de sa déclaration du dernier jour de la campagne présidentielle du Février 2012 en affirmant qu’il était de loin mieux outillé que les autres candidats en liste pour battre campagne jusque dans les fins fonds du Sénégal, mais qu’il avait préféré rester à la place de l’indépendance pour continuer la bataille de principe qu’il avait commencée avant tout le monde et bien avant le 23 Juin 2011.
« Guddi bo guiss beutieuk laay waadjal ».
Aujourd’hui, il décide d’aller rencontrer ses compatriotes et leur parler afin de rétablir la vérité. Il y a eu beaucoup d’incompréhension, beaucoup de fausses interprétations, mais point de maladresses comme veulent le faire croire ou le croient certains. L’homme était la cible d’un régime de hors la loi et il lui fallait déployer toute une stratégie pour continuer à exister politiquement tout en se gardant de faire dans les compromis ou compromissions. Ce que nous devrons retenir est que son idéal politique s’adosse sur la morale et la religion au service exclusif des intérêts communs. Pour cela, il sera toujours combattu, mais nous espérons qu’il restera toujours DEBOUT, aidé en cela par d’autres citoyens épris de justice et de vérité, puisque nulle ne doute que le Sénégal a besoin de lui et lui du Sénégal pour un Etat républicain fort, libéré des comploteurs et respecté dans le monde.
Quand on évoque l’histoire, des exemples ne manquent pas pour démontrer cette voie que Mara s’était tracée avant et surtout après l’accession du PDS au pouvoir en 2000. Il n’est jamais tombé dans l’ivresse du pouvoir. Il est resté fidèle à sa posture de départ et encré dans la défense du bien commun. Quand par exemple l’autre lui avait rappelé le code des Grands Bandits qui ne se « manifestent qu’au moment du partage du butin », lui préférait lui rappeler les paroles divines sur le partage du butin qui devrait revenir « aux nécessiteux, aux voyageurs en détresse, aux orphelins, … », bref aux masses défavorisées. « Encore tes versets » lui avait-il lancé, « toujours mes versets » lui avait répondu Idy. Le fossé s’était très tôt creusé et il fallait alors l’anéantir politiquement. Il gênait. La machine à embastiller et à calomnier a alors été lancée, l’argument de l’enrichissement illicite utilisé, des fouilles jusque dans des fosses sceptiques qui n’ont rien pu démontrer, organisées. Des jeux vidéo brandis comme des preuves.
De ces agressions « physiques, politiques, personnelles et judiciaires », Idrissa Seck n’en est certainement pas sorti indemne. Il a dû résister face à l’offensive. Il a dû s’entourer de toutes les garanties pour se battre dignement. Il a été alors peint comme un homme qui ne s’intéressait pas aux vécus de ses compatriotes, hautin, pressé, inaccessible et intéressé que par la station présidentielle. Que de faux préjugés pour un homme qui très tôt s’est engagé dans la défense des intérêts collectifs et dans l’éclosion des talents individuels. « Les lignes de connexion entre lui et ses compatriotes » ont été ainsi brisées par cette tentative d’isolement réussie en partie. Mais « Allah a rendu vaines leurs manœuvres. Allah a rendu vaines leurs ruses » et la vérité, loin des fausses certitudes, s’entrevoit de jour en jour.
Pour cause, cet homme politique décrit comme une personne qui se suffit à lui-même, n’a jamais varié dans ses positions. Il s’est battu pendant plus de trente années à côté d’un homme et pour des valeurs. Et quand son ancienne formation politique a commencé à dévier de son idéal de changement, il n’a pas hésité à se lever et à leur dire la vérité. Il n’a pas hésité à se démarquer même au risque d’anéantir ses ambitions politiques et de se mettre à dos un puissant système. Il a toujours choisi d’être loyal d’abord vis-à-vis de lui-même, et ensuite par rapport aux valeurs qu’on lui a inculquées depuis son enfance. Pour lui « la loyauté n’est pas synonyme de génuflexion ». La vérité est toujours à dire.
Ce fut le cas quand, utilisant un métaphore, il avait fait comprendre à Karim Wade fils d’Adoulaye Wade qu’il ne devait en aucun cas se prévaloir des prérogatives de son père pour prétendre nourrir des ambitions politiques au risque de se mettre sur le banc des accusés et de se retrouver pendu. Le père rapportant cette discussion à un de leurs amis communs déclara que « Mara avait parlé à Karim en grand frère ». Il en serait aujourd’hui autrement si le Pére et le fils l’avaient écouté.
Ce fut aussi le cas quand on a voulu qu’il défende des projets chimériques alors qu’il a toujours refusé de « défendre l’indéfendable ». On se souvient encore de ce coup de fil en pleine déclaration de politique générale lui intiment l’ordre de parler des « éléphants blancs du Président ». Ce qu’il avait catégoriquement refusé.
Ce fut le cas lorsque, la machine de la dévolution monarchique du pouvoir, soubassement de ses problèmes politiques qui lui a valu six mois de détention arbitraire, a été lancée et qu’il s’y était opposée et qu’on lui prêtait de vouloir organiser un « coup d’état assis, rampant et puis debout ».
Ce fut encore le cas, alors qu’il était seul au comité directeur du PDS, et qu’il s’était opposé, avec des arguments solides, à la troisième candidature de trop et anticonstitutionnelle de Abdoulaye Wade. Seul devant tous, il avait fait entendre une voix discordante qui ne disait rien d’autre que la vérité que les autres ne méprenaient pas mais qu’ils ne voulaient pas entendre.
Pour tous ces combats politiques, il a été d’abord décrié, rabroué, dénigré avant d’y être rejoint par d’autres franges de la classe politique sénégalaise qui ont tenté elles aussi de le mettre à l’écart. « Condamner le blâmable et approuver le convenable » a toujours été son credo et continuera certainement de guider ses actions politiques.
S’il faut encore le rappeler, Idrissa Seck est un homme politique aguerri. Aux côtés de Abdoulaye pendant plus de trois décennies, avoir été son Directeur de Campagne en 1998 et en 2000, il connaît bien les rouages de la politique sénégalaise et ne peut ni se prendre pour un Président avant l’heure ni méconnaître ses obligations entant que leader politique. Toute nouvelle situation appelle nécessairement une nouvelle conscience. C’est ce qu’il voulait faire comprendre aux uns et aux autres lors de sa déclaration du dernier jour de la campagne présidentielle du Février 2012 en affirmant qu’il était de loin mieux outillé que les autres candidats en liste pour battre campagne jusque dans les fins fonds du Sénégal, mais qu’il avait préféré rester à la place de l’indépendance pour continuer la bataille de principe qu’il avait commencée avant tout le monde et bien avant le 23 Juin 2011.
« Guddi bo guiss beutieuk laay waadjal ».
Aujourd’hui, il décide d’aller rencontrer ses compatriotes et leur parler afin de rétablir la vérité. Il y a eu beaucoup d’incompréhension, beaucoup de fausses interprétations, mais point de maladresses comme veulent le faire croire ou le croient certains. L’homme était la cible d’un régime de hors la loi et il lui fallait déployer toute une stratégie pour continuer à exister politiquement tout en se gardant de faire dans les compromis ou compromissions. Ce que nous devrons retenir est que son idéal politique s’adosse sur la morale et la religion au service exclusif des intérêts communs. Pour cela, il sera toujours combattu, mais nous espérons qu’il restera toujours DEBOUT, aidé en cela par d’autres citoyens épris de justice et de vérité, puisque nulle ne doute que le Sénégal a besoin de lui et lui du Sénégal pour un Etat républicain fort, libéré des comploteurs et respecté dans le monde.
Boye
En Mars, 2013 (17:27 PM)La Replique
En Mars, 2013 (17:28 PM)Delo Ziaaar
En Mars, 2013 (17:28 PM)C'est une immense opportunité que vous m avez donné pour être le premier à commenter dans cette publication et je veux vraiment vous dire merci, merci infiniment, je n oublierais jamais ce moment particulier.
Je tiens tous à vous remercier, mais surtout je veux aussi vous dire à tous que dans la mesure ou le fond de mon coeur ne perd jamais ce sentiment que beaucoup ne peuvent pas lire ce message comme long et banale mais je ne m inquiète pas je suis tres heureux de cet évènement
oh j'allais oublier je tiens aussi à remercier mes ex-amis, mes ex petites-amies, mes ennemies, les brutes de ma classe et je sais que je ne suis pas stupide comme eux.
j'aimerais dire plus mais je n ai pas beaucoup de temps tous ces quelques mots expriment mes plus grands sentiments, merci à tout ce qui ont pris le temps de lire ce commentaire, MERCI BEAUCOUP!
Kou Wakh Fégne
En Mars, 2013 (17:30 PM)diagna ndiaye ...................koumou laye fatéli
Baba DIAW............................hahahaha
la bande des 4 mousquetaires s'est enfin révélée. il ne manque que le grand escroc et assassin WADE himself et leur trait commun
c'est d'étre tous des FRANC.............MAçONS
Lady
En Mars, 2013 (17:33 PM)Jokko
En Mars, 2013 (17:34 PM)NB: Tous les deux (Wade & Seck) regrettent beaucoup de s'étre fichu de la gueule des sénégalais
Bg
En Mars, 2013 (17:36 PM)ILS NOUS POMPENT LAIR AVEC LEURS HISTOIRE DE GUEVEL NIENIO LAOBE PAUVRE SENEGAL
NOUS VOULONS DES COMPETENCES DOU ELLES VIENNENT
merci
Xorompolle
En Mars, 2013 (17:46 PM)Citey
En Mars, 2013 (17:54 PM)Diez
En Mars, 2013 (18:04 PM)Du courage avec les remords le chemin est long
Bonduel
En Mars, 2013 (18:17 PM)Joe
En Mars, 2013 (18:28 PM)Deug
En Mars, 2013 (18:39 PM)Tarkhiss
En Mars, 2013 (18:50 PM)Le Camion
En Mars, 2013 (18:54 PM)Énigme
En Mars, 2013 (18:56 PM)Kouko meune, naniouko tékkil ngirr Yallah
Xl
En Mars, 2013 (18:59 PM)Zeus
En Mars, 2013 (19:48 PM)Faac
En Mars, 2013 (19:55 PM)Thug
En Mars, 2013 (20:12 PM)NB arretez vos trucs de niegno ou de griot si c pas macky avec les halpular ce idy.......basta et que chacun respect ce que l´autre EST
SALAM VIVE LE SENEGAL VIVE LA PAIX
Looser
En Mars, 2013 (20:52 PM)Boyfouta
En Mars, 2013 (21:56 PM)Falco
En Mars, 2013 (22:14 PM)Pourquoi en vouloir à une seule personne par la haine sous prétexte qu'il est voleur.
si ce Monsieur a pris vos milliards, mais mettez le en prison, que fait -il à l'air libre si réellement il est coupable d'un vol? vous poursuivez les autres pour enrichissement illicite , tandis que lui IDRISSA est llibre de tous ses mouvements
vous racontez du n'importe quoi sur le monsieur qui passe être le politicien le pus doué du senegal de sa génération
le pouvoir appartient à Dieu
Doro
En Mars, 2013 (23:10 PM)Gassama
En Mars, 2013 (02:48 AM)Guiss Guiss
En Mars, 2013 (05:57 AM)Sos
En Mars, 2013 (06:56 AM)Falcao
En Mars, 2013 (08:40 AM)Pourquoi en vouloir à une seule personne par la haine sous prétexte qu'il est voleur.
si ce Monsieur a pris vos milliards, mais mettez le en prison, que fait -il à l'air libre si réellement il est coupable d'un vol? vous poursuivez les autres pour enrichissement illicite , tandis que lui IDRISSA est llibre de tous ses mouvements
vous racontez du n'importe quoi sur le monsieur qui passe être le politicien le pus doué du senegal de sa génération
le pouvoir appartient à Dieu
Leer
En Mars, 2013 (08:44 AM)Sidiki Diouf
En Mars, 2013 (08:59 AM)Il est milliardaire et il menait une vie de riche en france. La preuve vous vous rappellez qu'il etait revenu de france rien que pour assister sa fille qui passait son examen. C'est la preuve que personne ne le me,açait et qu'il avait bel et bien de l'argent et jusque là il est milliardaire . Le mensonge ne fera pas de toi un president.
Fifi
En Mars, 2013 (09:16 AM)Deug
En Mars, 2013 (09:24 AM)Doni
En Mars, 2013 (09:34 AM)Avec Idy
En Mars, 2013 (21:52 PM)Diaz Pekin
En Mars, 2013 (05:34 AM)Cheikh Dakar
En Mars, 2013 (12:20 PM)Je voudrais prévenir les apéristes qu'ils parlent de rupture mais la manière de procéder par Monsieur SECK peut être considérée comme une rupture càd à chaque moment, les gens puissent se prononcer de la vie politique de la nation, même si cela n'arrange pas le Président. Sans cela, on tomberait comme dans le passé avec WADE.
Ayons le courage de dire non quant il le faut et d'appeler un chat un chat.
Si les partisans de Macky pensent qu'ils sont majoritaires dans ce pays, ils se trompent, leur coalition n'avait que 26% au premier et l'APR dans tout ça ?
Comme le dit l'adage, "mieux vaut prévenir que guérir" et heureusement le Président Macky SALL a compris cela contrairement à ces partisans qui ont fait une fixation sur les postes c'est à dire le parti avant la patrie.
REVEILLEZ VOUS, MESDAMES, MESSIEURS AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD.
A BON ENTENDEUR SALUT.
Landim
En Mars, 2013 (15:58 PM)Elevons le niveau de debats, le sens de la dignite impose.dehors la jalouise ,la mechantete et autres maladies mentales.
IDY est le meilleur de tous... afrontez lui au domaine des idees et projets pour le SENEGAL qui il aime plus qui n impporte quel d autre.
Coatch
En Mars, 2013 (17:17 PM)²diop
En Mars, 2013 (17:59 PM)@@@mexe@@@mboro
En Mars, 2013 (21:38 PM)Pap
En Mars, 2013 (15:46 PM)Fadasse
En Mars, 2013 (17:39 PM)Participer à la Discussion