La Dernière Tentation du Christ (The Last Temptation of Christ) est un film américain, réalisé par Martin Scorsese, sorti sur les écrans en 1988, adapté du roman éponyme de Nikos Kazantzakis, publié en 1955.
Synopsis :
Au moment d'expirer sur la croix, Jésus est tenté de trouver la vie dont il avait rêvé : une vie d'homme du commun.
Il cède à la tentation et dans cette vie, il est marié avec Marie Madeleine et est un père de famille. Devant la constatation que cette vie va dans le sens contraire de sa mission, Jésus remet tout en question et décide de mourir sur la croix pour « tout accomplir ».
Conséquences de la diffusion du film:
Le 23 octobre 1988,
Un groupe fondamentaliste catholique incendie une salle du cinéma Espace Saint-Michel à Paris pour protester contre la projection du film.
Cet attentat a fait quatorze blessés dont quatre sévères.
D'autres incendies seront perpétrés à la salle du Gaumont Opéra ainsi qu'à Besançon
Un autre attentat du même groupe a causé le décès d'un spectateur.
Prévu pour hier, le procès opposant Cheikh Yérim Seck et Ndèye Aïssata Tall est renvoyé jusqu’à mercredi prochain pour la convocation des témoins. Poursuivi pour viol, le journaliste est retourné au fond de sa cellule où il méditera sur son sort.
Le moment tant attendu arriva. L’affaire numéro 60, inscrite sur le rôle du tribunal des flagrants délits de Dakar, est enfin appelée par le juge. Tous les regards se braquent vers le box des accusés pour immortaliser cet instant. Car, le prévenu a eu la chance de n’être pas installé dans le box tout comme les autres mis en cause. Il était en attente dans le couloir. A-t-il évité de se mettre en face de ses parents, amis, sympathisants, curieux et…en face de Ndèye Aïssata Tall? Celle-là qu’il ambitionnait de prendre comme «troisième épouse». Seul le journaliste peut répondre à cette question que se posait l’assistance. Et, pour la première fois depuis son arrestation par les hommes de la gendarmerie de Ngor, suite à l’éclatement de l’affaire de viol dont il est poursuivi sur la fille du magistrat Boubou Diouf Tall, Cheikh Yérim Seck apparait en public. L’administrateur du site Dakaractu.com arpente les marches des escaliers du box des accusés pour rejoindre la barre du tribunal. Drapé d’un caftan bleu ciel qui, mouillé par sa sueur du fait de la forte chaleur qui a envahi la salle, avec des babouches beiges, une montre marron bien serrée autour du poignet de sa main gauche, Cheikh Yérim Seck n’a pas l’air d’être ébranlé par la charge qui pèse sur lui ainsi que le public venu rien que pour ce procès qui fait couler beaucoup d’encre et qui alimente les débats dans les chaumières. En fait, la salle 1 du tribunal des flagrants délits de Dakar, pleine comme un œuf, a été hier le lieu de convergence de nombreuses personnes. Devant la barre faisant face aux juges, le mis en cause distribue des sourires à tout va surtout à Me Aly Fall, un de ses avocats, avec qui il discute à voix basse. La mine sereine, Cheikh Yérim Seck ne laisse rien apparaitre. De temps en autre, il se retourne et jette des coups d’œil à l’assistance. Quelques minutes après, la victime, Ndèye Aïssata Tall, est appelée à la barre. Le pool d’avocats de la défense et ceux de la partie civile les rejoignent. Le fait est inédit. Le journaliste est tout près de son accusatrice. Seulement, Me Borso Pouye, conseil de la fille, s’est mise entre eux. Ils ne se regardent même pas. Ndèye Aïssata Tall a les yeux rivés sur les juges et les avocats. Le tract se lit sur son visage. Pourtant, à son entrée dans la salle avant le début des audiences, des murmures se faisaient entendre. « Waouh, elle est plus belle dans la photo ! Vous avez vu son teint, elle est plus claire. Elle est classe», commente quelqu’un dans le public. La plaignante, en bonne mine, a été accompagnée par son avocat Me Moustapha Diop et le sociologue Hadiya Tandian. Elle sera installée dans une des chaises jouxtant celles des conseils. Habillée à la parisienne, Ndèye Aïssata Tall est bien dans son pantalon jeans bleu avec une veste près-du-corps de couleur marron tabac et un haut saumon. Une fine manucure, le greffage dégagé en arrière. Sa mère, emmitouflée dans un grand boubou rose fuchsia, la tête enveloppée par grand foulard rouge avec des rayures vertes, est assise à côté d’elle. Sa grande sœur à qui elle a confié en premier sa mésaventure, Adja Diouma Ngala Tall, est aussi à côté. Elles lui remontent le moral avant qu’elle ne fasse face au tribunal.
Dans une émission télé, l’ami de Cheikh Yérim Seck, Dj Boubs, qui était choisi pour témoigner sur la personne du coproducteur de « Un café avec », un téléfilm dont il est l’acteur principal, affirmait que son ami ne sait pas se tenir sur place. Une chose qui semble se confirmer, hier, dans la salle d’audience. Soixantième, sur le rôle du jour, Cheikh Yérim a dû poireauter dehors, avant que son nom ne soit appelé par le président du Tribunal, pendant la mise en état. Ainsi, est-il arrivé dans une salle archicomble, jetant un regard vif, à gauche et à droite, avant d’arriver devant la barre des flagrants délits. De temps en temps, l’un de ses d’avocats constitués en pool, venait lui chuchoter quelques mots à l’oreille. Seulement, Yérim, à côté de sa présumée victime, ne pouvait rester sur place. Il jetait un œil partout, peut-être, voulait-il savoir ceux qui étaient là pour lui prêter main forte, ou, confirmait-il la bougeotte dont son ami Boub’s lui prêtait. En tout cas, il a vécu la chaleur, au même titre que les autres. Son boubou traditionnel basin bleu bakha était tout imbibé de sa sueur. Cheikh a dépéri et ses yeux ont rougi, comme s’il n’a pas dormi, ces derniers temps, pouvait-on entendre dans la salle.
L’entourage de Serigne Basse Abdou Khadre, porte-parole du Khalif général des mourides dément l’information selon laquelle il aurait envoyé des émissaires au journaliste Cheikh Yérim Seck pour lui témoigner sa compassion.
Dakaractu.com a écrit que le journaliste poursuivi pour viol sur la fille du magistrat Boubou Diouf Tall aurait reçu la visite d’émissaires de Cheikh Basse Abdou Khadre, du porte-parole du Khalif général des mourides, Cheikh Sidy Makhtar Mbacké. Une information que dément formellement celui-ci dont l’entourage dit dans une précision envoyée au quotidien l’Observateur lu par Setal.net, n’avoir jamais envoyé qui que ce soit auprès de Yérim Seck .
La détention de Cheikh Yérim Seck à la chambre 43 du secteur des cadres et assimilés à Rebeuss est un «privilège injustifié» que dénoncent les avocats de la partie civile. Pour eux, le journaliste qui sera jugé, mercredi 19 septembre, est un «prisonnier sexuel de droit commun».
Connu pour sa fougue et sa hargne, Cheikh Yérim Seck était méconnaissable hier devant le juge. Lorsque son dossier est évoqué, il avance tranquillement à la barre, entouré des gardes pénitentiaires. Le regard jeté partout dans une salle d’audience pleine à craquer que les observateurs ont prise d’assaut dès les premières heures de la matinée. Celui qui criait à tort et à travers sur tous les plateaux de télévision pour défendre ses idées, se distingue, cette fois-ci, par un regard baissé et rivé entre ses jambes. A la limite, il ne voulait pas être vu comme la personne ayant commis la pire des inconvenances. De visu, le journaliste semble atteint par cette histoire de mœurs qui bouleverse sa vie. Son visage traduisait tout le sentiment d’une personne au mental affaibli. Sobrement drapé dans un grand boubou bleu, on sentait en lui cette soif de clamer haut et fort son «innocence».
De temps à autre, Cheikh Yérim Seck affiche un sourire forcé, pour cacher son amertume. Mais il est trahi par sa manière d’observer ce qui se passait dans la salle d’audience, ainsi que son comportement devant le juge. Lorsque le dossier est renvoyé en huitaine, il est retourné au box des prévenus en attendant d’être transféré à la Maison d’arrêt de Rebeuss jusqu’au 19 septembre.
Aujourd’hui, au moment où toutes les attentions sont rivées sur le renvoi du procès à mercredi prochain pour la comparution des témoins, un autre aspect du dossier fait l’objet de débat. Il s’agit de ce que les avocats de la prétendue victime appellent «privilège injustifié» du journaliste. Le violeur présumé de la jeune Aïssatou Tall est détenu au secteur des cadres et assimilés à la prison de Rebeuss. Il occupe la chambre 43 ou était détenu le maire de Sacré-Cœur Mermoz, Barthélemy Dias. Les conseils de la partie civile s’offusquent de ce traitement de faveur et estiment que ce dernier «doit être traité au même titre que les autres personnes prévenues de délit sexuel et détenues dans les lieux de droit commun, plutôt que dans le secteur des prisonniers politiques et des cadres». Me Borso Pouye va plus loin que ses confrères en qualifiant le prévenu de «violeur». Ce qui déclenchera la riposte de Me Aly Fall. Qui invite sa consœur à «modérer son langage».
Le report du procès de Cheikh Yérim Seck est pour la comparution des témoins clés de cette histoire. Ce n’est personne d’autre que le personnel du fameux lieu de rendez-vous, Keur Madamel. L’audience d’hier a été le théâtre d’une vive polémique. Les avocats de la partie civile étaient favorables à ce que le dossier soit plaidé séance tenante. Parce que la victime ne doit pas perdre sa virginité et sa pré-inscription, estiment-ils. Aïssatou Tall devrait rejoindre, hier soir, la France pour poursuivre ses études supérieures à Montpellier. «Les témoins ont déjà été entendus par la gendarmerie et leurs déclarations consignées dans le procès-verbal. La victime ne pourra pas sacrifier ses études», plaide Me Ousmane Sèye. La partie adverse voulait, de son côté, le report pour, notamment, «permettre aux avocats nouvellement constitués de prendre connaissance du dossier».
ECHOS DU PROCES
Le «certificat médical» de Aïssatou Tall indispose la défense
Les avocats de la défense ont déjà commencé à peaufiner leur stratégie pour tirer leur client des griffes de la justice. Interrogés sur le plan de défense, ils avancent leur position à s’attaquer au certificat médical qu’ils qualifient de complaisant. Pour Me Idrissa Sakho, ce document médical parle de «perforation de l’hymen sans préciser si celle-ci est récente ou ancienne». Mieux, le «saignement endo-vaginal évoqué dans le document est une notion vague en médecine qui nécessite la comparution d’un spécialiste». Objectif ? Expliquer au tribunal le sens que renferme des notions tel que «traumatisme» en médecine.
Les larmes des actrices de la série Un café avec…
Du monde, il n’en manquait pas au procès de Cheikh Yérim Seck, hier mercredi. Des célébrités ont, elles aussi, effectué le déplacement. Qui pour témoigner de leur soutien et affection au journaliste en ce moment douloureux. Qui pour satisfaire une certaine curiosité. Les personnalités du monde du sport, de la politique ont pris d’assaut les travées du palais de justice de Dakar tôt le matin. Un fait ayant marqué les observateurs : les actrices de la série diffusée sur la chaîne de télévision privée Tfm, Un café avec…, ne se sont pas fait raconter l’événement. Cathy Chimère et Lissa étaient en sanglots le temps de leur présence dans la salle d’audience. Après le renvoi, elles ont vite fait de se procurer un permis de visite pour s’entretenir avec celui qui fait partie des célèbres pensionnaires de la Mac de Rebeuss.
Cheikh Yérim lâché par les siens ?
La solidarité entre confrères n’a pas prévalu lors de la première comparution de Cheikh Yérim Seck. Ce qui taraude les uns et les autres, c’est pourquoi le journaliste n’a pas eu droit à un soutien de taille de la part des gens avec qui ils partagent la même corporation. Comme ce fut le cas lors du procès du journaliste écrivain Abdou Latif Coulibaly contre Thierno Ousmane Sy, dans l’affaire Sudatel. Notre confrère entretient-il de bonnes relations avec ses confrères ? Mystère ! Le constat a été général hier : aucun patron de presse n’a mis les pieds au tribunal. Cette attitude a des explications dont seuls les intéressés pourraient justifier. La forte mobilisation des forces de sécurité, comme il est de tradition lors de grands procès, n’était pas aussi de mise. «Ce dossier est une affaire simple comme toutes les autres histoires de viol», soutient-on.
La détention de Cheikh Yérim Seck à la chambre 43 du secteur des cadres et assimilés à Rebeuss est un «privilège injustifié» que dénoncent les avocats de la partie civile. Pour eux, le journaliste qui sera jugé, mercredi 19 septembre, est un «prisonnier sexuel de droit commun».
Connu pour sa fougue et sa hargne, Cheikh Yérim Seck était méconnaissable hier devant le juge. Lorsque son dossier est évoqué, il avance tranquillement à la barre, entouré des gardes pénitentiaires. Le regard jeté partout dans une salle d’audience pleine à craquer que les observateurs ont prise d’assaut dès les premières heures de la matinée. Celui qui criait à tort et à travers sur tous les plateaux de télévision pour défendre ses idées, se distingue, cette fois-ci, par un regard baissé et rivé entre ses jambes. A la limite, il ne voulait pas être vu comme la personne ayant commis la pire des inconvenances. De visu, le journaliste semble atteint par cette histoire de mœurs qui bouleverse sa vie. Son visage traduisait tout le sentiment d’une personne au mental affaibli. Sobrement drapé dans un grand boubou bleu, on sentait en lui cette soif de clamer haut et fort son «innocence».
De temps à autre, Cheikh Yérim Seck affiche un sourire forcé, pour cacher son amertume. Mais il est trahi par sa manière d’observer ce qui se passait dans la salle d’audience, ainsi que son comportement devant le juge. Lorsque le dossier est renvoyé en huitaine, il est retourné au box des prévenus en attendant d’être transféré à la Maison d’arrêt de Rebeuss jusqu’au 19 septembre.
Aujourd’hui, au moment où toutes les attentions sont rivées sur le renvoi du procès à mercredi prochain pour la comparution des témoins, un autre aspect du dossier fait l’objet de débat. Il s’agit de ce que les avocats de la prétendue victime appellent «privilège injustifié» du journaliste. Le violeur présumé de la jeune Aïssatou Tall est détenu au secteur des cadres et assimilés à la prison de Rebeuss. Il occupe la chambre 43 ou était détenu le maire de Sacré-Cœur Mermoz, Barthélemy Dias. Les conseils de la partie civile s’offusquent de ce traitement de faveur et estiment que ce dernier «doit être traité au même titre que les autres personnes prévenues de délit sexuel et détenues dans les lieux de droit commun, plutôt que dans le secteur des prisonniers politiques et des cadres». Me Borso Pouye va plus loin que ses confrères en qualifiant le prévenu de «violeur». Ce qui déclenchera la riposte de Me Aly Fall. Qui invite sa consœur à «modérer son langage».
Le report du procès de Cheikh Yérim Seck est pour la comparution des témoins clés de cette histoire. Ce n’est personne d’autre que le personnel du fameux lieu de rendez-vous, Keur Madamel. L’audience d’hier a été le théâtre d’une vive polémique. Les avocats de la partie civile étaient favorables à ce que le dossier soit plaidé séance tenante. Parce que la victime ne doit pas perdre sa virginité et sa pré-inscription, estiment-ils. Aïssatou Tall devrait rejoindre, hier soir, la France pour poursuivre ses études supérieures à Montpellier. «Les témoins ont déjà été entendus par la gendarmerie et leurs déclarations consignées dans le procès-verbal. La victime ne pourra pas sacrifier ses études», plaide Me Ousmane Sèye. La partie adverse voulait, de son côté, le report pour, notamment, «permettre aux avocats nouvellement constitués de prendre connaissance du dossier».
ECHOS DU PROCES
Le «certificat médical» de Aïssatou Tall indispose la défense
Les avocats de la défense ont déjà commencé à peaufiner leur stratégie pour tirer leur client des griffes de la justice. Interrogés sur le plan de défense, ils avancent leur position à s’attaquer au certificat médical qu’ils qualifient de complaisant. Pour Me Idrissa Sakho, ce document médical parle de «perforation de l’hymen sans préciser si celle-ci est récente ou ancienne». Mieux, le «saignement endo-vaginal évoqué dans le document est une notion vague en médecine qui nécessite la comparution d’un spécialiste». Objectif ? Expliquer au tribunal le sens que renferme des notions tel que «traumatisme» en médecine.
Les larmes des actrices de la série Un café avec…
Du monde, il n’en manquait pas au procès de Cheikh Yérim Seck, hier mercredi. Des célébrités ont, elles aussi, effectué le déplacement. Qui pour témoigner de leur soutien et affection au journaliste en ce moment douloureux. Qui pour satisfaire une certaine curiosité. Les personnalités du monde du sport, de la politique ont pris d’assaut les travées du palais de justice de Dakar tôt le matin. Un fait ayant marqué les observateurs : les actrices de la série diffusée sur la chaîne de télévision privée Tfm, Un café avec…, ne se sont pas fait raconter l’événement. Cathy Chimère et Lissa étaient en sanglots le temps de leur présence dans la salle d’audience. Après le renvoi, elles ont vite fait de se procurer un permis de visite pour s’entretenir avec celui qui fait partie des célèbres pensionnaires de la Mac de Rebeuss.
Cheikh Yérim lâché par les siens ?
La solidarité entre confrères n’a pas prévalu lors de la première comparution de Cheikh Yérim Seck. Ce qui taraude les uns et les autres, c’est pourquoi le journaliste n’a pas eu droit à un soutien de taille de la part des gens avec qui ils partagent la même corporation. Comme ce fut le cas lors du procès du journaliste écrivain Abdou Latif Coulibaly contre Thierno Ousmane Sy, dans l’affaire Sudatel. Notre confrère entretient-il de bonnes relations avec ses confrères ? Mystère ! Le constat a été général hier : aucun patron de presse n’a mis les pieds au tribunal. Cette attitude a des explications dont seuls les intéressés pourraient justifier. La forte mobilisation des forces de sécurité, comme il est de tradition lors de grands procès, n’était pas aussi de mise. «Ce dossier est une affaire simple comme toutes les autres histoires de viol», soutient-on.
Un ancien condisciple du directeur de publication de DakarActu, qui plus est son voisin de palier à l’université, pourrait hériter du dossier Cheikh Yérim Seck/Aïssata Tall. Le juge en question, réputé pour son intégrité, devrait remplacer le juge de siège initialement désigné pour le procès, qui va prendre son congé.
Puisqu’il sera en congé à la date prévue pour le procès Cheikh Yérim Seck/Aïssata Tall, le juge en charge du dossier devra céder le « siège » à un de ses confrères. Et son remplaçant pourrait être un ancien condisciple du directeur de publication de DakarActu, qui plus son voisin de palier à l’université Gaston Berger de Saint Louis, indique notre source.
Réputé sérieux et intègre, l’ « ami » du journaliste accusé de viol devra choisir entre la raison et le cœur. Ne se verrait-il pas déjà dessaisi de l’affaire à cause de sa proximité avec le présumé coupable de viol ? Tout se saura le jour du procès !
Le procès a été renvoyé mercredi et fixé le 19 septembre parce que la partie civile était absente.
hello,,,j ai reve de serigne saliou mais il etait un enfant age de 4 ou 5,,, cette mm nuit g reve de dabakh malik il pleurait il m disait k il ne veut pas mourir ,j lui consolait alors il s est calme et m a sourit... ces temps j vis k du peche ,je regarde les xx, et c l mm jour k j les ai reve. ce ki est bizarr est k je reve ces saints k si je vis bien ma religion,, ou en faisant du zikr,, ki p interpreter???/
Vous voulez que les usa changent le premier amendement de leur constitution: free of speech pour vous faire PLAISIR les musulmans. Vous devriez plutôt vous lever et dénoncer les extrémistes musulmans mais pour ça on ne voit jamais manifester.
Un jour au état unis à la veille des élections les gens avaient su un candidat au primaire avait divorcé une fois dans sa vie.
lorsque les journalistes ont fait une enquette, ils ont su que le candidat avait trompé sa femme cause pour lequel sa femme avait demandé la séparation.
les gens l'ont pousser à ce que il renonce à sa candidature parce que jamais le peuple américain ne l' éliront. un président qui a osé trompé sa femme peut tromper tout un peuple. c'est sans doute la vérité.
je connais pas ce monsieur sam mais je le déteste , ce qu'il doit savoir , c'est que le prophète MOHAMMED PSL na pas choisi d'etres prophéte , c'est DIEU qui la choisi ainsi que les autre . ce probleme seras reglé par DIEU lui méme je vous le jure et vous me le rediré dans l’avenir, il les catholique je respecte cette religion , notre PROPHETE nous as dit , si vous ne croyer pas en jesus unitil de me croire , un vrais musulment respect son prochain de méme que un bon catholique , Satan est tres puissent fesont attention a ces jeux ... les prophete sont des élu de DIEU pas nous , ce film couteras chér l'ensmble de l'équipe .
les train du mal est a grande vitesse il n'est plus stopable seul les intelligent peuvent sans sortir ,
seul DIEU peut jugé les mauvais et les bonne personne il les le miséricorde !
Cela ne vous suffit pas de voir ce qu'endure Cheikh Yerim Seck? Il vous faut encore plus que ça? Des fois, je me demande si être sénégalais et musulman, c'est tjrs chercher à humilier, ou le malheur de son prochain? aucune compassion. C'est triste
regardent moi c menteurs ils disent pas la vérité sidi si tu veux etre crédible dans tes débats ils faut inviter les nons musulmans c facile ce qu'ils font , cet imam il nous parle la conversion des américain dans l'islam il a oublié de vous informer les 6 million de musulman qui quittent l'islam chaque année selon la chaine arabe al jaazira ya pas mal d'arabe qui ont abandonné l'islam à cause de JESUS fils unique du DIEU vivant le sauveur de l'humanité.
Je ne supporte pas la droite israélienne, maintenant ce que je constate le juif ne sera plus le souffre douleur de personne et ne sera plus un dhimmi martyrisé de partout. Et les fanatiques se gardent d'attaquer isreal car la riposte sera de rigueur
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22 Commentaires
Dembel
En Septembre, 2012 (01:38 AM)La Dernière Tentation du Christ (film)
La Dernière Tentation du Christ (The Last Temptation of Christ) est un film américain, réalisé par Martin Scorsese, sorti sur les écrans en 1988, adapté du roman éponyme de Nikos Kazantzakis, publié en 1955.
Synopsis :
Au moment d'expirer sur la croix, Jésus est tenté de trouver la vie dont il avait rêvé : une vie d'homme du commun.
Il cède à la tentation et dans cette vie, il est marié avec Marie Madeleine et est un père de famille. Devant la constatation que cette vie va dans le sens contraire de sa mission, Jésus remet tout en question et décide de mourir sur la croix pour « tout accomplir ».
Conséquences de la diffusion du film:
Le 23 octobre 1988,
Un groupe fondamentaliste catholique incendie une salle du cinéma Espace Saint-Michel à Paris pour protester contre la projection du film.
Cet attentat a fait quatorze blessés dont quatre sévères.
D'autres incendies seront perpétrés à la salle du Gaumont Opéra ainsi qu'à Besançon
Un autre attentat du même groupe a causé le décès d'un spectateur.
Lu Pour Vous
En Septembre, 2012 (01:44 AM)Le moment tant attendu arriva. L’affaire numéro 60, inscrite sur le rôle du tribunal des flagrants délits de Dakar, est enfin appelée par le juge. Tous les regards se braquent vers le box des accusés pour immortaliser cet instant. Car, le prévenu a eu la chance de n’être pas installé dans le box tout comme les autres mis en cause. Il était en attente dans le couloir. A-t-il évité de se mettre en face de ses parents, amis, sympathisants, curieux et…en face de Ndèye Aïssata Tall? Celle-là qu’il ambitionnait de prendre comme «troisième épouse». Seul le journaliste peut répondre à cette question que se posait l’assistance. Et, pour la première fois depuis son arrestation par les hommes de la gendarmerie de Ngor, suite à l’éclatement de l’affaire de viol dont il est poursuivi sur la fille du magistrat Boubou Diouf Tall, Cheikh Yérim Seck apparait en public. L’administrateur du site Dakaractu.com arpente les marches des escaliers du box des accusés pour rejoindre la barre du tribunal. Drapé d’un caftan bleu ciel qui, mouillé par sa sueur du fait de la forte chaleur qui a envahi la salle, avec des babouches beiges, une montre marron bien serrée autour du poignet de sa main gauche, Cheikh Yérim Seck n’a pas l’air d’être ébranlé par la charge qui pèse sur lui ainsi que le public venu rien que pour ce procès qui fait couler beaucoup d’encre et qui alimente les débats dans les chaumières. En fait, la salle 1 du tribunal des flagrants délits de Dakar, pleine comme un œuf, a été hier le lieu de convergence de nombreuses personnes. Devant la barre faisant face aux juges, le mis en cause distribue des sourires à tout va surtout à Me Aly Fall, un de ses avocats, avec qui il discute à voix basse. La mine sereine, Cheikh Yérim Seck ne laisse rien apparaitre. De temps en autre, il se retourne et jette des coups d’œil à l’assistance. Quelques minutes après, la victime, Ndèye Aïssata Tall, est appelée à la barre. Le pool d’avocats de la défense et ceux de la partie civile les rejoignent. Le fait est inédit. Le journaliste est tout près de son accusatrice. Seulement, Me Borso Pouye, conseil de la fille, s’est mise entre eux. Ils ne se regardent même pas. Ndèye Aïssata Tall a les yeux rivés sur les juges et les avocats. Le tract se lit sur son visage. Pourtant, à son entrée dans la salle avant le début des audiences, des murmures se faisaient entendre. « Waouh, elle est plus belle dans la photo ! Vous avez vu son teint, elle est plus claire. Elle est classe», commente quelqu’un dans le public. La plaignante, en bonne mine, a été accompagnée par son avocat Me Moustapha Diop et le sociologue Hadiya Tandian. Elle sera installée dans une des chaises jouxtant celles des conseils. Habillée à la parisienne, Ndèye Aïssata Tall est bien dans son pantalon jeans bleu avec une veste près-du-corps de couleur marron tabac et un haut saumon. Une fine manucure, le greffage dégagé en arrière. Sa mère, emmitouflée dans un grand boubou rose fuchsia, la tête enveloppée par grand foulard rouge avec des rayures vertes, est assise à côté d’elle. Sa grande sœur à qui elle a confié en premier sa mésaventure, Adja Diouma Ngala Tall, est aussi à côté. Elles lui remontent le moral avant qu’elle ne fasse face au tribunal.
A.FAYE
Le Pays au Quotidien
Da
En Septembre, 2012 (01:47 AM)Louve
En Septembre, 2012 (01:56 AM)Bna
En Septembre, 2012 (02:01 AM)Relu Pour Vous
En Septembre, 2012 (02:09 AM)Encore Lu Pour Vous
En Septembre, 2012 (02:59 AM)Dakaractu.com a écrit que le journaliste poursuivi pour viol sur la fille du magistrat Boubou Diouf Tall aurait reçu la visite d’émissaires de Cheikh Basse Abdou Khadre, du porte-parole du Khalif général des mourides, Cheikh Sidy Makhtar Mbacké. Une information que dément formellement celui-ci dont l’entourage dit dans une précision envoyée au quotidien l’Observateur lu par Setal.net, n’avoir jamais envoyé qui que ce soit auprès de Yérim Seck .
Lu Pour Vous Aussi
En Septembre, 2012 (03:42 AM)Connu pour sa fougue et sa hargne, Cheikh Yérim Seck était méconnaissable hier devant le juge. Lorsque son dossier est évoqué, il avance tranquillement à la barre, entouré des gardes pénitentiaires. Le regard jeté partout dans une salle d’audience pleine à craquer que les observateurs ont prise d’assaut dès les premières heures de la matinée. Celui qui criait à tort et à travers sur tous les plateaux de télévision pour défendre ses idées, se distingue, cette fois-ci, par un regard baissé et rivé entre ses jambes. A la limite, il ne voulait pas être vu comme la personne ayant commis la pire des inconvenances. De visu, le journaliste semble atteint par cette histoire de mœurs qui bouleverse sa vie. Son visage traduisait tout le sentiment d’une personne au mental affaibli. Sobrement drapé dans un grand boubou bleu, on sentait en lui cette soif de clamer haut et fort son «innocence».
De temps à autre, Cheikh Yérim Seck affiche un sourire forcé, pour cacher son amertume. Mais il est trahi par sa manière d’observer ce qui se passait dans la salle d’audience, ainsi que son comportement devant le juge. Lorsque le dossier est renvoyé en huitaine, il est retourné au box des prévenus en attendant d’être transféré à la Maison d’arrêt de Rebeuss jusqu’au 19 septembre.
Aujourd’hui, au moment où toutes les attentions sont rivées sur le renvoi du procès à mercredi prochain pour la comparution des témoins, un autre aspect du dossier fait l’objet de débat. Il s’agit de ce que les avocats de la prétendue victime appellent «privilège injustifié» du journaliste. Le violeur présumé de la jeune Aïssatou Tall est détenu au secteur des cadres et assimilés à la prison de Rebeuss. Il occupe la chambre 43 ou était détenu le maire de Sacré-Cœur Mermoz, Barthélemy Dias. Les conseils de la partie civile s’offusquent de ce traitement de faveur et estiment que ce dernier «doit être traité au même titre que les autres personnes prévenues de délit sexuel et détenues dans les lieux de droit commun, plutôt que dans le secteur des prisonniers politiques et des cadres». Me Borso Pouye va plus loin que ses confrères en qualifiant le prévenu de «violeur». Ce qui déclenchera la riposte de Me Aly Fall. Qui invite sa consœur à «modérer son langage».
Le report du procès de Cheikh Yérim Seck est pour la comparution des témoins clés de cette histoire. Ce n’est personne d’autre que le personnel du fameux lieu de rendez-vous, Keur Madamel. L’audience d’hier a été le théâtre d’une vive polémique. Les avocats de la partie civile étaient favorables à ce que le dossier soit plaidé séance tenante. Parce que la victime ne doit pas perdre sa virginité et sa pré-inscription, estiment-ils. Aïssatou Tall devrait rejoindre, hier soir, la France pour poursuivre ses études supérieures à Montpellier. «Les témoins ont déjà été entendus par la gendarmerie et leurs déclarations consignées dans le procès-verbal. La victime ne pourra pas sacrifier ses études», plaide Me Ousmane Sèye. La partie adverse voulait, de son côté, le report pour, notamment, «permettre aux avocats nouvellement constitués de prendre connaissance du dossier».
ECHOS DU PROCES
Le «certificat médical» de Aïssatou Tall indispose la défense
Les avocats de la défense ont déjà commencé à peaufiner leur stratégie pour tirer leur client des griffes de la justice. Interrogés sur le plan de défense, ils avancent leur position à s’attaquer au certificat médical qu’ils qualifient de complaisant. Pour Me Idrissa Sakho, ce document médical parle de «perforation de l’hymen sans préciser si celle-ci est récente ou ancienne». Mieux, le «saignement endo-vaginal évoqué dans le document est une notion vague en médecine qui nécessite la comparution d’un spécialiste». Objectif ? Expliquer au tribunal le sens que renferme des notions tel que «traumatisme» en médecine.
Les larmes des actrices de la série Un café avec…
Du monde, il n’en manquait pas au procès de Cheikh Yérim Seck, hier mercredi. Des célébrités ont, elles aussi, effectué le déplacement. Qui pour témoigner de leur soutien et affection au journaliste en ce moment douloureux. Qui pour satisfaire une certaine curiosité. Les personnalités du monde du sport, de la politique ont pris d’assaut les travées du palais de justice de Dakar tôt le matin. Un fait ayant marqué les observateurs : les actrices de la série diffusée sur la chaîne de télévision privée Tfm, Un café avec…, ne se sont pas fait raconter l’événement. Cathy Chimère et Lissa étaient en sanglots le temps de leur présence dans la salle d’audience. Après le renvoi, elles ont vite fait de se procurer un permis de visite pour s’entretenir avec celui qui fait partie des célèbres pensionnaires de la Mac de Rebeuss.
Cheikh Yérim lâché par les siens ?
La solidarité entre confrères n’a pas prévalu lors de la première comparution de Cheikh Yérim Seck. Ce qui taraude les uns et les autres, c’est pourquoi le journaliste n’a pas eu droit à un soutien de taille de la part des gens avec qui ils partagent la même corporation. Comme ce fut le cas lors du procès du journaliste écrivain Abdou Latif Coulibaly contre Thierno Ousmane Sy, dans l’affaire Sudatel. Notre confrère entretient-il de bonnes relations avec ses confrères ? Mystère ! Le constat a été général hier : aucun patron de presse n’a mis les pieds au tribunal. Cette attitude a des explications dont seuls les intéressés pourraient justifier. La forte mobilisation des forces de sécurité, comme il est de tradition lors de grands procès, n’était pas aussi de mise. «Ce dossier est une affaire simple comme toutes les autres histoires de viol», soutient-on.
WALFADJRI Rassemblés par Pape NDIAYE
Lu Egalement Pour Vous
En Septembre, 2012 (03:49 AM)Connu pour sa fougue et sa hargne, Cheikh Yérim Seck était méconnaissable hier devant le juge. Lorsque son dossier est évoqué, il avance tranquillement à la barre, entouré des gardes pénitentiaires. Le regard jeté partout dans une salle d’audience pleine à craquer que les observateurs ont prise d’assaut dès les premières heures de la matinée. Celui qui criait à tort et à travers sur tous les plateaux de télévision pour défendre ses idées, se distingue, cette fois-ci, par un regard baissé et rivé entre ses jambes. A la limite, il ne voulait pas être vu comme la personne ayant commis la pire des inconvenances. De visu, le journaliste semble atteint par cette histoire de mœurs qui bouleverse sa vie. Son visage traduisait tout le sentiment d’une personne au mental affaibli. Sobrement drapé dans un grand boubou bleu, on sentait en lui cette soif de clamer haut et fort son «innocence».
De temps à autre, Cheikh Yérim Seck affiche un sourire forcé, pour cacher son amertume. Mais il est trahi par sa manière d’observer ce qui se passait dans la salle d’audience, ainsi que son comportement devant le juge. Lorsque le dossier est renvoyé en huitaine, il est retourné au box des prévenus en attendant d’être transféré à la Maison d’arrêt de Rebeuss jusqu’au 19 septembre.
Aujourd’hui, au moment où toutes les attentions sont rivées sur le renvoi du procès à mercredi prochain pour la comparution des témoins, un autre aspect du dossier fait l’objet de débat. Il s’agit de ce que les avocats de la prétendue victime appellent «privilège injustifié» du journaliste. Le violeur présumé de la jeune Aïssatou Tall est détenu au secteur des cadres et assimilés à la prison de Rebeuss. Il occupe la chambre 43 ou était détenu le maire de Sacré-Cœur Mermoz, Barthélemy Dias. Les conseils de la partie civile s’offusquent de ce traitement de faveur et estiment que ce dernier «doit être traité au même titre que les autres personnes prévenues de délit sexuel et détenues dans les lieux de droit commun, plutôt que dans le secteur des prisonniers politiques et des cadres». Me Borso Pouye va plus loin que ses confrères en qualifiant le prévenu de «violeur». Ce qui déclenchera la riposte de Me Aly Fall. Qui invite sa consœur à «modérer son langage».
Le report du procès de Cheikh Yérim Seck est pour la comparution des témoins clés de cette histoire. Ce n’est personne d’autre que le personnel du fameux lieu de rendez-vous, Keur Madamel. L’audience d’hier a été le théâtre d’une vive polémique. Les avocats de la partie civile étaient favorables à ce que le dossier soit plaidé séance tenante. Parce que la victime ne doit pas perdre sa virginité et sa pré-inscription, estiment-ils. Aïssatou Tall devrait rejoindre, hier soir, la France pour poursuivre ses études supérieures à Montpellier. «Les témoins ont déjà été entendus par la gendarmerie et leurs déclarations consignées dans le procès-verbal. La victime ne pourra pas sacrifier ses études», plaide Me Ousmane Sèye. La partie adverse voulait, de son côté, le report pour, notamment, «permettre aux avocats nouvellement constitués de prendre connaissance du dossier».
ECHOS DU PROCES
Le «certificat médical» de Aïssatou Tall indispose la défense
Les avocats de la défense ont déjà commencé à peaufiner leur stratégie pour tirer leur client des griffes de la justice. Interrogés sur le plan de défense, ils avancent leur position à s’attaquer au certificat médical qu’ils qualifient de complaisant. Pour Me Idrissa Sakho, ce document médical parle de «perforation de l’hymen sans préciser si celle-ci est récente ou ancienne». Mieux, le «saignement endo-vaginal évoqué dans le document est une notion vague en médecine qui nécessite la comparution d’un spécialiste». Objectif ? Expliquer au tribunal le sens que renferme des notions tel que «traumatisme» en médecine.
Les larmes des actrices de la série Un café avec…
Du monde, il n’en manquait pas au procès de Cheikh Yérim Seck, hier mercredi. Des célébrités ont, elles aussi, effectué le déplacement. Qui pour témoigner de leur soutien et affection au journaliste en ce moment douloureux. Qui pour satisfaire une certaine curiosité. Les personnalités du monde du sport, de la politique ont pris d’assaut les travées du palais de justice de Dakar tôt le matin. Un fait ayant marqué les observateurs : les actrices de la série diffusée sur la chaîne de télévision privée Tfm, Un café avec…, ne se sont pas fait raconter l’événement. Cathy Chimère et Lissa étaient en sanglots le temps de leur présence dans la salle d’audience. Après le renvoi, elles ont vite fait de se procurer un permis de visite pour s’entretenir avec celui qui fait partie des célèbres pensionnaires de la Mac de Rebeuss.
Cheikh Yérim lâché par les siens ?
La solidarité entre confrères n’a pas prévalu lors de la première comparution de Cheikh Yérim Seck. Ce qui taraude les uns et les autres, c’est pourquoi le journaliste n’a pas eu droit à un soutien de taille de la part des gens avec qui ils partagent la même corporation. Comme ce fut le cas lors du procès du journaliste écrivain Abdou Latif Coulibaly contre Thierno Ousmane Sy, dans l’affaire Sudatel. Notre confrère entretient-il de bonnes relations avec ses confrères ? Mystère ! Le constat a été général hier : aucun patron de presse n’a mis les pieds au tribunal. Cette attitude a des explications dont seuls les intéressés pourraient justifier. La forte mobilisation des forces de sécurité, comme il est de tradition lors de grands procès, n’était pas aussi de mise. «Ce dossier est une affaire simple comme toutes les autres histoires de viol», soutient-on.
WALFADJRI Rassemblés par Pape NDIAYE
Lu Egalement Pour Vous
En Septembre, 2012 (03:52 AM)Puisqu’il sera en congé à la date prévue pour le procès Cheikh Yérim Seck/Aïssata Tall, le juge en charge du dossier devra céder le « siège » à un de ses confrères. Et son remplaçant pourrait être un ancien condisciple du directeur de publication de DakarActu, qui plus son voisin de palier à l’université Gaston Berger de Saint Louis, indique notre source.
Réputé sérieux et intègre, l’ « ami » du journaliste accusé de viol devra choisir entre la raison et le cœur. Ne se verrait-il pas déjà dessaisi de l’affaire à cause de sa proximité avec le présumé coupable de viol ? Tout se saura le jour du procès !
Le procès a été renvoyé mercredi et fixé le 19 septembre parce que la partie civile était absente.
Ferloo.com
Pape
En Septembre, 2012 (05:26 AM)Nki
En Septembre, 2012 (07:06 AM)@nki
En Septembre, 2012 (07:36 AM)Pourote
En Septembre, 2012 (07:51 AM)ils ont leur probleme entre narre
Rever
En Septembre, 2012 (09:36 AM)Forokh Thiaya
En Septembre, 2012 (10:00 AM)lorsque les journalistes ont fait une enquette, ils ont su que le candidat avait trompé sa femme cause pour lequel sa femme avait demandé la séparation.
les gens l'ont pousser à ce que il renonce à sa candidature parce que jamais le peuple américain ne l' éliront. un président qui a osé trompé sa femme peut tromper tout un peuple. c'est sans doute la vérité.
Jo
En Septembre, 2012 (10:05 AM)Ces actes ne sont jamais innocents.
OUI ISRAEL EST UN VRAI CANCER DANS LE MONDE.
Pap
En Septembre, 2012 (10:21 AM)les train du mal est a grande vitesse il n'est plus stopable seul les intelligent peuvent sans sortir ,
seul DIEU peut jugé les mauvais et les bonne personne il les le miséricorde !
Moi
En Septembre, 2012 (11:27 AM)Cela ne vous suffit pas de voir ce qu'endure Cheikh Yerim Seck? Il vous faut encore plus que ça? Des fois, je me demande si être sénégalais et musulman, c'est tjrs chercher à humilier, ou le malheur de son prochain? aucune compassion. C'est triste
Blessing
En Septembre, 2012 (15:12 PM)GOD bless israel ac senegal ac kep kou sop israel
Jjjj
En Septembre, 2012 (15:26 PM)Blessing
En Septembre, 2012 (15:26 PM)GOD bless israel ac senegal ac kep kou sop israe
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