La nouvelle compagnie Air Sénégal lance, ce jeudi 7 juin, son deuxième vol quotidien à destination de Ziguinchor. Selon le journal Enquête, ces vols seront opérés par les deux appareils flambant neufs ATR 72-600 de la compagnie.
Après l'étape de Ziguinchor, le compagnie nationale compte très prochainement déployer ses ailes vers Praia, Bissau, Banjul, Nouakchott et Abidjan.
?Et ce n'est pas tout. Enquête renseigne qu'en juillet prochain, Air Sénégal va renforcer sa flotte avec la location de deux moyens courriers, des A319. Ce, précise le journal, pour mieux desservir la sous-région.
12 Commentaires
Anonyme
En Juin, 2018 (10:55 AM)Anonyme
En Juin, 2018 (11:05 AM)Anonyme
En Juin, 2018 (11:07 AM)Anonyme
En Juin, 2018 (12:25 PM)sur la perte du coucou qui ramenait une patiente et des accompagnants ?
Anonyme
En Juin, 2018 (12:35 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (14:00 PM)y pas à dire...on progresse....ça valait bien un nouvel aéroport pour ce coup de maître.....!
en attendant 2 coucous loués à prix d'or...on fait dans le "spectaculaire".....
Anonyme
En Juin, 2018 (15:27 PM)Boy Diola
En Juin, 2018 (16:17 PM)Air Senegal
En Juin, 2018 (16:41 PM)Le directeur général français d'Air Sénégal est l'ancien responsable Afrique d'EADS (Groupe Airbus). Auparavant, ce photo-reporter a fait Elf Aquitaine, Oberthur et Vivendi.
Mais sous ces casquettes officielles, il y a l'autre Philippe Bohn. L'"homme de réseaux africains", "aussi central que taiseux". Un maillon important de la françafrique.
Ce Bohn-là se raconte dans Profession : agent d'influence (Plon). Un livre dans lequel, rapporte La Lettre du continent dans son dernier numéro, le directeur d'Air Sénégal "retrace 30 ans de diplomatie parallèle et d'ingénierie de réseaux, assortie d'un véritable vade-mecum pour les ‘intermédiaires' en herbe".
Présenté comme "l'une des figures les mieux renseignées" des relations entre la France et l'Afrique, Philippe Bohn, qui se décrit lui-même comme un "ingénieur de l'humain", plonge ses lecteurs dans les "arcanes françafricaines". Son terrain favori ? Les "zones de conflit en particulier auprès de l'Unita et du Front patriotique rwandais (Fpr)".
"Au gré de ces missions, Bohn a tissé des réseaux d'influence suffisamment puissants pour lui permettre d'atteindre des objectifs stratégiques tout au long de sa carrière", signale La Lettre du continent.
La même source va plus long : "De fait, il a été sinon l'artisan, du moins dans l'arrière-cour de grands deals économiques et diplomatiques : l'absorption de l'ogre Elf par Total ; l'organisation de la visite historique de Nicolas Sarkozy à Kigali en 2010 ; l'exfiltration de Béchir Saleh de France…"
Pendant 30 ans, signale La Lettre, Bohn s'est reposé sur un principe : "placer les intérêts de la France en Afrique avant les siens".
Anonyme
En Juin, 2018 (16:46 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (20:18 PM)Anonyme
En Juin, 2018 (23:53 PM)Participer à la Discussion