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Alerte orange à la pollution de l’air à Dakar

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Alerte orange à la pollution de l’air à Dakar

Le Centre de gestion de la qualité de l’air a lancé, mardi, une alerte orange à la pollution de l’air à Dakar.
 
"L’indice de la qualité de l’air est orange pour la journée du 26 décembre", prévient le centre, dans un bulletin parvenu à l’APS, expliquant que "les concentrations de particules restent élevées dans l’air ambiant". 
 
Il annonce qu’une baisse des concentrations devrait être notée "progressivement à partir du 29 décembre". Mais il n’en alerte pas moins sur la réalité du risque sanitaire en raison de l’’’intermittence des épisodes de pollution’’.
 
Aussi conseille-t-il de "respecter scrupuleusement tout traitement médical en cours, ou de l’adapter sur avis du médecin", de "consulter un médecin en cas d’aggravation ou d’apparition de tout symptôme évocateur (toux, gêne respiratoire, irritation de la gorge ou des yeux)".
 
Il recommande également d’"éviter toute activité physique ou sportive intense (notamment compétition) augmentant de façon importante le volume d’air et de polluants inhalés" et de "veiller à ne pas aggraver les effets de cette pollution par d’autres facteurs irritants des voies respiratoires, tels que l’usage de solvants et surtout la fumée de tabac".
 
"Chez les personnes sensibles, l’exposition à ces fortes concentrations persistantes de particules dans l’air est un risque réel et peut déclencher des crises d’asthmes et des allergies respiratoires", prévient-il.
 
"Les enfants et les personnes âgées devraient éviter de s’exposer longuement à l’air ambiant pendant la période", conseille-t-il encore.



19 Commentaires

  1. Auteur

    Seeg

    En Décembre, 2017 (17:29 PM)
    Pauvre de nous qui n' avons même pas encore atteint un taux d'industrialisation minimum nous permettant de transformer certains de nos produits locaux afin de mieux les valoriser sur les marchés locaux, sous-régionaux et internationaux.

    Traditionellement, qui dit industrialisation parle nécessairement de pollution. Mais là si nous sommes déjà à ces niveaux de pollution de l'air qui justifie des alertes qu' on ne voit d'habitude que dans des pays 1000 fois plus industrialisés que nous, alors nous sommes mal barrés.

    Si son urbanisation n'avait pas été sabotée par calamity wade, une ville côtière comme Dakar n' aurait jamais dû connaître de telles situations de pollution atmosphérique de par sa position géographique. Dakar est une presqu'île balayée par les vents de l' Atlantique qui, jusqu' avant la frénésie et l' anarchie des constructions d' immeubles sur sa façade maritime, ne souffrait pas trop des vents de sable venant du désert en cette période de l' année. La brise marine a toujours eu un effet températeur sur les rigueurs du climat, on a jamais entendu d' alerte à la pollution de l' air à Dakar avant qu' elle ne soit transformée en souk par les nouveaux riches badolos créés par wade.

    Il faut du courage politique et une vision bien ancrée pour s' attaquer à ce fléau en commençant par détruire tout ce qui a été construit de façon anarchique sur la façade maritime qui est un bien public, parce que stratégique. Et en même temps penser à fixer les populations sur leurs terroirs d' origine afin que tous ces jeunes des régions autre que Dakar n'éprouvent pas le besoin de venir faire du Taxawalu à Dakar parce qu'il n' y a rien à cirer chez eux.

    Plutôt que d' attirer les énergies vers la périphérie dakaroise qui est devenue saturée, le défi pour nos gouvernants devrait être de désengorger Dakar avec la réimplantation de l' administration et de ses démembrements à l' intérieur du pays ( pas Diamniadio ), là où les réalités de sous développement sont prégnantes.

    La nature nous lance des avertissements, à nous d' être attentifs et de préserver notre environnement pendant qu' il est encore temps. Ne suivons pas aveuglément les expériences des pays industrialisés. Soyons les garants et les dépositaires de notre environnement naturel qui nous a vu naître et que le monde industrialisé nous envie et non ses fossoyeurs, à l' image de ceux qui ont sacrifié leur environnement naturel et leur qualité de vie pour atteindre un développement douteux et relatif.
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  2. Auteur

    Seeg

    En Décembre, 2017 (17:34 PM)
    Pauvre de nous qui n' avons même pas encore atteint un taux d'industrialisation minimum nous permettant de transformer certains de nos produits locaux afin de mieux les valoriser sur les marchés locaux, sous-régionaux et internationaux.

    Traditionellement, qui dit industrialisation parle nécessairement de pollution. Mais là si nous sommes déjà à ces niveaux de pollution de l'air qui justifie des alertes qu' on ne voit d'habitude que dans des pays 1000 fois plus industrialisés que nous, alors nous sommes mal barrés.

    Si son urbanisation n'avait pas été sabotée par calamity wade, une ville côtière comme Dakar n' aurait jamais dû connaître de telles situations de pollution atmosphérique de par sa position géographique. Dakar est une presqu'île balayée par les vents de l' Atlantique qui, jusqu' avant la frénésie et l' anarchie des constructions d' immeubles sur sa façade maritime, ne souffrait pas trop des vents de sable venant du désert en cette période de l' année. La brise marine a toujours eu un effet températeur sur les rigueurs du climat, on a jamais entendu d' alerte à la pollution de l' air à Dakar avant qu' elle ne soit transformée en souk par les nouveaux riches badolos créés par wade.

    Il faut du courage politique et une vision bien ancrée pour s' attaquer à ce fléau en commençant par détruire tout ce qui a été construit de façon anarchique sur la façade maritime qui est un bien public, parce que stratégique. Et en même temps penser à fixer les populations sur leurs terroirs d' origine afin que tous ces jeunes des régions autre que Dakar n'éprouvent pas le besoin de venir faire du Taxawalu à Dakar parce qu'il n' y a rien à cirer chez eux.

    Plutôt que d' attirer les énergies vers la périphérie dakaroise qui est devenue saturée, le défi pour nos gouvernants devrait être de désengorger Dakar avec la réimplantation de l' administration et de ses démembrements à l' intérieur du pays ( pas Diamniadio ), là où les réalités de sous développement sont prégnantes.

    La nature nous lance des avertissements, à nous d' être attentifs et de préserver notre environnement pendant qu' il est encore temps. Ne suivons pas aveuglément les expériences des pays industrialisés. Soyons les garants et les dépositaires de notre environnement naturel qui nous a vu naître et que le monde industrialisé nous envie et non ses fossoyeurs, à l' image de ceux qui ont sacrifié leur environnement naturel et leur qualité de vie pour atteindre un développement douteux et relatif.
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (17:36 PM)
    Pauvre de nous qui n' avons même pas encore atteint un taux d'industrialisation minimum nous permettant de transformer certains de nos produits locaux afin de mieux les valoriser sur les marchés locaux, sous-régionaux et internationaux.

    Traditionellement, qui dit industrialisation parle nécessairement de pollution. Mais là si nous sommes déjà à ces niveaux de pollution de l'air qui justifie des alertes qu' on ne voit d'habitude que dans des pays 1000 fois plus industrialisés que nous, alors nous sommes mal barrés.

    Si son urbanisation n'avait pas été sabotée par calamity wade, une ville côtière comme Dakar n' aurait jamais dû connaître de telles situations de pollution atmosphérique de par sa position géographique. Dakar est une presqu'île balayée par les vents de l' Atlantique qui, jusqu' avant la frénésie et l' anarchie des constructions d' immeubles sur sa façade maritime, ne souffrait pas trop des vents de sable venant du désert en cette période de l' année. La brise marine a toujours eu un effet températeur sur les rigueurs du climat, on a jamais entendu d' alerte à la pollution de l' air à Dakar avant qu' elle ne soit transformée en souk par les nouveaux riches badolos créés par wade.

    Il faut du courage politique et une vision bien ancrée pour s' attaquer à ce fléau en commençant par détruire tout ce qui a été construit de façon anarchique sur la façade maritime qui est un bien public, parce que stratégique. Et en même temps penser à fixer les populations sur leurs terroirs d' origine afin que tous ces jeunes des régions autre que Dakar n'éprouvent pas le besoin de venir faire du Taxawalu à Dakar parce qu'il n' y a rien à cirer chez eux.

    Plutôt que d' attirer les énergies vers la périphérie dakaroise qui est devenue saturée, le défi pour nos gouvernants devrait être de désengorger Dakar avec la réimplantation de l' administration et de ses démembrements à l' intérieur du pays ( pas Diamniadio ), là où les réalités de sous développement sont prégnantes.

    La nature nous lance des avertissements, à nous d' être attentifs et de préserver notre environnement pendant qu' il est encore temps. Ne suivons pas aveuglément les expériences des pays industrialisés. Soyons les garants et les dépositaires de notre environnement naturel qui nous a vu naître et que le monde industrialisé nous envie et non ses fossoyeurs, à l' image de ceux qui ont sacrifié leur environnement naturel et leur qualité de vie pour atteindre un développement douteux et relatif.
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    En Décembre, 2017 (17:41 PM)
    On peut poster ou quoi?
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (17:42 PM)
    Pauvre de nous qui n' avons même pas encore atteint un taux d'industrialisation minimum nous permettant de transformer certains de nos produits locaux afin de mieux les valoriser sur les marchés locaux, sous-régionaux et internationaux.

    Traditionellement, qui dit industrialisation parle nécessairement de pollution. Mais là si nous sommes déjà à ces niveaux de pollution de l'air qui justifie des alertes qu' on ne voit d'habitude que dans des pays 1000 fois plus industrialisés que nous, alors nous sommes mal barrés.

    Si son urbanisation n'avait pas été sabotée par calamity wade, une ville côtière comme Dakar n' aurait jamais dû connaître de telles situations de pollution atmosphérique de par sa position géographique. Dakar est une presqu'île balayée par les vents de l' Atlantique qui, jusqu' avant la frénésie et l' anarchie des constructions d' immeubles sur sa façade maritime, ne souffrait pas trop des vents de sable venant du désert en cette période de l' année. La brise marine a toujours eu un effet températeur sur les rigueurs du climat, on a jamais entendu d' alerte à la pollution de l' air à Dakar avant qu' elle ne soit transformée en souk par les nouveaux riches badolos créés par wade.

    Il faut du courage politique et une vision bien ancrée pour s' attaquer à ce fléau en commençant par détruire tout ce qui a été construit de façon anarchique sur la façade maritime qui est un bien public, parce que stratégique. Et en même temps penser à fixer les populations sur leurs terroirs d' origine afin que tous ces jeunes des régions autre que Dakar n'éprouvent pas le besoin de venir faire du Taxawalu à Dakar parce qu'il n' y a rien à cirer chez eux.

    Plutôt que d' attirer les énergies vers la périphérie dakaroise qui est devenue saturée, le défi pour nos gouvernants devrait être de désengorger Dakar avec la réimplantation de l' administration et de ses démembrements à l' intérieur du pays ( pas Diamniadio ), là où les réalités de sous développement sont prégnantes.

    La nature nous lance des avertissements, à nous d' être attentifs et de préserver notre environnement pendant qu' il est encore temps. Ne suivons pas aveuglément les expériences des pays industrialisés. Soyons les garants et les dépositaires de notre environnement naturel qui nous a vu naître et que le monde industrialisé nous envie et non ses fossoyeurs, à l' image de ceux qui ont sacrifié leur environnement naturel et leur qualité de vie pour atteindre un développement douteux et relatif.
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (17:47 PM)
    On en a rien a foutre, Commencer a eliminer les Ndiagas Ndiayes et Cars Rapides d'abord
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    Auteur

    Seeg

    En Décembre, 2017 (18:12 PM)
    Pauvre de nous qui n' avons même pas encore atteint un taux d'industrialisation minimum nous permettant de transformer certains de nos produits locaux afin de mieux les valoriser sur les marchés locaux, sous-régionaux et internationaux.

    Traditionellement, qui dit industrialisation parle nécessairement de pollution. Mais là si nous sommes déjà à ces niveaux de pollution de l'air qui justifie des alertes qu' on ne voit d'habitude que dans des pays 1000 fois plus industrialisés que nous, alors nous sommes mal barrés.

    Si son urbanisation n'avait pas été sabotée par calamity wade, une ville côtière comme Dakar n' aurait jamais dû connaître de telles situations de pollution atmosphérique de par sa position géographique. Dakar est une presqu'île balayée par les vents de l' Atlantique qui, jusqu' avant la frénésie et l' anarchie des constructions d' immeubles sur sa façade maritime, ne souffrait pas trop des vents de sable venant du désert en cette période de l' année. La brise marine a toujours eu un effet températeur sur les rigueurs du climat, on a jamais entendu d' alerte à la pollution de l' air à Dakar avant qu' elle ne soit transformée en souk par les nouveaux riches badolos créés par wade.

    Il faut du courage politique et une vision bien ancrée pour s' attaquer à ce fléau en commençant par détruire tout ce qui a été construit de façon anarchique sur la façade maritime qui est un bien public, parce que stratégique. Et en même temps penser à fixer les populations sur leurs terroirs d' origine afin que tous ces jeunes des régions autre que Dakar n'éprouvent pas le besoin de venir faire du Taxawalu à Dakar parce qu'il n' y a rien à cirer chez eux.

    Plutôt que d' attirer les énergies vers la périphérie dakaroise qui est devenue saturée, le défi pour nos gouvernants devrait être de désengorger Dakar avec la réimplantation de l' administration et de ses démembrements à l' intérieur du pays ( pas Diamniadio ), là où les réalités de sous développement sont prégnantes.

    La nature nous lance des avertissements, à nous d' être attentifs et de préserver notre environnement pendant qu' il est encore temps. Ne suivons pas aveuglément les expériences des pays industrialisés. Soyons les garants et les dépositaires de notre environnement naturel qui nous a vu naître et que le monde industrialisé nous envie et non ses fossoyeurs, à l' image de ceux qui ont sacrifié leur environnement naturel et leur qualité de vie pour atteindre un développement douteux et relatif.
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    Anonyme

    En Décembre, 2017 (18:24 PM)
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (18:40 PM)
    Où sont les 7 commentaires qui ont été écrits et que l' outil informatique que vous utilisez permet de compter au bas du titre de l' article. Serait-ce le commentaire récent sur le risque de "walySeckisation" de la jeunesse qui me vaut cette nouvelle censure? Vous seriez pathétique au cas échéant.

    Pour votre gouverne, sachez que la toile ne vous appartient pas. Encore une fois, le même droit à l' expression dont vous jouissez et qui fait que votre site Seneweb existe est un droit universel. Je n'ai attaqué personne que je sache. Si maintenant vous êtes à la solde de gens qui font tout pour se peindre une image factice de star sur la toile à défaut de briller par leur talents rééls, vous ne faîtes que participer à l' accélération de la médiocrité et de la décadence de notre société. Seeg
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    Auteur

    Seeg

    En Décembre, 2017 (18:42 PM)
    Pauvre de nous qui n' avons même pas encore atteint un taux d'industrialisation minimum nous permettant de transformer certains de nos produits locaux afin de mieux les valoriser sur les marchés locaux, sous-régionaux et internationaux.

    Traditionellement, qui dit industrialisation parle nécessairement de pollution. Mais là si nous sommes déjà à ces niveaux de pollution de l'air qui justifie des alertes qu' on ne voit d'habitude que dans des pays 1000 fois plus industrialisés que nous, alors nous sommes mal barrés.

    Si son urbanisation n'avait pas été sabotée par calamity wade, une ville côtière comme Dakar n' aurait jamais dû connaître de telles situations de pollution atmosphérique de par sa position géographique. Dakar est une presqu'île balayée par les vents de l' Atlantique qui, jusqu' avant la frénésie et l' anarchie des constructions d' immeubles sur sa façade maritime, ne souffrait pas trop des vents de sable venant du désert en cette période de l' année. La brise marine a toujours eu un effet températeur sur les rigueurs du climat, on a jamais entendu d' alerte à la pollution de l' air à Dakar avant qu' elle ne soit transformée en souk par les nouveaux riches badolos créés par wade.

    Il faut du courage politique et une vision bien ancrée pour s' attaquer à ce fléau en commençant par détruire tout ce qui a été construit de façon anarchique sur la façade maritime qui est un bien public, parce que stratégique. Et en même temps penser à fixer les populations sur leurs terroirs d' origine afin que tous ces jeunes des régions autre que Dakar n'éprouvent pas le besoin de venir faire du Taxawalu à Dakar parce qu'il n' y a rien à cirer chez eux.

    Plutôt que d' attirer les énergies vers la périphérie dakaroise qui est devenue saturée, le défi pour nos gouvernants devrait être de désengorger Dakar avec la réimplantation de l' administration et de ses démembrements à l' intérieur du pays ( pas Diamniadio ), là où les réalités de sous développement sont prégnantes.

    La nature nous lance des avertissements, à nous d' être attentifs et de préserver notre environnement pendant qu' il est encore temps. Ne suivons pas aveuglément les expériences des pays industrialisés. Soyons les garants et les dépositaires de notre environnement naturel qui nous a vu naître et que le monde industrialisé nous envie et non ses fossoyeurs, à l' image de ceux qui ont sacrifié leur environnement naturel et leur qualité de vie pour atteindre un développement douteux et relatif.
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    Auteur

    Seeg

    En Décembre, 2017 (18:51 PM)
    Pauvre de nous qui n' avons même pas encore atteint un taux d'industrialisation minimum nous permettant de transformer certains de nos produits locaux afin de mieux les valoriser sur les marchés locaux, sous-régionaux et internationaux.

    Traditionellement, qui dit industrialisation parle nécessairement de pollution. Mais là si nous sommes déjà à ces niveaux de pollution de l'air qui justifie des alertes qu' on ne voit d'habitude que dans des pays 1000 fois plus industrialisés que nous, alors nous sommes mal barrés.

    Si son urbanisation n'avait pas été sabotée par calamity wade, une ville côtière comme Dakar n' aurait jamais dû connaître de telles situations de pollution atmosphérique de par sa position géographique. Dakar est une presqu'île balayée par les vents de l' Atlantique qui, jusqu' avant la frénésie et l' anarchie des constructions d' immeubles sur sa façade maritime, ne souffrait pas trop des vents de sable venant du désert en cette période de l' année. La brise marine a toujours eu un effet températeur sur les rigueurs du climat, on a jamais entendu d' alerte à la pollution de l' air à Dakar avant qu' elle ne soit transformée en souk par les nouveaux riches badolos créés par wade.

    Il faut du courage politique et une vision bien ancrée pour s' attaquer à ce fléau en commençant par détruire tout ce qui a été construit de façon anarchique sur la façade maritime qui est un bien public, parce que stratégique. Et en même temps penser à fixer les populations sur leurs terroirs d' origine afin que tous ces jeunes des régions autre que Dakar n'éprouvent pas le besoin de venir faire du Taxawalu à Dakar parce qu'il n' y a rien à cirer chez eux.

    Plutôt que d' attirer les énergies vers la périphérie dakaroise qui est devenue saturée, le défi pour nos gouvernants devrait être de désengorger Dakar avec la réimplantation de l' administration et de ses démembrements à l' intérieur du pays ( pas Diamniadio ), là où les réalités de sous développement sont prégnantes.

    La nature nous lance des avertissements, à nous d' être attentifs et de préserver notre environnement pendant qu' il est encore temps. Ne suivons pas aveuglément les expériences des pays industrialisés. Soyons les garants et les dépositaires de notre environnement naturel qui nous a vu naître et que le monde industrialisé nous envie et non ses fossoyeurs, à l' image de ceux qui ont sacrifié leur environnement naturel et leur qualité de vie pour atteindre un développement douteux et relatif.
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    Anonyme

    En Décembre, 2017 (19:21 PM)
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    Auteur

    Gees

    En Décembre, 2017 (20:14 PM)


    Pauvre de nous qui n' avons même pas encore atteint un taux d'industrialisation minimum nous permettant de transformer certains de nos produits locaux afin de mieux les valoriser sur les marchés locaux, sous-régionaux et internationaux.

    Traditionellement, qui dit industrialisation parle nécessairement de pollution. Mais là si nous sommes déjà à ces niveaux de pollution de l'air qui justifie des alertes qu' on ne voit d'habitude que dans des pays 1000 fois plus industrialisés que nous, alors nous sommes mal barrés.
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    Auteur

    Gees Suite

    En Décembre, 2017 (20:15 PM)
    Si son urbanisation n'avait pas été sabotée par calamity wade, une ville côtière comme Dakar n' aurait jamais dû connaître de telles situations de pollution atmosphérique de par sa position géographique. Dakar est une presqu'île balayée par les vents de l' Atlantique qui, jusqu' avant la frénésie et l' anarchie des constructions d' immeubles sur sa façade maritime, ne souffrait pas trop des vents de sable venant du désert en cette période de l' année. La brise marine a toujours eu un effet températeur sur les rigueurs du climat, on a jamais entendu d' alerte à la pollution de l' air à Dakar avant qu' elle ne soit transformée en souk par les nouveaux riches badolos créés par wade.

    Il faut du courage politique et une vision bien ancrée pour s' attaquer à ce fléau en commençant par détruire tout ce qui a été construit de façon anarchique sur la façade maritime qui est un bien public, parce que stratégique. Et en même temps penser à fixer les populations sur leurs terroirs d' origine afin que tous ces jeunes des régions autre que Dakar n'éprouvent pas le besoin de venir faire du Taxawalu à Dakar parce qu'il n' y a rien à cirer chez eux.

    Plutôt que d' attirer les énergies vers la périphérie dakaroise qui est devenue saturée, le défi pour nos gouvernants devrait être de désengorger Dakar avec la réimplantation de l' administration et de ses démembrements à l' intérieur du pays ( pas Diamniadio ), là où les réalités de sous développement sont prégnantes.
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    Auteur

    Gees Suite

    En Décembre, 2017 (20:22 PM)
    Si son urbanisation n'avait pas été sabotée par calamity wade, une ville côtière comme Dakar n' aurait jamais dû connaître de telles situations de pollution atmosphérique de par sa position géographique. Dakar est une presqu'île balayée par les vents de l' Atlantique qui, jusqu' avant la frénésie et l' anarchie des constructions d' immeubles sur sa façade maritime, ne souffrait pas trop des vents de sable venant du désert en cette période de l' année. La brise marine a toujours eu un effet températeur sur les rigueurs du climat, on a jamais entendu d' alerte à la pollution de l' air à Dakar avant qu' elle ne soit transformée en souk par les nouveaux riches badolos créés par wade.

    Il faut du courage politique et une vision bien ancrée pour s' attaquer à ce fléau en commençant par détruire tout ce qui a été construit de façon anarchique sur la façade maritime qui est un bien public, parce que stratégique. Et en même temps penser à fixer les populations sur leurs terroirs d' origine afin que tous ces jeunes des régions autre que Dakar n'éprouvent pas le besoin de venir faire du Taxawalu à Dakar parce qu'il n' y a rien à cirer chez eux.

    Plutôt que d' attirer les énergies vers la périphérie dakaroise qui est devenue saturée, le défi pour nos gouvernants devrait être de désengorger Dakar avec la réimplantation de l' administration et de ses démembrements à l' intérieur du pays ( pas Diamniadio ), là où les réalités de sous développement sont prégnantes.

    La nature nous lance des avertissements, à nous d' être attentifs et de préserver notre environnement pendant qu' il est encore temps. Ne suivons pas aveuglément les expériences des pays industrialisés. Soyons les garants et les dépositaires de notre environnement naturel qui nous a vu naître et que le monde industrialisé nous envie et non ses fossoyeurs, à l' image de ceux qui ont sacrifié leur environnement naturel et leur qualité de vie pour atteindre un développement douteux et relatif.
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    Auteur

    Zoupa

    En Décembre, 2017 (21:56 PM)
    Y a de nombreux cas de cancers au senegal a cause de la pollution mais personne ne dit rien
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    Anonyme

    En Décembre, 2017 (03:27 AM)
    youtu.be/DMZbHlU_p98
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (04:06 AM)
    JE SUIS RENTREE DE MES VACANCES MALADE!!!



    L'AIR EST POLLUE A DAKAR.. CEST SALE.. TROP DE VEHICULES..



    D'ICI 2020 BEAUCOUP DE CAS DE CANCER.. CEST TRES SERIEUX..



    JAI ETE MALADE PENDANT 3 SEMAINES DEPUIS MON RETOUR DE DAKAR..



    TROP DE VEHICULES, ET DE VIEUX VEHICULES QUI NE DEVAIENT MEME PAS CIRCULER... ET SURTOUT LE GASOIL..



    CE PAYS ME FAIT PITIE.. VRAIMENT..

    PAS DE LOI..
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (09:39 AM)
    wade avait raison en interdisant les vieilles voitures
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