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Audition : Après Karim, Thierno Ousmane Sy, Oumar Sarr, Madické Niang, Samuel Sarr, Abdoulaye Baldé…convoqués

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Audition : Après Karim, Thierno Ousmane Sy, Oumar Sarr, Madické Niang, Samuel Sarr, Abdoulaye Baldé…convoqués

La Section de recherches de la gendarmerie reprend ses auditions. Après Karim Wade qui va repasser jeudi prochain, d’autres responsables du défunt régime sont annoncés à la Section de recherche de la gendarmerie de Colobane cette semaine. Selon l’Obs, sept anciens dignitaires de l’ancien régime de Me Abdoulaye Wade vont se relayer à la Section de recherches de la gendarmerie de Colobane du 4 au 7 décembre prochain pour répondre aux questions des hommes en bleu dans le cadre des enquêtes sur l’enrichissement illicite déclenchées par le régime de Macky Sall. 

L’on annonce l’audition de l’ancien ministre-conseiller de Me Wade chargé des nouvelles technologies de l’information ce mardi. Le coordonateur national du parti démocratique sénégalais (Pds), Oumar Sarr, et l’ancien Directeur général du Port autonome de Dakar, Bara Sady, auraient également reçu leur convocation pour répondre à la gendarmerie le 6 décembre prochain, jour de l’audition de Karim Wade.Le 7 décembre prochain, l’ancien ministre des Affaires étrangères, Me Madické Niang, son ancien collègue de l’Energie, Samuel Sarr ainsi le député-maire de Ziguinchor, Abdoulaye Baldé, sont annoncés à la Section de recherche de la gendarmerie.



39 Commentaires

  1. Auteur

    Qui..

    En Décembre, 2012 (07:25 AM)
    Ce sera bientôt fini ?
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  2. Auteur

    D...

    En Décembre, 2012 (07:32 AM)
    Oh dineu meu nekh!!! Y'en a marre de ceux là qui n'étaient rien et qui ont cultivé le laxisme et l'argent facile au Senegal! Tout est une question de deal dans ce pays ça me fait peur! :sad:  :sad:  :dedet:  :dedet: 
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    Auteur

    Sokone

    En Décembre, 2012 (07:41 AM)


                                           LATIF COULIBALY



    Car moi le Latif Coulibaly que j'ai connu c'est celui-là même qui disait que l'Apix de Aminata NIANE constitue « le plus gros scandale du siècle tant dans son fonctionnement que dans sa structuration. » 



    Le Latif Coulibaly que j'ai connu c'est celui-là même qui interpellait au mois d'Avril 2012 le PM Abdoul Mbaye pour que ce dernier procède à sa déclaration de patrimoine. 



    Le Latif Coulibaly que j'ai connu c'est celui-là même qui reprochait un mauvais casting du premier gouvernement alors formé par Maky Sall avec la nomination de Mbaye Ndiaye à l'Intérieur. 



    Enfin, le Latif Coulibaly que j'ai connu c'est celui-là même qui disait que Mon Président et leader de l’APR, Monsieur Maky Sall n'avait pas l'envergure pour être Président de ce Sénégal et c'est lui encore qui à propos de ce même Maky disait que cela ne servait à rien qu'il signe la Charte des Assises sans l'appliquer. 



    Mais dites-moi mes chers amis, c'est ce Latif là qui est aujourd’hui dans le gouvernement dirigé par le PM Monsieur Abdoul Mbaye? En qualité de Ministre, porte-parole de ce gouvernement? Assis autour de la même table avec Madame Aminata Niane, Monsieur Mbaye Ndiaye, et son Excellence Monsieur Maky Sall? 



    Non mais…arrêtez vos blagues, kii dou Latif. Ce serait plutôt son homonyme venu de Sokone : le ci-devant Abdou Coulibaly Latif. 



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    Auteur

    Latif

    En Décembre, 2012 (07:42 AM)


    Scandales de Macky 



    Apres toutes ces auditions,Macky Sall doit lui aussi répondre devants la cour pour ces scandales:

    -Le programme indépendance Kolda

    - Les chantiers de Fatick

    - Le compte " jam" pour la paix en casamance

    -Le compte de la primature ouvert à Paris

    - Le marché des 7 hélicoptères pour l'armée avec son attaché militaire Charles Gueye

    - Le Pcrpe avec son dg Baydy souleymane Ndiaye qui lui a construit toutes ces villas

    - Son patrimoine caché en Afrique du Sud

    -Son appartement parisien à Malakoff

    -Sa villa en Allemagne.

    -Ses nombreux terrains et villas non déclarés de son patrimoine.

    -Les millions (700) qu'il recevait du Pcci dans le cadre du contrat État- Employeur.

    - Les deux permis d'exploitation de notre pétrole offerts à son frère de journaliste

    - Les 9 milliards sortis par Mansour Faye le frère de Marieme Faye la veille de la Tabaski

    -Les 1 milliard 200 millions donnés à Marieme Faye pour des billets pour la Mecque.

    -L'avion présidentiel que Macky et Marieme Faye ont mis à la disposition de leur fils vaptisé le " le prince de nermoz" pour aller pour une semaine aux USA avec ses amis.

     
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    Auteur

    Fayesali

    En Décembre, 2012 (07:43 AM)
                 





    Ce n’est ni par sentiment de haine ni par esprit de parti. Ce n’est pas non plus par soif de vengeance. Macky Sall a nourri pendant trois ans la horde de plumitifs du journal « Il est midi » qui ont fait déferler leurs baves injurieuses sur d’honnêtes citoyens et sur moi-même. Son homme de main, Ndiogou Wack Seck, dans ses meilleurs jours, avait même bénéficié d’un groupe électrogène acheté par la Primature que dirigeait Macky Sall, qui indiquait lui-même la voie à suivre en s’attaquant à des hommes honorables comme Mamadou Dia et Amath Dansokho. Malgré tout, quand ses frères libéraux se sont vengés de ses attaques et quand Abdoulaye Wade a voulu l’humilier, j’ai été parmi ses plus grands défenseurs, l’enjoignant de quitter le Pds. Je ne peux donc être accusé de parti-pris. C’est une nécessité qu’arrivés à ce point dans la marche de notre pays, confrontés à des échéances qui seront décisives pour son avenir, nous exigions de chaque prétendant à la Magistrature suprême un minimum de vérité. Le leader de l’Apr en avait lui-même fait une exigence, qui avait convoqué le corps diplomatique accrédité à Dakar dans un hôtel, pour mettre en accusation son prédécesseur à la Primature, en violation flagrante de la présomption d’innocence. 



    Nous sommes donc effarés de découvrir que pendant qu’Idrissa Seck était inculpé et envoyé en prison, pendant que les missions rogatoires enquêtaient à l’étranger pour trouver les preuves de sa culpabilité, se manigançait un gigantesque détournement de fonds publics sur lequel Macky Sall est aujourd’hui interpellé. C’était en effet pendant la même période de l’année, à l’été 2005, que sept milliards de francs taïwanais destinés aux populations démunies ont été détournés par Pierre Aïm, ami du président Abdoulaye Wade, qui a lui-même avoué qu’il avait mis un milliard de francs dans sa poche et logé le reste dans un compte d’un prétendu ami de Karim Wade, à la demande du chef de l’Etat. Poursuivi par la clameur, le chef de l’Etat avait fini par déclarer, dans un communiqué du Conseil des ministres, qu’un de ses amis lui avait « offert » de l’argent qu’il voulait remettre dans les comptes du Trésor. C’était la première fois que dans l’histoire de ce pays, un communiqué du Conseil des ministres, celui du jeudi 5 janvier 2006, contenait un mensonge aussi grave. 



    Selon l’explication de Macky Sall, l’argent, celui de Taïwan bien sûr, a été restitué et distribué à différents ministres. Une explication qui ne peut pas suffire. Comment a-t-il été restitué, dans quels comptes, par qui, et pourquoi avoir versé de l’argent d’un obscur ami du chef de l’Etat dans des comptes du Trésor, sans aucune loi de finances rectificatives, sans dire dans quel compte cet argent a été viré ? Quel que soit le bout par lequel on prend cette affaire, il s’agit d’un détournement de fonds publics et Macky Sall ne peut pas s’en laver les mains avec ses réfutations captieuses. C’est trop gros pour être avalé et la réponse qu’il donne face à une affaire d’une telle gravité est simplement scandaleuse ! 



    Au même moment, toujours pendant l’arrestation d’Idrissa Seck, se déroulait un autre détournement sur lequel des preuves évidentes ont été fournies, au moins concernant le virement de 26 milliards de francs qui ont disparu dans la nature, qui devaient servir à la construction de villas présidentielles elles-mêmes introuvables. Mais là aussi survient un curieux retournement de situation. Interrogé sur la question de savoir s’il allait convoquer Karim Wade dans les mêmes termes, Macky Sall s’est rebiffé, déclarant que s’il devait le refaire, il demanderait l’avis d’Abdoulaye Wade avant de convoquer son fils, ne sachant pas que « c’était si important ». Monsieur ne se donne aucune limite, sur le chemin de la repentance. Il peut même accueillir Karim Wade dans une équipe qu’il va diriger. 



    Il s’agit d’une absolution choquante. Et quand même on penserait qu’il en voudrait à celui qui lui a causé tant de souffrances, il dit que non. Le président aurait été « abusé ». Monsieur Sall est donc tombé des grandeurs, par ce qu’il avoue être une maladresse qu’il ne répétera plus. Que n’a-t-il pas ajouté un merci à ses bienfaiteurs puisque de ses propres aveux, il n’est redevable des honneurs qu’il a reçus et de sa haute fortune qu’à la bonté des Wade et à leur générosité. 



    Soit ! Il doit au peuple qu’il appelle à l’élire, des réponses précises sur ses actes de gestion. Les Wade ne nous aideront jamais dans ce sens, puisqu’ils sont les instigateurs de tous ces scandales. C’est le cas de cette licence attribuée aux trafiquants de drogue de Ndangane Samba alors que Macky Sall était Premier ministre et Djibo Kâ ministre de la Pêche. Idrissa Seck a été interpellé sur sa gestion de la plus violente des façons, jeté en prison, alors que la moindre preuve de sa culpabilité n’avait été produite par ses accusateurs. Il serait donc injuste que l’on se taise devant tant de faits accablants et de mensonges évidents. A Macky Sall, nous demandons la vérité sur cette affaire. Nous ne pouvons déroger à cette règle sans être injustes. Il louait un modeste appartement à Derklé. Il possède maintenant une radio qui vaut 200 millions de francs, un appartement plus coûteux à Huston, une maison qui vaut un milliard de francs dans laquelle il vient de déménager avec un parc automobile que personne ne possède dans ce pays. Qu’il nous dise comment il s’est bâti cette fortune colossale en six ans. Nous osons aussi lui demander, lui qui a fait nommer sa sœur à l’ambassade du Sénégal à Paris, son frère à l’ambassade du Sénégal en Chine, son beau-frère au Consulat à New-York, s’il ne souffre pas des mêmes maux dont il accable l’actuel régime. Et que ceux qui ont eu la patience de me lire me disent s’ils ont vu dans mes écrits une volonté de nuire ou un souci de vérité. Qu’ils me disent, dans ce qui vient d’être dit, une seule chose qui ne méritait pas d’être sue par mes concitoyens. Qu’ils me disent ensuite si un homme qui figure dans un rapport d’une institution comme l’Onel, pour avoir voté de force dans une élection, sans pièce d’identité, qui a fait nommer les membres de sa famille dans nos ambassades et consulats alors qu’ils n’ont jamais été diplomates, qui, parti de rien, s’est bâti une fortune colossale en six ans, ne mérite pas que l’on s’interroge sur ses prétentions. 



    Souleynane Jules Diop



    Sorry cher jules mais devoir de mémoire oblige!!!!!!!!!!!!!! 
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    Auteur

    Bagbo

    En Décembre, 2012 (07:45 AM)
    Vraiment le ridicule ne tue jamais au Sénégal.Voila Macky Sall qui traque au Sénégal les anciens dignitaires du régime libéral et il demande à Ouattara la clémence pour les anciens dignitaire du régime de Bagbo.C'est vraiment ahurissant comme démarche.
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    Auteur

    Samuel Faye

    En Décembre, 2012 (07:49 AM)
    C'est un président des lobbies ce Macky Sall. Lobby a la fous homosexuel m maçonnique. C'est un homne qui a pactisé avec le diable pour devenir président. Le Sénégal la n'ira nulle part avec cet homme car sa femme à fait trop de sacrifices humains pour que on mari devienne président et elle première dame.
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    Auteur

    Revolutions

    En Décembre, 2012 (07:54 AM)
    Dakar, Senegal - Tensions in this West African country are rising, with fears of an outbreak of political violence as a corruption probe continues to dog the son of a former president.



    Karim Wade is the 44-year-old son of Senegal's former president, Abdoulaye Wade, who ruled the country from 2000 until his loss in violence-marred polls in March, in which 15 people were killed.



    Senegal's new government had demanded that Wade return from France, where he and his father had moved after the election defeat.



    Wade appeared at the national police headquarters twice last month to answer questions about the alleged misuse of government funds he oversaw as a minister during his father's presidency, as well as to account for about $15 million he holds in international bank accounts.



    If charged, Wade will face trial before the newly reinstated Anti-Corruption Court, which was suspended by his father. He has been forbidden to leave the country until the investigation wraps up.



    Six other former government officials are also being investigated, including four former ministers in the Wade administration. Former officials face five to ten years' imprisonment if convicted on corruption charges, according to Senegalese law.



    Karim Wade's supporters say the allegations of financial impropriety are baseless and politically motivated.





    Senegalese President Macky Sall, left, in October [AFP]

    "Everyone always talks about Karim, Karim, Karim, but he hasn't done anything [wrong]," said Ibrahima, a Dakar resident who supported Wade senior in his failed re-election bid. "It's only because he's the son of the previous president [that he's under investigation]."



    Ibrahima, like several people interviewed for this story, was unwilling to give his last name, fearing government reprisal.



    President Macky Sall has said millions of dollars in government funds went missing during the Wades' rule, and he has asked other countries, including the United States and Britain, to help track down and return the money.



    Lewis Lukens, the US ambassador to Senegal, confirmed last weekend that investigators in the United States would help Senegalese officials recover any embezzled funds held in US bank accounts.



    Wade supporters, meanwhile, have accused Sall of using the corruption inquiry to keep the public's mind off his failed election promises.



    "Today, the government of Macky Sall is looking for a diversion from his failures," said Modou Diagne Fadda, secretary general of Wade's party, Le Parti Democratique Senegalais (PDS). "Everyone remembers his promise to reduce the cost of living in Senegal."



    Since Abdoulaye Wade left office, many Senegalese have complained of price hikes for basic commodities. According to the National Statistics Agency, the cost of essential goods - including water, electricity, food and gas - has risen 1.5 per cent over the past three months, and pressure is mounting on the new government.



    "The price of rice has increased. The price of oil has increased. The price of gas has increased," complained Amadou, another Wade supporter, who also refused to give his surname.



    'Mr fifteen per cent'



    Karim Wade has been accused of unscrupulous business dealings after his father installed him as the Minister of State for International Cooperation, Land Use, Air Transport and Infrastructure - a position locally referred to as the "Minister of Heaven and Earth".



    According to a March 2009 communiqué from the US Embassy in Dakar titled "Senegal's Karim Wade - Heir Apparent?" released by Wikileaks, he was known as "Mr Ten Per Cent" in diplomatic circles - a moniker that had changed to "Mr fifteen per cent" by 2007.



    "It is widely believed that Karim has embezzled a significant amount of funds," the cable said.



    A French presidential adviser referred to Wade as "corrupt and dishonest", according to another US embassy cable dated September 2009.



    The former government's plan to sell $1.2 billion in shares of telecom company SONATEL - Senegal's most profitable company - was also noted by the US government in 2008.



    "There is consensus among observers of the government's actions that the primary purpose of this divestiture is to help Karim Wade and his associates launder huge sums of cash that they have collected in recent years through 'contributions', 'donations', kickbacks, and the sale of illegally acquired assets," another cable said, citing "senior Senegalese and IMF officials".



    'Political witch hunt'



    Despite the allegations, Wade continues to garner significant support in the country.



    "If you're going to audit Karim Wade, you must do the same for Macky Sall," said Cheikh, the president of a Facebook group supporting the former "super minister", as he was called. He, too, did not want his last name published.



    "They're all thieves," added M Faye, a young Senegalese actor, referring to both current and previous government officials.



    Born and educated mostly in France, Wade was relatively unknown in Senegal before his father came to power in 2000, and he does not speak the local language, Wolof.





    Inside Story - Is Senegal sliding into chaos?



    Wade is "unpopular among a lot of people," said Leonardo Villalón, a professor at the University of Florida who studies Senegalese politics.



    Loyalists of the Wade family, however, are attempting to use the corruption inquiry as a rallying cry against Sall's government, he said.



    "They have an interest in playing up this issue," Villalón said.



    Repeated calls to the Justice Ministry seeking comment were not returned.



    In an effort to shore up broader support, Wade's former party called for a large anti-government protest to be held on Thursday, December 6, to decry everything from the cost of commodities to his court summons.



    There are concerns the corruption inquiry and related protests will lead to renewed political violence in Senegal.



    When former president Abdoulaye Wade announced he was returning to Dakar from Paris upon hearing of his son's court summons, many feared his visit would spark a political standoff with Sall.



    The threat was serious enough for President Alassane Ouattara of Côte d'Ivoire to personally intervene, convincing the elder Wade to stay in France - for the time being.



    Potential for violence



    "This, of course, is a delicate political issue," Villalón said of the corruption inquiry. "There is the potential for conflict, obviously."



    However, Villalón said he did not believe the investigations would destabilise Senegal, a historically peaceful country of 12.5 million people.



    That said, more than 20 young members of the Alliance Pour la Republique - President Sall's party - appeared at the gendarmerie last week, where Wade faced ten hours of questioning, while his supporters held vigil. After pro-government slogans were shouted, a scuffle between the two groups ensued.



    People ran for cover as rocks were thrown by opposing camps. Police soon restored order after removing the pro-government group from the area.



    "We will fight against this dictatorship, this new kind of dictatorship that masks itself as a democracy … We've had enough."



    - Bachir Diawara, former official





    "If they come back, we'll kill them," a Le Parti Democratique Senegalais (PDS) member told this reporter.



    PDS supporters say the allegations against Wade and the other ministers are politically motivated.



    "We do not respect the Anti-Corruption Court. For us, it is illegal, goes against the constitution, and does not respect human rights," said Modou Diagne Fadda, adding the questioning of Wade was akin to "a political witch hunt".



    Bachir Diawara, a former member of Wade's ministerial cabinet, agreed at a rally last month.



    "We will fight against this dictatorship, this new kind of dictatorship that masks itself as a democracy … We've had enough," Diawara said.



    Source: Al Jazeera

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    Auteur

    Daiuda Faye

    En Décembre, 2012 (07:55 AM)
    Oui mais tout ça c'est bien mais Macky quand est ce qu'il va nous dire comment il s'est enrichi lui qui louist comme dit souleymane Jules Diop un appartement à derkle et qu'il avait de la peine à payer.Comment sa femme Marieme Faye ménagère de son état et qui n'a jamais bossé peut se retrouver avec des villas et immeubles et un villa à un milliard à mermoz
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    Auteur

    Msu

    En Décembre, 2012 (07:58 AM)
    D’après le MSU France, des informations circulant à Paris renseignent que le Président de la République aurait signé les Accords de Partenariat Économique avec l’Union Européenne que son prédécesseur Abdoulaye Wade avait, à juste raison, rejetés en 2007. « Une grave erreur pour notre économie si cela est vrai », alertent les camarades de Sidi Fall réunis dans les Hauts de Seine. 



     Par ailleurs pour illustration, MSU France fait état d’une information relatée par le quotidien français « Le Monde » qui renseigne que la baisse des recettes fiscales du Sénégal est inquiétante : « de 38 milliards en 2008, elle va atteindre 115 milliards de FCFA en 2015. Les recettes douanières dans les budgets des Etats africains devraient également chuter passant de 95% à 70% ». Donc moins d’argent pour la santé, l’éducation, les infrastructures et les salaires. Raison pour laquelle le M.S.U demande au Président Macky Sall d’éclairer la lanterne des Sénégalais sur cette question. Loin de s’en tenir là, ce mouvement de la diaspora prévient que la signature par le Président Macky Sall des Accords de Partenariat Economique avec l’Union européenne, dans un contexte marqué par le réveil extraordinaire de la créativité scientifique et technique en Afrique noire, serait lourde de conséquences pour notre continent. Le MSU ne cesse de dénoncer les accords de coopération entre le Sénégal et les pays développés depuis plusieurs années, car regrette-t-il, « l’objectif de l’Europe est d’accroître l’exportation de ses biens manufacturés en Afrique et bloquer le développement du tissu industriel du continent". 





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    Auteur

    Dame

    En Décembre, 2012 (07:59 AM)
    La justice à l’envers

    L’euphorie de l’alternance y est peut-être pour quelque chose : la justice va dans tous les sens ; elle s’est emballée, et personne ne semble vouloir l’arrêter. Pourtant, hier seulement, même les moins sachant   s’étaient érigés à la fois en législateur, en doctrine et juge. Il est vrai, qu’à l’époque, l’irrégularité de la candidature  du Président ABDOULAYE  WADE ne pouvait autoriser une quelconque réserve, sauf  à vouloir braver le peuple, celui du 23 juin, celui des Assises  et celui des «  constitutionnalistes » d’origine ou d’emprunt. Il faut demander au Conseil constitutionnel, seul organe habilité à se prononcer, comment  parvenir à  la résilience  après être passé  en profondeur sous les fourches caudines populaires.

    Mais les juristes de la bonne école, ceux pour qui la versatilité  doctrinale est une tare, savent que la justice populaire est la sœur aînée de la justice d’exception. Elles   s’abreuvent,  en effet toutes deux, dans le fleuve de l’injustice, de l’arbitraire et de la démesure. Or,  aujourd’hui, tout laisse présager qu’on s’achemine à grands pas vers cette justice de réaction.²

    Le processus déclenché par les nouvelles autorités est suffisamment révélateur à cet égard.

    La résurrection d la Cour de  répression de l’enrichissement illicite en constitue la première illustration. Cette cour  a un vice congénital par sa nature : elle est une juridiction d’exception qui viole ostensiblement les principes qui gouvernent  une justice équitable : renversement du fardeau de la preuve, absence de double degré de juridiction.

    Certes, elle avait été mise en veilleuse  plus par opportunité politicienne que par souci d’orthodoxie. Son brutal réveil peut surprendre à double titre. D’abord, il était reproché à ses initiateurs de s’indigner sélectivement  par rapport aux personnes  susceptibles d’être poursuivies ; ensuite par ce que l’arsenal juridique mis en place était fort éloigné  de l’idée que l’on peut se faire  de la Loi 

    . Il est dés lors inquiétant que le nouveau Pouvoir feigne de croire que cette double objection dirimante  a miraculeusement disparu. Cela est d’autant plus invraisemblable que dans le projet de réforme envisagé, il est question de rétablir les droits de la défense dans le dispositif de la future juridiction chargée de lutter, entre autres, contre les délinquants en col blanc.

    Mais alors pourquoi vouloir se précipiter à juger ? Y aurait-il d’autres raisons qui ne s’accommodent pas avec le Droit ?

    La »sortie «  médiatique du Procureur spécial ne contribue pas  à dissiper le doute, ni sur la forme ni sur le fond.

    Sur le premier terme, .Monsieur NDao  a certainement cru que son jour de gloire était arrivé ; c’est le sentiment qui  anime, bien  souvent, ceux qui sortent soudainement de l’ombre pour découvrir la lumière du jour. Si tel est le cas, il aurait alors intérêt à se munir d’un groupe électrogène car les délestages sont encore récurrents. Mais ce narcissisme de circonstance est véniel  comparé  à la teneur de son propos.

    Il est certes admis, aujourd’hui, que la justice doit communiquer pour mieux informer.  Ici,l’information du Procureur spécial était plutôt une révélation. Elle a mis à l’index des personnes que la justice n’a pas encore incriminées ,mais que Monsieur NDAO soupçonne d’avoir distrait  indûment» des milliards ».

    Où sont donc ensevelis le secret de l’enquête et la présomption d’innocence, et pourquoi ?

    Monsieur le Procureur spécial  semble même avoir oublié qu’il ne lui appartient  pas de juger, qu’il est du parquet. Il souligne, presque triomphalement, l’inopposabilité  des privilèges et immunités devant la Cour de répression de l’enrichissement illicite.

     Pourtant sur  ce dernier aspect, Monsieur le Procureur spécial n’a pas osé  décliner la totalité de son pouvoir de poursuite : le Chef suprême des armées a reconnu formellement , à travers le journal officiel, qu’il est parvenu à accumuler au moins un milliard  de francs CFA au bout de Huit (08) années d’exercice professionnel, essentiellement dans l’administration sénégalaise; si ce n’est pas un record , cela lui ressemble étrangement.

    C’est vrai que la vitalité autoproclamée de Monsieur NDAO n’est dirigée qu’à l’égard des « vaincus » et de ceux qui sont réputés être leurs alliés. Pendant ce temps, le Président de sa propre juridiction, tout juste à ses côtés, n’a pas  été disert. Ce n’est certainement pas ainsi qu’une bonne justice pourrait être rendue.

    Le procès programmé de Monsieur Habré présente déjà les mêmes contours.

    Personne n’ose contester que Monsieur Habré doive être jugé, comme  auraient dû l’être beaucoup d’anciens chefs d’Etats africains avant lui. Mais  peut-être que c’est aujourd’hui  que  l’Afrique  veut se donner bonne conscience et prouver, en même  temps, à la « communauté internationale »  qu’elle compte désormais bannir le règne de l’impunité de ses dirigeants.  Alors, pour l’exemple, il n’est pas impie de commencer par Monsieur  Hissène  Habré, même si ce dernier n’avait jamais  imaginé que la TERANGA sénégalaise  pouvait être vécue, un jour  par lui, à reculons.

    Le Sénégal s’est engagé  à le juger in situ ; il montre ainsi son aptitude à s’élever jusqu’aux cimes des principes universels qui  attestent de la solidité  de son ouverture démocratique. Le modus opérandi est

    simple : il faut des moyens matériels et institutionnels. Comme le financement  peut être supporté par tous ceux qui y ont intérêt, il suffit, en fin de compte, de réaménager le système judiciaire sénégalais pour l’adapter à la spécificité de l’affaire HABRE ;

    Par la grâce d’une Convention et d’une loi (projet) en doublon, il serait envisagé de créer, au sein des juridictions sénégalaises,  des chambres spéciales d’instruction et de jugement, avec notamment des juges sénégalais ( proposés par le Ministre de la Justice) et étrangers , tous nommés par la Commission africaine.

    Le procédé est inédit, atypique et fortement contestable.

    Cette architecture juridictionnelle n’existe nulle part dans le monde, du moins jusqu’à plus ample informé ; certes, il n’est pas souvent mauvais d’innover surtout pour améliorer l’existant ; mais ici, l’innovation  constitue, à l’ évidence ,   une incongruité qui s’apparente à un camaïeu juridique que le droit, surtout  en matière pénale, réprouve .

    Il  aurait été mieux inspiré de créer une juridiction ad hoc, comme il en existe déjà, même si le système reste à parfaire.

    Mais c’est surtout la légalité du dispositif qui est douteuse. L’organisation judiciaire du Sénégal va se retrouver totalement transfigurée. Dans la  Constitution qui lui sert de support principal, le pouvoir judiciaire est exercé par le Conseil constitutionnel, la Cour suprême et la Cour des comptes .

    Une loi de 1984 donne la physionomie actuelle du système judiciaire qui repose sur un schéma pyramidal avec la Cour Suprême, les Cours d’Appel et les tribunaux régionaux et départementaux. 

    Les magistrats  sont généralement  nommés  après avis du Conseil  supérieur de la magistrature ; la justice est rendue au nom du peuple sénégalais … par des Sénégalais.

    Manifestement, le projet  publié récemment par la presse  s’est éloigné sur des rives lointaines d’un no mans land ; il faut alors reconnaître que le fruit est déjà pourri : il s’oppose frontalement à la Constitution .Même l’abandon de souveraineté pouvant résulter de nos engagements internationaux ne peut légitimer un tel arrimage.

    Les chambres spéciales qualifiées  -semble t-il – d’extraordinaires ne seraient par ailleurs fonctionnelles que pour l’affaire HABRE. Et après ?

    Les prémisses d’une justice populaire se font jour ; elles ne sont pas en adéquation avec la gouvernance  dite de rupture ; c’est plutôt la justice des vainqueurs, donc de l’injustice judiciaire.

    La bonne   justice  ,c’est  celle qui requiert la sérénité ,la mesure et l’objectivité. Elle ne peut avoir pour compagnons  ni la fausse glorification, ni la  partialité masquée artificiellement.

    On peut constater et réprouver l’intempérance d’un procureur tardivement promu ,, en mal de gloire ou d’honneur, mais on ne peut tolérer que  l’Etat trace les mêmes sillons. La justice populaire restera toujours une justice de réaction, d’arbitraire et dérives . 

     

     

     
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    Auteur

    Revolutions

    En Décembre, 2012 (07:59 AM)
    said Ibrahima, a Dakar resident who supported Wade senior in his failed re-election bid. "It's only because he's the son of the previous president [that he's under investigation]."



    Ibrahima, like several people interviewed for this story, was unwilling to give his last name, fearing government reprisal.



    President Macky Sall has said millions of dollars in government funds went missing during the Wades' rule, and he has asked other countries, including the United States and Britain, to help track down and return the money.



    Lewis Lukens, the US ambassador to Senegal, confirmed last weekend that investigators in the United States would help Senegalese officials recover any embezzled funds held in US bank accounts.



    Wade supporters, meanwhile, have accused Sall of using the corruption inquiry to keep the public's mind off his failed election promises.



    "Today, the government of Macky Sall is looking for a diversion from his failures," said Modou Diagne Fadda, secretary general of Wade's party, Le Parti Democratique Senegalais (PDS). "Everyone remembers his promise to reduce the cost of living in Senegal."



    Since Abdoulaye Wade left office, many Senegalese have complained of price hikes for basic commodities. According to the National Statistics Agency, the cost of essential goods - including water, electricity, food and gas - has risen 1.5 per cent over the past three months, and pressure is mounting on the new government.



    "The price of rice has increased. The price of oil has increased. The price of gas has increased," complained Amadou, another Wade supporter, who also refused to give his surname.



    'Mr fifteen per cent'



    Karim Wade has been accused of unscrupulous business dealings after his father installed him as the Minister of State for International Cooperation, Land Use, Air Transport and Infrastructure - a position locally referred to as the "Minister of Heaven and Earth".



    According to a March 2009 communiqué from the US Embassy in Dakar titled "Senegal's Karim Wade - Heir Apparent?" released by Wikileaks, he was known as "Mr Ten Per Cent" in diplomatic circles - a moniker that had changed to "Mr fifteen per cent" by 2007.



    "It is widely believed that Karim has embezzled a significant amount of funds," the cable said.



    A French presidential adviser referred to Wade as "corrupt and dishonest", according to another US embassy cable dated September 2009.



    The former government's plan to sell $1.2 billion in shares of telecom company SONATEL - Senegal's most profitable company - was also noted by the US government in 2008.



    "There is consensus among observers of the government's actions that the primary purpose of this divestiture is to help Karim Wade and his associates launder huge sums of cash that they have collected in recent years through 'contributions', 'donations', kickbacks, and the sale of illegally acquired assets," another cable said, citing "senior Senegalese and IMF officials".



    'Political witch hunt'



    Despite the allegations, Wade continues to garner significant support in the country.



    "If you're going to audit Karim Wade, you must do the same for Macky Sall," said Cheikh, the president of a Facebook group supporting the former "super minister", as he was called. He, too, did not want his last name published.



    "They're all thieves," added M Faye, a young Senegalese actor, referring to both current and previous government officials.



    Born and educated mostly in France, Wade was relatively unknown in Senegal before his father came to power in 2000, and he does not speak the local language, Wolof.





    Inside Story - Is Senegal sliding into chaos?



    Wade is "unpopular among a lot of people," said Leonardo Villalón, a professor at the University of Florida who studies Senegalese politics.



    Loyalists of the Wade family, however, are attempting to use the corruption inquiry as a rallying cry against Sall's government, he said.



    "They have an interest in playing up this issue," Villalón said.



    Repeated calls to the Justice Ministry seeking comment were not returned.



    In an effort to shore up broader support, Wade's former party called for a large anti-government protest to be held on Thursday, December 6, to decry everything from the cost of commodities to his court summons.



    There are concerns the corruption inquiry and related protests will lead to renewed political violence in Senegal.



    When former president Abdoulaye Wade announced he was returning to Dakar from Paris upon hearing of his son's court summons, many feared his visit would spark a political standoff with Sall.



    The threat was serious enough for President Alassane Ouattara of Côte d'Ivoire to personally intervene, convincing the elder Wade to stay in France - for the time being.



    Potential for violence



    "This, of course, is a delicate political issue," Villalón said of the corruption inquiry. "There is the potential for conflict, obviously."



    However, Villalón said he did not believe the investigations would destabilise Senegal, a historically peaceful country of 12.5 million people.



    That said, more than 20 young members of the Alliance Pour la Republique - President Sall's party - appeared at the gendarmerie last week, where Wade faced ten hours of questioning, while his supporters held vigil. After pro-government slogans were shouted, a scuffle between the two groups ensued.



    People ran for cover as rocks were thrown by opposing camps. Police soon restored order after removing the pro-government group from the area.



    "We will fight against this dictatorship, this new kind of dictatorship that masks itself as a democracy … We've had enough."



    - Bachir Diawara, former official





    "If they come back, we'll kill them," a Le Parti Democratique Senegalais (PDS) member told this reporter.



    PDS supporters say the allegations against Wade and the other ministers are politically motivated.



    "We do not respect the Anti-Corruption Court. For us, it is illegal, goes against the constitution, and does not respect human rights," said Modou Diagne Fadda, adding the questioning of Wade was akin to "a political witch hunt".



    Bachir Diawara, a former member of Wade's ministerial cabinet, agreed at a rally last month.



    "We will fight against this dictatorship, this new kind of dictatorship that masks itself as a democracy … We've had
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    Auteur

    Apr

    En Décembre, 2012 (08:02 AM)


                                         





    Dès leur accession à la Souveraineté internationale, les jeunes Etats d’Afrique ont commencé à subir des atteintes graves à leurs fondements économiques qui étaient (et le sont encore) à asseoir et à consolider. Pour se protéger, les uns et les autres ont conçu une politique criminelle fondée à des degrés divers, sur la stratégie de « la défense agressive ». 





    C’est ainsi qu’au Sénégal, à partir de 1965 et par étapes successives, le détournement de deniers publics a été correctionnalisé, les pénalités ont été aggravées, le pouvoir d’appréciation du juge a été diminué et la fatalité de la sanction a été garantie. 





    Mais malgré cet arsenal répressif, le juge Kéba Mbaye, alors premier Président de la Cour Suprême, avait eu à déclarer lors de la cérémonie de présentation de vœux au Chef de l’Etat en Décembre 1979 que : « les sanctions qui frappent les voleurs à col blanc sont de moins en moins ressenties comme un déshonneur (…) cela veut dire que le remède n’est plus adapté au mal ». 





    Cette déclaration semble avoir été entendue parce que le législateur a accru la lutte contre la délinquance à col blanc en rendant la loi N° 81-53 du 10 Juillet 1981 qui a créé le délit d’enrichissement illicite, pour rendre la répression des atteintes contre les intérêts économiques du pays pratiquement inévitable dans la mesure où le temps de prescription y afférent ne commence à courir qu’après que son existence ait été constatée par le ministère public. 





    Pourtant, cette législation drastique, n’a pas empêché que parmi les demandes fortement exprimées le 25 Mars 2012 la vérification de la gestion des fonds publics figurât en bonne place.





    Il semble que cette demande trouvait son fondement dans les révélations qui ont été faites à la suite des audits effectués sur instructions du Président WADE en 2008. 





    Or, le sol obligé de tout pouvoir politique est la volonté commune qu’expriment les populations. 





    Il n’y a donc ni chasse aux sorcières, ni manœuvres politiques derrière les actions qui sont présentement menées par la Cour de Répression de l’Enrichissement illicite. 





    C’est pourquoi, il nous semble qu’en l’état, seul le point de droit soulevé ici et là, concernant la compétence de la Cour de répression de l’enrichissement illicite pour juger un ministre fautif devrait susciter un d ébat. 





    En effet, d’aucuns soutiennent que même sous l’incrimination d’enrichissement illicite, un ministre ne peut être jugé que par la haute cour de Justice. Dans leur argumentaire, les partisans de cette thèse, invoquent l’alinéa 2 de l’article 101 de la Constitution qui dispose : 





    « Le Premier Ministre et les autres membres du Gouvernement sont pénalement responsables des actes accomplis dans l’exercice de leurs fonctions et qualifiés crimes ou délits au moment où ils ont été commis. Ils sont jugés par la Haute Cour de Justice ». 





    Il est vrai que dans la crainte de voir le pouvoir exécutif paralysé en son action par l’effet d’un harcèlement judiciaire, le constituant a attribué aux membres du Gouvernement un privilège de juridiction. Mais, il est remarquable que l’alinéa 2 de l’article 101 ci-dessus circonscrit la compétence de la Haute Cour de Justice aux seuls faits délictuels ou criminels, commis par les membres du Gouvernement, dans l’exercice de leurs fonctions. Or, dans un arrêt du 26 Juin 1995, la Cour de Cassation française a eu à préciser que « les actes accomplis par un ministre dans l’exercice de ses fonctions, sont ceux qui ont un rapport direct avec la conduite des affaires de l’Etat relevant de ses attributions ». 





    La Chambre criminelle a été plus précise, dans un arrêt du 6 février 1997, en distinguant de l’acte commis dans l’exercice des fonctions de celui accompli à l’occasion de l’exercice des fonctions. 





    Pour une meilleure compréhension, il est utile de rappeler que l’alinéa 2 de l’article 68 de la constitution de ce pays, qui comporte les mêmes dispositions que l’alinéa 2 de l’article 68 de la Constitution française, comporte les mêmes dispositions que l’aliéna 2 de l’article 101 de la Constitution sénégalaise. 





    Cette conformité de vues permet de dire qu’en l’occurrence, les constituants sénégalais et français, ont essentiellement tenu compte de l’intention qui est la clef de voûte de la théorie de la faute pénale pour parvenir au respect de l’égalité des citoyens devant la loi. 





    Nous référant à la jurisprudence et à la doctrine, nous pouvons dire que la notion d’infraction commise par un ministre dans l’exercice de ses fonctions, est une faute au sens restreint, commise dans le cadre de référence en fonction duquel le ministre doit accomplir sa mission, et qui n’est sous tendue par aucune intention criminelle ni dol d’une manière générale. Il devrait s’agir d’une faute consistant dans une imprudence, ou une négligence, ou une maladresse ou une inattention, ou une inobservation des règlements. Alors qu’il est constant que le fait de s’enrichir illicitement, ne peut se commettre sans dol aggravé, parce qu’entre la résolution et la réalisation, il y a nécessairement un espace de temps plus ou moins long consacré à la réflexion, les juristes parleraient de préméditation. 





    De plus, un ministre qui, à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ministérielles, use de ruse et de manœuvres frauduleuses pour s’enrichir illicitement, agit pour son compte personnel, pour sa vie privée, ce qui n’a aucun lien direct avec les affaires de l’Etat. Il agit en dehors du cadre de sa mission, et pour cause, il échappe au champ de l’alinéa 2 de l’article 101 de la Constitution pour tomber sous l’empire de la Cour de répression de l’enrichissement illicite. En termes claires, le fait de s’enrichir illicitement relève de la vie privée du ministre et non des affaires de l’Etat. Soutenir le contraire, pousse à penser à une manœuvre ayant pour but de transformer un procès relevant du droit commun en un procès politique. 





    En tout état de cause, et par respect pour la loi fondamentale de notre pays, les uns et les autres doivent consentir à laisser l’institution judiciaire accomplir sa mission, étant entendu qu’au Sénégal le système d’incrimination est un système objectif, dominé par le principe de légalité. 



    Alliance Pour la République













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    Auteur

    Revolutions

    En Décembre, 2012 (08:03 AM)
    "The price of rice has increased. The price of oil has increased. The price of gas has increased," complained Amadou, another Wade supporter, who also refused to give his surname.



    'Mr fifteen per cent'



    Karim Wade has been accused of unscrupulous business dealings after his father installed him as the Minister of State for International Cooperation, Land Use, Air Transport and Infrastructure - a position locally referred to as the "Minister of Heaven and Earth".



    According to a March 2009 communiqué from the US Embassy in Dakar titled "Senegal's Karim Wade - Heir Apparent?" released by Wikileaks, he was known as "Mr Ten Per Cent" in diplomatic circles - a moniker that had changed to "Mr fifteen per cent" by 2007.



    "It is widely believed that Karim has embezzled a significant amount of funds," the cable said.



    A French presidential adviser referred to Wade as "corrupt and dishonest", according to another US embassy cable dated September 2009.



    The former government's plan to sell $1.2 billion in shares of telecom company SONATEL - Senegal's most profitable company - was also noted by the US government in 2008.



    "There is consensus among observers of the government's actions that the primary purpose of this divestiture is to help Karim Wade and his associates launder huge sums of cash that they have collected in recent years through 'contributions', 'donations', kickbacks, and the sale of illegally acquired assets," another cable said, citing "senior Senegalese and IMF officials".



    'Political witch hunt'



    Despite the allegations, Wade continues to garner significant support in the country.



    "If you're going to audit Karim Wade, you must do the same for Macky Sall," said Cheikh, the president of a Facebook group supporting the former "super minister", as he was called. He, too, did not want his last name published.



    "They're all thieves," added M Faye, a young Senegalese actor, referring to both current and previous government officials.



    Born and educated mostly in France, Wade was relatively unknown in Senegal before his father came to power in 2000, and he does not speak the local language, Wolof.





    Inside Story - Is Senegal sliding into chaos?



    Wade is "unpopular among a lot of people," said Leonardo Villalón, a professor at the University of Florida who studies Senegalese politics.



    Loyalists of the Wade family, however, are attempting to use the corruption inquiry as a rallying cry against Sall's government, he said.



    "They have an interest in playing up this issue," Villalón said.



    Repeated calls to the Justice Ministry seeking comment were not returned.



    In an effort to shore up broader support, Wade's former party called for a large anti-government protest to be held on Thursday, December 6, to decry everything from the cost of commodities to his court summons.



    There are concerns the corruption inquiry and related protests will lead to renewed political violence in Senegal.



    When former president Abdoulaye Wade announced he was returning to Dakar from Paris upon hearing of his son's court summons, many feared his visit would spark a political standoff with Sall.



    The threat was serious enough for President Alassane Ouattara of Côte d'Ivoire to personally intervene, convincing the elder Wade to stay in France - for the time being.



    Potential for violence



    "This, of course, is a delicate political issue," Villalón said of the corruption inquiry. "There is the potential for conflict, obviously."



    However, Villalón said he did not believe the investigations would destabilise Senegal, a historically peaceful country of 12.5 million people.



    That said, more than 20 young members of the Alliance Pour la Republique - President Sall's party - appeared at the gendarmerie last week, where Wade faced ten hours of questioning, while his supporters held vigil. After pro-government slogans were shouted, a scuffle between the two groups ensued.



    People ran for cover as rocks were thrown by opposing camps. Police soon restored order after removing the pro-government group from the area.



    "We will fight against this dictatorship, this new kind of dictatorship that masks itself as a democracy … We've had enough."



    - Bachir Diawara, former official





    "If they come back, we'll kill them," a Le Parti Democratique Senegalais (PDS) member told this reporter.



    PDS supporters say the allegations against Wade and the other ministers are politically motivated.



    "We do not respect the Anti-Corruption Court. For us, it is illegal, goes against the constitution, and does not respect human rights," said Modou Diagne Fadda, adding the questioning of Wade was akin to "a political witch hunt".



    Bachir Diawara, a former member of Wade's ministerial cabinet, agreed at a rally last month.



    "We will fight against this dictatorship, this new kind of dictatorship that masks itself as a democracy … We've had enough," Diawara said.
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    Pds

    En Décembre, 2012 (08:03 AM)
    Il y a parfois des prises de position doctrinale que l’on a du mal à partager, même si leur auteur se couvre du manteau de la Science .

    Lors de l’élection présidentielle ,  beaucoup ont cherché  à contraindre le Conseil constitutionnel dans le sens  de leurs convictions, oubliant volontairement que leur opinion  ne pouvait avoir une autorité qu’autre que relative, car le juge n’est tenu que par la loi.

    Aujourd’hui , ce sont encore les mêmes qui reviennent à la charge pour  asseoir la compétence exclusive de la Cour de répression de l’enrichissement illicite, même pour les Ministres ayant accompli des actes délictueux dans l’exercice de leurs fonctions . 

    Pourtant l’alinéa 2 de  l’ article 101 de la Constitution prévoit expressément que les Ministres sont passibles de la Haute Cour de Justice pour un tel cas de figure.

    Mais invoquant la jurisprudence française (sans les références complètes), Monsieur Souleymane Ndiaye,  docteur en droit et sciences criminelles, a cru  déceler dans la formulation de l’alinéa 2 de l’article 101 de la Constitution une imprécision  nécessitant une interprétation.

    Selon l’honorable Docteur, l’acte commis dans l’exercice des fonctions est  celui en rapport direct ;;;; des affaires de l’Etat relevant des (ses) attributions, et qu’i faudrait même le distinguer de celui accompli à l’occasion des fonctions.

    L’intérêt de cette distinction  c’est d’exclure de la compétence de la Haute Cour de Justice tous les actes   qui n’ont pas un lien direct avec les fonctions, même s’ils sont dérivés des fonctions .

    l’acte consistant  par un Ministre , à s’enrichir indûment, pendant qu’il est en fonction, est un acte réfléchi, prémédité, intentionnel, dolosif ; il est « détachable des fonctions » et ,c’est à ce titre ,qu’ il doit relever de la compétence de la Cour de l’enrichissement illicite.

    L’analyse  a l’apparence de la subtilité et aboutit à une conclusion désarmante.

    Le raisonnement est d’abord vicié par son postulat : on retrouve dans le droit français le pendant de l’article 101 alinéa 2 : l’article 68 alinéa 2 de la Constitution française rédigé en termes identiques ;or ce texte  fait l’objet d’une certaine lecture jurisprudentielle sus-rappelée ;cette interprétation doit être transposée , mutatis  mutandis , dans l’ordre juridique sénégalais.

    A supposer que les faits soient établis, le vice se trouverait  dans l’automatisme de la solution qui ignore totalement les frontières, donc le contexte différencié.  

    Cela  signifierait aussi que, pour l’auteur, le délit d’enrichissement illicite  relève du droit commun ; or si   tel est  le cas , c’est une juridiction de droit commun qui est  aussi compétente. L’absurdité  de ce résultat est   tout aussi flagrante que  personne n’a encore osé prétendre que la Cour de l’enrichissement illicite est une juridiction ordinaire.

    L’aberration atteint son comble lorsque l’on laisse croire que la Haute Cour de Justice  aurait une compétence résiduelle : elle n’aurait à juger  que les actes délictueux du Ministre en fonction qui  a été négligeant ,  imprudent ou maladroit. Ainsi, seules les fautes d’inattention, c'est-à-dire  celles que l’on accomplit sans le vouloir, justifieraient l’existence de la  Haute Cour de Justice.

    Dans ces conditions, il serait laborieux de vouloir partager l’affirmation de monsieur Ndiaye selon laquelle « il n y a  donc ni chasse aux sorcières, ni manœuvres politiques derrière les actions de la Cour de l’enrichissement illicite », et qu’ « il faut laisser l’institution judiciaire accomplir sa mission ».

    En réalité, Monsieur  Souleymane Ndiaye n’est pas parvenu à se détacher de son engagement  partisan ; sa doctrine orientée  manque alors totalement de pertinence , faute de neutralité académique.

     

     

     Parti Démocratique Sénégalais
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    Auteur

    Revolutions

    En Décembre, 2012 (08:05 AM)
    Political witch hunt'



    Despite the allegations, Wade continues to garner significant support in the country.



    "If you're going to audit Karim Wade, you must do the same for Macky Sall," said Cheikh, the president of a Facebook group supporting the former "super minister", as he was called. He, too, did not want his last name published.



    "They're all thieves," added M Faye, a young Senegalese actor, referring to both current and previous government officials.



    Born and educated mostly in France, Wade was relatively unknown in Senegal before his father came to power in 2000, and he does not speak the local language, Wolof.





    Inside Story - Is Senegal sliding into chaos?



    Wade is "unpopular among a lot of people," said Leonardo Villalón, a professor at the University of Florida who studies Senegalese politics.



    Loyalists of the Wade family, however, are attempting to use the corruption inquiry as a rallying cry against Sall's government, he said.



    "They have an interest in playing up this issue," Villalón said.



    Repeated calls to the Justice Ministry seeking comment were not returned.



    In an effort to shore up broader support, Wade's former party called for a large anti-government protest to be held on Thursday, December 6, to decry everything from the cost of commodities to his court summons.



    There are concerns the corruption inquiry and related protests will lead to renewed political violence in Senegal.



    When former president Abdoulaye Wade announced he was returning to Dakar from Paris upon hearing of his son's court summons, many feared his visit would spark a political standoff with Sall.



    The threat was serious enough for President Alassane Ouattara of Côte d'Ivoire to personally intervene, convincing the elder Wade to stay in France - for the time being.



    Potential for violence



    "This, of course, is a delicate political issue," Villalón said of the corruption inquiry. "There is the potential for conflict, obviously."



    However, Villalón said he did not believe the investigations would destabilise Senegal, a historically peaceful country of 12.5 million people.



    That said, more than 20 young members of the Alliance Pour la Republique - President Sall's party - appeared at the gendarmerie last week, where Wade faced ten hours of questioning, while his supporters held vigil. After pro-government slogans were shouted, a scuffle between the two groups ensued.



    People ran for cover as rocks were thrown by opposing camps. Police soon restored order after removing the pro-government group from the area.



    "We will fight against this dictatorship, this new kind of dictatorship that masks itself as a democracy … We've had enough."



    - Bachir Diawara, former official





    "If they come back, we'll kill them," a Le Parti Democratique Senegalais (PDS) member told this reporter.



    PDS supporters say the allegations against Wade and the other ministers are politically motivated.



    "We do not respect the Anti-Corruption Court. For us, it is illegal, goes against the constitution, and does not respect human rights," said Modou Diagne Fadda, adding the questioning of Wade was akin to "a political witch hunt".



    Bachir Diawara, a former member of Wade's ministerial cabinet, agreed at a rally last month.



    "We will fight against this dictatorship, this new kind of dictatorship that masks itself as a democracy … We've had enough," Diawara said.
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    Auteur

    Revolutions

    En Décembre, 2012 (08:06 AM)
    he threat was serious enough for President Alassane Ouattara of Côte d'Ivoire to personally intervene, convincing the elder Wade to stay in France - for the time being.



    Potential for violence



    "This, of course, is a delicate political issue," Villalón said of the corruption inquiry. "There is the potential for conflict, obviously."



    However, Villalón said he did not believe the investigations would destabilise Senegal, a historically peaceful country of 12.5 million people.



    That said, more than 20 young members of the Alliance Pour la Republique - President Sall's party - appeared at the gendarmerie last week, where Wade faced ten hours of questioning, while his supporters held vigil. After pro-government slogans were shouted, a scuffle between the two groups ensued.



    People ran for cover as rocks were thrown by opposing camps. Police soon restored order after removing the pro-government group from the area.



    "We will fight against this dictatorship, this new kind of dictatorship that masks itself as a democracy … We've had enough."



    - Bachir Diawara, former official





    "If they come back, we'll kill them," a Le Parti Democratique Senegalais (PDS) member told this reporter.



    PDS supporters say the allegations against Wade and the other ministers are politically motivated.



    "We do not respect the Anti-Corruption Court. For us, it is illegal, goes against the constitution, and does not respect human rights," said Modou Diagne Fadda, adding the questioning of Wade was akin to "a political witch hunt".



    Bachir Diawara, a former member of Wade's ministerial cabinet, agreed at a rally last month.



    "We will fight against this dictatorship, this new kind of dictatorship that masks itself as a democracy … We've had enough," Diawara said.
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    Auteur

    Rapadia

    En Décembre, 2012 (08:10 AM)
    Chers internautes, je veux partager avec vous cette réflexion et vous demande qu'on crée une pétition pour éclairer l'opinion sur ça. Depuis quels jours on voit des responsables de l'APR sortir dans la presse pour dire qu'avant 2000 il n'y a que Pape Diop qui était riche.cette affirmation montre donc que Macky n'était pas riche comme aujourd'hui.alors Macky doit nous dire comment il a fait pour être riche. Mais mon problème est que il se dit dans les salons de Dakar que Pape Diop à versé 2 milliards à Macky pour éviter d'être convoqué et poursuivi devant la cour. Cet argent n'a aucune traçabilité dans les compte du trésor. Ou est passé cet argent dont on dit que c'est Narieme Faye quinl'a encaissé, j'interpelle Latif Coulibaly, Mouhamadou Mbodj de forum civil et Félix Sow cet avocat qui doit dire comment il s'est enrichi pour construire partout des immeubles dans Dakar.
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    Auteur

    Moustapha Diop

    En Décembre, 2012 (08:16 AM)


    Pape Diop à donné 2 milliards à Macky et encaissés par Marieme Faye pour se soustraire à l'action de la justice

    Pape Diop à donné 2 milliards à Macky et encaissés par Marieme Faye pour se soustraire à l'action de la justice

    Pape Diop à donné 2 milliards à Macky et encaissés par Marieme Faye pour se soustraire à l'action de la justice

    Pape Diop à donné 2 milliards à Macky et encaissés par Marieme Faye pour se soustraire à l'action de la justice
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    Auteur

    Cia

    En Décembre, 2012 (08:19 AM)
    Mais vraiment Macky moy dealer. Cela ne surprend pas vu comment pape Diop est à l'aise et s'est même permis de créer un parti de contribution alors que c'est lui qui a été convoqué le premier.

    Macky doit être traduit en justice pour haute trahison et on doit écourter son mandat c'est un voyou qui dirige un État
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    Auteur

    Bakyi

    En Décembre, 2012 (08:19 AM)
    àprès ces gars, il faudrait convoquer tous ceux qui ont eu à gérer les deniers du pays depuis les années 90, ps pds, afp,ld, aj, pit, apr et certains soit disants non politiciens et macky. Tout cela n'empêchera pas les manifestations prévues le 06décembre 2012.
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    Auteur

    À Publier

    En Décembre, 2012 (08:30 AM)
    Chers internautes, je veux partager avec vous cette réflexion et vous demande qu'on crée une pétition pour éclairer l'opinion sur ça. Depuis quels jours on voit des responsables de l'APR sortir dans la presse pour dire qu'avant 2000 il n'y a que Pape Diop qui était riche.cette affirmation montre donc que Macky n'était pas riche comme aujourd'hui.alors Macky doit nous dire comment il a fait pour être riche. Mais mon problème est que il se dit dans les salons de Dakar que Pape Diop à versé 2 milliards à Macky pour éviter d'être convoqué et poursuivi devant la cour. Cet argent n'a aucune traçabilité dans les compte du trésor. Ou est passé cet argent dont on dit que c'est Narieme Faye quinl'a encaissé, j'interpelle Latif Coulibaly, Mouhamadou Mbodj de forum civil et Félix Sow cet avocat qui doit dire comment il s'est enrichi pour construire partout des immeubles dans Dakar.
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    Auteur

    Dealer

    En Décembre, 2012 (08:32 AM)
    Pape Diop à donné 2 milliards à Macky et encaissés par Marieme Faye pour se soustraire à l'action de la justice

    Pape Diop à donné 2 milliards à Macky et encaissés par Marieme Faye pour se soustraire à l'action de la justice

    Pape Diop à donné 2 milliards à Macky et encaissés par Marieme Faye pour se soustraire à l'action de la justice

    Pape Diop à donné 2 milliards à Macky et encaissés par Marieme Faye pour se soustraire à l'action de la justice

     
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    Auteur

    Voleur Faye Sall

    En Décembre, 2012 (08:34 AM)


    Scandales de Macky 



    Apres toutes ces auditions,Macky Sall doit lui aussi répondre devants la cour pour ces scandales:

    -Le programme indépendance Kolda

    - Les chantiers de Fatick

    - Le compte " jam" pour la paix en casamance

    -Le compte de la primature ouvert à Paris

    - Le marché des 7 hélicoptères pour l'armée avec son attaché militaire Charles Gueye

    - Le Pcrpe avec son dg Baydy souleymane Ndiaye qui lui a construit toutes ces villas

    - Son patrimoine caché en Afrique du Sud

    -Son appartement parisien à Malakoff

    -Sa villa en Allemagne.

    -Ses nombreux terrains et villas non déclarés de son patrimoine.

    -Les millions (700) qu'il recevait du Pcci dans le cadre du contrat État- Employeur.

    - Les deux permis d'exploitation de notre pétrole offerts à son frère de journaliste

    - Les 9 milliards sortis par Mansour Faye le frère de Marieme Faye la veille de la Tabaski

    -Les 1 milliard 200 millions donnés à Marieme Faye pour des billets pour la Mecque.

    -L'avion présidentiel que Macky et Marieme Faye ont mis à la disposition de leur fils vaptisé le " le prince de nermoz" pour aller pour une semaine aux USA avec ses amis.

     
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    Rapadioro

    En Décembre, 2012 (08:54 AM)
    Franchement que les fauteurs soient sévérement sanctionnés et sans pitié.

    Ils n'ont qu'à servir d'exemple aux autres, c'eslt l'argent de tous les contriables.

    Ils sont méchants ces gens là.
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    Vérité Vraie

    En Décembre, 2012 (09:20 AM)
    Et Ousmane Masseck Ndiaye ? On l'a oublié ou bien ????
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    Galsen

    En Décembre, 2012 (09:45 AM)
    niappah sen ndeye rek
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    Karim Wade Mort Ou Vif

    En Décembre, 2012 (09:46 AM)
    LE CATALYSATEUR DE CES MANIFESTATIONS C´EST ABLAYE WADE IL SAIT QUE SON FILS EST COUPABLE IL NE VA PAS ECHAPPER LA PRISON,KARIM WADE EST LE PLUS GRAND VOLEUR DU SIECLE DE LA NATION SENEGALAISE ,KARIM VA VOMIR NOTRE ARGENT OU IL VA EN PRISON ,C´EST NOTRE ARGENT .................LES MARABOUTS RECELEURS DOIVENT SAVOIR QUE LE SENEGAL N´EST PAS LEUR TITRE FONCIER .......CES MARABOUTS NE DEVELOPPERONT JAMAIS CE PAYS ILS SONT LA POUR COLLECTIONNER DES BELLES FEMMES ,DES BELLES VOITURES,DES BELLES VILLAS EN EXPLOITANT UNE PARTIE DU PEUPLE IGNORANT ET EN PILLANT NOS MILLIARDS ET NOS TERRES AVEC LA COMPLICITE DE L´ETAT EN VERTU DE QUOI,,,ON DOIT RECUPERER NOS MILLIARDS A N´IMPORTE QUEL PRIX
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    Qui Veut De La Vérité ?

    En Décembre, 2012 (10:03 AM)
    A mon humble avis. Il n'y a que le peuple qui croupit dans la misère qui pourra chager les choses...

    Nos voleurs (élites politiques et maraboutiques, etc.) sont encadrés par les grands voleurs de l'extérieur qui les aident à planquer leurs sous...mal acquis de crimminels économiques et d'affameurs des peuples d'Afrique DANS LEURS BANQUES ET PARADIS FISCAUX.

    Quand la REVOLUTION POPULAIRE AFRICAINE SE METTRA EN MARCHE ALORS PLEIN DE GENS AURONT DES SOUCIS A SE FAIRE...

    Au Sénégal nous avons subi 52 ans d'iimmmoralité et de peur de nous regarder le matin devant nos miroirs.... Où est la dignité de nos ancêtres ?????????????????????????????????????????,,,
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    Peuls,

    En Décembre, 2012 (10:13 AM)
    Si les peuples du Sénégal éternellement archi-pluriel en TOUT étaient sincérement UNIS dans l'absolue DIVERSITE, mettant à la tête de toutes les priorités exclusivement les intérêts généraux de la République laique-démocratique-sociale du Sénégal éternellement archi-pluriel en TOUT, se hissant résolument au-dessus de tous les codes culturels-ethniques-linguistiques-claniques-confrériques-régionaux, ces voyous-criminels, les plus corrompus-voleurs-violeurs-violents-menteurs-falsificateurs-haineux-racistes-ethnicistes-clanistes-confréristes-régionalistes-comploteurs-tricheurs-usurpateurs-paresseux-fainéants-oisifs-bavardeurs-exhibitionnistes-arrogants-agressifs-impolis que le Sénégal ait jamais connus, ne bénéficieraient d'aucun soutien! L'union que certains-es exhibent pour leurrer les étrangers naifs-légers-e-m'en-foutistes, n'est qu'une obscéne façade. Des "religieux" qui soutiennent des voyous-criminels-corrompus.....! Certains-es... PEULS.
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    Walo Walo

    En Décembre, 2012 (10:30 AM)
    c'est pas vrai, issa ndoye est un homme honnéte. il n'a pas besoin d 'etre corompu car étant issu d 'une famille noble aisée. En plus tout le monde reconnait sa droiture et son sérieux dans son travail. c'est un fonctionnaire modéle reconnu par tous.

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    Bibs

    En Décembre, 2012 (10:50 AM)
    Mais Ana Alioune Diop conseiller wade bi dowon deme France Kene hamoule lomouye noureule legui ndeyssane allal sathie bakhoule avec sa femme on dirait mbame khouhe Alioune dieule na dee ala yoyou mo lene diape ak ningene yene wone Alioune petit Mbaye you bone :):)
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    Fana Fana

    En Décembre, 2012 (10:52 AM)
    et notre ami ALIOU SANGALKAM MALAW TRICHEUR SOW devenu milliardaire alors qu'il etait un simple etudiant en 2000. cet homme fait partie de ceux qui ont sucé le sang de la jeunesse senegalaise a travers le fnpj et l'anej.je vious rappelle qu'il avait ete chasse du lycee valdiodio ndiaye pour detournement des fonds du foyer et autres choses(nous y reviendrons) .

    il faut auditer le fnpj

    il faut auditer le fnpj

    il faut auditer le fnpj

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    Pendus

    En Décembre, 2012 (13:06 PM)
    maitre madicke niang le grand bienfaiteurgrand talibe de serigne touba tu peux dormir tranquille rien ne t arrivera et tu continueras de mener tes propres activites tes biens que tu possedent la sueur de ton front depuis ton cabinet d avocat tu as bcp fait de bien que tu ne regretteras jamais que dieu te protege
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    Gambel

    En Décembre, 2012 (13:08 PM)
    vréma sa sapél du yébaté ,coma peut on piller ,voler et ruiner l'economie d'un pays et se permette de nous amerder avec vos histoire de manifestation ou de manipulation ,je pense k sa ne passera pas le peuple vous attend ,bandes d'escrots .
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    Maissa Fall

    En Décembre, 2012 (16:00 PM)
    QUAND ON CONNAIT TANT SOIPEU DE CES FILS PUTES........



    ON SE REND COMPTE A QUEL POINT ABDOULAYE WADE S'EST FOUTU DE LA GUEULE DES SENEGALAIS.



    NON MAIS REGARDEZ BIEN CES GENS LA, DEMANDER DES RENSEIGNEMENT SUR EUX.....



    SURTOUT UN BANDIT DE QUATRE CHEMIN DU NIVEAU DE SAMUEL SARR..........



    COMMENT WADE A PU NOUS IMPOSER DES VA-NU-PIEDS DE CETTE ESPECE..



    CESGENS DEVRAIENT TOUS ETRE EN PRISON A CETTE HEURE CI !!!!!!!..........................................



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    Deg

    En Décembre, 2012 (16:10 PM)
    Baldé dort bien il ne t'arrivera rien car Dieu sait que tu n'as rien à te reprocher.
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    • Auteur

      Répondeur Eply_author

      En Novembre, 2023 (15:20 PM)
      Pourquoi ne le mérite t-il pas, notre état a l’habitudes de donner les marchés aux étrangers, pourquoi pas pour les sénégalais. Pourquoi le sénégalais est si méchant pour un autre sénégalais, et après on vient nous fatigué avec le pays de la Téranga, Téranga mon œil. S’il est un sénégalais câble de faire de bonnes réalisations pourquoi ne pas lui donné des marchés. 
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    Yeet

    En Décembre, 2012 (16:57 PM)
    Et à quand le début des travaux ? Lesquels me dirais-tu?

    Les travaux que doit accoplir le gouvernement au lieu de briser le tympan avec ces audits!!!!!!

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    Auteur

    Sebi

    En Décembre, 2012 (17:17 PM)
    Woup sathieyyye

    Woup sathieyyye

    Woup sathieyyye

    Woup sathieyyye

    Woup sathieyyye

    Woup sathieyyye waa pds yenay domi kharam
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