La Ligue sénégalaise des droits humains (Lsdh) a déposé ce lundi une plainte avec constitution de partie civile auprès du Doyen des juges. Elle proteste contre la vente de carburants toxiques au Sénégal par des négociants suisses. Cette affaire a été révélée par l’Ong suisse Public Eye dans un rapport publié il y a quelques jours et impliquant des sociétés comme Trafigura, Vitol, Addax & Oryx et Lynx Energy.
Dans sa plainte dont SeneWeb a obtenu copie, la Lsdh demande au Doyen des juges de « fixer le montant de la consignation », d’« inculper toutes personnes » concernées des chefs de « trafic de produits pétroliers, nocifs et toxiques de nature à mettre en danger le droit à la vie, à intégrité physique et morale des populations », de « complicité par négligence ou par abstention contre toute personne qui aurait pu de par sa position où ses prérogatives officielles prévenir de tels faits ou en alerter », notamment.
9 Commentaires
Anonyme
En Septembre, 2016 (14:27 PM)Mr Bamba Diouf Thiès
En Septembre, 2016 (15:00 PM)L'affaire est tellement sérieuse et qui contrastent avec le mutisme des gouvernants qui n'ont rien à faire que de s'attacher des services de soi-disants experts en énergie, qui encombrent les télévisions pour essayer de rassurer les Sénégal. sachez que l'assurance du peuple ne viendra pas de ces gens la, inconnus du public avec des fois des arguties les unes aussi spécieuses que les autres. Nous sommes la devant des cas très sérieux qui peuvent créer des dommages incalculables. Imaginez si à cause de ce mauvais lubrifiant, les 70% parc automobiles s’arrêtaient,si les engins de la Sénélec qui consomment du gaz oil aussi s’arrêtaient, sans oublier les consommations intermédiaires des entrepreneurs privés . je pense que la réflexion devait aller dans ce sens la pour mesurer les risques potentiels de la commercialisation de ce lubrifiant.
même si c'est des mensonges de l'ONG Public Eye, l'état devait faire des investigations ne serait ce que pour infirmer ou confirmer le rapport et éclairer les Sénégalais sur la qualité de ce produit. et ne pas nous laisser avec ses "experts" dont les explications et éclairages sont trop laborieux et sont beaucoup plus sombres que clairs.
Quels intérêts l'ONG a pour décrier un produit de grande consommation destiné en Afrique? En tout cas, les enjeux sont importants et ça peut être l'affaire de lobbies, tapies dans l'ombre et prêtes à écouler leurs marchandises quelque soit le prix.
Bravo encore une fois LSDH et il faut aller jusqu'au bout.
Mr Bamba Diouf à Thiès
En Septembre, 2016 (15:06 PM)L'affaire est tellement sérieuse et qui contrastent avec le mutisme des gouvernants qui n'ont rien à faire que de s'attacher des services de soi-disants experts en énergie, qui encombrent les télévisions pour essayer de rassurer les Sénégal. sachez que l'assurance du peuple ne viendra pas de ces gens la, inconnus du public avec des fois des arguties les unes aussi spécieuses que les autres. Nous sommes la devant des cas très sérieux qui peuvent créer des dommages incalculables. Imaginez si à cause de ce mauvais lubrifiant, les 70% parc automobiles s’arrêtaient,si les engins de la Sénélec qui consomment du gaz oil aussi s’arrêtaient, sans oublier les consommations intermédiaires des entrepreneurs privés . je pense que la réflexion devait aller dans ce sens la pour mesurer les risques potentiels de la commercialisation de ce lubrifiant.
même si c'est des mensonges de l'ONG Public Eye, l'état devait faire des investigations ne serait ce que pour infirmer ou confirmer le rapport et éclairer les Sénégalais sur la qualité de ce produit. et ne pas nous laisser avec ses "experts" dont les explications et éclairages sont trop laborieux et sont beaucoup plus sombres que clairs.
Quels intérêts l'ONG a pour décrier un produit de grande consommation destiné en Afrique? En tout cas, les enjeux sont importants et ça peut être l'affaire de lobbies, tapies dans l'ombre et prêtes à écouler leurs marchandises quelque soit le prix.
Bravo encore une fois LSDH et il faut aller jusqu'au bout.
Mr Bamba Diouf à Thiès
En Septembre, 2016 (15:09 PM)L'affaire est tellement sérieuse et qui contrastent avec le mutisme des gouvernants qui n'ont rien à faire que de s'attacher des services de soi-disants experts en énergie, qui encombrent les télévisions pour essayer de rassurer les Sénégal. sachez que l'assurance du peuple ne viendra pas de ces gens la, inconnus du public avec des fois des arguties les unes aussi spécieuses que les autres. Nous sommes la devant des cas très sérieux qui peuvent créer des dommages incalculables. Imaginez si à cause de ce mauvais lubrifiant, les 70% parc automobiles s’arrêtaient,si les engins de la Sénélec qui consomment du gaz oil aussi s’arrêtaient, sans oublier les consommations intermédiaires des entrepreneurs privés . je pense que la réflexion devait aller dans ce sens la pour mesurer les risques potentiels de la commercialisation de ce lubrifiant.
même si c'est des mensonges de l'ONG Public Eye, l'état devait faire des investigations ne serait ce que pour infirmer ou confirmer le rapport et éclairer les Sénégalais sur la qualité de ce produit. et ne pas nous laisser avec ses "experts" dont les explications et éclairages sont trop laborieux et sont beaucoup plus sombres que clairs.
Quels intérêts l'ONG a pour décrier un produit de grande consommation destiné en Afrique? En tout cas, les enjeux sont importants et ça peut être l'affaire de lobbies, tapies dans l'ombre et prêtes à écouler leurs marchandises quelque soit le prix.
Bravo encore une fois LSDH et il faut aller jusqu'au bout.
Mr Bamba Diouf à Thiès
En Septembre, 2016 (15:20 PM)L'affaire est tellement sérieuse et qui contrastent avec le mutisme des gouvernants qui n'ont rien à faire que de s'attacher des services de soi-disants experts en énergie, qui encombrent les télévisions pour essayer de rassurer les Sénégal. sachez que l'assurance du peuple ne viendra pas de ces gens la, inconnus du public avec des fois des arguties les unes aussi spécieuses que les autres. Nous sommes la devant des cas très sérieux qui peuvent créer des dommages incalculables. Imaginez si à cause de ce mauvais lubrifiant, les 70% parc automobiles s’arrêtaient,si les engins de la Sénélec qui consomment du gaz oil aussi s’arrêtaient, sans oublier les consommations intermédiaires des entrepreneurs privés . je pense que la réflexion devait aller dans ce sens la pour mesurer les risques potentiels de la commercialisation de ce lubrifiant.
même si c'est des mensonges de l'ONG Public Eye, l'état devait faire des investigations ne serait ce que pour infirmer ou confirmer le rapport et éclairer les Sénégalais sur la qualité de ce produit. et ne pas nous laisser avec ses "experts" dont les explications et éclairages sont trop laborieux et sont beaucoup plus sombres que clairs.
Quels intérêts l'ONG a pour décrier un produit de grande consommation destiné en Afrique? En tout cas, les enjeux sont importants et ça peut être l'affaire de lobbies, tapies dans l'ombre et prêtes à écouler leurs marchandises quelque soit le prix.
Bravo encore une fois LSDH et il faut aller jusqu'au bout.
Anonyme
En Septembre, 2016 (15:43 PM)Anonyme
En Septembre, 2016 (16:00 PM)Anonyme
En Septembre, 2016 (04:54 AM)Anonyme
En Septembre, 2016 (07:37 AM)Participer à la Discussion