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CONSOMMATION DE VIANDE ET DE LAIT Hausse de 73% et 58% d'ici 2050

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CONSOMMATION DE VIANDE ET DE LAIT Hausse de 73% et 58% d'ici 2050

La consommation de viande devrait progresser de près de 73% d'ici 2050, et celle de produits laitiers de 58% par rapport aux niveaux actuels. C'est pour une exploitation durable des produits animaux, qu'un nouveau partenariat, piloté par l'Oranisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (Fao), est mis en place pour une évaluation et une harmonisation des mesures de l'impact environnemental de l'élevage.La demande de produits animaux continuera de croître au cours des prochaines décennies. 

L’Oranisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao) estime, dans un comminqué qui nous est parvenu, que “la consommation de viande devrait progresser de près de 73% d'ici 2050, et celle de produits laitiers de 58% par rapport aux niveaux actuels”. Cet accroissement de la demande sur les produits animaux n’est pas sans conséquence sur l’environnement. D’où la nécsessité de mettre en avant l'impératif de la durabilité “sauvegarder cet important secteur alimentaire en améliorant l'efficience de l'utilisation des ressources naturelles et ses performances en termes de durabilité”. Car, souligne la Fao, “cette croissance continue de la demande se fera dans un contexte de compétition accrue pour les ressources limitées, voire en voie d'appauvrissement, d'enjeux supplémentaires liés au changement climatique, et de l'impératif de durabilité de la production alimentaire”. Conscient que des directives et indicateurs communs d’évaluation permettront de mieux comprendre les impacts et d’élaborer des politiques, un nouveau partenariat a pour vocation de mieux évaluer les impacts sur l'environnement du secteur de l'élevage est mis en place sous l’égide de la Fao. De nos jours, l’existence de diverses méthodes de mesure et d'évaluation des impacts environnementaux de l'élevage complique la tâche de comparaison des résultats et d'établissement de priorités en vue d'améliorer durablement les performances environnementales tout au long des chaînes d'approvisionnement. C’est pourquoi la Fao invite à "dégager un consensus sur la manière d'évaluer la performance environnementale de l'élevage". 

 

"Le but est d'améliorer cette performance et de créer des formes plus durables de production qui continueront à fournir nourriture et revenus. Pour ce faire, nous avons besoin d'informations quantitatives fiables sur les principaux paramètres environnementaux de la filière comme base de connaissances dans le but d'obtenir des améliorations". Ce projet qui constitue une première étape vers une meilleure durabilité de cet important secteur de production vivrière, regroupe la Fao et ses partenaires gouvernementaux, non gouvernementaux et du secteur privé. Ces derniers collaboreront sur plusieurs fronts dans le but de renforcer la science des critères environnementaux des filières de l'élevage. Dans sa phase initiale qui durera trois ans, le projet comportera quatre activités. Il s’agit d’abord de la mise en place de méthodes et directives reposant sur des bases scientifiques permettant de quantifier l'empreinte carbone du bétail, couvrant divers types d'opérations et de systèmes d'élevage. Ensuite il y’aura la création d'une base de données de facteurs d'émissions de gaz à effet de serre engendrés par la production de différentes sortes d'aliments pour animaux - la production et l'utilisation fourragère offrent des occasions importantes de réduction des émissions de l'élevage. 

 

Puis une méthodologie propre à mesurer d'autres pressions environnementales importantes telles que la consommation d'eau et les pertes de nutriments sera mise au point. En fin, il sera bouclé par le lancement d'une campagne de communication afin de promouvoir l'utilisation des méthodes et des résultats du partenariat, précise la source. L'élevage et la consommation de produits d'origine animale apportent une contribution cruciale au bien-être économique et nutritionnel de millions de personnes dans le monde, tout particulièrement dans les pays en développement. Or, avec l'augmentation de la consommation mondiale de viande, de produits laitiers et d'oeufs, on s'intéresse de plus près aux performances environnementales du secteur de l'élevage - par exemple, l'efficacité d'utilisation des ressources naturelles qui s'amenuisent, ses impacts sur les ressources hydriques et sa part de responsabilité dans le changement climatique, rappelle la Fao notant qu’à la récente Conférence sur le développement durable Rio+20, les gouvernements sont tombés d'accord sur la nécessité de rendre la production agricole plus durable, en insistant en particulier sur les systèmes de production animale. La demande de produits animaux continuera de croître au cours des prochaines décennies. L’Oranisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao) estime, dans un comminqué qui nous est parvenu, que “la consommation de viande devrait progresser de près de 73% d'ici 2050, et celle de produits laitiers de 58% par rapport aux niveaux actuels”.

 

 Cet accroissement de la demande sur les produits animaux n’est pas sans conséquence sur l’environnement. D’où la nécsessité de mettre en avant l'impératif de la durabilité “sauvegarder cet important secteur alimentaire en améliorant l'efficience de l'utilisation des ressources naturelles et ses performances en termes de durabilité”. Car, souligne la Fao, “cette croissance continue de la demande se fera dans un contexte de compétition accrue pour les ressources limitées, voire en voie d'appauvrissement, d'enjeux supplémentaires liés au changement climatique, et de l'impératif de durabilité de la production alimentaire”. Conscient que des directives et indicateurs communs d’évaluation permettront de mieux comprendre les impacts et d’élaborer des politiques, un nouveau partenariat a pour vocation de mieux évaluer les impacts sur l'environnement du secteur de l'élevage est mis en place sous l’égide de la Fao. De nos jours, l’existence de diverses méthodes de mesure et d'évaluation des impacts environnementaux de l'élevage complique la tâche de comparaison des résultats et d'établissement de priorités en vue d'améliorer durablement les performances environnementales tout au long des chaînes d'approvisionnement. C’est pourquoi la Fao invite à "dégager un consensus sur la manière d'évaluer la performance environnementale de l'élevage". 

 

"Le but est d'améliorer cette performance et de créer des formes plus durables de production qui continueront à fournir nourriture et revenus. Pour ce faire, nous avons besoin d'informations quantitatives fiables sur les principaux paramètres environnementaux de la filière comme base de connaissances dans le but d'obtenir des améliorations". Ce projet qui constitue une première étape vers une meilleure durabilité de cet important secteur de production vivrière, regroupe la Fao et ses partenaires gouvernementaux, non gouvernementaux et du secteur privé. Ces derniers collaboreront sur plusieurs fronts dans le but de renforcer la science des critères environnementaux des filières de l'élevage. Dans sa phase initiale qui durera trois ans, le projet comportera quatre activités. Il s’agit d’abord de la mise en place de méthodes et directives reposant sur des bases scientifiques permettant de quantifier l'empreinte carbone du bétail, couvrant divers types d'opérations et de systèmes d'élevage.

 

 Ensuite il y’aura la création d'une base de données de facteurs d'émissions de gaz à effet de serre engendrés par la production de différentes sortes d'aliments pour animaux - la production et l'utilisation fourragère offrent des occasions importantes de réduction des émissions de l'élevage. Puis une méthodologie propre à mesurer d'autres pressions environnementales importantes telles que la consommation d'eau et les pertes de nutriments sera mise au point. En fin, il sera bouclé par le lancement d'une campagne de communication afin de promouvoir l'utilisation des méthodes et des résultats du partenariat, précise la source. L'élevage et la consommation de produits d'origine animale apportent une contribution cruciale au bien-être économique et nutritionnel de millions de personnes dans le monde, tout particulièrement dans les pays en développement.

 

 Or, avec l'augmentation de la consommation mondiale de viande, de produits laitiers et d'oeufs, on s'intéresse de plus près aux performances environnementales du secteur de l'élevage - par exemple, l'efficacité d'utilisation des ressources naturelles qui s'amenuisent, ses impacts sur les ressources hydriques et sa part de responsabilité dans le changement climatique, rappelle la Fao notant qu’à la récente Conférence sur le développement durable Rio+20, les gouvernements sont tombés d'accord sur la nécessité de rendre la production agricole plus durable, en insistant en particulier sur les systèmes de production animale.



6 Commentaires

  1. Auteur

    Jc

    En Juillet, 2012 (17:52 PM)
    vraiment des previsions qui e tienenent pas

    vous ne savez rie de demain

    cessez de mentir
  2. Auteur

    Boy Djine

    En Juillet, 2012 (17:53 PM)
    2050 c´esst pas dans deux jours
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    Auteur

    Dofff Bi

    En Juillet, 2012 (18:05 PM)
    anna fondé wayyyyyyyy
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    Auteur

    Congolese

    En Juillet, 2012 (18:35 PM)
    Je pense qu'on mange plus de viande que nous en avons réellement besoin. l'élevage intensif est un facteur très important du réchauffement climatique. Orientons nous vers des produits de substitution à la viande tels que les haricots (niébé compris), les petits pois et autres légumineuses.

    D'ailleurs la viande rouge est très mauvaise pour la santé surtout celle des adultes.
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    Auteur

    Bofort

    En Juillet, 2012 (19:40 PM)
    Bjr,cherche relation sans lendemain avec fille femme majeur ou driyanké et dans la discretion, envoyez un email au [email protected]. plésir assuré :-D  :-D  :-D  :-D  :-D  :-D 
    Auteur

    Toth Toth

    En Juillet, 2012 (22:11 PM)
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