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ÉPIDÉMIE DE GROSSESSES À DAHRA DJOLOF - De la salle de classe bondée à l’intimité des garçonnières

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ÉPIDÉMIE DE GROSSESSES À DAHRA DJOLOF - De la salle de classe bondée à l’intimité des garçonnières

Les relations entre professeurs et élèves virent carrément au sexe. Comme à Dahra où six jeunes filles fréquentant le même établissement sont tombées enceintes des œuvres de leurs enseignants, au moins pour l'une d'elles qui s'est confiée à EnQuête. Aujourd'hui, cette partie du Djolof naguère attachée à l'honorabilité des filles sombre dans le délire sexuel. Une situation à laquelle les principaux acteurs du secteur ont daigné apporter leurs explications. Reportage.

 

Il est neuf heures. C’est l’heure de la récréation au Cem Dahra commune. Le lieu est bruyant. Les potaches, par petits groupes, devisent à l’ombre des nimes et des murs. Ils jouent les prolongations du combat Balla Gaye 2 contre Tapha Tine. Si certains ont fait de ce combat de lutte leur choux gras, d’autres sont plus intéressés par l’histoire d'une jeune fille engrossée par un de ses profs. L'arrivée du reporter d'EnQuête éveille gêne et mutisme. Personne ne veut piper mot. Silence dans les rangs !

 

«J’ai tout perdu : ma virginité, ma dignité et mes études»

 

A. ND., la trentaine bien sonnée, est une très belle fille. Elle nous donne rendez-vous au marché central de Dahra. C'est l’une des nombreuses victimes de l'épidémie de grossesse qui sévit dans cette partie du Djolof. «Ma propre expérience me pousse à dire que les demoiselles sont les victimes de leur propre jeu, dit-elle à l'entame. Par leur port vestimentaire, leur maquillage, leur attitude et leur langage osés, elles provoquent leurs profs qui se laissent aller», affirme-t-elle avec tristesse. Le regard plein de regrets, A. ND. s’épanche, sans retenue. «Lorsque j’ai été engrossée par mon professeur d’histoire-géographie, à  la fin des années 90, toute ma famille, tétanisée, m’avait délaissée. J’étais désespérée», raconte-t-elle. «Au début de la relation, seules les notes m’intéressaient.» Naïve, son objectif était de plaire pour obtenir des notes de complaisance. «Sous divers prétextes, j’allais chez lui les après-midis dans l’espoir de détourner les soupçons. Et j'avais de plus en plus de bonnes notes, sans beaucoup travailler !»

 

Ce cinéma a duré le temps d'une rose. Ou plutôt d'une épine ! «Au final, c’est moi qui suis tombée dans le panneau. En réalité, j’étais un jouet entre les mains de mon prof, même pas une partenaire !» Résultat des courses : «j’ai tout perdu : ma virginité, ma dignité et mes études». A.ND. a même failli se suicider. «J’ai quitté l'école à un trimestre du Bfem, mais, de toute façon, c’était l’exclusion, alors que mon bourreau a tranquillement continué son année scolaire, avant d’obtenir une permutation», souligne-t-elle d'un ton amer.

 

Aujourd'hui, tant bien que mal, A. ND veut refaire sa vie, mais elle est contrainte de traîner avec elle son passé de collégienne sexuellement active, en plus du boulet que représente un fils de 14 ans, sans papa...

 

«Provocations de filles précoces ou majeures...»

 

Au Cem Dahra 1, la sirène retentit pour la récréation. Les élèves, comme une volée de moineaux, s’égaillent dans la cour. Assis entre deux chaises, Dialo Diop, le Principal, suspendu au téléphone, n’a pas le temps de rester dans son bureau, affairé entre le bloc des surveillants et les classes. «Ces grossesses accidentelles sont un phénomène social récurrent que l’on trouve à tous les niveaux, croit-il savoir. Mais dans l’espace scolaire, ce sont des attitudes inacceptables, dans la mesure où cela prend une tournure dramatique, du fait de la position influente de l’enseignant.» Enseignant expérimenté, à deux ans de la retraite, il souligne que «même s’il y a provocation de la part de filles précoces ou majeures dans beaucoup de cas, et parce qu’il y a un vrai décalage entre l’âge déclaré au civil et l’âge physique et mental, il est impardonnable qu’un enseignant descende aussi bas».

 

«Relations suspectes»

 

Les relations suspectes entre profs et élèves sont une réalité, constate Ousmane Niane, surveillant général. Pire, elles sont devenues alarmantes du fait de plusieurs facteurs. Dont le moindre n'est pas «la précocité des jeunes filles». Grâce aux technologies de l’information et de la communication, «les filles sont très tôt assez informées sur leur corps et leur intimité. Les bribes d’informations qu’elles obtiennent de l’internet, en catimini, les poussent un peu à une imitation qui fait le lit des problèmes», fait remarquer Niane. Phénomène aggravant, selon lui, «l’éducation à la sexualité n’est plus prise en compte au niveau des familles.» «Avant, les mamans et les tantes s’en occupaient bien. Aujourd’hui, cette éducation n’existe plus, ce qui expose de fait les filles à ces grossesses non désirées.» En plus, le système scolaire lui-même est vide de programmes spécifiques liés à l'éducation à la sexualité et pouvant aider les jeunes filles à se prémunir contre les dérapages qui les guettent, ajoute le surveillant général.

 

«Les professeurs concernés doivent être sévèrement sanctionnés et mutés»

 

Autre facteur explicatif avancé, la «proximité coupable» entre les deux groupes d'acteurs du drame ainsi établi. «Auparavant, il y avait une ligne de séparation entre le professeur et son élève, pour ne pas dire une barrière entourée de mythe, de respect et d’admiration», rappelle Ousmane Niane, un brin nostalgique. À présent, «la familiarité a tellement gagné du terrain qu'elle a encouragé les jeunes filles à avoir plus de liberté et d’audace, ce qui a lâché la bride à leurs enseignants.» Ce «rapprochement» a été facilité par «le relâchement de la surveillance familiale elle-même due à l'effritement progressif de l’autorité parentale.» En face, alors qu'ils étaient censés jouer les père-fouettards, les enseignants se sont fourvoyés dans une violation combinée «de l’éthique, de la déontologie et de la législation scolaire», constate notre interlocuteur. Qui ne se prive pas de mettre en cause un «mode de recrutement» qui jure d'avec les intérêts fondamentaux des élèves et de l'école en général.

 

Confirmation auprès de Mme Ndiaye, une professeure d’espagnol trouvée dans la salle des profs. «À cet  âge, ces jeunes filles devraient se préoccuper de leur avenir parce que l’éducation des jeunes filles est fondamentale». Elle ne mâche pas ses mots pour dénoncer «le comportement de certains enseignants qui vont engrosser leurs propres élèves. Les professeurs concernés doivent être sanctionnés  sévèrement et mutés le plus rapidement possible. Les acteurs de l’éducation et l’État plus particulièrement doivent prendre à bras le corps ce problème», s’insurge-t-elle.

 

«Enseignants et élèves sont de la même génération »

 

Quand nous arrivons au Lycée moderne de Dahra, il est onze heures. C’est le calme plat propice aux études. Moussa Ndiaye, le Censeur, nous accueille dans son bureau. Féru d’informatique, il pianote sur son écran plat. Il se veut prudent. «Si cela s’avère, ça veut dire qu’on a atteint des proportions extraordinairement regrettables. Il faut le déplorer», dit-il. Pour lui, les causes de ce phénomène sont multiples. D’ordre socio-économique, d'abord. «Beaucoup d’élèves nous viennent de la périphérie. En ville, elles ont d’énormes besoins en voulant se mettre à la mode. Ainsi de sollicitation en sollicitation, elles deviennent très vulnérables», analyse le censeur. Puis, se pose un problème de mentalité. «Moi, j’entends souvent les garçons employer les termes tels que «come on town», etc.», s’exclame cet ancien professeur d’anglais. «Pour dire que lorsqu'on vient de la campagne ou du monde rural, on a tendance à vouloir incarner certaines valeurs sur le tard. Mais sans s’en rendre compte, on glisse et à partir du moment où on a commencé à réaliser ce qu’on a fait, c’est déjà trop tard».

 

Ensuite, la faute à l'environnement scolaire actuel. «Enseignants et élèves sont de la même génération. Ce sont des gens qui se rencontrent sur les terrains de sport, dans les clubs, dans les soirées, etc.  Il n’y a pas un écart énorme entre leurs âges. Aussi se retrouvent-ils dans ces parties de plaisir...» A ce niveau, c'est «la psychopédagogie» frappée de «négligence» qui est mise en accusation lors du «recrutement». «Vous voyez un jeune fauché, habitué à la vie du campus universitaire. Dès qu'il est recruté, il a aussitôt les moyens de ses envies. Il poursuit son mode de vie estudiantin. Le résultat ne peut qu’être scandaleux, surtout pour la fille», souligne le censeur du lycée moderne de Dahra.

 

«Les filles discriminées»

 

Fustigeant l'absence de réaction appropriée, Moussa Ndiaye s'insurge contre «ces choses extraordinaires (qui) se passent dans l’espace scolaire. Tout le monde croise les bras», alors qu'il y a urgence à «combattre ce phénomène. Il y va de la responsabilité de l’État», rappelle-t-il. Les pouvoirs publics sont d'autant plus co-responsables de cette épidémie de grossesse en milieu scolaire qu'«aucun règlement intérieur n'est précis sur la nature des sanctions à infliger aux enseignants et professeurs coupables de turpitudes.» Ce qui sécrète de l'injustice quelque part. «Au collège, on interdit l’accès des cours aux filles qui sont tombées enceintes. C’est discriminatoire», dénonce-t-il. «Quand il y a grossesse non désirée du fait d'un homme dans l’établissement, c’est la fille, simple victime, qui est sanctionnée, doublement d’ailleurs. L’État doit prévoir quelque chose à ce niveau.»

 

«Des parents irresponsables»

 

Mais pas seulement, note Dialo Diop, Principal du Cem Dahra 1. «C'est aux parents de  prendre leurs responsabilités. Qu’ils éduquent leurs enfants, dès le bas âge, en leur inculquant les bases des enseignements religieux ! Qu’ils assument l’éducation sexuelle des adolescents, notamment des filles», recommande-t-il. Scandalisé, il s'en prend aux fauteurs de troubles masculins. Contre qui «il faut sévir. Quelles que soient les raisons, l’enseignant est là pour apporter une éducation et un savoir aux apprenants. Quand on n’a pas la fibre enseignante, il faut chercher ailleurs», assène-t-il à l'endroit de ses collègues.

 

Le censeur Moussa Ndiaye le rejoint sur ce plan. «La responsabilité des parents est écrasante car tout part de l’éducation de base.» Puis, c'est l'indignation : «regardez l’habillement de nos filles, c’est tout à fait déplorable ! Dans la rue, vous êtes même poussés à croire que les filles ne viennent pas de leurs propres domiciles, au vu et su de leurs parents, frères et autres sœurs», s'exclame-t-il.

 

L'enseignant et la parabole du mouton

 

Philosophe, Moussa Ndiaye fait remarquer à propos de l'enseignant ou du professeur. «Il n’est pas un mouton, quand même ! Il lui faut s’interroger sur la nature de l’herbe qu’il doit brouter. Et il doit savoir qu'il ne peut tout brouter sur son passage. S’il a des intentions nobles, il passe par le mariage légal. Le fait de tout brouter est une irresponsabilité caractérisée. C’est une synergie d’efforts qu’il nous faut pour combattre ce désastre», martèle-t-il. Il n'est pas certain que ces mots de bon sens plaisent à un autre Principal de collège de la localité. La cinquantaine, les dents rougies par la cola, cet homme apporte son grain de sel dans le débat. «Moi, en tant que professeur, j’entretenais des relations amoureuses avec mes élèves, c’est pourquoi je ne jetterai pas la pierre à mes jeunes cadets.» Et lorsqu'on lui rapporte l'image du censeur Ndiaye, il rétorque après quelques tierces de réflexion : «vous savez, le mouton ne broute également que là où il est attaché», indique-t-il, perfide. Dans l'anonymat, bien sûr !



28 Commentaires

  1. Auteur

    Pierre Jean

    En Juin, 2013 (17:33 PM)
    ici chez nous à matam c'est pire. du matin au soir ce n'est que du sexe entre élève et prof surtout au lycée.
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  2. Auteur

    Bra

    En Juin, 2013 (17:34 PM)
    ces enseignants ne méritent plus leurs nom d'enseignant puisqu'ils détruisent des vies innocentes car ces filles malgré leur précocité sont immatures
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    Auteur

    Ndiaydé

    En Juin, 2013 (17:42 PM)
    NE PAS CONFONDRE ÉDUCATEUR ET ÉDU KATTEUR !!!
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    Auteur

    Mairit

    En Juin, 2013 (17:45 PM)
    ces vrai k les fille sabiy d manière hyper provocatrice(jupe courte,pantalon serré ou décolleté mettan une bne partie des sein) les paren et les etablissemen doiven interdir ces mode d'habillemen déplacé. Aussi jai com limpression k ces jeune fille ne se rende pa compte de leffet k elles fon aux hom, donc aux adultes de bien les conseiller sur leur habillemen. Pire encore je pense ke cell ki se son faite enceintée certes non pa cherché a letr mai sont responsabl car se son laissé aller par les avance des prof résulta des course, ell se fon bien baiser. Pouf ca ménerv tro si slemen j puvai fair kelk choz. En tou ca il fo fair kelk choz car jai limpression kon laiis les fill shabiller com ell veule et ces trè dangereu :down: 
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    Auteur

    Castration Chimique

    En Juin, 2013 (17:52 PM)
    psychologie + jugement = castration chimique des enseignants sur tout le territoire national à commencer par les diifférents ministrons de l'édu.....
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    Auteur

    Les Grevistes

    En Juin, 2013 (17:54 PM)
    Maintenant ENSEIGNANTS = GREVES - VIOLS - PEDOPHILES.......... :cry:  :cry:   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">   :tala-sylla:  :tala-sylla: 
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    Laak

    En Juin, 2013 (17:57 PM)
    Rien que la pendaison qu ils méritent et rien d autres quand un soit disant éducateur passe tout leurs temps au dessous de nos sœurs , nos enfants, nos niéces pour les enseigner la sexologie et pourtant payer par l état qui est complice car n égit pas concrètement et meme les payent à temps sans rien faire Assassins , BRISEURS DE VIE IMPROPREs A LA SOCIETE je ne trouve pas les vrais mots pour inhumain ( aider moi )

    EST DES EDUCATEURS OU DES SEXOPHOBE ILS NE DOIVENT ETRE BRULES VIFS PENDUES

    Nous devons agir par une pétition pour une loi de pendaison ou 40 ans de prison ferme !!!!!
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    Dg

    En Juin, 2013 (18:08 PM)
    IL FAUT PUNIR SEVEREMENT LES PROFS COUPABLES



    C'est irresponsable et dégradant pour un professeur d'entretenir une relation sexuelle avec son élève. Les professeurs coupables doivent être renvoyer et licencier. Ils ne méritent pas d'etre pofesseurs. :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn:  :sn: 

    Au pire, ils doivent prendre leurs précautions en prenant des préservatis pour se prevenir des grossesses  <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">  
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    @deug

    En Juin, 2013 (18:15 PM)
    geug tu as raison,kat dafa nehh
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    Auteur

    Mme

    En Juin, 2013 (18:18 PM)
    ECOEURANT ..Ils profitent de ces filles villageoises qui sont souvent tres naives et dociles.Il faut qu'on les punissent trop c trop!
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    Edou

    En Juin, 2013 (18:24 PM)
    Partout dans les universités du monde,il existe des programmes de master axé sur le conseil et l'encadrement éducatif. Ces programmes traitent des thématiques les plus complexes qui touchent la société de l'éducation. Au sortir d'une telle formation, on peut jouer un role de médiateur éducationnel très important entre parents, enseignants et élèves et éviter toutes ces pratiques abominables qui conduisent à l'échec et à l'exclusion.

    Ce sont nos programmes d'études supérieures qui doivent être adaptés au besoins de la société. C'est seulement de cette manière que l'école sénégalaise parviendra à retrouver son lustre d'atan et pondre des diplômés utiles et serviables. Normalement c'est le censeur ou le principal qui devraient jouer ce role mais ils ne sont pas du tout outillés en terme de compétence pour jouer ce crole. En général ils ne sont que enseignant de formations ayant gravi les échelons.
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    Waw1

    En Juin, 2013 (18:26 PM)
    CES PROFS DOIVENT ETRE RADIES DE L EDUCATION PORQUOI CES JEUNES FILLES PAYENT LES POTS CASSES C EST PAS NORMAL .LES PARENTS DOIVENT AUSSI PORTER PLAINTE POUR DETOURNEMENT DE MINEUR .EN FAIT LE GOUVERNEMENT DEVRAIT PRENDRE DES MESURES CONTRE CES TARES DE PROFS
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    Gendarmeri La

    En Juin, 2013 (19:06 PM)
    mane senegal dafa tass boulene wakhe rek ne professeur yila khaleyou djigueneyi legui bayi wounou kene dagni weure rek mane homme de tenu la wante goudi ak beuthek danoumaye profoke

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    Auteur

    Le Patriote

    En Juin, 2013 (19:11 PM)
    OK POUR UNE MARCHE NATIONALE CONTRE LES ENSEIGNANTS ETERNELS GREVISTES ET AUX COMPORTEMENTS REPREHENSIBLES
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    Dëgg La Vérité

    En Juin, 2013 (19:57 PM)
    On veut faire passer les enseignants pour des diangalé "Kat" ou des édu "kateur" non soyons sérieux, l'enseignant est comme monsieur tout le monde , c'est à dire ni plus vicieux, ni plus vertueux que les autres catégories socio -professionnelles
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    Janus

    En Juin, 2013 (20:05 PM)
    Évidemment, comme toujours c'est la faute des filles qui s'habillent trop court, trop serré, trop décolleté. Combien de fois ai-je lu sur Seneweb que l'erreur des filles étaient de vouloir imiter les filles occidentales. Soit, c'est leur choix et c'est un droit qu'elles ont le droit de faire. Mais toujours est-il qu'en Occident même si les filles sont "habillées" de façon plus provocante qu'au Sénégal, il y a 500 fois moins de viols et de mineures enceintées.

    Donc j'en déduis que la faute des hommes sénégalais qui ont une verge (un sexe) à la place du cerveau. Dès qu'ils voient un bout de chair fraiche ils sont incapables de se contrôler.

    D'autre part lorsque l'éducation sexuelle ne sera lus tabou dans les familles, cela ira beaucoup mieux  :sn:  :down: 
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    Ddd

    En Juin, 2013 (20:49 PM)
    les profs sont de tres grand baiseur c connu
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    Auteur

    Zelko

    En Juin, 2013 (21:18 PM)
    éducateurs ou edu katteurs
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    Keysa

    En Juin, 2013 (22:53 PM)
    On vit ce phénomène partout dans le Sénégal moi je peux comprendre ce qui est à l'origine à DAHRA il y'a des ouvriers des commerçants des mécaniciens on sait kelk un ki à fait des études ne pourra sortir avec un analphabet raison pr laquelle la relation entre profs et élèves est inévitable en tout cas moi j m verrai mal sortir avec un ouvrier ki n. Peut rien t'apporter en connaissance alor k le prof peut t'aider avec les études
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    Dadaba

    En Juin, 2013 (23:18 PM)
    IFAUT D2NONCER CES CAS DE GROSSESSE 0 LA gendarmerie ou à la police qui vont procéder aux arrestations de cesenseignants pour détournement de mineurs suivi de grossesseENVOYER DES LETTRES ANONYMES ACES SERVICES DE L'ETAT QUIFERONT LE RESTE
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    Mon Prof

    En Juin, 2013 (23:58 PM)
    jsavé pas ksk jfezé parck jté aveugle mon prof m doné des notes apré avoir couché avc moi
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    Auteur

    Fof

    En Juin, 2013 (06:25 AM)
    Ce bien bou dra sede Si le leçon rentre pas il faut faire des enfants
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    Alphaone

    En Juin, 2013 (07:11 AM)
    La castration, il n'y à que ça qui marche bien.
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    Auteur

    Pape

    En Juin, 2013 (09:13 AM)
    Bon le comportement de certains professeurs est vraiment déplorable. Mais force est de constater que beaucoup de ces potaches essayent de charmer leurs professeurs. Notons que les plus touchés sont les jeunes enseignants car la différence d'age n'est pas très prononcée. Un enseignant est avant tous une personne mais il ne doit pas perdre de vue que la responsabilité ne dépend pas de l’age. Ils doivent faire preuve de dépassement et de maturité pour éviter les tentations des jeunes filles immatures et innocentes . Notons que les filles d'aujourd'hui sont vraiment précoce .Ici à Dakar ces jeunes filles précoces ne fond qu'imiter les blancs. Ici dans beaucoup d'écoles on observe souvent des élèves qui s'embrassent dans l'enceinte de l'école ce qui grave. une véritable dégradation des mœurs. et faut pas oublier aussi beaucoup de surveillants ,censeurs, proviseurs sont irresponsables car eux mêmes sont souvent indexés. wassalam

     :sn:  :sn: 
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    Salams

    En Juin, 2013 (09:18 AM)
    je fut Prof à Dahra, je suis attristé de lire ces infos. La nature de ces filles si belles qu'une perle (métissage Nar, Peulh, Wolof) ne d peut justifier le comportement irresponsable des collègues. Si l'élève est belle, va faire la cour à sa tante plutôt, been sagng bi la!!! :sn:  :sn: 
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    Auteur

    Prof_katteur

    En Juin, 2013 (09:20 AM)
    katte dafa nékh
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    Auteur

    Jaloux

    En Juin, 2013 (09:22 AM)
    les jaloux on s'en fout les couilles  <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">  
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    Auteur

    Capy

    En Juin, 2013 (09:40 AM)
    Mais a quoi servent le règlement intérieure dans les établissement? Le laxisme est le propre des sénégalais la différence entre ici et l’Europe que nous voulons imiter aveuglément c'est que la bas la loi existe et s'applique automatiquement sans distinguer serigne, imam, prof ou éléve. On vois des filles qui viennes a l'école en s'habillant comme des mannequins ou des "thiaga"(putes) dans le seul but de séduire,personne ne dis rien on laisse passer ou on encourage.c'est pourtant interdit par le règlement intérieur de tous les établissements.et quant l’irréparable se produit dans l'école, on cris au scandale.Mais pourquoi personne n'est scandaliser de voir ses filles venir a l'école avec des mini ou autres habillements aussi indescent que provocant ?nous sommes tous coupables ouvrons les yeux un peut
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