Le malheur des uns fait, dit-on, le bonheur des autres. En tout cas, la grève des boulangers est plus que du pain béni pour les vendeurs de "fondé" (bouillie de mil).
Ces derniers, qui se frottent déjà les mains, prient même, selon le journal Libération, pour que le mouvement d'humeur des meuniers "ne s'arrête jamais".
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