La région de Diourbel est au bas de l'échelle avec un taux de 4% en ce qui concerne le fléau que constitue les grossesses en milieu scolaire, selon une récente étude publiée en 2014. Seulement, les responsables académiques, les acteurs et autres partenaires de l'école dans la Baol, sont loin de se réjouir de ce classement.
La journée de restitution de cette même étude réalisée par le Groupe pour l'étude et l'enseignement de la population (Geep) avec l'appui du Fonds des Nations Unies pour la population (Unfpa), a été le prétexte pour professeurs, parents d'élèves, autorités, et autres acteurs de l'école, d'échanger sur le fléau qui a pris des proportions importantes au Sénégal avec pas moins de 1971 cas détectés entre 2011 et 2014.
Un phénomène qui, selon Ibrahima Ba, le point focal local du Geep, constitue un goulot d'étranglement à la qualité des apprentissages du système éducatif vu sous un angle holistique. Selon lui, ceci justifie à plus d'un titre la réflexion autour de la question.
Au-delà de ce partage sur les données, les participants à ce conclave qui a eu pour cadre la salle de délibération du Conseil départemental de Diourbel, n'ont pas manqué d'émettre des suggestions, remarques, et critiques sur l'étude en question, non sans avoir formulé une kyrielle de recommandations allant dans le sens de stopper le phénomène.
4 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2015 (18:51 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (19:28 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (07:58 AM)Anonyme
En Novembre, 2015 (09:09 AM)Et pour les grèves c'est reparti, C'est en route de nouveau ! ils ne sont plus habitués à travailler ! c'est dur pour eux !
J'espère qu'ils ne seront pas payé pendant cette grève (pour le salut des enfants)
Si l'état est de droit et solide et ne paye pas du tout les journées de grève, cette grève ne durera pas plus de 8 jours !!!!! c'est évident , Le SN est le seul pays du monde ou les grévistes sont rémunérés !!!!
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