Le vaste programme de 2000 logements sociaux « Tawfekh Yaakar » bientôt bouclé. Le constat est fait par Khadim Diop, ministre de la restructuration de l’aménagement des zones inondées, nous informe le journal de la RTS.
Au quartier Oumar Diallo de Keur Massar par exemple, deux-cent (200) familles seront déplacées. Pour elles, finie la hantise des inondations, car le ministre Khadim Diop a reçu des assurances fermes des différents services impliqués dans la réalisation des documents collectifs pour les nouveaux habitants des cités « Tawfekh Yaakar ». Ainsi, durement éprouvés par les inondations, les heureux propriétaires de ces logements sociaux peuvent désormais afficher la sérénité.
13 Commentaires
Dama
En Décembre, 2013 (04:25 AM)Sambou2
En Décembre, 2013 (06:59 AM)Papis Sambou
En Décembre, 2013 (07:58 AM)Le Patriote
En Décembre, 2013 (08:30 AM)Ahmed
En Décembre, 2013 (08:44 AM)Rewmi Dokhoul
En Décembre, 2013 (11:00 AM)Mr Khadim Diop bientot c'est pour quand?
Confessions
En Décembre, 2013 (11:44 AM)Aujourd'hui je fais ceci par devoir de vérité et pour me répentir. PARDON
@dama
En Décembre, 2013 (12:57 PM)Prési
En Décembre, 2013 (16:10 PM)C’est dans ce cadre que plusieurs hectares furent affectés à Monsieur Alioune Badara BADIANE, Président Directeur Général du Groupe NAMORA. Ce dernier s’engagea à construire des milliers de villas à Tivaouane Peulh, pour aider les sénégalais d’ici et de la diaspora, à accéder à la propriété, à des coûts abordables.
Il récolta beaucoup de fonds de souscripteurs, s’engageant à livrer les villas finies en six (06) mois au plus tard. Beaucoup de coopératives d’habitat et de particuliers résidents ou de la diaspora souscrivirent à ce projet. Le principe retenu était d’attribuer une maison clef en mains à chaque souscripteur à date échue, quel que soit son niveau d’apport, à charge pour chacun, de signer un engagement à reverser le reliquat en mensualités étalées sur cinq (05) ans au plus, sans aucun intérêt.
Aujourd’hui, avec l’avènement du Président Macky SALL, nous réclamons un égal accès à la propriété foncière, pour toutes les familles, quels que soient les niveaux de revenus. En effet, sous nos tropiques, la dignité de tout homme se mesure à l’aune de la villa ou même de la case, qu’il peut désigner du doigt et déclarer fièrement, c’est pour moi ! Qui n’a pas de maison chez nous, n’est pas considéré !
Nousinterpelons les autorités que sont : le Ministre de l’Habitat, le Ministre chargé des Inondations, le Premier Ministre, et la plus haute d’entre elles, le Président de la République, sur le problème du projet NAMORA.
Le projet NAMORA fait parti du plan Jaxaay, initié par l’Etat du Sénégal à travers le Président de la République qui en a confié la réalisation à un promoteur privé. En cas de défaillance de ce promoteur, n’appartient-il pas à l’Etat, en tant que garant de la sécurité et du bien être des citoyens, de se substituer à ce promoteur, pour rétablir le citoyen dans ses droits ?
Le promoteur était simple dépositaire ou concessionnaire de service public, ayant la prétention, en tant que délégataire, de suppléer l’Etat dans la concrétisation du droit inaliénable et fondamental pour tout citoyen, d’avoir accès à une propriété décente, qui est une composante essentielle des droits de l’homme et des citoyens. Aujourd’hui, ce promoteur privé a failli, l’Etat doit répondre des actes de son mandataire. Les citoyens que nous sommes, sommes désemparés. Nous avons arpenté les couloirs du Ministère de l’Habitat et ceux du Projet de Construction de Logements Sociaux et de Lutte contre les Bidonvilles –PCLSLB- pour avoir un interlocuteur ; partout on nous répond que ce projet était logé à la Présidence de la République et géré par le Président en personne.
Au nom de la continuité de l’Etat, pensons-nous, Monsieur le Président de la République en exercice, Monsieur Macky SALL, doit prendre ce dossier en main rapidement et en toute priorité, au même titre que le plan de relogement des sinistrés des inondations qu’il est entrain de concrétiser.
Nous sommes nous aussi des sinistrés, qui avons épargné pendant des années, pour avoir notre chez nous. Nous avons versé des montants consistants au promoteur et le site du projet NAMORA qui devait abriter nos maisons est encore disponible et s’étend à perte de vue à Tivaouane Peulh. Nous réclamons l’intervention de l’Etat qui doit reprendre ses terres et les redistribuer aux citoyens abusés. Nous ne demandons pas la gratuité ; nous réclamons juste un traitement équitable, comme la diligence apportée au cas des sinistrés des inondations. Ce dossier est un véritable défi qui est lancée aux autorités actuelles ; il doit servir de point de départ au règlement de la bombe sociale que constitue le foncier dans notre pays. Sa réussite serait considérée comme une réalisation majeure.
Nous réclamons donc justice, égalité et une prise en charge effective par l’Etat, du dossier NAMORA, dans les meilleurs délais. Cela doit se traduire concrètement par l’implication de l’Etat qui doit procéder à la distribution des terres et villas déjà construites sur le site.
Nous voulons un toit pour notre famille, nous avons travaillé des années pour cela. Nous ne pouvons accepter que l’espoir, l’ambition et le but de toute une vie, soient anéantis et considérés comme pertes et profits.
Sambou2
En Décembre, 2013 (18:42 PM)Ff
En Décembre, 2013 (19:37 PM)Zeus
En Décembre, 2013 (09:08 AM)Liii
En Décembre, 2013 (09:18 AM)Participer à la Discussion