C’est la fin du calvaire des journalistes dans ce procès de Karim Wade qui a fini par stresser plus d’un avec des mesures sécuritaires tellement draconiennes qu’on se croirait en état de siège. Les téléphones portables, les ordinateurs et parfois même les stylos des journalistes étaient confisqués par les pandores.
Cependant, depuis hier, ces plaintes et complaintes des journalistes ne sont plus que de vieux souvenirs. En effet, le président Henri Grégoire Diop a desserré l’étau, pour permettre à la presse d’entrer à l’audience avec son arsenal de travail. Mesure annoncée hier à l’entame du procès. Source : L’As
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Thiey Thiey
En Août, 2014 (11:56 AM)Participer à la Discussion