Des nappes phréatiques profondes, des forages en panne, des puits tarissables en toutes saisons, l’accès à l’eau demeure le tragique de l’existence à Sédhiou. Dans la commune, c’est la pauvreté des foyers qui empêche d’accéder au liquide précieux. Ailleurs, dans les autres collectivités locales, les élus prétextent que l’hydraulique n’est pas une compétence transférée. Ainsi, ils obligent les populations à retourner aux puits traditionnels à ciel ouvert.
L’usage de cette eau non potable engendre des problèmes de santé avec son lot de maladies diarrhéiques. Malheureusement, le mal du siècle risque de se prolonger davantage surtout dans les écoles et autres lieu public car, aucune initiative heureuse n’est envisagée par les autorités dans les meilleurs délais. Peut-être le pôle de développement sud lancé à Ziguinchor le lundi dernier, va prendre en charge ce volet combien de fois important.
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Cgv
En Mars, 2014 (16:25 PM)Participer à la Discussion