L’idée de coloniser des territoires outre-mer n’a pas été rapidement partagée au sein de l’opinion française, selon Michel Pierre professeur d’histoire et d’art iconographique.
Il introduisait mercredi à l’Université Gaston Berger (UGB) une conférence co-organisée avec l’institut culturel français sur ‘’Paris, 1931, l’exposition coloniale, regard sur l’autre et sur l’ailleurs’’.
L'organisation de l'exposition coloniale entrait dans ce souci des autorités politiques françaises de l’époque d’ancrer dans l’opinion française la thèse civilisationniste de la colonisation.
Ainsi, selon M. Pierre, il fallait à travers la reconstitution de villages indigènes convaincre de l’intérêt de prendre un certains nombres de positions à l’étranger.
‘’Après la défaite contre l’Allemagne de 1870, certains penchaient pour une revanche pour récupérer l’Alsace et la Lorraine et étaient opposé à l’idée d’une expansion coloniale’’, indique le conseiller culturel à l’ambassade de France en Algérie.
Cette exposition qui a connu beaucoup de succès a marqué ''un tournant dans l’approche coloniale'', a estimé le conférencier qui a noté une ère nouvelle avec une évolution dans la conception sur la différence des races.
Il a affirmé qu’avec cette exposition, la culture des pays d’outre-mer a été valorisée et la différence entre les races mise en avant et non la supériorité d’une sur l’autre.
Il a signalé que le Parti communiste français avait tenté une manifestation parallèle pour critiquer la colonisation avec moins de succès que l’exposition coloniale qui lors de sa clôture a reçu 500 mille visiteurs.
C'est le moment où tout a basculé dans les colonies a dit M. Pierre qui y voit ''les fondations'' des mouvements d’indépendance notés dans les colonies françaises.
Les pays alliés de la France avait une représentation à cette exposition à l’exception de la Grande-Bretagne qui était dans une logique au-delà des colonies.
Selon Michel Pierre, la Grande Bretagne avait déjà entamé la réflexion pour le Commenwealth et avait organisé une exposition du genre six ans auparavant.
12 Commentaires
Lhom
En Mai, 2015 (15:27 PM)Il est temps qu'ils degagent de chez nous!!!
Natte Diamano Thieu Yallah
En Mai, 2015 (15:47 PM)Wakh diou beuri nakk douko dini ( Travailler beaucoup et parler peu , c'est le seul moyen d'en finir ) .
Prenon l'exemple de la corée du sud , Nio yamone avant les indépendances mais maintenant y'a pas photo .
On met tout sur la fautes des autres , Pourtant nous sommes les seuls responsable de notre merde .
Nos grand pére n'ont jamais rien foutu
La preuve toutes les capitales de nos royaumes sont une sorte de merde ( des villages fantômes où y'a rien du tout , ils passaient leurs temps à epouser des femmes et faire des enfants
1 : au temps de l'esclavage , ce sont nos freres qui vendaient les leurs
2 : Ce sont nos fréres ( politiciens etc... ) qui pilent notre richesse . ce sont ses memes freres qui complotent avec les autres pour nous écraser .
3 : On ne s'aime pas , on préfére une autres ( blanc - arabe ) que nous meme
les exemples sont nombreux , Pour s'en sortir , Il faut faire une nettoyage interne , vous verrez ils ne pourront rien contre nous , la premiére c'est d'enlever le maraboutage( charlatans - sorcier - xamb - tours en tout la colonisation des diables ) chez nous , lolou moniou gono raye , à cause de ça notre intelligence ne nous sert à rien
1: nite ki bou dioudo sénégal , la premiére chose qu'on fait c'est de l'amener au marabout pour le protéger je ne sais quoi ,
2 : examen bou niowé , oubien nite ki déme diangui , wayé day dém si sérigne beu pour mou défaralko bouteille pour mou ame examen
3 : nite ki bou amé diplome ou bin mou rayanté pour ame job , day dém sa sérigne bi pour mou défaralko ndombo ame liguéye
4 : nite ki bou beugué yégg grade ou bin mou rayanté , day dém si serigne bi
Ana xél mouko yallah , kagn lakay ndjérign , konne nite kohou gomoule bopame , té kou gomoule bopamme dou déme
1 : Nite bou nékke borom xam xam wara avancélo rew mi , ga yi dagniy dém thieu serigne niou ndjabar ko mou doff wala mou echec
2 : Nite ki bou ay mbirame marché , dagniy dém thieu serigne ba pour yakalle ko
3 : nite nieu danio ragale concurence moyy warale niarre nite bouniouye déff béne affaire nga hamné nio ndouro , day déf le tout pour mom késséy moy reussir pour lolou day dém thieu ndjbarkate ba .
Lou wayy déff nioum diem ko galankor .
Donc ce sont pas les blancs qui nous empéchent d'avancer ,c'est nous memes . Nianiou kholate sunu boppe bou bakh
E
Ndiaga Bordeau
En Mai, 2015 (17:55 PM)environ 300 m2, 450 m2, 600 m2 ou 750 m2.
Merci
Ok
En Mai, 2015 (18:04 PM)Zoumbi
En Mai, 2015 (18:14 PM)pourquoi depuis la sortie de l'audit le 17 mars 2015 monsieur youssou ndiaye est maintenu à l'hopital Dallam Diamm ! Madame le ministre est vous la protectrice de ce voleur !
Une mission de vérification de l’Inspection des affaires administratives et financières (Iaaf) a été dépêchée au Centre hospitalier de Abass Ndao (Chan), au lendemain du départ de son ancien directeur Dr Youssou Ndiaye. Mais, la lecture du rapport officiel produit par l’Iaaf donne des urticaires. Les enquêteurs laissent voir des anomalies de toutes sortes, pour ne pas dire des combines et combinaisons à la limite mafieuses, qui ont profité à un personnel ou une catégorie de personnel, responsable à 90% de la situation précaire dans laquelle le Chan est plongée depuis des années maintenant. Selon le rapport de l’Iaaf, le Chan est transformé en champ de ruines, qui mettra bien des années, avant de redevenir normal.
Abass Ndao risque de ne jamais se relever de sa gestion, sous l’ère Youssou Ndiaye. Du moins, si l’on se fie au rapport, produit par l’Ins¬pection des affaires administratives et financières (Iaaf). Cette mission est intervenue dans un contexte de transition du fait du changement de directeur effectué le 7 mai 2014. Pour les enquêteurs, ce changement de directeur semble être le corollaire de la situation tendue au sein du Centre hospitalier de Abass Ndao (Chan) entre Dr Youssou Ndiaye et une bonne partie du personnel depuis 2011.
L’Iaaf fait remarquer que, sur le plan de la gestion, la structure devait, en fin avril 2014, trois mois d’arriérés de salaire à ses agents. Aujourd’hui, ces arriérés sont épongés et les réclamations portent uniquement sur les primes. Le fonctionnement normal des services techniques comme administratifs pose problème du fait de la vétusté des équipements, de la défaillance de la maintenance, de la rupture fréquente de consommables, de la situation déplorable des ressources humaines.
Ces manquements, selon les en¬quêteurs, empêchent le Chan de fonctionner normalement et obligent le personnel à réorienter des patients dans les cliniques privées ou d’autres hôpitaux plus nantis en équipements et accessoires avec pour conséquence «une baisse significative des recettes propres. Pendant ce temps, la dette de l’hôpital ne fait que s’accroître. L’urgence est un vain mot, l’accueil et l’orientation inexistants. Le taux d’absentéisme est très élevé. Il en est de même des retards.»
A propos de la masse salariale, elle n’est pas maîtrisée, selon le rapport. «Les tensions de trésorerie sont avérées et récurrentes, la baisse drastique des recettes peut être constatée sur les différents documents financiers, surtout durant la période (2010-2013). Les services tournent au minimum. Au moment de la prise de fonction du nouveau directeur, tous les contrats avec les fournisseurs étaient en voie de résiliation. La dette sociale avoisine 900 millions de francs Cfa, la dette fiscale plus d’un demi milliard et celle aux fournisseurs dépassent le milliard», lit-on dans le document.
Des caisses parallèles, entraînant une déperdition de recettes
Aussi, les répercussions sur la fonctionnalité des services médico-techniques et administratifs sont-elles tangibles. «Les tensions de trésorerie ont comme conséquences entre autres, les ruptures fréquentes de consommables dans tous les services, entraînant l’établissement de Conventions (avec l’Assad), signées en violation de la réglementation et qui bénéficient à quelques personnes au détriment des autres agents et des usagers de la structure. Cette situation de sinécure perdure avec l’instauration de caisses parallèles, entraînant une déperdition de recettes», relèvent les enquêteurs. Qui ajoutent : «Au moment où nous faisions notre vérification, le véhicule affecté au directeur du Chan était toujours détenu par le sortant. Au service radiologie, la développeuse était en panne ainsi que la radio de la grande salle. Au bloc opératoire, il est signalé un manque de respirateur d’oxygène et souvent de l’oxygène. La buanderie ne fonctionne plus. La réparation des deux machines est entamée. Les blanchisseurs, à cause de la dette élevée que leur doit le Chan ne font plus de crédit. Le directeur trouve des alternatives avec les buanderies des autres Eps de temps à autres.»
Anonyme
En Mai, 2015 (18:34 PM)Fdf
En Mai, 2015 (19:26 PM)Mèèw
En Mai, 2015 (20:16 PM)Malaka
En Mai, 2015 (20:58 PM)ce qui l intéréssait c été d apporter dieu jesus et la culture
hein ? pour 1 pays qui n a ni orthographe ni grammaire ,mercii aux missionnaires
est ce que tu crois qu avec le tam tam tu peu écrire texto ?
lou fi colon arabes baayii ? tous loudooul sényy opium religieux modifié ,falsifié !
grace à la langue farancé toute l afrique francophone peut communiqué ,hein ! saanta yallaaah waay
Anonyme
En Mai, 2015 (21:41 PM)Anonyme
En Mai, 2015 (07:18 AM)[email protected]
En Mai, 2015 (15:49 PM)Participer à la Discussion