Les vendeurs savent que les gens en ont besoin en ce moment, c’est pourquoi ils augmentent les prix. C’est donc à prendre ou à laisser», se désole-t-il. Néanmoins, il compte se trouver ses moutons au plus vite avant que les prix ne flambent encore, même s’il n’est pas encore tiré d’affaire avec les autres dépenses supplémentaires. «J’attends l’après-midi pour aller chercher encore des moutons. Après ca, je devrais me charger de l’habillement de mesdames. Donc je ne suis pas encore tiré d’affaire», dit-il. Cheikh, lui, vit dans une grande famille.
Il martèle que «chaque année d’habitude, il leur faut tuer trois à quatre moutons». Ainé d’une grande famille qui vit ensemble, il est le seul fils à être marié, par conséquent celui qui porte la moitié des dépenses sur son dos. «Je suis venu acheter deux moutons, contrairement à mes deux demi-frères qui en achètent un. Les prix sont chers, mais bon on n’a pas le choix. C’est une obligation par-dessus tout». Le téléphone à la main, il dit «se renseigner auprès de ses amis s’ils pourront éventuellement lui trouver des moutons à prix abordables». Les pères de familles «au bord du ruine» avec la fête et ses innombrables dépenses.
7 Commentaires
D
En Septembre, 2014 (19:50 PM)Thialky Samb
En Septembre, 2014 (19:55 PM)Carnaval De Senegal
En Septembre, 2014 (19:57 PM)Tabaski D'hier
En Septembre, 2014 (20:11 PM)Non
En Septembre, 2014 (20:59 PM)DU N'IMPORTE QUOI !!!
WA SALAM
Za
En Septembre, 2014 (10:56 AM)11
En Septembre, 2014 (12:20 PM)Participer à la Discussion