Pour la troisième fois, le Programme alimentaire mondial (Pam) est venu au chevet de certains ménages démunis de la commune de Fatick et de l'arrondissement de Niakhar, en leur distribuant des bons d'achat alimentaires. Ces derniers sont d'une valeur de trois mille cinq cents (3500) F Cfa par bénéficiaire, avec un maximum de six (6) personnes par famille.
Pour cette troisième distribution, qui a démarré jeudi dernier, Le Quotidien informe que quelques mille cinq-cent-quinze (1515) personnes démunies de la commune de Fatick et de l'arrondissement de Niakhar devraient bénéficier de deux-cent-soixante (260) bons d'achat alimentaires. Au cours des deux précédentes distributions, trois-cent-soixante (360) bons ont été distribués à deux mille cent-quarante (2140) bénéficiaires dans la commune de Fatick et les cent soixante (160) bons sont allés à huit-cent-quatre-vingt-dix (890) nécessiteux de l'arrondissement de Niakhar.
Cette action que mène le Pam, en collaboration avec le gouvernement duSénégal, constitue une réponse à la crise alimentaire et nutritionnelle qu'a connue notre pays, consécutivement au déficit de production agricole de la campagne 2011-2012. Cela, dans un contexte de hausse des prix des produits alimentaires, toujours selon source. D'ailleurs, dans le cadre de la réponse à cette crise alimentaire, le chef de l'État, Macky Sall, avait, en décembre 2012, mis à la disposition de ce programme des Nations Unies une enveloppe d'un million cinq cent mille (1 500 000 000) francs Cfapour que la distribution des bons d'achat alimentaires soit étendue à d'autres départements du pays qui n'avaient pas été touchés auparavant.
2 Commentaires
Fatick
En Avril, 2013 (14:02 PM)Elou
En Avril, 2013 (17:13 PM)Elles disent à nos pauvres dames de pratiquer l'allaitement exclusif qu'ils ne pratiquent pas chez eux (dans les pays développés). Une femme mal nourrie ne peut pas produire du lait de qualité pour son bébé. Le bébé se retrouve mal nourri alors. Ensuite, ces institutions créent des programme de renforcement nutritionnel pour les bébés.
Elles donnent à nos paysans des semences hybrides (non reproductibles) et les maintiennent ainsi dans une une situation de dépendance continue. Ensuite elles reviennent plus tard avec des programmes de distribution de vivres.
Elles vivent de notre misère...
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